Microsoft confirms two Windows 11 25H2 issues post KB5066835 update.
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J’avais besoin de WiFi dans un local technique pour brancher des caméras de surveillance parce que mes routeurs sont à l’opposé de la zone à couvrir et finalement la solution la plus fiable et la moins prise de tête que j’ai trouvé, ça a été de passer par mes bons vieux câbles électriques.
Devolo m’a donc envoyé ses Magic 2 WiFi 6 Next en test (Le multiroom kit avec trois adaptateurs), et je les ai vraiment trouvé pas mal. Le kit se compose d’une prise LAN que vous branchez à votre routeur en ethernet, et de deux prises WiFi que vous placez là où vous voulez chez vous. Et le tout communique via votre réseau électrique (technologie CPL ou powerline pour les intimes), et diffuse du WiFi 6 avec mesh intégré.
L’installation prend deux minutes chrono. Vous branchez les trois prises, vpous attendez un peu que toutes les diodes passent au blanc, puis avec l’app devolo Home Network, vous configurez tout ça. Aucune bidouille, aucun paramétrage manuel puisque les trois adaptateurs sont détecté tout seuls et créent alors un réseau mesh transparent.
Attention ne branchez JAMAIS vos adaptateurs CPL sur une multiprise car ça crée des perturbations qui massacrent les perfs. Branchez-les directement sur une vraie prise murale, et ensuite vous pourrez utiliser la prise intégrée aux boitiers pour brancher votre multiprise par-dessus.
Le gros atout du CPL face au mesh WiFi classique, c’est sa stabilité. Un mesh WiFi pur va fluctuer selon les interférences, les murs, les voisins qui balancent du 2.4 GHz à fond. Alors que là, le backhaul (la connexion entre les prises) passe par les câbles électriques à 2400 Mbps max, donc zéro fluctuation. Le WiFi 6 diffusé ensuite monte jusqu’à 3000 Mbps (574 Mbps en 2,4 GHz + 2402 Mbps en 5 GHz), avec du roaming automatique entre les prises.
Par contre, je vais être clair, les performances dépendent énormément de la qualité de votre installation électrique. Si votre maison date de Mathusalem avec un câblage pourri, vous n’atteindrez jamais les débits théoriques. C’est le seul point noir du CPL… ça dépend énormément de votre install électrique.
Ensuite, j’ai mesuré les performances avecc ma configuration. Même étage que le routeur je suis environ 500 Mbps en CPL et au premier étage je suis entre 330 et 415 Mbps selon où je me trouve. Du coup, pour mes caméras de surveillance ou se faire un film en streaming 4K, c’est largement suffisant et surtout ultra-stable.
Si vous regardez bien, sous chaque prise WiFi il y a deux ports Ethernet gigabit, ce qui est parfait si vous avez des appareils filaires à brancher (NAS, switch, caméras PoE avec injecteur…etc) et tout le réseau est extensible puisque vous pouvez ajouter autant de prises Devolo que vous voulez partout chez vous pour couvrir une surface gigantesque.
Le système Devolo embarque également tout ce qu’on attend d’une solution de routeurs / répéteurs modernes : un chiffrement WPA3 pour la sécurité, du WiFi invité pour vos potes histoire de pas leur filer votre mot de passe principal, contrôle parental avec programmation horaire, et Airtime Fairness pour que vos appareils rapides ne soient pas ralentis par le vieux smartphone de belle-maman. Tout se pilote bien sûr via l’app devolo Home Network, disponible sur iOS et Android.
Pour ceux qui ont des connaissances pointues en CPL, sachez que ce système utilise la techno G.hn qui est plus rapide et plus stable que l’ancien HomePlug AV2. Donc si vous avez de vieux adaptateurs CPL qui traînent, autant les offrir à quelqu’un qui n’en a pas parce que la différence de performances est énorme. Le G.hn gère carrément mieux les perturbations et offre des débits très supérieurs.
Voilà, alors si vous êtes comme moi et que vous avec une maison ancienne avec des murs épais, plusieurs étages, ou des zones où le WiFi ne passe juste pas genre loin dans le jardin, suffit d’avoir l’électricité et vous êtes opérationnel. Par contre, si vous vivez dans un appart récent avec des murs en placo, un simple système mesh WiFi fera probablement l’affaire pour moins cher.
Maintenant le truc qui pique un peu mais quand on aime on ne compte pas, c’est le prix. Comptez environ 400-470 euros le kit Multiroom (3 adaptateurs) selon les revendeurs. C’est cher, mais quand l’alternative c’est de tirer des câbles Ethernet à travers toute la baraque ou de galérer avec un mesh WiFi capricieux dans une vieille baraque, ça se défend. Et Devolo offre une garantie de trois ans, donc vous êtes tranquille.
Notez qu’il existe aussi un Starter Kit à deux adaptateurs autour de 240-260 euros si vous avez une surface plus modeste.
Donc voilà, pour mon local technique et mes caméras WiFi, le Devolo Magic 2 WiFi 6 Next fait très bien le job. Après c’est comme tout, c’est une solution miracle mais pour des cas comme le mien où le WiFi classique ne suffit pas et que les distances sont trop grandes, ça change la vie ! Et maintenant j’ai un super wifi pour bosser dans le jardin et faire mes tests de caméras !
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Vous venez de claquer plusieurs milliers d’euros dans une solution antivirus dernier cri pour votre boîte car le commercial vous a convaincu avec du machine learning, de l’IA comportementale, du threat hunting prédictif et j’en passe…
Cool story ! Mais si je vous disais qu’un petit exécutable open source gratuit peut potentiellement passer à travers ? Ce programme s’appelle al-khaser et je vous assure qu’il va vous faire déchanter, car ce truc, c’est le détecteur de mensonges des solutions de cybersécurité.
Al-khaser est outil qui ne fait rien de méchant en soi… C’est ce qu’on appelle un PoC, un “proof of concept” avec de bonnes intentions car il rassemble dans un seul programme toutes les techniques que les vrais malwares utilisent pour se planquer tels que la détection de machines virtuelles, le contournement des débogueurs, l’échappement aux sandbox, et j’en passe.
Comme ça, si votre antivirus ne détecte pas al-khaser, il y a de bonnes chances qu’il rate aussi les vraies menaces qui utilisent les mêmes techniques.
Faut dire que les éditeurs d’antivirus et d’EDR adorent nous vendre leurs nouvelles fonctionnalités IA de fou alors que certaines de leurs solutions ne détectent même pas des techniques pourtant connues depuis longtemps.
Al-khaser met donc tout ça en lumière de façon assez brutale en enchaînant des dizaines de vérifications. Par exemple, il va regarder si votre processeur a vraiment le bon nombre de cœurs ou si c’est une simulation. Il va checker l’adresse MAC de votre carte réseau pour voir si elle correspond à un hyperviseur VMware ou VirtualBox. Il va mesurer le temps d’exécution de certaines opérations pour détecter si le système est accéléré artificiellement, comme dans une sandbox d’analyse. Il va même tester des API Windows classiques comme IsDebuggerPresent ou CheckRemoteDebuggerPresent pour voir si quelqu’un espionne son exécution.
Maintenant si vous voulez tester les protections anti-debug de votre système, vous tapez :
al-khaser.exe –check DEBUG –sleep 30
Oui si vous voulez voir si votre virtualisation VMware ou QEMU est bien masquée :
al-khaser.exe –check VMWARE –check QEMU
Bien sûr, ces techniques ne sortent pas de nulle part car elles sont documentées depuis des années notamment dans ce référentiel dont je vous déjà parlé .
Les équipes de pentest et les red teams adorent al-khaser car ça leur permet de montrer aux décideurs que leur gros investissement en cybersécurité n’est peut-être pas aussi solide qu’ils le pensaient. Vous lancez l’outil un vendredi après-midi dans un environnement de test, et vous voyez instantanément ce que votre EDR détecte ou pas.
Voilà, une fois encore, rassurez-vous, al-khaser ne fait rien de malveillant… Il ne vole pas de données, ne chiffre pas vos fichiers, ne lance pas de ransomware mais se contente juste de lever la main et de dire “hé ho, je suis là, regardez moi, je fais plein de des trucs louches !!”.
Bien sûr, ne lancez pas al-khaser sur n’importe quelle machine car c’est un outil de test qui doit rester dans un environnement contrôlé. Si vous le lancez sur le réseau de prod sans prévenir votre équipe sécu, vous allez déclencher des alertes partout et recevoir des appels pas très sympathiques. Et surtout, juridiquement, vous devez avoir l’autorisation du propriétaire de l’infrastructure, sinon, vous risquez de gros ennuis.
Ce projet est open source, écrit essentiellement en C++, et disponible sur GitHub . Y’a plus qu’à vous monter une VM isolée, récupérer al-khaser, et voir ce que ça donne.
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Vous faites du pentest, de la recherche en sécu ou vous êtes juste un curieux qui aime bidouiller des environnements de test ? Dans ce cas, il faut absolument que vous vous montiez un lab cybersécurité ! Mais c’est vai que c’est souvent la galère… Y’a Active Directory à configurer, des VMs Windows à déployer, des réseaux isolés à créer, tout ça manuellement… Ça prend des heures, voire des jours. Heureusement, Ludus règle le problème ! Vous décrivez ce que vous voulez dans un fichier YAML, vous tapez une commande, et hop, votre lab est prêt.
Ludus , c’est donc un système d’automatisation open-source qui tourne sur Proxmox. Vous définissez votre environnement de test (ce qu’ils appellent un “range”) dans un fichier de config, et Ludus s’occupe de tout déployer. Active Directory, machines Windows avec Office et Chocolatey, réseaux isolés, firewall rules personnalisées, DNS interne… Tout ce qu’il faut pour un lab de red team, blue team ou purple team.
Le truc cool, c’est que Ludus utilise Packer et Ansible en arrière-plan. Les templates sont construits à partir d’ISOs vérifiées, et tout est déployé de manière reproductible. Comme ça si vous voulez 255 VLANs, pas de souci. Si vous avez besoin de règles firewall custom ou de définir rôles Ansible pour configurer vos machines, c’est fastoche. Bref, Ludus vous laisse faire du high-level en YAML tout en gérant la complexité technique pour vous.
L’isolation est également bien pensée. Vous pouvez couper vos VMs d’internet, prendre des snapshots avant de leur autoriser l’accès, et ne whitelister que les domaines ou IPs spécifiques dont vous avez besoin. Du coup, pas de télémétrie qui fuit, pas de mises à jour Windows qui cassent votre environnement de test. Vous contrôlez tout !
Pour l’accès, Ludus intègre un serveur WireGuard ce qui vous permettra de vous connecter depuis n’importe où via SSH, RDP, VNC ou KasmVNC. Pratique si vous voulez accéder à votre lab depuis l’extérieur sans exposer vos machines de test sur internet.
Techniquement, ça tourne uniquement sur Debian 12/13 avec Proxmox 8/9. Il vous faudra au minimum 32GB de RAM par range (environnement de test), 200GB de stockage initial plus 50GB par range supplémentaire, et un CPU x86_64 avec un score Passmark au-dessus de 6000. C’est des specs correctes, mais pas non plus délirant si vous montez un serveur dédié pour ça.
Après une fois que c’est en place, le workflow pour les utilisateurs est assez simple. Vous récupérez une clé API et une config WireGuard auprès de l’admin du serveur Ludus, vous installez le client Ludus, vous importez votre VPN, et vous pouvez gérer votre range via la ligne de commande.
Le projet est sous licence AGPLv3, donc full open-source et comme d’hab, le code est sur GitHub . C’est en train de devenir un outil de référence dans la communauté sécu pour qui veut des environnements de test reproductibles.
Bref, si vous en avez marre de passer des heures à configurer vos labs à la main, pensez à Ludus ! Un fichier YAML, une commande vite fait, et votre infrastructure de test est toute prête ! Après, vous pouvez toujours aller bidouiller manuellement dans Proxmox si besoin, Ludus ne vous en empêchera pas, mais pour le gros du boulot chiant, il automatisera tout.
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En octobre 2016, un développeur suisse connu sous le pseudo swisskyrepo a commencé à compiler ses notes de pentester dans un dépôt GitHub. Rien de révolutionnaire au départ, juste un mec qui en avait marre de chercher la même injection SQL pour la 50ème fois dans ses notes. Mais ce qui est cool c’est qu’au fur et à mesure des années, il a structuré ça proprement avec une section par type de vulnérabilité, des README clairs, des fichiers Intruder pour Burp Suite, des exemples concrets…etc.
Ça s’appelle Payloads All The Things, et c’est accessible ici .
Ce qui était donc au départ un simple carnet de notes personnel est devenu THE référence mondiale en cybersécurité offensive avec des centaines de contributeurs qui ajoutent quotidiennement de nouvelles techniques. C’est devenu la pierre de Rosette (pas la charcuterie, renseignez-vous !! lol) de la sécurité offensive, celle qu’on cite dans tous les cours de certification OSCP, celle qu’on consulte pendant les CTF, celle qu’on recommande aux débutants…
Avant PayloadsAllTheThings, le savoir en cybersécurité offensive était soit verrouillé dans des formations hors de prix à 5 000 boules, soit éparpillé dans des recoins obscurs du web, soit jalousement gardé par des pentesters qui pètent plus haut que leur cul… Des pêt-testeurs quoi…
SwisskyRepo a d’ailleurs fait un choix radical qui est tout mettre en open source, sous licence MIT, accessible à tous. Et le contenu, c’est du lourd !
On y trouve tout ce dont un pentester peut avoir besoin : SQL Injection avec toutes les variantes possibles (MySQL, PostgreSQL, Oracle, MSSQL…), XSS avec les bypasses de filtres, SSRF avec les techniques d’exfiltration, Command Injection, OAuth Misconfiguration, GraphQL Injection, File Inclusion, Authentication Bypasses, API Key Leaks…etc… La liste est hallucinante.
Chaque section est structurée comme un cookbook technique avec le contexte de la vulnérabilité, les payloads classés par type, les bypasses pour contourner les protections, des exemples concrets, et les références vers les CVE ou les articles de recherche.
Par exemple, si vous voulez exploiter un serveur Redis mal configuré, il y a une section pour ça. Si vous voulez comprendre comment contourner un WAF, pareil ! Et si vous cherchez à pivoter dans un réseau interne après avoir compromis une machine, tout est documenté en anglais sur ce site.
Mais swisskyrepo ne s’est pas arrêté là. Son projet a muté en écosystème puisqu’il a aussi créé InternalAllTheThings , un wiki dédié au pentesting interne et aux attaques Active Directory (Certificate Services, Enumeration, Group Policies, Kerberos attacks, Hash manipulation, Roasting techniques…).
Et également HardwareAllTheThings , le même genre de wiki mais sur la sécurité hardware et IoT : JTAG, SWD, UART pour les interfaces de debug, firmware dumping et reverse engineering, Arduino, Raspberry Pi, Flipper Zero pour les gadgets, Bluetooth, CAN, WiFi, RFID/NFC pour les protocoles, SDR et GSM pour la radio, fault injection pour les attaques par canal auxiliaire…
Bref, tout ce qu’il faut savoir pour hacker des objets connectés, des cartes à puce ou des systèmes embarqués.
Du coup, avec cette famille complète de “AllTheThings”, on couvre toute la surface d’attaque moderne, le web, l’infra interne et le hardware. Un pentest complet peut donc se faire avec ces trois ressources comme base de connaissance. Chouette non ?
Bien, sûr c’est à utiliser dans un cadre légal, sinon, vous irez en prison ! C’est pas un forum de script kiddies qui échangent des zero-days volés, c’est une vraie bibliothèque technique pour les professionnels et les étudiants en cybersécurité.
Grâce à ça, un étudiant motivé peut devenir compétent en sécurité offensive en quelques mois juste avec des ressources gratuites : PayloadsAllTheThings pour les techniques, TryHackMe ou HackTheBox pour la pratique, les blogs de chercheurs pour les analyses approfondies, les conférences enregistrées (DEF CON, Black Hat) pour rester à jour.
Le savoir se libère, n’en déplaise aux relous ! Moi je trouve que c’est cool, car ça vulgarise les connaissances, ça les mets à la portée de tous et c’est tant mieux.
Donc un grand merci à SwisskyRepo d’avoir lancé ce projet !
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Xerox m’a gentiment envoyé leur imprimante multifonction C235 à tester et franchement, je dois avouer que je ne m’attendais pas à ce qu’une imprimante me fasse encore de l’effet en 2025. Mais bon, vu que j’imprime encore pas mal de trucs et que mon ancienne commençait à rendre l’âme, autant vous faire un retour complet.
La C235, c’est donc une laser multifonction couleur qui fait tout : impression, scanner, photocopieuse et même fax si vous êtes du genre nostalgique. C’est compact, ça tient dans 41 x 39 x 34 cm pour environ 20 kg , donc vous pouvez la caser dans un bureau sans qu’elle squatte toute la place. Elle crache du 24 pages par minute en noir comme en couleur, ce qui reste très correct pour un usage domestique ou une petite structure.
Ce que j’ai kiffé d’entrée, c’est l’installation. Vous branchez le câble USB, Ethernet ou vous la connectez en Wi-Fi, et en quelques minutes c’est plié. Xerox a également bien bossé l’interface, avec un écran tactile couleur de 2,4 pouces qui rend la navigation plutôt intuitive. Pas besoin de sortir le manuel de 200 pages pour comprendre comment lancer une impression recto-verso ou scanner un document. D’ailleurs, le recto-verso automatique, ça change la vie quand vous imprimez des dossiers de plusieurs pages. Puis ça économise du papier et du temps.
Le scanner intégré possède un chargeur automatique de 50 feuilles, ce qui est bien pratique pour numériser des piles de documents. Par contre, petite déception : le chargeur automatique ne gère pas le recto-verso. Du coup, si vous voulez scanner les deux faces d’une pile de feuilles, il faudra retourner le tas à la main et relancer le scan. C’est un peu dommage sur une machine de ce standing, mais bon, on fait avec…
Côté qualité d’impression, rien à redire. Le rendu laser est net, précis, les couleurs sont fidèles sans être ultra-saturées. Je n’ai jamais eu d’imprimantes lasers et je peux vous dire que ça n’a rien à voir avec les jets d’encre ! Pour des documents pros, des présentations ou même des photos imprimées sur du papier correct, ça fait le job sans broncher.
La première page sort même en moins de 11 secondes, ce qui évite d’attendre comme un idiot devant l’imprimante en se demandant si elle a bien reçu le fichier. Et surtout, la compatibilité est au rendez-vous : AirPrint pour les fans d’Apple, Mopria pour les Android, Chromebook aussi, et bien sûr le bon vieux Wi-Fi Direct si vous voulez imprimer directement depuis votre smartphone sans passer par le réseau. Xerox a pensé à tout le monde, et ça, c’est appréciable.
Bon, maintenant parlons du point qui fâche : les consommables. Xerox fournit des toners “starter” qui tiennent environ 500 pages donc autant dire que si vous imprimez régulièrement, vous allez vite devoir racheter des cartouches. Et là, selon les retours utilisateurs sur Amazon et autres sites, le prix des toners peut vite piquer. C’est le classique piège des imprimantes : la machine coûte environ 300 euros, mais il faut bien calculer le coût à la page sur le long terme. Si vous imprimez beaucoup, ça peut vite chiffrer.
Autre petit détail qui aurait pu être mieux : la capacité du bac papier. Avec un magasin de 250 feuilles et un chargeur manuel d’une feuille, c’est correct pour un usage modéré, mais si vous êtes une petite boîte qui imprime des centaines de pages par semaine, vous allez recharger souvent. Rien de rédhibitoire cela dit, mais c’est bon à savoir.
Au final, la Xerox C235 se révèle être une excellente machine pour qui cherche une imprimante multifonction fiable et compacte. Elle fait le boulot proprement, l’installation est rapide, la qualité d’impression au rendez-vous et les fonctionnalités sont complètes. J’ai été également super surpris par le peu de bruit qu’elle fait. C’est assez agréable… Sans oublier le recto-verso automatique et la connectivité sans fil sont des vrais plus, je trouve.
Bref, pour un bureau à domicile ou une petite équipe qui a besoin d’une imprimante qui tient la route sans se prendre la tête, c’est un excellent choix !
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