Surfshark One, la suite cybersécu qui vous aide à mieux dormir
3h37… la cafetière grogne comme un vieux moteur diesel et moi je fixe l’écran de mon PC avec cette fichue pièce jointe .exe qui vient d’atterrir. Le titre ? « Facture impayée ». L’expéditeur ? Un coréen dont le nom ressemble à un captcha mal imprimé. Mon doigt tremble au-dessus du trackpad, et déjà mon cerveau me hurle : « Ne clique pas, gros malin. » Mais je suis crevé, ça fait 36 heures que je vous ponds des articles à la chaine … je n’ai même pas le temps de réfléchir au risque que mon doigt à déjà cliqué par réflexe. Heureusement, Surfshark One est déjà en action.
En arrière-plan, sans que je bouge un cil, mon IP saute de Paris à Tokyo, puis à Toronto, puis à Sydney. Le botnet qui espionne ma ligne voit 4 continents défiler en moins de dix secondes ; il perd la trace, panique, et abandonne la connexion. Pas de lag, pas de coupure sur la série Netflix qui tourne en fond sur la télé, juste un léger pictogramme qui clignote dans la barre des tâches pour me dire « déplacement en cours ». Je souris, je n’ai même pas eu besoin d’ouvrir l’appli.

Le fichier .exe téléchargé par mégarde démarre dans un bac à sable invisible. L’antivirus Avira (assisté par IA) observe : tentative d’accès à la webcam, requête vers un domaine .onion, écriture dans le registre. Le verdict tombe en 0,2 seconde : comportement suspect = quarantaine immédiate. Je n’ai même pas le temps de voir la pop-up ; l’icône du bouclier redevient verte, le fichier est déjà mort et enterré dans le Cloud Protect System. Le tout sans que mon CPU ne grimpe au-dessus de 12%. Mon ordinateur continue de diffuser Spotify comme si de rien n’était.
Pendant que le malware agonise, Alert scrute déjà ses bases de fuites recensées. Mon adresse mail apparaît dans une liste fraîchement publiée sur un forum russe. Ping : notification push, SMS de secours, et un lien « Change ton mot de passe en un clic ». J’appuie (encore par réflexe conditionné, je clique tout ce qui passe ce soir), je tape « bonne-nuit-les-pirates-2025 », et c’est réglé. Trois secondes plus tard, je reçois un rapport écrit en français clair : « Aucune carte bancaire ni ID n’ont fuité, tu peux dormir tranquille. »
Mais vous me connaissez, je veux comprendre ce virus. J’ouvre Surfshark Search à 3h56, je tape « ransomware polymorphe 2025 ». Résultats : zéro pub, zéro tracker, zéro suggestions étranges sur la page de recherche. Deux liens vers des analyses techniques, un thread Reddit ultra frais. Je découvre que la même attaque a déjà visé au moins 400 personnes ces dernières heures, mais que la dernière signature est déjà dans la base virale de Surfshark depuis… 3 h 49. Autrement dit, la suite m’a protégé avant même que je ne sache vraiment par quoi j’étais visé.

Puisque j’aime vivre dangereusement, je décide de tester un site de téléchargement parmi les plus douteux pour voir si je peux réitérer l’attaque. Je clique sur « Créer un alias ». Surfshark me file instantanément « Manolo Korbera, 33 ans, Porto, plutôt bg », avec un mail @surfshark.net. Je l’utilise, je télécharge le fichier suspect, rien ne se passe : l’alias reçoit le spam, pas moi. Dans le dashboard, je clique sur « Supprimer l’alias ». Manolo disparaît, comme s’il n’avait jamais existé. Mon vrai mail reste vierge. J’aurais dû y penser à 3h37 avant le premier clic.
3h23. Woaw. Il ne s’est rien passé. Je n’ai pas cliqué sur le .exe, c’était un rêve, je me suis juste endormi sur ma chaise et à mon âge ça fait mal au dos. Un coup d’oeil rapide sur l’écran, les quatre icônes de Surfshark One clignotent calmement : VPN vert, antivirus vert, Alert vert, Search vert. Je vide ma tasse de café froid, j’éteins la lumière, et je vais enfin me coucher tranquille. Sachant que la suite continuera de s’améliorer pendant que je dors : nouvelles signatures, nouvelles adresses IP, nouvelles menaces anticipées.

Juste avant de fermer les yeux, je me souviens de ce à quoi je pensais avant de sombrer la première fois : la nouveauté Surfshark Everlink.
Grâce à une infrastructure brevetée, Surfshark redirige maintenant le tunnel vers un serveur sain automatiquement s’il y a coupure. Vous ne remarquez même pas le changement, votre IP reste cachée, votre binge YouTube ne s’interrompt pas. Votre connexion VPN devient une sorte de passerelle magique : même si le serveur sur lequel vous êtes tombe en panne ou passe en maintenance, Everlink recolle le lien en temps réel sans jamais vous déconnecter.
Contrairement au classique « kill switch » qui coupe Internet quand le VPN lâche, Everlink guérit la connexion avant qu’elle ne meure. Résultat : zéro déconnexion, zéro exposition, même en pleine heure de pointe ou sur un Wi-Fi d’aéroport douteux. Disponible par défaut avec le protocole WireGuard sur tous vos appareils, et sans surcoût, c’est la sécurité qui roule en pilote automatique.
Je vais enfin pouvoir dormir sur mes 2 oreilles. Surtout que pour en profiter, la suite complète ne coûte que 61,83 € pour 27 mois (soit 2,29 € TTC par mois). C’est pas cher payé pour éviter des cauchemars.