Vous pensiez que les cafards servaient juste à vous faire flipper quand vous allumez la lumière de la cuisine de votre Airbnb à 3h du mat (Oui c'est une histoire vraie que j'ai vécue) ?
Hé bien une startup allemande a décidé de leur donner une seconde vie un peu plus... stratégique.
SWARM Biotactics
, fondée en 2024 et basée à Kassel, développe des cafards de Madagascar équipés de mini sacs à dos bourrés d'électronique pour des missions de reconnaissance militaire.
Le concept c'est assez dingue quand on y pense car ces cafards siffleurs de Madagascar (les gros qui font du bruit, vous voyez le genre...) sont équipés de petits sacs à dos de 15 grammes contenant des caméras, des microphones, un radar Doppler et des modules de communication sécurisés. L'objectif c'est de descendre à 10 grammes pour optimiser leur mobilité, mais ces bestioles peuvent déjà transporter une charge utile significative.
Y'avait exactement ça dans le film Le Cinquième Élément, j'sais pas si vous vous souvenez.
Et le truc encore plus fou c'est leur système de contrôle. Des électrodes sont fixées sur les antennes du cafard pour stimuler sa navigation naturelle. En gros, quand on active l'électrode gauche, le cafard pense qu'il y a un obstacle de ce côté et tourne à droite. C'est Dora l’exploratrice version télécommandée, le bordel.
Alors pourquoi des cafards plutôt que des drones classiques ou des petits vieux trépanés ? Hé bien parce que ces petites bêtes sont quasi indestructibles. Elles résistent à la chaleur, aux produits chimiques, aux radiations, et peuvent se faufiler dans des endroits où aucun robot ne pourrait passer. Que ce soit des décombres après un tremblement de terre, des zones contaminées, des bâtiments effondrés... Tout comme BHL, le cafard s'en fout, il passe.
Et la startup ne compte pas s'arrêter au contrôle individuel. Elle développe des algorithmes pour coordonner des essaims entiers de cafards cyborgs de manière autonome. Ça représente des dizaines, voire de centaines d'insectes opérant ensemble, du coup ça ressemble de plus en plus à un épisode de Black Mirror, mais c'est bien réel.
SWARM travaille déjà avec la Bundeswehr, l'armée allemande, pour tester ses cafards sur le terrain. Et c'est vrai que contexte géopolitique aide pas mal car avec la guerre en Ukraine, l'Allemagne repense sérieusement sa défense et s'intéresse à ce genre de technologies alternatives. En juin, la startup a levé 10 millions d'euros en seed, portant son financement total à 13 millions d'euros.
Pour l'instant, SWARM se concentre donc sur la défense et la reconnaissance donc pas question de transformer les cafards en kamikazes avec des explosifs, même si Wilhelm reconnaît que les applications pourraient évoluer "légalement" à l'avenir. Et au-delà du militaire, il voit aussi un potentiel pour les opérations de sauvetage, comme envoyer des cafards dans des bâtiments effondrés pour localiser des survivants.
Voilà, les premiers déploiements opérationnels à grande échelle sont prévus pour dans 18 à 24 mois alors d'ici là, si vous croisez un cafard avec un truc bizarre sur le dos, c'est peut-être pas une bonne idée de l'écraser...
J'ai toujours été fasciné par les nanobots dans les films de science-fiction... Ces petites bestioles microscopiques qu'on injecte dans le corps pour réparer des trucs ou tuer des méchants et qui encore jusqu'à aujourd'hui paraissait impossible...
Eh bien on n'en est plus très loin, les amis, car des chercheurs de l'Université de Pennsylvanie et du Michigan viennent de créer les plus petits robots autonomes et programmables jamais conçus. Et quand je dis petits, je vous parle de machines qui font moins d'un demi-millimètre, donc plus petits qu'un grain de sel. C'est à peine visibles à l’œil nu alors bon courage pour les retrouver si vous en perdez un sur votre bureau.
D'après ce que je comprends, c'est que c'est le premier micro-robot capable de sentir, de penser et d'agir. Bah oui, parce que jusqu'à aujourd'hui, les robots de cette taille avaient besoin d'être contrôlés de l'extérieur, avec des champs magnétiques ou des joysticks. Mais là, ces petits gars sont complètement autonomes.
Alors comment est-ce qu'ils bougent sans moteur ni hélice ? Hé bien au lieu de pousser l'eau directement, les robots génèrent un champ électrique qui déplace les ions dans le liquide. Ces ions poussent ensuite les molécules d'eau, et hop, ça avance. Y'a aucune pièce mobile ce qui veut dire que ces robots peuvent nager pendant des mois sans s'user.
Côté "cerveau", c'est l'équipe de David Blaauw au Michigan qui s'en est chargée. Son labo détient le record du plus petit ordinateur au monde, donc forcément, ça aide. Le processeur embarqué consomme seulement 75 nanowatts ce qui est 100 000 fois moins qu'une montre connectée. Pour réussir cette prouesse, les chercheurs ont dû repenser toute l'architecture de programmation pour faire rentrer des instructions complexes dans cet espace très réduit.
Et leur énergie, ils la tirent de la lumière grâce à des cellules solaires qui recouvrent leur surface et récupèrent l'énergie lumineuse. Et le plus cool, c'est que les impulsions de lumière servent aussi à programmer chaque robot individuellement grâce à des identifiants uniques.
Ces petites machines embarquent aussi des capteurs de température capables de détecter des variations d'un tiers de degré Celsius et pour communiquer entre eux, les robots se tortillent, un peu comme la danse des abeilles. En faisant cela, ils peuvent se coordonner en groupe et effectuer des mouvements complexes tous ensemble.
Et le plus dingue dans tout ça c'est leur coût de fabrication. Ça coûte un centime par robot ! Donc c'est top pour de la production en masse car avec cette avancée, vont suivre de nombreuses applications médicales concrètes... Imaginez des robots qu'on injecte dans votre petit corps de victime pour aller délivrer un médicament pile au bon endroit. Ou analyser l'état de vos cellules sans avoir à vous ouvrir le bide. Voire reconnecter des nerfs sectionnés ? On peut tout imagine avec ce nouveau genre de médecine de précision...
Bienvenue dans l'ère des machines microscopiques autonomes mes amis ! Et à un centime pièce la bestiole, j'imagine qu'ils ne vont pas se gêner pour en fabriquer des milliards !
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –
Il y a des aspirateurs robots sont là pour facilierun peu le quotidien, et puis il y a le Roborock Saros 10R, qui donne l’impression d’avoir engagé un petit employé silencieux à domicile. Mon aspirateur robot à 300 balles de chez Eufy avait tendance à faire n’importe quoi (alors qu’il était neuf), je l’ai donc renvoyé, et j’ai craqué sur ce monstre à cause d’une promotion Black Friday (850 € au lieu des 1 280 € habituels), est c’est assez fou tout ce que peut faire un aspirateur robot de nos jours. Précisons que c’est un aspirateur qui nettoie aussi le sol, et qui le fait bien.
Le Saros 10R est déjà très surprenant par son design. Roborock a totalement supprimé la traditionnelle tourelle LIDAR pour intégrer la technologie StarSight 2.0, un système de cartographie et d’évitement basé sur trois LIDAR répartis sur le corps du robot, avec une caméra RVB frontale. Résultat : un robot extrêmement bas, moins de 8cm. Dans les faits, il passe sous les meubles où la poussière pensait être tranquille pour la décennie à venir. Et surtout, cette nouvelle approche de la navigation lui permet d’anticiper les obstacles, d’éviter les câbles et d’analyser les formes pour contourner sans jamais cogner. Sous les pieds de chaises, il se faufile comme s’il connaissait le plan par cœur.
Et ça fonctionne ! C’est le premier aspirateur robot qui n’a aucun problème à contourner les câbles, même les plus fins, et à ne pas paniquer pour se faufiler entre plein de pieds de chaise.
Côté nettoyage, Roborock mise sur son nouveau duo de brosses censées éliminer les emmêlements. Et en utilisation réelle, c’est très efficace : les poils ne s’enroulent pas autour de la brosse principale, et la brosse latérale extensible récupère ce qui traîne dans les coins. Sur sol dur, le Saros 10R offre une aspiration très puissante, avec un passage souvent suffisant pour retrouver un sol impeccable. Sur tapis, il s’en sort aussi très bien, et il n’hésite pas à faire un deuxième passage si besoin. L’intelligence embarquée permet aussi de lever automatiquement les serpillières dès qu’il détecte un tapis. Pour tout vous dire c’est ce point qui m’a fait craquer, parce que j’ai beaucoup de tapis chez moi, et effectivement, quand il nettoie le sol à l’eau, il arrive à ne pas les mouiller DU TOUT.
Le robot impressionne également par son système qui ajuste indépendamment les trois roues pour franchir les seuils jusqu’à 4 cm. Chez moi, là où mon Eufy restait bloqué sans raison apparente, le Saros 10R continue simplement son chemin. C’est tout bête, mais ça change l’expérience d’usage : un robot qui ne nécessite pas votre aide toutes les 5 minutes est un robot que l’on garde.
La pièce maîtresse de cet appareil c’est sa station 4.0, probablement ce qui se fait de plus avancé aujourd’hui. Une fois le robot retourné à sa base, celle-ci vide complètement le bac à poussière, lave les serpillières avec de l’eau chaude, les sèche à 55°C, remplit automatiquement le réservoir d’eau propre, distribue le détergent (facultatif, vous pouvez rester à l’eau) et procède même à un nettoyage interne. En clair, c’est l’un des rares appareils que l’on peut réellement qualifier de “sans entretien”, avec une intervention humaine presque inexistante d’une semaine à l’autre.
L’intégration à la maison connectée est excellente. On peut lui parler avec la commande “hello rocky”, mais il se pilote aussi via Alexa, Google Assistant, Siri, et même via Matter. L’application Roborock reste l’une des plus claires du marché : cartographie ultra détaillée, zones interdites, programmation précise, tout y est, et sans jamais se perdre dans des menus compliqués. L’autonomie de plus de 3 heures permet de couvrir de grands espaces d’un seul trait.
Au final, le Saros 10R coche toutes les cases du robot ultra premium : intelligent, puissant, silencieux, autonome et capable de se débrouiller seul dans une maison moderne remplie d’obstacles. À son prix d’origine de 1 280 €, c’est clairement un produit de luxe, efficace mais difficile à recommander (sauf si vous êtes franchement blindé). À 850 €, en revanche, ça se considère déjà un peu plus pour réduire votre charge mentale liée au ménage. Dispo ici sur Amazon, et pensez à cocher le coupon !
En mai de cette année, des étudiants de Purdue ont battu le record du monde du robot résolveur de Rubik’s Cube grâce à leur machine, Purdubik’s Cube qui a torché un cube en 0.103 secondes !! Plus rapide que moi mais surtout plus rapide qu’un clin d’œil !
Et pendant ce temps, un autre passionné de Rubik’s Cube,
Vindar
, bossait tranquillement sur
SARCASM
, un autre robot qui résout aussi des Rubik’s Cubes, sauf que lui, il prend son temps ! Et surtout, il vous clashe pendant qu’il le fait. Il a une voix, des animations, un système d’humeur, et une personnalité de collègue insupportable ! Il est lent, il est sarcastique, il est inutilement compliqué, et c’est exactement pour ça qu’il est génial, vous allez voir !
SARCASM, ça veut dire
Slightly Annoying Rubik’s Cube Automatic Solving Machine
. Déjà rien que le nom c’est tout un programme. Et ce robot n’a qu’un seul objectif : résoudre des cubes en étant légèrement casse couilles. Pas hyper rapide, pas hyper efficace, juste chiant ce qu’il faut.
Le projet a démarré pendant COVID, quand tout le monde était enfermé chez soi à chercher des trucs à faire. Certains comme moi ont fait de la brioche, d’autres ont regardé Netflix en boucle et Vindar, lui, s’est dit qu’il allait créer un robot qui insulte les gens. Et nous voilà, 5 ans avec un robot qui vanne. Oui, Vindar est du genre persévérant !
Techniquement, SARCASM est un concentré de tech aussi cool qu’absurde. Le cerveau, c’est un Teensy 4.1, un microcontrôleur ARM Cortex-M7 qui tourne à 600 MHz. Pour la vision, il a utilisé une ESP32-CAM qui capture l’état du cubeet un écran ILI9341 pour afficher une tête avec des animations lip-sync. Des moteurs pas à pas (je crois que c’est comme ça qu’on dit ^^) et des servos pour manipuler le cube, des capteurs de position, un chouette éclairage RGBW, deux batteries 18650 Li-ion avec un port de charge USB-C et il a calé tout ça dans un boîtier imprimé en 3D avec un PCB custom.
Mais le logiciel les amis, c’est là que ça devient vraiment foufou car y’a du text-to-speech avec espeak-ng, des graphiques 2D et 3D custom, des animations qui bougent en temps réel et même comme je vous le disais, un système de dialogues basé sur l’humeur du robot, avec randomisation pour que chaque interaction soit différente.
Evidemment, SARCASM dispose aussi d’un algorithme de résolution du cube avec du décodage JPEG en temps réel pour la reconnaissance des couleurs, du multithreading avec gestion d’interruptions, bref, tout ce qu’il faut pour résoudre des Rubik’s Cube et créer une personnalité à cette machine.
Le robot détecte même quand vous vous foirez en manipulant le cube, juste pour pouvoir vous clasher dessus. Chaque détail technique sert un seul objectif qui est de rendre cette machine “vivante”.
Pour faire tenir tout ça, Vindar a dû modifier le noyau du Teensy. Parce que oui, même avec 600 MHz et un ARM Cortex-M7, il fallait optimiser pour que tout rentre dans la RAM et il a mis tout son code en open-source, sous licence GPL-3.0. Après, comme le précise le dev, son code est incomplet et bordélique mais bon, ça fonctionne…
Et surtout, le robot est autonome. Vous posez un cube standard dessus, il le scanne, il calcule, il résout, tout ça offline sans API ou service de cloud.
Le projet a été présenté en détails sur le
forum PJRC
, la communauté autour des cartes Teensy et les retours sont unanimement positifs ! Puis au moment, celui-là on s’en souviendra !
Merci à
Lorenper
pour le partage de cette découverte !
Most robot vacuums beg for your forgiveness with their awkward, boxy presence, but the Roborock Qrevo CurvX asks for a place in your home like a well-chosen piece of furniture. It enters the conversation not just as another appliance, but as a statement on what home technology should be. With its softly arched silhouette and a philosophy that puts people, not just specifications, at the forefront, the Qrevo CurvX is engineered to disappear into your life, not just your room corners. It feels like the robot vacuum for those who think about how form and emotion, not just about function.
The design philosophy behind the CurvX is described with terms like “surface tension” and “soft architecture,” which sounds more like a museum exhibit than a home appliance. Looking at the unit, you can see what they mean. The docking station abandons the rigid, tower-like structure of its peers for a continuous, fluid curve that houses the water tanks and dustbin. It’s a quiet, elegant form that flows seamlessly into a living space, looking less like a piece of machinery and more like a minimalist sculpture. This is a direct response to a world where smart devices are often cold, visually intrusive objects. By embracing a rounded silhouette and muted tones, Roborock seems to be asking a fundamental question: how should a piece of technology feel when it lives with you? The answer, apparently, is that it should feel like it belongs.
This thinking goes deeper than just aesthetics, reflecting a core principle of humanistic design and “soft technology.” The idea here is that the machine should adapt to the human, not the other way around. It’s a philosophy born from asking how a device can respect the emotional and cultural rhythm of a home. This translates into tangible features that reduce the friction between you and the technology. The CurvX operates with a brushless motor and optimized hardware that significantly cut down on noise, making it a quiet collaborator rather than a noisy servant that interrupts your conversations or concentration. The fully automated dock is another manifestation of this warmth; by handling nearly all the dirty work of emptying, washing, and drying, it removes the mental and physical burden of maintenance. It’s a thoughtful approach where the technology aims to be considerate, anticipating needs and fading into the background, allowing you to simply enjoy a clean space without constantly tending to the machine that creates it.
Of course, a beautiful object that fails at its primary job is just an expensive paperweight. While the Qrevo CurvX speaks in soft aesthetic tones, it performs with absolute confidence. Beneath that sculptural exterior lies a flagship-level cleaning system that seems to address nearly every common complaint about robot vacuums. The power behind the operation is its 22,000Pa HyperForce suction system. That number might sound abstract, but for context, it represents a level of force capable of lifting dirt and allergens from deep within carpet fibers, a task where many lesser robots struggle. It’s the kind of power that translates to a visibly cleaner floor, not just a surface-level tidy up.
This raw power is channeled through a cleverly designed Dual Anti-Tangle System. Anyone who has ever owned a robot vacuum, especially with pets or long-haired family members, knows the tedious ritual of flipping the robot over to cut away a tangled mess of hair from the brush roll. The CurvX system uses a unique split-brush design that works to prevent hair from wrapping in the first place, directing it straight into the dustbin. This is one of those quality-of-life features that transforms the ownership experience from one of constant maintenance to one of genuine automation. The robot just works, leaving you to do anything else.
Mopping has also received a significant upgrade. The system uses dual spinning mop pads that scrub floors with consistent pressure, a far more effective method than simply dragging a wet cloth around. What truly sets it apart, however, is its intelligent auto-mop lifting capability. When the robot detects it is moving from a hard floor to a carpet or rug, it lifts its mop pads by a full 10 millimeters. This small action is a huge deal; it prevents the robot from dragging a wet, dirty mop across your carpets, allowing it to vacuum and mop an entire mixed-surface floor plan in a single, uninterrupted run.
The intelligence extends to the Multifunctional Dock 3.0 Thermo+, which is the brains and pit crew of the entire operation. After a cleaning run, the robot returns to the dock, which automatically empties the robot’s dustbin into a larger bag. It then washes the spinning mop pads with 176°F (80°C) hot water to dissolve grime and kill bacteria, followed by a hot air-drying cycle to prevent mildew and odors (based on testing carried out by TUV Rheinland on Staphylococcus aureus and Escherichia coli under default self-cleaning mode, over 99.99% of bacteria or the spinning mops are effectively removed). It even refills the robot’s onboard water tank for the next mopping session. This comprehensive self-maintenance cycle means user interaction is reduced to occasionally changing the dock’s water and dust bag, pushing the system much closer to a true set-it-and-forget-it reality.
Two of the most innovative features are the ones you can’t immediately see. The first is the industry-first AdaptiLift Chassis. This system allows the robot to physically lift its own body to clear obstacles like tall thresholds between rooms, a common barrier that can trap other robots. Observers have noted this gives the CurvX an impressive ability to navigate complex homes without getting stuck. The second is its RetractSense Navigation System, which includes a FlexiArm side brush. On most round robots, cleaning corners and edges is a persistent weakness. The CurvX’s side brush can dynamically extend outwards, actively reaching into corners and along baseboards to sweep debris into the path of the main brushes, ensuring a more thorough clean where it matters most.
All of this hardware is guided by a sophisticated brain. The Reactive AI 3.0 Obstacle Recognition uses a forward-facing camera and structured light to identify and avoid common household objects, identifying up to 108 types of obstacles. It builds a detailed map of your home, allowing for customized cleaning schedules, no-go zones, and room-specific settings, all controlled through a user-friendly app. At just 3.14 inches (7.98 cm) tall, its ultra-slim profile lets it glide under low furniture, cleaning the hidden spaces that are often missed. It all comes together to create a machine that is not just powerful, but also perceptive and respectful of its environment. The Roborock Qrevo CurvX doesn’t ask you to choose between a clean home and a beautiful one; it offers both, proving that cleanliness isn’t just about a dust-free floor, it’s about an aesthetic home too.
Voici une info qui risque de faire grincer des dents chez Boston Dynamics et Tesla (ou pas ^^). Un doctorant de Berkeley, du nom de Haochen Shi, a décidé de partager généreusement avec le monde entier les plans d’un robot humanoïde fonctionnel pour seulement 4300 dollars de base. Oui, le prix d’une Nintendo Switch 2 (je rigole ^^) pour un robot bipède capable d’apprendre par lui-même.
Notre petit prodige s’appelle
ToddlerBot
, il mesure 33 centimètres de haut et possède 17 degrés de liberté. Pour vous donner une idée, c’est largement suffisant pour qu’il puisse marcher, manipuler des objets avec ses bras et effectuer des tâches complexes. Le tout avec des pièces imprimées en 3D et des servomoteurs qu’on trouve sur AliExpress.
Et notre ami Shi n’a pas juste mis en ligne un énième projet de robotique universitaire. Non, le gars a carrément
publié l’intégralité du projet en open source sur GitHub
sous licence MIT. Les fichiers CAD, le code Python, les schémas électroniques, tout y est. Vous pouvez donc littéralement cloner le repo et commencer à imprimer votre robot ce soir.
Côté hardware, l’architecture repose sur un Jetson Nano ou un Raspberry Pi selon votre budget. Les servomoteurs pour les jambes offrent un couple respectable pour cette échelle, pendant que les bras utilisent des modèles plus légers. Au final, le coût de base est de 4300 $, mais peut varier selon où vous achetez vos composants et les options que vous choisissez.
Mais attendez, le hardware n’est que la moitié de l’histoire. Du côté software, ToddlerBot intègre un système de téléopération complet qui permet de le contrôler à distance pour collecter des données d’entraînement. Cette approche de collecte de données est cruciale pour l’apprentissage par renforcement.
D’ailleurs, par rapport aux autres projets de robots humanoïdes low-cost, ToddlerBot se démarque par sa simplicité d’assemblage. Là où des projets comme
Poppy
nécessitent des compétences avancées en électronique, ToddlerBot peut être monté relativement facilement avec des outils basiques.
Ce qui change vraiment la donne ici, c’est l’écosystème qui commence à se former autour. Des makers du monde entier partagent déjà leurs modifications… certains ont ajouté des caméras pour la vision par ordinateur, d’autres expérimentent avec des matériaux différents pour les pièces imprimées. Les possibilités de personnalisation sont infinies.
Pour l’entraînement IA, le projet propose des environnements de simulation préconfigurés. Ça rend le transfert sim-to-real, comme disent les chercheurs, accessible au commun des mortels. Vous pouvez donc apprendre à votre robot à marcher, ramasser des objets ou même jouer au foot miniature. Les modèles pré-entraînés sont disponibles, mais rien ne vous empêche de partir de zéro avec vos propres algorithmes d’apprentissage par renforcement.
Un aspect que je trouve particulièrement cool dans ce projet c’est que ToddlerBot est conçu pour être modulaire. Vous voulez des bras plus longs ? Modifiez les fichiers CAD. Besoin de plus de puissance de calcul ? Remplacez le Raspberry Pi par un Jetson Orin. Cette flexibilité transforme chaque robot en plateforme d’expérimentation unique.
Les implications sont énormes car si n’importe qui peut construire un robot humanoïde pour le prix d’une console de jeu, on entre dans une nouvelle ère de la robotique. Fini le monopole des labos universitaires, des millionnaires et des géants de la tech. Bien sûr, il faut quand même des compétences techniques pour exploiter pleinement le potentiel du projet, mais la barrière d’entrée n’a jamais été aussi basse.
Et ce côté DIY ajoute une dimension émotionnelle qu’on ne retrouve pas avec un produit commercial. C’est votre création, votre code, vos améliorations.
Alors vous voulez vous lancer, commencez par commander les servomoteurs (comptez 3-4 semaines de livraison depuis la Chine) et pendant ce temps, imprimez les pièces et familiarisez-vous avec le code. La documentation du projet est bien faite et la communauté est vraiment accueillante avec les débutants.
N’empêche, un robot humanoïde fonctionnel à imprimer en 3D… Qui l’aurait cru ?
Alors ça c’est incroyable ! Des chercheurs danois viennent de créer une peau artificielle capable de se réparer toute seule en quelques secondes, de surveiller votre santé 24h/24 et qui pourrait même équiper les combinaisons spatiales du futur.
Ces scientifiques de l’Université Technique du Danemark (DTU) ont donc mis au point un matériau révolutionnaire qui combine du graphène avec un polymère au nom imprononçable : le PEDOT:PSS. On obtient ainsi une sorte de peau électronique aux propriétés complètement dingues notamment sa capacité à imiter le comportement de notre peau biologique.
Vous vous souvenez de Rosie, la bonne robotique ultra flippante des Jetson ? A l’époque, c’était un vrai fantasme !! Un robot domestique qui ferait la cuisine et qui passerait l’aspirateur pendant qu’on glande sur le canap’ ! Le rêve !
Eh bien, ce futur est en train de nous arriver en pleine gueule à vitesse grand V car d’après les spécialistes, dans moins de 5 ans, 25% des foyers américains aisés pourraient avoir un robot domestique chez eux.
Même si ça n’embête pas grand monde, les dashcams restent problématiques parce que quelqu’un pourrait avoir des images de vous au volant de votre Fiat Punto, avec votre maitresse sur le siège passager… Ou encore déambulant complètement saoule et à moitié nu dans les rues de Pau, ce qui vous empêcherait, peut-être un jour d’être ministre… Quoique…
Mais je trouve que ça apporte quand même un gros avantage en cas d’accident pour lever le doute sur certaines situations complexes surtout quand on voit le nombre de Volkswagens, euuuh pardon, de chauffards en exercice sur nos routes nationales.
Gartner recently identified emerging tech that will impact enterprise leaders in APAC. Here’s what IT leaders in Australia need to know about these innovative technologies.