Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

Les États-Unis planquent des trackers GPS dans les puces IA pour coincer les contrebandiers

Imaginez un instant que soyez contrebandier de puces électroniques… Vous venez de recevoir un serveur Dell flambant neuf bourré de puces Nvidia H100 que vous comptez évidemment revendre à prix d’or sur le marché chinois.

Alors vous ouvrez le carton, pour inspecter minutieusement chaque recoin du paquet et là, Ô surprise, vous trouvez un petit boîtier de la taille d’un smartphone bien caché dans l’emballage. Félicitations !! Vous venez de vous faire griller par l’Oncle Sam !

Cette histoire n’est pas tirée d’un film d’espionnage de mon cerveau torturé mais bien de la réalité car selon Reuters, les autorités américaines ont placé secrètement des trackers GPS dans certaines livraisons de puces IA qu’elles considèrent à haut risque de détournement vers la Chine.

Et apparemment, ça fonctionne plutôt bien puisque deux ressortissants chinois ont été arrêtés début août pour avoir tenté d’exporter illégalement pour des dizaines de millions de dollars de puces Nvidia vers l’Empire du Milieu.

Et le niveau de sophistication de l’opération est top, car les trackers ne sont pas juste collés sur les cartons. Dans un cas documenté datant de 2024, les autorités ont carrément placé plusieurs types de dispositifs. A la fois des gros trackers visibles sur les boîtes d’expédition pour le suivi basique, et des plus petits, bien planqués dans l’emballage voire directement dans les serveurs eux-mêmes. C’est malin !!

Mais ces contrebandiers ne sont pas dupes non plus. On peut lire par exemple dans les documents judiciaires, que l’un des accusés avait prévenu son complice : “Fais attention de bien chercher s’il y a un tracker dessus, tu dois regarder attentivement”. Ces types passent leur temps à démonter des serveurs Dell et Super Micro pour vérifier qu’il n’y a pas de mouchard caché quelque part… Bref, ce sont devenu des champions au jeu du chat et de la souris avec les autorités.

Bien sûr cette pratique n’est pas nouvelle du tout. Les États-Unis utilisent des trackers pour surveiller les exportations sensibles depuis des décennies. En 1985 déjà, Hughes Aircraft avait vu ses équipements interceptés par les douanes américaines qui y avaient installé un dispositif de localisation. Sauf qu’à l’époque, on parlait de pièces d’avion, pas de puces IA capables de faire tourner des LLM.

Et l’ampleur de ce trafic est vertigineuse. Malgré les restrictions imposées depuis 2022, au moins 1 milliard de dollars de puces Nvidia auraient été introduites illégalement en Chine rien qu’au cours des trois derniers mois. Les contrebandiers passent par la Malaisie, Singapour ou les Émirats arabes unis pour brouiller les pistes. C’est un vrai business qui rapporte gros quand on sait qu’une seule puce H100 peut se négocier plusieurs dizaines de milliers de dollars au marché noir.

Et pendant ce temps, la tension monte entre Pékin et les fabricants de puces. Le 31 juillet dernier, l’administration chinoise du cyberespace a convoqué Nvidia pour lui demander des explications sur les risques de “backdoors” dans ses puces H20. Les Chinois craignaient que les Américains puissent désactiver à distance leurs précieux processeurs ou les utiliser pour les espionner. Nvidia a bien sûr démenti catégoriquement (What else !?), expliquant que mettre des backdoors dans des puces serait un cadeau fait aux hackers et aux acteurs hostiles et que ça mettrait à risque l’infrastructure numérique mondiale.

Au milieu de ce bras de fer géopolitique, les entreprises comme Dell et Super Micro se retrouvent donc coincées. Dell affirme ne pas être au courant de cette initiative gouvernementale de tracking, tandis que Super Micro refuse de commenter ses “pratiques et politiques de sécurité”. Nvidia et AMD, eux, préfèrent ne pas répondre du tout. On les comprend, c’est un sujet sensible…

Cette histoire de trackers dans les puces révèle surtout l’absurdité de la situation actuelle car d’un côté, les États-Unis tentent désespérément d’empêcher la Chine d’accéder aux technologies d’IA les plus avancées. Et de l’autre, la demande chinoise est tellement forte que des réseaux entiers de contrebande se sont organisés pour contourner l’embargo.

Le pire c’est que les autorités américaines envisagent maintenant d’obliger les fabricants à intégrer directement des systèmes de localisation DANS leurs puces. Oui, oui… Vous vous doutez, c’est une proposition qui fait bondir l’industrie, car elle créerait une vulnérabilité permanente dans le hardware. Comme l’a dit David Reber, le responsable sécurité de Nvidia, intégrer un kill switch dans une puce, serait “une invitation ouverte au désastre”, et je suis assez d’accord avec lui.

Bref, bon courage aux chinois ^^

Uxn - La machine virtuelle de 100 lignes qui fait tourner des apps sur votre Game Boy

C’est l’histoire d’un couple d’artistes développeurs qui largue les amarres pour vivre sur un voilier dans le Pacifique Nord. Pas de connexion internet stable, pas d’électricité illimitée, juste l’océan et quelques panneaux solaires…

C’est dans ces conditions que Devine Lu Linvega et Rek Bell de 100 Rabbits ont créé Uxn, une machine virtuelle qui tient en 100 lignes de C et qui fait tourner des applications graphiques complètes sur à peu près n’importe quoi, de votre vieille Game Boy Advance à votre Raspberry Pi Pico.

Le truc vraiment génial avec Uxn, c’est qu’elle ne prend que 64KB en RAM. Pour vous donner une idée, c’est environ 65 000 fois moins que ce que Chrome bouffe juste pour afficher cette page. Et pourtant, avec ces 64KB, vous pouvez faire tourner un éditeur de texte complet, un logiciel de dessin, un environnement de livecoding musical, et même des jeux comme Oquonie ou Donsol.

Sorcellerie me direz-vous ? Et bien non, c’est tout à fait possible en revenant aux fondamentaux de l’informatique et en appliquant les principes du permacomputing.

L’idée du permacomputing, c’est de créer des systèmes informatiques résilients et durables. Au lieu de racheter un nouveau PC tous les 3 ans parce que le dernier Windows rame, vous créez des logiciels qui tourneront encore dans 20 ans sur le matériel d’aujourd’hui. C’est une philosophie qui maximise la durée de vie du hardware et minimise la consommation énergétique. Et Uxn incarne parfaitement cette approche.

Pour programmer sur Uxn, vous devez utilise Uxntal, un langage assembleur basé sur une stack machine avec notation postfixe. Par exemple, au lieu d’écrire 3 + 4, vous écrivez 3 4 +. Ça peut paraître bizarre au début, mais c’est redoutablement efficace. Et contrairement à ce qu’on pourrait penser, Uxntal supporte même des concepts avancés comme les fonctions lambda et la programmation fonctionnelle.

Ce qui est vraiment cool avec cet OS, c’est sa portabilité. Le même fichier ROM Uxn peut tourner sur votre PC Linux avec SDL2, sur une Nintendo DS, sur un navigateur web, sur DOS, sur une PlayStation Vita, et même sur des trucs complètement barrés comme un télétypographe ou un STM32. C’est exactement comme les ROMs des vieilles consoles en fait… Vous créez votre programme une fois, et il tourne partout où il y a un émulateur Uxn.

Les applications disponibles sont d’ailleurs impressionnantes. Il y a Left, un éditeur de texte graphique, Noodle qui permet de dessiner, Orca qui est un environnement de livecoding pour créer de la musique, Nasu qui édite des sprites, Turye qui crée des polices de caractères. Et tout ça dans des fichiers de 10 à 15KB maximum.

L’écosystème Uxn est aussi super accessible pour les développeurs. La documentation sur GitHub liste des dizaines d’émulateurs, d’outils et de tutoriels. Il y a même des compilateurs comme Dotal et Funktal qui permettent d’écrire dans des langages de plus haut niveau et de compiler vers Uxntal. La communauté est aussi très active sur IRC (#uxn sur libera.chat) et Discord, et les workshops d’introduction sont excellents pour débuter.

Maintenant, pour installer Uxn sur votre machine, c’est super simple. Sur Linux, vous installez SDL2 (sudo apt install libsdl2-dev sur Ubuntu), vous téléchargez l’émulateur, et vous lancez vos ROMs. Vous pouvez même développer directement sur Uxn avec Bicycle, un REPL interactif, ou Dexe, un éditeur hexadécimal.

Ce que j’adore avec Uxn, c’est que ça remet en question tout ce qu’on considère comme acquis dans le développement moderne. On n’a pas besoin de 8GB de RAM et d’un framework JavaScript de 500MB pour faire une calculatrice. On peut créer des outils puissants et élégants avec des contraintes extrêmes. Et le fait que tout ça vienne de deux personnes vivant sur un bateau, alimentées par de l’énergie solaire, ça rajoute une dimension poétique au projet.

Donc si vous cherchez une alternative radicale à la course à la puissance, si vous voulez explorer ce qu’on peut faire avec des systèmes minimaux, ou si vous êtes juste curieux de voir comment on peut faire tenir un OS complet dans moins de mémoire qu’une photo Instagram, Uxn vaut vraiment le détour.

Car parfois, c’est bon d’en enlever un peu pour retrouver l’essentiel.

1 milliard de dollars de puces Nvidia "tombées du camion" se retrouvent en Chine

Bon, apparemment il suffit que des puces Nvidia soient “tombées du camion” pour qu’un milliard de dollars de GPU ultra puissants se retrouvent sur le marché noir chinois. Le Financial Times a enquêté et ce qu’ils ont découvert est assez dingue.

Alors que les États-Unis font tout pour empêcher la Chine d’accéder aux dernières technologies d’IA, des B200, H100 et H200 de Nvidia circulent tranquillement sur les réseaux sociaux chinois. Leur prix ? 50% au-dessus du tarif normal, mais visiblement ça ne freine personne. Les vendeurs proposent même des racks pré-assemblés avec 8 puces B200, prêts à brancher dans un datacenter. Genre tu commandes sur WeChat et hop, tu reçois ton rack de 150 kilos à 560 000 dollars.

D’après l’enquête du FT, rien qu’entre avril et juin 2025, c’est plus d’un milliard de dollars de matos qui aurait transité. Les puces passent par la Thaïlande, la Malaisie, et d’autres pays d’Asie du Sud-Est où les contrôles sont… disons plus souples. La Malaisie a d’ailleurs vu ses importations de GPU avancés exploser de 3400% début 2025. Coïncidence ? Je ne crois pas…

Le plus ironique dans l’histoire, c’est que ces restrictions viennent juste d’être assouplies pour les puces moins puissantes comme la H20. Mais bon, pourquoi se contenter d’une 2CV quand on peut avoir une Ferrari, même au marché noir ?

Une boîte chinoise basée à Shanghai, “Gate of the Era” (ça ne s’invente pas), créée en février juste avant que les restrictions ne tombent (le timing est parfait), aurait à elle seule écoulé pour 400 millions de dollars de systèmes B200. Ils vendent même des racks complets entre 3,9 et 3,95 millions de yuans pièce.

Un rack de B200

Et Nvidia, de son côté, fait la sourde oreille. Leur réponse officielle ? “Nous ne fournissons support et service qu’aux produits Nvidia autorisés”. Traduction : démerdez-vous avec vos GPU de contrebande. Mais bon, avec une valorisation de 4000 milliards de dollars, ils vont pas trop pleurer sur quelques puces qui s’égarent.

Ce qui est fascinant, c’est comment les Chinois ont industrialisé le contournement. Les vendeurs testent même les puces avant de les vendre pour garantir qu’elles fonctionnent. Service après-vente inclus apparemment. Un opérateur de datacenter chinois l’a dit cash au FT : “Les contrôles à l’export n’empêcheront pas les produits les plus avancés de Nvidia d’entrer en Chine. Ça ajoute juste de l’inefficacité et crée d’énormes profits pour les intermédiaires prêts à prendre des risques.

Pendant ce temps, DeepSeek et d’autres boîtes d’IA chinoises prétendent faire aussi bien que les modèles américains avec beaucoup moins de ressources, mais visiblement, ça ne les empêche pas de quand même vouloir mettre la main sur les derniers joujoux de Nvidia.

Jensen Huang, le CEO de Nvidia né à Taiwan, voit toujours la Chine comme une opportunité énorme. C’est d’ailleurs lui qui aurait négocié avec Trump pour assouplir certaines restrictions. Mais pour les B200 et H100, c’est toujours un niet officiel !

Le gouvernement américain essaie surtout pendant ce temps de boucher les trous. Le Department of Commerce envisage par exemple d’imposer des contrôles plus stricts sur des pays comme la Thaïlande dès septembre. Mais franchement, quand y’a autant d’argent en jeu, croyez-moi, les contrebandiers trouveront toujours un moyen.

Au final, cette histoire montre bien les limites d’une guerre commerciale technologique. C’est un peu comme la drogue… Tu peux interdire, restreindre, sanctionner, mais quand la demande est là et que les profits sont juteux, le marché trouve toujours un chemin où les seuls qui s’enrichissent vraiment, ce sont les intermédiaires qui prennent leur commission de 50% au passage.

Source

Unitree’s Pump MAX: The All-in-One Home Gym Engineered by Robotics Experts

Whenever I visit any tech expo or fair, I swing by Unitree’s booth to take a look at their incredible robots. With their popular dog and humanoid bots that can do everything from sit to run, jump, wave, walk up/down stairs, and perform complex activities, Unitree’s robots are nothing short of futuristic. Under the hood, the robots run on a highly complex combination of motors, sensors, and algorithms that perfectly execute movements. So when Unitree decided to put these motors, sensors, and algorithms into a compact home gym, you best bet that it’s going to be state-of-the-art.

Although it sounds like an unlikely area for a robotics company like Unitree to venture into, its fitness division (named UnitreeFitness) is a perfect balance to its robotic endeavors. It helps the company fine-tune their hardware in the perfect stress-test environment – exercise. The PUMP MAX is UnitreeFitness’ way of condensing down an entire gym into a compact hub that attaches to a shapeshifting exercise frame. The advanced internal motor provides between 4 to 70 kilos of resistance with half-a-kilo increments, while multiple exercise modes let you work out targeting 90% of all your muscle groups… without spending thousands on a Peloton, or on gym memberships.

Designer: Unitree

Click Here to Buy Now: $499 $899 (44% off). Hurry, only a few left! Raised over $439,000.

PUMP MAX redefines the modern workout experience by putting the gym right on your wall. Imagine having a sleek, multi-functional workout machine that adapts to every fitness goal without taking up half your room. PUMP MAX is compact yet powerful, packed with customizable features that make it your all-in-one home gym solution, ready to cater to beginners and experienced athletes alike.

At its core, PUMP MAX offers a workout experience tailored precisely to your needs. Whether you’re adjusting resistance in small increments or targeting specific muscle groups, this machine adapts effortlessly. Its high-speed motor provides weight adjustments in increments as precise as 0.5 kg, ranging from 4 kg up to 70 kg, so you’re covered for anything from a light burn to a serious strength session. This kind of precision, combined with an innovative design, makes PUMP MAX feel less like a machine and more like a personalized workout partner.

One of PUMP MAX’s standout features is its five distinct workout modes, each designed for a specific training focus. Standard mode brings a familiar gym feel, while concentric and eccentric modes fine-tune muscle engagement, focusing on either lifting or lowering phases of your reps. Constant mode keeps resistance steady, ideal for those looking to push endurance, and Chains mode provides variable resistance, which mimics chain-based weight training. These options mean that PUMP MAX is more than a simple weight system – it’s a high-tech, adaptable fitness experience that gives you the flexibility of an entire gym in one sleek setup.

You might be wondering if one machine can effectively replace traditional gym equipment. PUMP MAX does so by engaging nearly 90% of your body’s muscle groups in one cohesive setup. Thanks to a 2-meter rope and an internal gearbox with dual resistance levels, you get smooth, steady power no matter the weight setting, making exercises for chest, back, legs, and arms feel effortless in their consistency. Every movement, from light reps to heavier resistance exercises, feels fluid, almost as if guided by an invisible trainer who knows exactly how much push you need.

A remote control lets you adjust intensity, switch modes, and activate preset functions on the fly, minimizing interruptions and letting you focus fully on your workout. Plus, the PUMP MAX comes with emergency disengagement sensors built into the system, ensuring you’re protected from unintended movements or risky positions, allowing you to focus solely on your performance without the need for a spotter.

PUMP MAX also offers additional options that make it a truly versatile tool for any home gym setup. If you pair it with a gym bench, you’ve got a full-body workout station that tackles nearly every muscle group in your body. Rack modules are available for those who want seamless integration with their existing setups, making PUMP MAX adaptable to a variety of home gym layouts. It even transforms into a rowing machine, adding cardiovascular workouts into its repertoire, while an optional gym board provides a broader range of exercise positions for ultimate flexibility.

Battery life isn’t a concern, either. Pump Max’s detachable 96.2Wh battery supports over a week of regular use on a full charge, even during intense regimens. Capable of handling between 60,000 to 70,000 kg of training weight on a single charge, this power source combines efficiency with durability, so you’re never caught mid-session without the charge to finish.

And to top it all off, Pump Max connects with your smartphone, bringing app-enabled intelligence to your workout. Track your progress, access personalized programs, and join a thriving fitness community, all in one place. This network of insights and support ensures you’re part of a dynamic fitness ecosystem, where each session is backed by data-driven coaching and encouragement.

The entire PUMP MAX setup (no matter which bundle you opt for), is highly portable – which means it doesn’t eat into your living space the way most home gyms and exercise equipment do (we’re looking at you, Peloton). Setup is a breeze, and once you’re done, winding down takes mere minutes, allowing you to stow away your home gym so it doesn’t look like exercising is your entire personality. The machine adapts to your needs, ensuring you train every part of your body, helping build cardio, strength, and muscle… And not to foreshadow anything, think of it as Unitree’s way of getting you shredded so that when the robots come to take over humanity, you’ll be in fit fighting shape!

Click Here to Buy Now: $499 $899 (44% off). Hurry, only a few left! Raised over $439,000.

The post Unitree’s Pump MAX: The All-in-One Home Gym Engineered by Robotics Experts first appeared on Yanko Design.

Breville’s new Oracle brews barista-quality cold and hot coffee at “Jet” speeds with precision

I’m a coffee buff but have a limited sense of good coffee. A simple machine keeps me satisfied but a nice brew at a café really tells the difference. I wouldn’t say I’m going to translate into someone keen on brewing specialty coffee at home anytime soon. But if you’ve been yearning for barista-level precision and control over your cup of coffee, you can settle for the new Breville Oracle Jet, which is now available in the US.

A keen coffee machine that can produce hot or cold-press espresso, most of it automatically, the Oracle Jet is Australia-based Breville’s first-of-its-kind option on the market. From how it appears, it’s an impressive coffee machine with a brushed stainless steel finish (available in a range of exclusive colors) featuring a touchscreen display that would let you control it in most cases. Interesting however is the fact that the intuitive machine automatically does the grinding, dosing, and tamping to eliminate the human intervention, yet enhancing the brew quality in return.

Designer: Breville

What really distinguishes Breville’s new entrant in the world of specialty brewing at home concept is its ability to brew perfect cold espresso drinks. In fact, it’s the first in the Breville’s portfolio that makes cold brew but then the price of the machines really makes me skip a beat. Not that I was going to make an effort to secure finances for purchase, but $2000 for the coffee machine will have many like me deterred and setting in return for a regular drip coffee maker.

This doesn’t at all mean that the Oracle Jet does not have its mouth where the money is. Of course, the price is nothing for a good shot of cold brew espresso that this machine has been designed and manufactured to achieve with little to no effort. A definitely lift up of your stature from a barista visitor to a full-blown coffee specialist at home!

As an auto cold-brew espresso machine, it requires a bit of doing to install it and get the beans and water calibrated. Thereafter the process is pretty automatic and straight-forward. The touchscreen panel onboard is where all the controls are for you to set the grind size, switch between hot and cold brew or add your choice of milk to the coffee. The controls on the screen are generated with the tech-based ‘barista guidance,” and the machine helps execute the moves to brew you a perfect temperature espresso every time of the day.

The post Breville’s new Oracle brews barista-quality cold and hot coffee at “Jet” speeds with precision first appeared on Yanko Design.

Mini drum washing machine concept lets you clean small loads of clothes

Washing machines are normally pretty big and bulky, especially since you want to put in as many pieces of clothing as possible in one load. It has made washing clothes easier of course but it’s still a pretty tedious chore. If you live in a tiny space though, having a full sized machine may not be so feasible. Or if you have a child or children, constant washing and disinfecting of clothes is required, not necessarily needing the whole traditional machine.

Designer: Az

This concept for a mini drum washing machine may be the answer to space and size problems. Augenstern looks more like a rice cooker at first glance but it is a portable and smart machine that can disinfect clothes for babies and young children. It has a carrying handle since the idea is that you can carry it anywhere in the house or maybe even outside of your house if needed. There is a mention of wall-mounting by the designer but the renders don’t really show that.

The machine probably doesn’t fully function like your usual washing machines since there isn’t any of the usual tubes and things that you see. There seems to be a bottom suction cup somewhere there that is supposed to reduce the vibration and noise of the machine which should be useful if you have babies that wake up at the slightest noise. This means you can wash or disinfect their clothes even as they’re napping or sleeping.

It’s a pretty interesting concept especially for those that don’t have enough space to have a washing machine. But it may be a bit too small and therefore it means that you’ll have to do several loads, which may defeat the purpose. It would also be nice if there could be more information about the features but the design itself seems to be interesting and feasible.

The post Mini drum washing machine concept lets you clean small loads of clothes first appeared on Yanko Design.

❌