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This 205W GaN Travel Adapter is the ONLY charger you need to carry in 2025

I transitioned to GaN bricks last year and never looked back. One power brick, powerful enough to charge my laptop, phone, iPad, AND my watch – all at the same time. It just made sense. Not just because having a 4-in-1 charger cuts the cable and plug/socket headache… but it makes travel EASY. As someone who has to unpack his laptop bag every time he walks through security at an airport, the idea of pulling out 5 different chargers only to then put them all back one by one was just extra trouble than I needed. Now, I have one power brick, three cables, and enough juice to take care of all my devices. However, there was still a problem – the GaN Charger I had only came with a US plug layout. The Voyager 205 solves that.

Hear me out – 205W power output, 8 ports for all your devices, AND a universal design that works with ALL plug types. The Voyager 205 is compact, built for travel, and is powerful enough to singlehandedly power two laptops at once. Slip it into your backpack along with 2-3 cables and you don’t need to carry a single charger around with you. This $89 GaN power brick will juice your phone, laptop, tablet, drone, Nintendo Switch, power bank, smartwatch, AND your TWS earbuds… all at the same time.

Designer: TESSAN

Click Here to Buy Now: $89 $128 ($39 off). Hurry, only a few units left!

“Our journey into travel adapter innovation was never just business – it was personal,” say the folks at TESSAN… and it shows. I love my GaN adapter, but I struggled with plug points in China, India, and the EU. The Voyager 205 just adds that last layer of ease and access the power brick industry needed. It’s ruthlessly capable, has so many ports you’ll run out of gadgets, and still manages to be compact enough to fit in the palm of your hand. The secret lies in how far GaN technology has come in these years.

For newbies, GaN is the latest tech breakthrough in semiconductors. Every product you currently own runs on silicon-based chipsets – the problem, however, is that silicon (as great as it is) doesn’t have a track record for remarkable efficiency. The higher the output, the beefier the chipset, the more heat it generates, and the more power gets lost in the process. It’s why your laptop’s power brick is so huge… but switch to GaN and things change. GaN, or Gallium Nitride is much more power-efficient than Silicon, which means that a palm-sized power adapter can actually pack upwards of 100W of output… or in this case, 205W.

That much wattage is enough to simultaneously charge two laptops at the same time. With 205W and PD3.1, the Voyager 205 isn’t enough power for you, it’s enough power for your entire family. Your laptop, your partner’s laptop, your kid’s iPad or Switch, and even a travel appliance – this thing takes care of it all. The adapter comes with 7 USB ports (2 USB-A ports and 5 USB-C ports), as well as your standard universal AC outlet for anything with a plug, be it a travel kettle, an iron, your beard trimmer, or a hair dryer. Aside from pure unadulterated power, the Voyager 205 is smart enough to divert enough electricity to each gadget. The adapter distributes power to each device depending on their needs, sending more to laptops and tablets (up to 140W to a single port), an intermediate amount to phones, and then distributing an adequate amount to your smaller gadgets like your wearables. It still ensures all your gadgets fast-charge, which is what makes everything worth it at the end of the day.

A universal design means the Voyager works anywhere. Sliders let you eject/retract plug designs based on the country/continent you’re in. The Voyager is designed to be globally compatible, and ships to over 200 countries, which means regardless of where you are, you’re sorted. It measures 3.9 inches tall, 2.1 inches wide, and 2.2 inches deep. The adapter weighs 0.7 lbs (326 grams), making it perfect for slipping right into your backpack and forgetting about any cable or charger woe for the foreseeable future. And for the safety-conscious, it’s made from flame-retardant polymer, and has all the safety checks for power delivery.

At $89, it’s practically a no-brainer, considering it offsets as many as 8 chargers thanks to its 8-in-1 design. For posterity, my 140W charger cost me nearly $100 and charges only 4 devices at a time. If (like me) you’re considering upgrading your existing charger routine to something that’s powerful, travel-friendly, and future-proof, the Voyager 205 ships globally starting November 2025. Each adapter comes with a ___ year warranty, and is built by TESSAN, which currently ranks as the #1 travel adapter brand on Amazon. For good reason, if you ask me.

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Des réacteurs à fusion qui transforment le mercure en or - Le Bitcoin va-t-il remplacer le métal jaune ?

Alors ça, c’est le genre de news qui pourrait foutre en l’air le marché de l’or. En effet, une startup américaine, Marathon Fusion, vient de publier un papier scientifique où ils expliquent tranquillement comment transformer du mercure en or dans leurs réacteurs à fusion nucléaire. Et attention, je ne vous parle pas de trois grammes pour faire joli, mais bien de 5 tonnes d’or par gigawatt d’électricité produit par an.

C’est le rêve des alchimistes du Moyen Âge qui devient réalité grâce à la physique nucléaire. C’est un truc de fou, surtout que le principe est relativement simple (enfin, sur le papier). Vous prenez du mercure-198, un isotope assez commun du mercure. Vous le bombardez avec des neutrons rapides de 14 MeV générés par la fusion deutérium-tritium dans un tokamak. Le mercure-198 perd alors un neutron et devient du mercure-197, qui est instable. Et en 64 heures environ, pouf, il se transforme naturellement en or-197, le seul isotope stable de l’or.

Le cœur d’un réacteur Tokamak

D’après leurs calculs, un réacteur à fusion d’un gigawatt pourrait ainsi produire 5000 kilos d’or par an. Au cours actuel de l’or (environ 3400 dollars l’once), ça représente plus de 544 millions de dollars. De quoi donc largement rentabiliser l’exploitation du réacteur et avoir de quoi s’offrir un yacht ou deux.

Mais attendez, avant de vous emballer et de vendre tous vos lingots, y’a quelques détails importants à connaitre avant. D’abord, Marathon Fusion n’a pas encore construit de réacteur. Leur papier, intitulé “Scalable Chrysopoeia via (n, 2n) Reactions Driven by Deuterium-Tritium Fusion Neutrons” (la chrysopoeia, c’est le nom savant pour la transmutation en or), est encore en attente de validation par les pairs même si l’équipe a l’air solide avec des anciens de SpaceX, Helion Energy, TAE Technologies et une dizaine de PhD en physique et chimie.

Le physicien Ahmed Diallo du Department of Energy américain, qui a passé en revue l’étude, déclare : “Sur le papier, ça a l’air génial et tous ceux à qui j’en ai parlé jusqu’à présent restent intrigués et excités”. C’est plutôt bon signe quand même.

Ce qui est vraiment malin dans leur approche, c’est que la production d’or ne compromet pas la génération d’électricité du réacteur. En fait, les réactions (n, 2n) du mercure-198 participent à la multiplication des neutrons nécessaire au fonctionnement du réacteur. C’est du win-win car vous produisez de l’énergie propre ET de l’or en même temps.

Alors évidemment, si cette technologie devient réalité et se déploie à grande échelle, qu’est-ce que ça veut dire pour la valeur de l’or ? Et surtout, est-ce que le Bitcoin va enfin pouvoir prendre sa place comme “l’or numérique” ? Parce que bon, si on peut fabriquer de l’or à la chaîne dans des réacteurs, l’argument de la rareté du métal jaune prend un sacré coup.

Les experts en crypto sont déjà sur le coup. Standard Chartered prédit que le Bitcoin pourrait atteindre 200 000 dollars d’ici fin 2025, avec une trajectoire vers 500 000 dollars en 2028. VanEck table sur 180 000 dollars pour 2025. Et certains analystes plus optimistes parlent même de 220 000 dollars comme objectif “raisonnable”.

Le truc, c’est que le Bitcoin a cet avantage indéniable, à savoir que sa quantité est limitée à 21 millions d’unités, point barre. Pas moyen d’en créer plus avec un réacteur nucléaire ou d’aller en chercher dans l’espace. Cette rareté programmée pourrait devenir son principal atout face à un or qui deviendrait soudainement beaucoup moins rare.

Mais bon, restons réalistes deux secondes. Même si Marathon Fusion arrive à faire fonctionner leur truc, on parle de combien de réacteurs dans le monde ? Une centaine ? Deux cents dans le meilleur des cas ? À 5 tonnes par réacteur par an, ça fait maximum 1000 tonnes d’or supplémentaires par an. C’est beaucoup, mais la production minière actuelle est déjà d’environ 3000 tonnes par an. Donc on augmenterait la production de 33%, ce qui est significatif mais pas non plus apocalyptique pour le marché de l’or.

Et puis y’a la question du mercure. Pour produire tout cet or, il faut du mercure-198 enrichi à 90%. Le processus d’enrichissement n’est pas gratuit et le mercure n’est pas exactement un matériau super sympa à manipuler (coucou les problèmes environnementaux). N’empêche, l’idée qu’on puisse créer de l’or comme sous-produit de la production d’énergie propre, c’est quand même bluffant. Les alchimistes cherchaient la pierre philosophale, on a trouvé le tokamak. Et au passage, comme je vous le disais, ça pourrait bien donner un coup de boost au Bitcoin comme alternative à l’or physique.

Donc en attendant que Marathon Fusion construise son premier réacteur (ils n’ont pas donné de date, mais vu la complexité de la fusion, on peut tabler sur 10-15 ans minimum). Bref, on verra bien !

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La NASA a réparé une caméra à 600 millions de km en la chauffant à fond

Vous savez comment la NASA a réparé une caméra qui orbite autour de Jupiter ? Et bien en la mettant dans un four. Non, je déconne pas.

La sonde Juno tourne autour de Jupiter depuis 2016, et elle embarque une caméra appelée JunoCam qui nous envoie des images absolument dingues de la plus grosse planète du système solaire. Sauf que voilà, après 46 orbites nickel chrome, la caméra a commencé à faire des siennes lors de la 47ème orbite. Les images étaient pourries, pleines de bruit et de lignes bizarres.

Les ingénieurs du Jet Propulsion Laboratory ont alors vite compris le problème : les radiations de Jupiter, qui sont absolument monstrueuses, avaient bousillé le régulateur de tension de la caméra. Pour vous donner une idée, Jupiter émet tellement de radiations que la NASA avait prévu que JunoCam ne survive que 8 orbites, soit environ 400 jours. Mais la petite caméra qui le pouvait a tenu courageusement 5 fois plus longtemps que prévu !

Bon, le souci c’est qu’envoyer un nouveau régulateur via Amazon Prime à 600 millions de kilomètres, c’est pas vraiment une option. Alors les mecs de la NASA ont sorti une idée complètement folle de leur chapeau : Et si on faisait chauffer la caméra pour réparer les dégâts ?

Cette technique s’appelle le “recuit” (annealing en anglais), et c’est un procédé utilisé en métallurgie où on chauffe un matériau puis on le laisse refroidir lentement. Ça permet parfois de corriger des défauts dans la structure du matériau au niveau microscopique. Mais personne ne savait si ça marcherait sur du silicium irradié dans l’espace.

Jacob Schaffner, l’ingénieur de Malin Space Science Systems qui s’occupe de JunoCam, explique : “On savait que le recuit peut parfois modifier un matériau comme le silicium au niveau microscopique, mais on ne savait pas si ça réparerait les dégâts. On a commandé au chauffage de JunoCam de monter la température à 25°C, soit bien plus chaud que d’habitude pour la caméra, et on a attendu en retenant notre souffle.

Et bam ! Miracle, ça a marché. La caméra s’est remise à produire des images nickel. Mais comme toutes les bonnes choses ont une fin, après quelques orbites supplémentaires, les images ont recommencé à merder vers l’orbite 55.

Là, c’était la panique à bord. La sonde devait passer super près de Io, une des lunes de Jupiter, et il fallait absolument que la caméra fonctionne pour capturer ce moment historique. Cette fois, ils ont carrément mis le chauffage au max. Et re-miracle, ça a encore fonctionné ! Juste à temps pour capturer des images époustouflantes de Io et ses volcans en éruption.

Le plus fou dans cette histoire, c’est que cette technique de réparation par chauffage a tellement bien marché que l’équipe de Juno l’a testée sur d’autres instruments et systèmes de la sonde. Scott Bolton, le responsable scientifique de la mission, est super enthousiaste : “Juno nous apprend comment créer et maintenir des vaisseaux spatiaux résistants aux radiations, et ces leçons vont bénéficier aux satellites en orbite autour de la Terre. Je pense que ce qu’on a appris avec Juno sera applicable aux satellites militaires et commerciaux, ainsi qu’à d’autres missions de la NASA.

Malheureusement, lors de la 74ème orbite, le bruit est revenu dans les images et la NASA n’a pas dit s’ils allaient retenter le coup du four spatial une troisième fois. Peut-être qu’ils attendent le bon moment pour ressortir leur botte secrète.

Tout cela prouve que même avec toute leur technologie de pointe, les ingénieurs de la NASA doivent parfois improviser des solutions à la MacGyver comme à l’époque où on mettait nos cartes graphiques dans le four pour les réparer, sauf que là c’est une caméra qui se trouve à 600 millions de bornes et qui file à 200 000 km/h autour d’une planète géante radioactive.

Bref, cette technique de réparation par recuit pourrait se rajouter aux procédures de maintenance des satellites et des sondes spatiales, qui sait ? Comme ça, au lieu de considérer qu’un instrument endommagé par les radiations est foutu, on pourra peut-être le ressusciter avec un bon coup de chaud et ainsi économiser des millions tout en prolongeant la durée de vie de certaines missions spatiales.

Par contre, n’essayez pas la même chose en mettant votre smartphone ou votre laptop au four, ils risquent de ne pas aimer ^^.

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Pourquoi les voitures électriques rendent malades leurs passagers (et comment y remédier) ?

Allez j’ai une question pour vous : Avez-vous déjà eu la gerbe en voiture électrique ?

Parce que si oui, visiblement, vous n’êtes pas seul et les scientifiques commencent sérieusement à se pencher sur le problème. En fait, c’est même devenu un phénomène tellement répandu que des chercheurs du monde entier planchent sur des solutions, et certaines sont franchement… surprenantes.

Le truc, c’est que nos cerveaux sont habitués depuis des décennies aux voitures thermiques… Ce doux ronronnement du moteur, les vibrations du châssis, et tous ces petits signaux qui nous indiquent qu’on va accélérer ou freiner. Et bien dans une Tesla, une Ioniq ou une Zoé, tout ça n’existe plus. Et alors notre cerveau perd complètement les pédales, au sens propre comme au figuré.

William Emond, un doctorant français qui étudie le mal des transports à l’Université de Technologie de Belfort-Montbéliard, explique dans The Guardian que c’est exactement comme quand on va dans l’espace : “Quand on découvre un nouvel environnement de mouvement, le cerveau doit s’habituer parce qu’il n’a aucune expérience préalable dans ce contexte. C’est pour ça que presque tout le monde devient malade en apesanteur.” Je comprends mieux pourquoi j’ai l’impression d’être Thomas Pesquet quand je monte dans mon vaisseau spatial… euh ma caisse.

Mais attendez, c’est pas fini car le pire dans tout ça, c’est le freinage régénératif. C’est ce système qui recharge la batterie quand vous levez le pied de l’accélérateur et une étude publiée en mai 2025 dans l’International Journal of Human–Computer Interaction a confirmé que plus le niveau de régénération est élevé, plus les gens ont envie de vomir. En gros, au lieu de freiner brutalement comme dans une voiture normale, l’électrique décélère progressivement, et ce sont ces décélérations basse fréquence qui déclenchent la nausée.

D’ailleurs, selon les experts c’est encore pire pour les passagers arrière ce qui est “normal” puisqu’ils ne voient pas la route devant et ne peuvent pas anticiper les mouvements. Leur cerveau reçoit des signaux contradictoires : les yeux voient un habitacle immobile, mais l’oreille interne détecte du mouvement, ce qui donne un mal de mer sur quatre roues.

Le couple accélération instantanée n’arrange rien non plus car contrairement aux moteurs thermiques qui montent progressivement en régime, les électriques balancent tout leur couple d’un coup. Ça crée un effet de balancier brutal qui peut vraiment retourner l’estomac, surtout quand le conducteur n’est pas habitué et joue un peu trop avec la pédale.

Une étude de 2024 a même identifié une connexion directe entre les vibrations spécifiques des sièges dans les voitures électriques et la sévérité du mal des transports. L’absence de bruit moteur est même un facteur aggravant.

Heureusement, les constructeurs et les chercheurs ne restent pas les bras croisés. Les ingénieurs de l’Université du Michigan ont développé un système appelé PREACT qui incline automatiquement les sièges et resserre les ceintures avant les virages et les freinages. Testé sur plus de 150 volontaires, il réduit de moitié les scores de mal des transports. Pas mal non ?

Mais la solution la plus dingue vient du Japon où des chercheurs de l’Université de Nagoya ont découvert qu’écouter un son de 100 hertz pendant une minute avant de prendre la route peut considérablement réduire les nausées. Un simple fichier audio à télécharger sur votre smartphone et hop, fini les hauts-le-cœur. Ils ont testé ça sur un simulateur de conduite, une vraie voiture et même une balançoire (!), et ça marche à tous les coups.

Hyundai, de son côté, a pris une approche différente avec sa Ioniq 5 N : ils ont carrément ajouté des bruits de moteur artificiels et un système de changement de vitesses synthétique pour imiter une voiture thermique. C’est aussi couillon que de mettre un autocollant avec des flammes sur une trottinette électrique, mais apparemment ça aide vraiment le cerveau à mieux anticiper les mouvements.

D’autres constructeurs expérimentent aussi avec des éclairages d’ambiance qui changent selon l’accélération, des alertes haptiques dans les sièges, ou des systèmes audio qui préviennent des changements de direction. Certains véhicules autonomes intègrent aussi déjà des signaux sonores pour alerter des accélérations soudaines ou des virages serrés.

Et dire que jusqu’à 40% de ces symptômes de mal des transports seraient liés à la psychologie… En gros, si vous êtes convaincu que vous allez être malade en voiture électrique, hé bien vous avez de grandes chances de l’être effectivement. L’effet nocebo dans toute sa splendeur ! En ce qui me concerne, je roule en électrique depuis mars dernier et ni moi, ni ma famille n’avons eu ce souci de nausée. Ouf !

Bon, la bonne nouvelle c’est que notre cerveau finit évidemment par s’adapter et plus on roule en électrique, moins on a la nausée. C’est comme avec le mal de mer, les premiers jours sont durs mais après ça passe. Et puis avec 22% des ventes mondiales de voitures neuves qui sont maintenant électriques, on va bien finir par s’y faire, j’espère.

En attendant, si vous êtes du genre à avoir facilement le mal des transports, voici quelques conseils : Asseyez-vous à l’avant, regardez la route, ouvrez un peu la fenêtre pour avoir de l’air frais, et surtout, demandez au conducteur de réduire le niveau de freinage régénératif si possible. Et si vraiment rien ne marche, téléchargez ce fameux son de 100 hertz japonais (j’ai trouvé ça). Au pire, ça ne peut pas faire de mal, et au mieux, vous pourrez enfin profiter du silence de votre voiture électrique sans avoir envie de repeindre l’habitacle. Y’a aussi un mode sympa sur iOS qui vous évite d’avoir la gerbe si vous regardez trop votre smartphone en voiture. Pensez à l’activer !

Voilà, c’est quand même fou qu’on soit en train de résoudre les problèmes du transport du futur en ajoutant des bruits de moteur artificiels et des vibrations dans les sièges. On voulait des voitures silencieuses et sans vibrations, et maintenant on en rajoute pour ne pas vomir. D’ailleurs avec toute cette production de gerboulis, est ce qu’on peut encore qualifier ça de voiture propre ? J’en doute ^^.

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Cette technologie quantique va remplacer le GPS dans les avions

J’ai testé plein de gadgets dans ma vie, mais le jour où cette technologie sera disponible pour le grand public, je vais me jeter dessus parce que je trouve ça vraiment cool. En effet, Airbus et SandboxAQ viennent de prouver qu’on peut naviguer sans GPS grâce aux champs magnétiques terrestres et c’est normalement impossible à pirater parce que c’est basé sur la physique quantique.

Je vous explique tout tout tout comment ça marche, mais avant, pourquoi est ce qu’on veut se débarrasser du GPS ?

Et bien figurez-vous qu’en ce moment, c’est la cata. Il y a jusqu’à 1500 cas de brouillage GPS par jour rien que pour les avions de ligne. C’est passé de 200 incidents quotidiens début 2024 à 900 en moyenne au second trimestre. Et certains jours, on tape dans les 1350 vols affectés. Bref, c’est complètement dingue.

Le truc, c’est que le bon vieux GPS, c’est devenu super vulnérable car entre le jamming (qui noie le signal) et le spoofing (qui envoie de fausses positions), les pilotes galèrent, on ne sait plus où donner de la tête. Y’a même eu des cas où des avions ont failli entrer dans l’espace aérien iranien par erreur et le EGPWS (le système qui évite de se crasher dans une montagne) devient carrément peu fiable avec tous ces brouillages, au point que certains pilotes le désactivent.

Bref, c’est chaud patate.

Airbus a don collaboré avec SandboxAQ, une boîte de la Silicon Valley spécialisée dans l’IA et les capteurs quantiques et ensemble, ils ont développé le MagNav (ou AQNav pour les intimes) et le principe est génial

Si vous ne vous appelez pas Donald Trump, vous savez surement que la Terre a un champ magnétique ? En fait, chaque mètre carré de notre planète a sa propre signature magnétique unique. C’est comme une empreinte digitale, mais magnétique et le MagNav utilise des magnétomètres quantiques ultra-sensibles pour lire ces signatures et déterminer la position de l’avion.

Pour cela, un laser tire un photon sur un électron, l’électron absorbe le photon, puis le réémet en se relaxant. L’énergie de ce processus reflète alors l’intensité du champ magnétique local. Une IA embarquée compare ensuite cette signature avec des cartes magnétiques de référence, et boom, elle sait exactement où vous êtes.

Et comme je vous le disais en intro, c’est totalement impossible à brouiller ou à falsifier parce que contrairement au GPS qui reçoit des signaux numériques de l’extérieur (donc piratables), le MagNav mesure un phénomène naturel et analogique directement depuis l’intérieur de l’avion.

Acubed, la filiale d’innovation d’Airbus basée dans la Silicon Valley, a testé le système pendant plus de 150 heures de vol à travers les États-Unis et les résultats sont très positifs car le MagNav maintient une précision de position dans un rayon de 2 miles nautiques 100% du temps (ce qui satisfait les exigences de la FAA), et dans 64% des cas, il fait même mieux avec une précision de 550 mètres.

Jack Hidary, le CEO de SandboxAQ, a même déclaré que “C’est le premier système de navigation absolue vraiment nouveau depuis 50 ans.” Et je pense qu’il a raison car depuis l’invention du GPS dans les années 70, on n’avait pas vu une innovation aussi radicale dans la navigation.

Et surtout cette technologie quantique ne va pas servir qu’aux avions puisque les militaires sont déjà sur le coup pour détecter des sous-marins ou des tunnels souterrains (parce que les anomalies magnétiques, ça marche aussi sous l’eau et sous terre) et en médecine, on pourrait également l’utiliser pour détecter des signaux magnétiques faibles du cœur ou du cerveau.

Et contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas de la science-fiction pour dans 20 ans, non, ça arrive bientôt… D’ailleurs, l’AQNav a déjà été sélectionné parmi 120 candidats pour le prix ACT-IAC 2025 Innovations Champion Award et TIME l’a classé dans ses meilleures inventions de 2024. Les analystes du marché prévoient aussi que le marché des capteurs quantiques pourrait atteindre entre 1 et 6 milliards de dollars d’ici 2040. C’est énorme, mais vu l’ampleur du problème GPS actuel, c’est pas surprenant car entre les zones de conflit où le brouillage est systématique (Israël, Liban, Russie, Ukraine) et l’expansion du phénomène vers l’Asie (Séoul, Pékin, Myanmar), il y a urgence.

SandboxAQ bosse sur ce projet avec Acubed et l’US Air Force depuis 2022, et le système vient d’être accepté dans la cohorte 2025 de l’OTAN DIANA (leur programme d’innovation défense), ce qui montre bien que c’est du sérieux.

Voilà… alors quand on connait tous les systèmes critiques qui dépendent du GPS dans un avion moderne (l’horloge GPS, le radar météo, l’ADS-B, les systèmes d’alerte terrain…), je me dit qu’il était temps de trouver enfin une alternative sérieuse.

Il reste encore des certifications à obtenir et des tests supplémentaires à faire avant de voir le MagNav dans tous les avions commerciaux mais avec la situation actuelle du GPS, je pense qu’on va voir cette technologie se déployer plus vite qu’on ne le croit.

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Recov concept lets you relax with incense and without guilt

If you’re one of those people who drags themselves home after a long day, feeling like you’ve been running on empty for hours, you’re not alone. The constant cycle of work stress, endless meetings, and the pressure to always be “on” can leave anyone feeling drained. But what if there was a simple, elegant solution that could help you reclaim those precious moments of peace? Enter Recov, a revolutionary incense burner concept that’s designed specifically for people like you who desperately need to rediscover the value of rest.

Created by the talented design team of Ko Ye Been, Lee Ji Ho, Roh Woo Hyun, and Oh Yun, Recov isn’t just another home accessory. It’s a thoughtfully crafted wellness tool that transforms the ancient practice of incense burning into a modern ritual for recovery and relaxation. The tagline “Discover the value of rest” perfectly captures what this innovative product aims to achieve: making rest not just an afterthought, but a deliberate, mindful practice.

Designers: Ko Ye Been, Lee Ji Ho, Roh Woo Hyun, and Oh Yun

The design itself is refreshingly simple yet sophisticated. The clean, minimalist aesthetic features a warm cream-colored body with subtle orange accents that immediately feel calming and approachable. Unlike traditional incense burners that can feel ceremonial or intimidating, Recov looks like it belongs in your contemporary living space. The cylindrical form with its gentle curves and soft lighting creates an atmosphere that whispers “slow down” rather than demanding attention.

What makes Recov truly special is how it reimagines the entire incense experience. Instead of fumbling with matches and worrying about timing, you simply insert an incense stick into the top opening, set your desired duration using the intuitive timer system (15, 30, or 60 minutes), and let the device do the rest. The soft mood lighting gradually illuminates as the incense burns, creating a visual cue that helps your mind transition from work mode to rest mode. The thoughtful engineering extends to practical details that busy people will appreciate. The bottom tray collects ash automatically, eliminating the mess and maintenance that often deters people from using traditional incense. The timer function means you can start your relaxation ritual and trust that it will end safely, allowing you to fully let go without worrying about fire hazards or waste.

But perhaps the most brilliant aspect of Recov is how it makes rest feel intentional rather than guilty. In our productivity-obsessed culture, taking time to simply breathe and be present can feel selfish or lazy. By creating a structured, time-bound experience, Recov gives you permission to pause. It transforms those stolen moments of peace into a legitimate wellness practice, complete with sensory cues that signal to your brain that it’s time to decompress. The accompanying incense options, including “Calm Flow,” “Rest Bloom,” and “Inner Goals,” are specifically formulated to support different aspects of recovery. Whether you need to quiet racing thoughts after a stressful presentation or create a buffer between work and personal time, there’s a scent designed to help you transition more effectively.

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LG StanbyME 2 features detachable 27-inch QHD display on wheels loaded with Dolby audio and visuals

You can expect tablet-level versatility from your TV when LG is involved. The South Korean electronics giant previously demonstrated this with the Go model of its wireless StandbyME, which came in a carry case and was designed for outdoor use. Now making its global debut, the new StanbyME 2 offers even greater flexibility. The device is fully detachable from its movable docking stand, allowing it to function as a tablet, hang on a wall as a digital clock, or serve as an ambient display. And if that’s not fun enough, you could even pack the damn thing in the boot of your vehicle and take it camping or to a family picnic.

But it’s not just the portability and multi-orientation abilities that have changed with the StanbyME 2. The new model features an upgraded resolution and enhanced options for customizing audio, visuals, and controls, which can be tailored to users’ personal preferences and diverse media consumption needs, based on the environment it’s being used in.

Designer: LG

The portability of the StandbyME 2 is made possible by a built-in battery, which provides up to four hours of video playback on a full charge. The battery can be charged by docking the display to the stand and using USB-C. With no need for a constant power source, LG’s new display is convenient for both indoor and outdoor use. Like the original StandbyME, the StandbyME 2 comes mounted on a wheeled docking stand for easy mobility. The device can be detached from its base with a single click to be used independently for binge-watching shows, playing board games, or setting up at your creative workspace.

The StanbyME 2 is not a small device. It features a 27-inch QHD display with a native resolution of 2560 × 1440 pixels. Interestingly, it offers a dedicated 60Hz refresh rate – don’t bother gaming if you were thinking – but of course, you can find many other practical uses for the detachable screen. If you don’t want to use it as a large display tablet, you can use its built-in strap to get it up on the wall, where it’s your photo frame in disguise.

Of course, it’s portable, but the StanbyME 2 measures 623 × 364 × 28.5 mm and weighs 4.3 kg without the stand. So, it’s no kid’s play to fiddle with it or even think of detaching and moving it around. With the stand included, the display weighs 15.2 kg. The device is powered by LG’s α8 AI processor, runs WebOS 24, and supports voice control. The gadget is not dust and water-resistant, and it is advised to be placed away from direct sunlight.

Courtesy of the AI processor, the device can adjust brightness and tone based on ambient lighting. The 10W side-firing speakers (change output automatically based on the screen orientation) support Dolby Atmos and AI Sound Pro for virtual 9.1.2 surround sound. Clear Voice Pro feature helps enhance speech clarity on the device, Dolby Vision delivers cinematic visuals, while Bluetooth 5.1, Wi-Fi 5, HDMI with eARC, a pair of USB 2.0 ports, and a 5V USB port take care of the connectivity. Scheduled to start shipping in the US later this month for $1,400, the StanbyME 2 includes LG ThinQ, Apple AirPlay, Google Cast, and Google Home integration.

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3D printer with AI can turn food scraps into useful items

There have been numerous studies conducted and articles written on how much food is wasted every day in the U.S. alone. Creative thinkers are developing innovative ways to prevent this waste from ending up in landfills, going beyond traditional methods like composting, reusing, or turning scraps into animal feed. It would also be great if the solutions they develop could be useful in our everyday lives.

Now imagine turning your banana peels, coffee grounds, and vegetable scraps into useful household items instead of throwing them away. That’s exactly what MIT graduates Yiqing Wang and Biru Cao have made possible with their groundbreaking invention, the Foodres.AI 3D printer. This innovative desktop device represents a completely new approach to dealing with food waste by transforming organic waste into functional objects.

Designers: Yiqing Wang and Biru Cao

The technology works through a combination of artificial intelligence and 3D printing. Users simply place their food waste into the machine, and the accompanying mobile app uses AI to analyze the materials through the phone’s camera. The system uses a self-trained object detection model to identify food types and assess their printability, then suggests appropriate “print recipes” based on the physical properties of your waste materials. The printer can create a wide variety of useful items from your kitchen scraps. Users can print cup holders, coasters, decorative items, and custom designs by simply dropping in food waste and selecting the desired form and size. The built-in material processing module helps users mix waste with natural additives to form a printable bioplastic paste, making the entire process seamless and accessible.

What makes this printer particularly user-friendly is its intuitive design that requires no prior 3D printing experience. The app provides a library of design templates, and users can also upload their own custom models. Once you’ve selected your desired object and size, the printer’s custom three-axis extrusion system converts your scraps into something useful. The environmental impact potential is significant, as food waste accounts for up to 50 percent of household organic refuse in the United States. The project began as part of research supported by the MIT IDEAS program, addressing the fact that 40-50% of household food is wasted before it ends up in landfills or compost bins. By enabling people to repurpose non-edible leftovers and organic matter into functional items at home, the Foodres.AI printer promotes what the creators call “hyper-local circular economies.”

Beyond its practical applications, the Foodres.AI printer represents a shift in how we think about waste. Instead of viewing food scraps as something to be disposed of, this technology encourages users to see them as raw materials for creation. By making sustainable behavior interactive, creative, and rewarding, the product builds a community-driven culture of eco-consciousness. As concerns about environmental sustainability continue to grow, innovations like the Foodres.AI printer offer practical solutions that individuals can implement in their own homes, making circular living both achievable and engaging for the average person.

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RGB v0.12 - Bitcoin fait enfin des smart contracts avec des preuves zero-knowledge

Après 6 ans de développement acharné, RGB v0.12 vient enfin de sortir ! Il s’agit de smart contracts privés sur Bitcoin avec des preuves zero-knowledge, le tout sans toucher au protocole de base, alors si comme moi vous suivez l’évolution de Bitcoin depuis un looong moment, vous savez que c’est exactement ce qui manquait pour faire taire les fanboys d’Ethereum ^^.

Présenté par Maxim Orlovsky au BTCPrague 2025 le 10 juillet dernier, RGB v0.12 marque enfin le passage en production de ce protocole qualifié par certains de déterminant pour l’avenir du Bitcoin. Pour ceux qui débarquent, RGB (Really Good for Bitcoin) c’est donc un protocole qui permet de faire des smart contracts sur Bitcoin en utilisant la validation côté client. En gros, au lieu de tout balancer sur la blockchain comme Ethereum le fait (et payer des fees de malade), RGB garde les données privées et ne met sur Bitcoin que le strict minimum. C’est plutôt smart (contr… euh non rien) !

Gagnez 5 exemplaires d'Absolute Superman, le Superman de Jason Aaron

– Article en partenariat avec Urban Comics / Contient des liens affilés –

Aujourd’hui j’ai un concours à vous proposer, qui devrait ravir les fans de comics et tous ceux qui aiment les réinterprétations audacieuses des super-héros. En partenariat avec Urban Comics, je vous fais gagner 5 exemplaires d’Absolute Superman, la nouvelle bombe signée Jason Aaron et Rafa Sandoval qui a débarqué dans nos librairies le 30 mai dernier.

Audio Technica’s premium ATH-TWX9 wireless earbuds self-sanitize inside the case

For an audiophile, Audio Technica is not an unheard brand, bringing high-fidelity audio to our ears with a balanced sound signature. The Japanese manufacturer prides itself on durable and reliable performance at an excellent price range. Known for its quality studio gear like headphones, mics, and amps, the brand has a strong foothold in the IEM and earbuds market. No matter if you are a casual listener or someone who performs on the big stage, Audio Technica has got the right pair for you.

Riding on the success of the ATH-TWX9 released in 2022, the successor is here in the shape of ATH-TWX9MK2 noise-cancelling wireless earbuds. The TWX9 garnered a lot of attention because of its sound quality and unique self-sanitizing capabilities. Even though I’ve never gotten my hands on the pair, I have used LG Tone Free FN7 earbuds that have a similar feature aimed at audiophiles who care about hygiene.

Designer: Audio Technica

ATH-TWX9 wireless earbuds retain the stem design while adding a lot of upgrades that should pit them well against the likes of Sony, Bose, and Technics. The form factor is a tad sleeker, and the oval housing promises a secure grip for better stability. The buds come with IPX4 water-resistance protection for protection against the odd water splashes. However, the case gets no such protection rating, which makes it vulnerable to water splashes or a dunk in the shallowest of pools. The self-cleaning feature comes courtesy of the integrated UV LED sterilization system that sanitizes the buds when they are resting inside the case. They have made the buds and the case more resistant to smudges and scratches with a matte finish and satin accents.

The real deal maker is the improved sound driver that is more sensitive towards mid-range and dynamic range. Also, Audio Technica has certified them for High-Resolution Wireless. This means the vocals will be crisp and the low end should have more rumble, just like some of the open-back headphones. Supported audio codecs, including Qualcomm aptX Adaptive (up to 96 kHz 24-bit), the standard AAC, and the SBC formats should suffice the needs of every type of listener. Another major consideration is the inclusion of feed-forward and feed-backward MEMS microphones for hybrid active noise cancellation. These microphones have a frequency response ranging from 20 Hz to 10 kHz with a sensitivity of −38dB (1V/Pa at 1 kHz), making them ideal for clear calls in the noisiest of environments.

They come with a runtime of six hours when ANC is on and up to 18.5 hours in the case. This number is even more when the ANC is turned off.  ATH-TWX9 comes pre-loaded with nature and meditation sounds for kickstarting your day on a positive note or winding down in the evening. The earbuds will come in black or white color options with a price tag of 38,500 Yen (approximately $270). They’ll be released initially in Japan on July 11, 2025, with a global release coming soon after, with an expected price of $300, just like their predecessors.

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Memflix – Transformez vos données en vidéos MP4 consultables instantanément

Ça va, pas trop chaud ? Alors tant mieux, parce que je vais vous faire avoir une petite suée tellement ce truc est cool ! Ça s’appelle Memflix et c’est une bibliothèque JavaScript qui transforme vos documents texte en… fichiers vidéo MP4 ! Oui, vous avez bien lu. Et le plus fou, c’est que vous pouvez ensuite faire des recherches sémantiques ultra-rapides dans ces vidéos.

L’idée est tellement simple qu’elle en devient géniale car au lieu de stocker vos données dans une base de données traditionnelle, Memflix encode tout dans des QR codes qui sont ensuite intégrés frame par frame dans une vidéo. Résultat ? Un stockage 10 fois plus efficace qu’une base de données classique et des recherches qui prennent moins d’une seconde, même sur des millions de chunks de texte.

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