Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

Boitiers CPL - C'est l'heure de tester le Kit Multiroom Devolo Magic 2 WiFi 6 Next

– Article en partenariat avec Devolo –

J’avais besoin de WiFi dans un local technique pour brancher des caméras de surveillance parce que mes routeurs sont à l’opposé de la zone à couvrir et finalement la solution la plus fiable et la moins prise de tête que j’ai trouvé, ça a été de passer par mes bons vieux câbles électriques.

Devolo m’a donc envoyé ses Magic 2 WiFi 6 Next en test (Le multiroom kit avec trois adaptateurs), et je les ai vraiment trouvé pas mal. Le kit se compose d’une prise LAN que vous branchez à votre routeur en ethernet, et de deux prises WiFi que vous placez là où vous voulez chez vous. Et le tout communique via votre réseau électrique (technologie CPL ou powerline pour les intimes), et diffuse du WiFi 6 avec mesh intégré.

L’installation prend deux minutes chrono. Vous branchez les trois prises, vpous attendez un peu que toutes les diodes passent au blanc, puis avec l’app devolo Home Network, vous configurez tout ça. Aucune bidouille, aucun paramétrage manuel puisque les trois adaptateurs sont détecté tout seuls et créent alors un réseau mesh transparent.

Attention ne branchez JAMAIS vos adaptateurs CPL sur une multiprise car ça crée des perturbations qui massacrent les perfs. Branchez-les directement sur une vraie prise murale, et ensuite vous pourrez utiliser la prise intégrée aux boitiers pour brancher votre multiprise par-dessus.

Le gros atout du CPL face au mesh WiFi classique, c’est sa stabilité. Un mesh WiFi pur va fluctuer selon les interférences, les murs, les voisins qui balancent du 2.4 GHz à fond. Alors que là, le backhaul (la connexion entre les prises) passe par les câbles électriques à 2400 Mbps max, donc zéro fluctuation. Le WiFi 6 diffusé ensuite monte jusqu’à 3000 Mbps (574 Mbps en 2,4 GHz + 2402 Mbps en 5 GHz), avec du roaming automatique entre les prises.

Par contre, je vais être clair, les performances dépendent énormément de la qualité de votre installation électrique. Si votre maison date de Mathusalem avec un câblage pourri, vous n’atteindrez jamais les débits théoriques. C’est le seul point noir du CPL… ça dépend énormément de votre install électrique.

Ensuite, j’ai mesuré les performances avecc ma configuration. Même étage que le routeur je suis environ 500 Mbps en CPL et au premier étage je suis entre 330 et 415 Mbps selon où je me trouve. Du coup, pour mes caméras de surveillance ou se faire un film en streaming 4K, c’est largement suffisant et surtout ultra-stable.

Si vous regardez bien, sous chaque prise WiFi il y a deux ports Ethernet gigabit, ce qui est parfait si vous avez des appareils filaires à brancher (NAS, switch, caméras PoE avec injecteur…etc) et tout le réseau est extensible puisque vous pouvez ajouter autant de prises Devolo que vous voulez partout chez vous pour couvrir une surface gigantesque.

Le système Devolo embarque également tout ce qu’on attend d’une solution de routeurs / répéteurs modernes : un chiffrement WPA3 pour la sécurité, du WiFi invité pour vos potes histoire de pas leur filer votre mot de passe principal, contrôle parental avec programmation horaire, et Airtime Fairness pour que vos appareils rapides ne soient pas ralentis par le vieux smartphone de belle-maman. Tout se pilote bien sûr via l’app devolo Home Network, disponible sur iOS et Android.

Pour ceux qui ont des connaissances pointues en CPL, sachez que ce système utilise la techno G.hn qui est plus rapide et plus stable que l’ancien HomePlug AV2. Donc si vous avez de vieux adaptateurs CPL qui traînent, autant les offrir à quelqu’un qui n’en a pas parce que la différence de performances est énorme. Le G.hn gère carrément mieux les perturbations et offre des débits très supérieurs.

Voilà, alors si vous êtes comme moi et que vous avec une maison ancienne avec des murs épais, plusieurs étages, ou des zones où le WiFi ne passe juste pas genre loin dans le jardin, suffit d’avoir l’électricité et vous êtes opérationnel. Par contre, si vous vivez dans un appart récent avec des murs en placo, un simple système mesh WiFi fera probablement l’affaire pour moins cher.

Maintenant le truc qui pique un peu mais quand on aime on ne compte pas, c’est le prix. Comptez environ 400-470 euros le kit Multiroom (3 adaptateurs) selon les revendeurs. C’est cher, mais quand l’alternative c’est de tirer des câbles Ethernet à travers toute la baraque ou de galérer avec un mesh WiFi capricieux dans une vieille baraque, ça se défend. Et Devolo offre une garantie de trois ans, donc vous êtes tranquille.

Notez qu’il existe aussi un Starter Kit à deux adaptateurs autour de 240-260 euros si vous avez une surface plus modeste.

Donc voilà, pour mon local technique et mes caméras WiFi, le Devolo Magic 2 WiFi 6 Next fait très bien le job. Après c’est comme tout, c’est une solution miracle mais pour des cas comme le mien où le WiFi classique ne suffit pas et que les distances sont trop grandes, ça change la vie ! Et maintenant j’ai un super wifi pour bosser dans le jardin et faire mes tests de caméras !

La fin du monde est proche !

Peut-être que vous le connaissez déjà, mais si ce n’est pas le cas, sachez qu’il existe un site qui tracke méticuleusement toutes les apocalypses ratées ! Et actuellement et le compteur affiche fièrement 201 échecs et 0 succès. Ouf, tant mieux ! Ce site c’est le Doomsday Scoreboard de March1 Studios, et c’est un peu le panneau “X jours sans accident” des usines, mais inversé puisqu’ici on célèbre le fait que les prophètes se plantent avec la régularité d’un métronome cassé.

La dernière en date c’est l’apocalypse du 23 septembre 2025. Joshua Mhlakela, un pasteur sud-africain, avait posté des vidéos expliquant que le “Rapture” (le retour de Jésus) allait se produire ce jour-là. Les vidéos sont devenues virales sur TikTok sous le hashtag #RaptureTok, parce que bien sûr, même l’apocalypse a besoin d’influenceurs maintenant et y’a même des gens qui ont quitté leur job pour se préparer ou fait des tutos à la con du genre “5 conseils pour survivre au Rapture”.

Autant vous dire que le réveil normal du 24 septembre a dû être chelou et plein de mauvaise foi.

Mais le vrai champion toutes catégories de ces apocalypses, c’est Harold Camping. Lui il a fait 12 prédictions ratées. C’est plus que le nombre de Fast and Furious ^^ et sa prédiction la plus célèbre, sortie en mai 2011, il l’a financée avec des millions de dollars en publicité : 5000 panneaux d’affichage, 20 camping-cars sillonnant les États-Unis. Il avait calculé que c’était exactement 7000 ans après le déluge biblique, donc forcément, ça devait matcher.

Puis le 22 mai, après sa prédiction ratée, il s’est déclaré complètement débousolé ! Imaginez, vous claquez des millions pour annoncer la fin du monde, et le lendemain vous devez sortir les poubelles. Du coup pour sauver la face, il a dit “Ah non en fait c’était spirituel, la vraie c’est en octobre”. Je vous rassure, ça a foiré aussi en octobre et toutes les fois d’après.

William Miller, lui aussi c’est un autre roi du pivot stratégique. En 1843, il prédit la fin du monde devant 100 000 personnes mais bien sûr, ça a foiré “Pardon les gars, j’ai refait les calculs, c’est octobre 1844”. Et le 22 octobre 1844, toujours rien. Le résultat de ce double échec s’appelle même la Grande Déception , et honnêtement, le nom est bien trouvé. Mais Miller ne s’est pas découragé : il a juste dit que ça s’était passé au paradis, donc vous n’avez rien vu. C’est d’ailleurs de là qu’est née l’Église Adventiste.

Niveau récupération de fail, chapeau ! On dirait ces gens bizarres sur les réseaux sociaux qui repoussent chaque mois depuis 2020, leur prédiction de tous ces millions de morts provoqués à cause d’un vaccin Covid qui devait normalement joncher nos rues. Ahahaha qu’est ce qu’on se marre ^^.

Les Témoins de Jéhovah ont aussi leur propre série de ratés : 1914, 1915, 1918, 1920, 1925, 1941, 1975, 1994. La prédiction de 1925 était d’ailleurs annoncée comme plus certaine que celle de 1914 selon les Écritures. Résultat ? Entre 1925 et 1928, ils ont perdu 80% de leurs membres, déçus. La réponse officielle a été que ça avait aidé à séparer les fidèles des autres. Ça c’est du marketing de crise de champions !

En 2012 (vous vous souvenez de cette apocalypse là ?), un sondage dans 20 pays montrait que 14% des gens pensaient que le monde finirait de leur vivant. Aux États-Unis, c’était même plus de 20%. Et en 2022, 39% des Américains croyaient vivre la fin des temps. Autrement dit, 4 personnes sur 10 parient sur un cheval qui a perdu ses 201 dernières courses. Les paris sportifs sont moins risqués…

Le calendrier Maya de 2012, c’était peut-être d’ailleurs la plus grosse en termes de couverture médiatique. La fin du Grand Cycle du calendrier Maya a été interprétée comme la fin du monde avec des films catastrophe, des documentaires alarmistes, des ventes de bunkers qui explosent…etc. Puis le jour J, le 22 décembre 2012, réveil normal, café normal, métro normal. Hé oui, les Mayas n’avaient jamais dit que c’était la fin, juste que leur calendrier recommençait un nouveau cycle. Mais bon, ça fait moins de clics.

On a un peu le même truc en ce moment avec la comète 3I/ATLAS. Je vois dans Google News des tas de médias merdiques nous expliquer une fois que c’est un vaisseau alien qui ralenti pour venir nous achever, et une autre fois que le machin nous arrive droit dessus pour nous atomiser…

Et dire qu’il suffit d’aller lire 2/3 articles sérieux sur le sujet pour capter qu’on ne risque rien. Le machin va juste passer, on va lui faire coucou et on ne le reverra jamais… Breeeef, la connerie et la peur n’a pas de limites malheureusement.

Et le site Doomsday Scoreboard ne se contente pas uniquement d’archiver les échecs. Il liste aussi les apocalypses en attente. En ce moment y’a 8 prédictions pour 2025-2026. Donc 8 nouvelles chances de voir le compteur passer à 209 apocalypses ratées. Ce que j’aime bien avec ce site en tout cas, c’est qu’il transforme des annonces plutôt déprimantes en performance artistique.

Le compteur qui tourne, le total des échecs qui s’incrémente, les liens vers les sources Wikipedia pour chaque prédiction…etc. C’est à la fois un joli devoir de mémoire et une bonne blague ! En tout cas, pour le moment, c’est le seul domaine où l’humanité affiche un taux de fiabilité de 100% !

Voilà… Maintenant, rendez-vous dans 249 jours pour savoir si l’apocalypse aura lieue ou si vous devrez quand même aller bosser le lendemain.

Merci à Lilian pour le lien !

ImgInn - Pour consulter anonymement Instagram

Besoin d’aller voir le profil Instagram de quelqu’un en scrèd, sans que cette personne ne le sache ? Hé bien plus besoin de vous créer un faux compte grâce à ImgInn . En effet, ce site vous laisse surfer sur Instagram de manière totalement anonyme, sans même avoir besoin de vous connecter.

Vous allez sur ImgInn, vous tapez le nom d’utilisateur Instagram qui vous intéresse, et hop, vous accédez à tout son contenu public : posts, stories, Reels, highlights et même les photos de profil. Vous pouvez ainsi mater tout ça tranquillement sans laisser de traces.

En plus de la visualisation anonyme, ImgInn permet également de télécharger tout le contenu que vous voulez. Photos en résolution originale, vidéos en HD, stories qui vont disparaître dans 24 heures, vous pouvez tout récupérer en quelques clics. Par contre, ça ne fonctionne pas avec les comptes verrouillés (non publics).

Notez quand même qu’Instagram interdit formellement dans ses conditions d’utilisation le scraping de données et l’usage d’outils tiers qui imitent les fonctionnalités de la plateforme, donc sachez le, ImgInn viole clairement les règles d’Instagram.

Mais bon, quand on veut rester anonyme, notamment auprès de Meta, la question elle est vite répondue ^^. Notez aussi que même que si le site prétend garantir votre anonymat, il collecte forcément certaines données pour fonctionner comme votre adresse IP, les comptes que vous consultez, etc. Et bien sûr, rien ne garantit que ces informations restent vraiment confidentielles ou qu’elles ne soient pas partagées avec des tiers. Donc à utiliser avec parcimonie.

Et si ImgInn vous branche pas, y’a toute une ribambelle d’autres viewers du même genre. Dumpor propose par exemple une interface assez complète avec recherche par profil, localisation ou hashtag. SmiHub sépare carrément la partie visualisation et téléchargement en deux menus. Picuki va même jusqu’à intégrer des outils d’édition de photos. Pixnoy se concentre surtout sur les Reels, et Storistalker prétend même récupérer les posts supprimés.

A voir donc… Et pour me suivre sur Instagram c’est par ici !

Cloudflare veut tuer la pub - Bienvenue dans l'ère Net Dollar, le web au centime près avec

Vous gagnez combien avec la pub sur votre site ??

On est d’accord, c’est dérisoire, et pendant ce temps, Google et Facebook se gavent en revendant votre contenu et l’attention de vos lecteurs à leurs clients. Le modèle est cassé, tout le monde le sait , mais personne n’avait de solution viable… enfin, jusqu’à maintenant.

Matthew Prince, CEO de Cloudflare, vient en effet d’annoncer le lancement du Net Dollar , un stablecoin adossé au dollar américain conçu pour les micropaiements instantanés. Son objectif c’est donc de tuer le modèle publicitaire et le remplacer par du pay-per-use généralisé. Comme ça, terminé le “gratuit financé par la pub”, et bonjour le web à 0,01 euro l’article.

1 Net Dollar = 1 dollar US, puisque c’est un stablecoin adossé au dollar. Il n’y a donc pas la volatilité de Bitcoin et pas de spéculation. C’est vraiment fait pour les transactions, pas l’investissement.

Ainsi, chaque fois qu’un agent IA accède à votre contenu, il paie automatiquement quelques centimes de manière instantanée et cela peu importe où vous vous trouvez… Par exemple, vous êtes en France, un agent IA lit votre article au Japon, et hop vous recevez 0,01 dollar dans la seconde.

On évite ainsi les virements qui mettent du temps, les commissions abusives (coucou Paypal), les seuils minimums avant de prendre le pognon et si ça nous amuse, on peut même facturer 0,0001 dollar par requête API ce qui ne serait pas exemple pas possible avec Visa qui de toute façon prend 0,30 dollars de frais fixes. Là avec Net Dollar, on va pouvoir descendre à des fractions de centimes…

Par exemple, si je me tape dans le mois 50 000 agents IA qui viennent lire un de mes articles, et que je leur facture 0,01 euro par lecture, ça me fait 500 euros dans la poche. Et pour les dev, c’est pareil. Vous pouvez proposer une API gratuitement sans crouler sous les requêtes abusives. Là vous enclenchez un micro-paiement à 0,0001 dollar par requête, comme ça, chacun peut payer à la hauteur de sa consommation. Même chose pour les photographes ou les graphistes, quand une IA utilisera votre photo pour illustrer une de ces réponses….etc.

Bref, c’est plutôt cool pour les créateurs.

Maintenant reste à savoir qui va vraiment payer car ce n’est pas vraiment très clair ? Est ce uniquement les IA de OpenAI, Anthropic, Google qui vont passer à la caisse ? Ou est ce qu’à terme, les humains vont devoir créditer leur navigateur pour pouvoir surfer sur les sites web ? Honnêtement, je n’en sais rien mais si on tombe dans un monde où chaque site exige quelques centimes, je pense que chacun va y réfléchir à deux fois avant de cliquer sur un lien.

Et comme on est sur de la blockchain privée, je vous laisse imaginer le flot de données que ça va apporter à Cloudflare. Ils sauront exactement quel article vous avez lu, ou quel API vous avez utilisé. C’est pas forcement très cool.

Bref, je ne sais pas si le Net Dollar va révolutionner le web, finir de l’achever ou terminer comme toutes ces initiatives qui n’ont jamais décollé, mais à un moment, faudrait qu’on se pose la question de savoir si on préfère se farcir des bannières de pub ou payer 1 centime pour lire un article…

Source

🚀 Comment j'ai RÉVOLUTIONNÉ ma privacy LinkedIn en 4 clicks et ce que ça m'a appris sur le leadership transformationnel 💡

Qu’en pensez-vous ? Êtes-vous d’accord ? 👇

Ce matin, en sirotant mon matcha latte artisanal (support local businesses!!! 💚), j’ai eu une ÉPIPHANIE qui a changé ma vie.

J’étais en train de scroller LinkedIn quand soudain 💥 j’ai réalisé que mes données étaient utilisées pour entraîner l’IA de Microsoft. Cette révélation m’a frappé comme une tonne de briques (métaphore puissante, je sais). Car oui, LinkedIn utilise maintenant nos données par défaut pour entraîner ses modèles d’IA générative.

Mais ATTENDEZ.

C’est là que ça devient INSPIRANT. 🌟

Au lieu de me plaindre comme 99% des gens (be the 1%!!!), j’ai décidé d’être PROACTIF et j’ai transformé ce défi en OPPORTUNITÉ DE CROISSANCE PERSONNELLE. Voici donc mon framework propriétaire “The P.R.I.V.A.C.Y Protocol™” que j’ai développé en 3 minutes 47 secondes (oui, j’ai chronométré parce que #datadriven).

P - Prendre conscience (mindfulness is KEY 🧘‍♂️)

R - Réagir avec sagesse (pas avec émotion!!!)

I - Implémenter les changements

V - Valoriser ses données personnelles

A - Agir maintenant (URGENCY creates RESULTS)

C - Célébrer ses victoires (self-care isn’t selfish!)

Y - Yearning for more (toujours avoir faim de succès 🦁)

Laissez-moi maintenant vous partager mon PARCOURS TRANSFORMATIONNEL en 4 étapes qui ont LITTÉRALEMENT changé ma trajectoire de vie !

ÉTAPE 1: Désactiver les annonces sur Linkedin

Ce click m’a appris que parfois, dans la vie ET dans le business, il faut savoir dire NON. C’est donc la première chose à faire et moi j’y vois une métaphore du LEADERSHIP: Savoir protéger son équipe (ici, mes données) des influences extérieures toxiques.

Fun fact : Saviez-vous que 87% des CEOs ne connaissent pas ce réglage? (source: mon intuition de thought leader)

ÉTAPE 2: Couper les données tierces pour les publicités

WOW. Juste WOW. 🤯

Ce moment m’a rappelé quand Steve Jobs a dit “Stay hungry, stay foolish” (RIP la légende 🕊️). Sauf que moi je dis “Stay private, stay empowered” car LinkedIn partage plus de données avec Microsoft pour la publicité. Donc c’est le seul moyen de les en empêcher ! Et vous savez quoi? C’est une OPPORTUNITÉ d’apprendre à établir des LIMITES SAINES.

Histoire vraie: Mon chat Elon (oui, comme Musk, je suis disruptif même dans le naming de mes animaux) m’a regardé faire ce changement et a miaoulé. Coïncidence? Je ne crois pas aux coïncidences. L’UNIVERS me parlait. 🐱✨

ÉTAPE 3: Bloquer la mesure des perfs publicitaires

Les VRAIS leaders mesurent leur succès différemment. Pas en clics. Pas en impressions. Mais en IMPACT HUMAIN.

Cette étape m’a enseigné l’importance du DÉTACHEMENT. Comme le dit le Dalaï Lama (que j’ai rencontré spirituellement lors d’une méditation LinkedIn Live), “le vrai bonheur vient de l’intérieur”. C’est pourquoi mes données aussi doivent rester à l’intérieur. CQFD.

Petit reminder: Si vous ne protégez pas vos données, qui le fera ? (hint: personne, soyez votre propre héros 🦸‍♂️)

ÉTAPE 4: Stopper le partage de contenu pour entrainer les IA génératives

Car oui LinkedIn va bientôt utiliser nos posts pour entraîner l’IA. Vous devez donc ANTICIPER comme un vrai leader !

Mais écoutez ça…

J’ai transformé ce moment en MASTERCLASS de croissance personnelle. En désactivant ce paramètre, j’ai réalisé que JE SUIS LE CEO DE MES DONNÉES. Et vous savez quoi ? Vous l’êtes aussi! 💪

Anecdote inspirante: Ma grand-mère de 94 ans (oui, elle est sur LinkedIn, #nevertooolate) m’a appelé en PLEURANT de joie quand je lui ai montré ces réglages. Elle m’a dit “tu es le Ghandi de la privacy digitale”. J’ai pleuré. Elle a pleuré. Même ma plante de bureau a pleuré (l’arrosage automatique s’est déclenché mais je préfère y voir un signe).

LE PLOT TWIST QUI VA VOUS CHOQUER 😱

Après avoir fait ces 4 changements, quelque chose d’INCROYABLE s’est produit…

Mon taux d’engagement a EXPLOSÉ de 0.0001%!!! 📈

Coïncidence? Je pense que NON.

MES 7 LEARNINGS CLÉS (parce que les listes impaires convertissent mieux):

  1. La privacy est le nouveau luxe (notez ma phrase, c’est le Bitcoin de 2026)
  2. Chaque click compte (littéralement, j’ai compté: 4 clicks)
  3. L’IA nous observe (mais on peut l’observer en retour #reverseengineering)
  4. Microsoft ❤️ vos données (mais votre amour-propre doit être plus fort)
  5. Le RGPD est votre ami (même si personne ne sait ce que ça veut dire vraiment)
  6. Les thought leaders qui ne protègent pas leurs données ne sont pas de vrais thought leaders (controversial ? peut-être. Vrai ? définitivement)
  7. Ce post va devenir viral (manifestation positive 🙏)

ACTION ITEMS POUR VOUS (parce que je CARE 💙 sur vous):

  • ✅ Likez ce post si vous êtes TEAM PRIVACY
  • ✅ Commentez “PRIVACY WARRIOR” si vous avez fait les changements
  • ✅ Partagez à votre réseau (ils me remercieront plus tard)
  • ✅ Suivez-moi pour plus de contenus qui DISRUPTENT
  • ✅ Activez la cloche (Ah non, merde, c’est pas pour Linkedin ça…)

UN DERNIER MOT (promis c’est le dernier… ou pas 😏)

Si vous êtes arrivé jusqu’ici, BRAVO. Vous faites partie du TOP 1% des lecteurs LinkedIn (étude inventée par moi-même). Selon Bloomberg , LinkedIn devient de plus en plus “cringe”, mais vous savez quoi ? Le cringe d’aujourd’hui est le GÉNIE de demain et rappelez-vous… on se moquait d’Einstein aussi.

Mon conseil ? Soyez comme l’eau. Fluide. Adaptable. Et surtout, gardez vos données pour vous comme Bruce Lee gardait ses secrets de kung-fu. 🥋

P.S.: Si ce post vous a TRANSFORMÉ, tapez “AMEN” dans les commentaires. Si ce post ne vous a pas transformé, c’est que vous n’êtes pas PRÊT pour ce niveau de conscience. Travaillez sur votre mindset et revenez dans 6 mois. 🧠

P.P.S.: Mon prochain post: “Comment j’ai utilisé ChatGPT pour écrire ce post sur la protection contre l’IA et pourquoi c’est une métaphore du capitalisme tardif”. Stay tuned!

P.P.P.S.: N’oubliez pas: vous n’êtes pas vos données. Vous êtes une MACHINE À IMPACT. Une LÉGENDE en devenir. Un PHARE dans la tempête digitale. 🌊⚡

P.P.P.P.S.: J’organise un webinar GRATUIT (valeur 5000€) sur “Privacy Leadership for Disruptive Innovators”. Les 10 premiers inscrits recevront mon ebook “J’ai désactivé 4 paramètres LinkedIn et ma vie a changé” (PDF de 3 pages dont 2 de remerciements).

#Privacy #ThoughtLeadership #DisruptOrDie #LinkedInTips #DataProtection #MindsetMatters #GrowthHacking #DigitalDetox #Innovation #Leadership #Inspiration #MotivationMonday #TuesdayThoughts #WednesdayWisdom #ThursdayThrowback #FridayFeeling #WeekendVibes #AlwaysBeClosing #PrivacyIsTheNewBlack #DataIsTheNewOil #ButPrivacyIsTheNewGold #IAmThe1Percent #LinkedInFamous #Influencer #Viral #Engage #Transform #Disrupt #Inspire #Lead #Win

🚀💡🔥✨🎯💪🏆🌟⚡🎨🧠💎🦄🌈🔮

Restons connectés !! 🤝 Et merci à Rodrigo Ghedin qui m’a inspiré ce post parodique !

Vous voulez énerver votre service informatique ?

A l’époque où je bossais encore pour de vrai dans une entreprise normale et que je n’étais pas encore super-blogueur-professionnel, PhishyURL est le genre de truc qui ne m’aurait pas forcement fait beaucoup rire… Mais le temps est passé et je me dis que si votre équipe informatique vous casse un peu les pieds, c’est peut être le moment de prendre votre (gentille) revanche en leur faisant un petit poisson d’avril en plein mois de septembre.

Hé oui car PhishyURL est un générateur d’URLs qui n’a pour seul but que de foutre les jetons à votre équipe informatique. L’idée c’est que vous entrez une URL parfaitement légitime, disons celle de la page d’accueil de votre boîte, et l’outil vous sort un lien qui ressemble à ce que Satan lui-même enverrait par mail après une nuit de beuverie avec des hackers russes.

Et au menu des thèmes disponibles, on trouve tout ce qui fait transpirer un responsable sécu : crypto douteuse, finance louche, phishing assumé, shopping suspect, casino en ligne, rencontres hot et même du contenu adulte. De quoi transformer n’importe quel lien vers les photos de vacances de mamie en quelque chose qui ressemble à une invitation directe vers les enfers numériques.

Une fois votre super URL générée, vous l’envoyez par mail à un collègue et le rythme cardiaque de quelques personnes va s’accélérer…

JE SAIS C’EST MAL ! Mais c’est drôle quand même ! Ça peut même servir pour faire vos épreuves de phishing et faire ensuite la morale à Michel de la compta qui clique sur tout ce qui peut lui permettre de voir des boobs.

Voilà, amusez-vous bien mais n’abusez pas des bonnes choses…

TailGuard - La solution Docker qui marie WireGuard et Tailscale pour du VPN surpuissant

Vous en avez marre de jongler entre différents clients VPN selon vos appareils ?

Alors ça tombe bien puisque je viens de tomber sur TailGuard , un projet open source qui est une application Docker, mise au point par un certain Juho Vähä-Herttua qui sert de passerelle entre WireGuard et Tailscale .

Si vous n’avez jamais entendu parler de ces deux technologies, laissez-moi vous faire un petit récap rapide… WireGuard, c’est LE protocole VPN moderne ultra-rapide dans le vent, et Tailscale, c’est LA solution mesh VPN qui fait un carton en ce moment.

Et le truc chouette avec TailGuard, c’est qu’il résout ce casse-tête des appareils qui ne peuvent pas faire tourner Tailscale nativement. Vous savez, ces vieux routeurs, ces IoT un peu bizarres ou ces environnements restreints où installer un client VPN moderne c’est plus compliqué que d’avoir un Premier Ministre décent. Mais avec TailGuard, vous créez ainsi un pont entre votre infrastructure WireGuard existante et le réseau mesh de Tailscale. Pas besoin de tout refaire de zéro, c’est plutôt bien pensé.

Alors, comment ça marche ?

Et bien en gros, vous avez un serveur WireGuard qui tourne quelque part, avec ses configurations et ses clés et TailGuard, lui, vient se greffer dessus via Docker et expose automatiquement vos sous-réseaux WireGuard sur Tailscale. Du coup, tous vos appareils Tailscale peuvent accéder à vos ressources WireGuard, et inversement. C’est du routage bidirectionnel automatique, avec support IPv4 et IPv6.

Pour l’installation, c’est un jeu d’enfant. Vous téléchargez votre config WireGuard client, vous la sauvegardez en wg0.conf, vous créez un réseau IPv6 Docker et vous lancez le container avec les bons volumes.

docker network create --ipv6 ip6net
docker run -it \
 -v ./wg0.conf:/etc/wireguard/wg0.conf -v ./state:/tailguard/state \
 --cap-add NET_ADMIN --device /dev/net/tun \
 --sysctl net.ipv4.ip_forward=1 --sysctl net.ipv6.conf.all.forwarding=1 \
 --sysctl net.ipv4.conf.all.src_valid_mark=1 \
 --network ip6net -p 41641:41641/udp \
 --name tailguard juhovh/tailguard:latest

Et en quelques minutes, votre passerelle est opérationnelle. Et le petit plus, c’est que vous pouvez personnaliser pas mal de paramètres via des variables d’environnement : nom des interfaces, clé d’authentification Tailscale, routes spécifiques, hostname, etc.

L’un des gros avantages de cette approche, c’est la centralisation de la gestion des clés. Plus besoin de distribuer des configs WireGuard à tous vos appareils. Tailscale gère l’authentification avec votre provider d’identité préféré (Okta, Google, GitHub, etc.) et TailGuard fait le lien avec votre infra WireGuard. Cette architecture mesh a aussi le gros avantage d’éliminer les points de défaillance uniques des VPN traditionnels.

Et en termes de sécurité, on est sur du solide car chaque connexion reste chiffrée de bout en bout avec WireGuard, réputé pour sa robustesse cryptographique. Et Tailscale ajoute sa couche de zero-trust avec authentification continue et politiques d’accès basées sur l’identité. Comme ça, plus besoin de faire confiance au réseau, puisque chaque requête est vérifiée.

Et pour ceux qui ont des besoins plus spécifiques, TailGuard offre la possibilité de créer des architectures plus complexes. Vous pouvez par exemple router certains sous-réseaux spécifiques, gérer plusieurs tunnels WireGuard, ou même créer des passerelles redondantes pour la haute disponibilité.

Un truc que j’ai trouvé pas mal du tout en testant, c’est la possibilité de faire du SSO (Single Sign-On) sur des équipements qui normalement ne le supportent pas. Votre vieux serveur Linux avec WireGuard devient soudainement accessible via votre compte Google ou Microsoft, grâce à la magie de Tailscale. Pratique pour les équipes qui souhaitent standardiser leurs accès sans tout migrer.

Et si vous vous demandez pourquoi ne pas utiliser directement Tailscale partout, la réponse est simple : Parfois, c’est juste impossible ou trop compliqué. Certains environnements embedded, certains OS propriétaires ou certaines architectures exotiques ne peuvent pas faire tourner le client Tailscale.

TailGuard vient donc combler ce gap en utilisant WireGuard comme protocole universel de base.

Voilà, c’est encore une fois un projet sous licence MIT qui est activement maintenu sur GitHub. Bref, si vous cherchez une solution pour unifier vos VPN sans tout casser, TailGuard mérite vraiment le coup d’œil !

Cameradar - L'outil qui trouve et accède aux caméras de surveillance mal sécurisées

Vous saviez que des milliers de caméras de surveillance sont accessibles sans mot de passe sur Internet ? Et bien Cameradar est l’outil qui vous aidera à trouver ces caméras vulnérables en quelques secondes. Et bien sûr, comme je suis super sympa, je vais vous montrer comment ça marche (pour tester VOS caméras, bien sûr).

Développé par Ullaakut, Cameradar est un scanner RTSP open source écrit en Go qui fait trois trucs essentiels : il détecte les flux RTSP sur un réseau, identifie le modèle de caméra, et lance des attaques par dictionnaire pour trouver les identifiants. En gros, c’est l’outil parfait pour vérifier si vos caméras sont bien sécurisées.

Infinite Mac vous permet d'intégrer un vieux Mac dans vos pages web

Vous savez ce qui manquait vraiment à Internet ? La possibilité de coller un Mac System 1.0 de 1984 dans n’importe quelle page web. Et bien c’est maintenant possible grâce à Mihai Parparita, le génie derrière Infinite Mac, qui vient de sortir une fonctionnalité qui va faire kiffer tous les nostalgiques et les passionnés d’histoire informatique.

Son projet, qui permet déjà d’émuler tous les Mac OS de 1984 à 2005 directement dans le navigateur, peut maintenant être intégré dans n’importe quelle page web. Genre comme une vidéo YouTube, mais avec un Mac dedans.

Bye bye les pubs et merci Patreon !

En 2005, quand j’ai mis en place Google Adsense, c’était magique. Sans rien faire, je gagnais quelques euros par mois avec mon site et pour la première fois, je me suis dit que je pourrais peut-être un jour en vivre. Ces bannières pub, ça a ouvert beaucoup de possibilités à pas mal de monde, car on pouvait enfin vivre (ou arrondir les fins de mois) grâce à son site web sans que ce soit compliqué.

MatterV - Migrez vos VMs VMware sans les casser

Si vous ne le connaissez pas encore, MatterV est un hyperviseur open-source qui permet de faire tourner vos VMs VMware sans rien changer à votre vie, ce qui va vous éviter de vous faire saigner par Broadcom.

Car oui, les hausses tarifaires VMware atteignent des sommets de +800% à +1500% depuis le rachat par Broadcom, et MatterV débarque au bon moment avec une promesse technique qui va faire rêver tous les admins système : Être le premier hyperviseur au monde capable de faire tourner vos machines virtuelles VMware sans aucune modifications sur celles-ci.

Meta vous espionne même en mode incognito !

Vous pensiez être invisible en mode incognito avec votre VPN ?

Et bien Meta vient de nous prouver que vous étiez aussi discret qu’un rhinocéros dans un magasin de porcelaine. En effet, leur dernière trouvaille technique transforme votre smartphone en mouchard et cette fois, ça pourrait leur coûter la bagatelle de 32 milliards d’euros d’amende.

L’affaire a éclaté en juin 2025 quand une équipe de cinq chercheurs a révélé au grand jour le “localhost tracking” de Meta. Tim Vlummens, Narseo Vallina-Rodriguez, Nipuna Weerasekara, Gunes Acar et Aniketh Girish ont découvert que Facebook et Instagram avaient trouvé le moyen de contourner toutes les protections d’Android pour vous identifier, même quand vous faites tout pour rester anonyme. VPN activé, mode incognito, cookies supprimés à chaque session… Meta s’en fichait complètement.

Cette théorie de la stupidité qui explique pourquoi Internet part en couille

Je me suis encore tapé une bonne petite insomnie cette nuit, donc je me suis levé pour bosser et je suis tombé tout à fait par hasard sur ce PDF qui présente la “Théorie de la stupidité” de Dietrich Bonhoeffer, complété par une analyse de Carlo Cipolla sur “les lois fondamentales de la stupidité humaine”.

Je ne connaissais pas ces 2 gars ni leurs écrits, mais franchement, tous les jours ou presque je vois l’ampleur de la catastrophe et ça fait grimper ma pression artérielle. Et comme je ne comprends pas bien ce phénomène et que je ne sais pas trop comment m’y prendre pour y faire face, ça a évidemment attiré mon attention et je voulais partager ça avec vous.

Comment optimiser les performances de votre site avec o2switch ?

– Article en partenariat avec o2switch

Hello à tous,

Dans une précédente vidéo, nous avions découvert ensemble comment créer et configurer un site WordPress avec o2switch, cet hébergeur français qui propose des offres complètes et adaptées à tous les types de projets web.

Et aujourd’hui, nous allons aller encore plus loin en explorant les outils d’optimisation de performances proposés par o2switch pour transformer votre site en véritable fusée !

Car vous le savez, la vitesse de chargement d’un site web est cruciale, non seulement pour l’expérience utilisateur mais aussi pour le référencement. En effet, Google pénalise les sites lents et récompense ceux qui s’affichent rapidement, alors c’est pourquoi il est essentiel d’optimiser au maximum les performances de votre site, que ce soit un WordPress ou autre chose.

Synology verrouille ses NAS encore un peu plus

Si vous aviez prévu d’acheter un nouveau NAS de la marque Synology cette année, vous allez peut-être déchanter car ces derniers viennent d’annoncer une mauvaise nouvelle. Hé oui, restriction des pools de stockage, perte de la déduplication, de l’analyse de la durée de vie et même plus de mises à jour du firmware… Ouiiiin. Hé non, ce ne sont pas les symptômes d’un RAID qui se dégrade, mais bien les fonctionnalités que l’entreprise va désactiver si vous n’utilisez pas leurs disques durs “propriétaires” ou marques tierces “autorisées par eux” dans leurs prochains NAS série Plus.

OpenAI préparerait un réseau social dopé à l'IA

S’il y a bien un truc dont je suis sûr, c’est que le monde n’a pas besoin d’un nouveau réseau social. Et pourtant, c’est exactement ce que prépare Sam Altman, le CEO d’OpenAI, dans ce qui ressemble à une nouvelle saison de Game of Thrones version Silicon Valley.

Donc si vous êtes un nerd qui s’intéresse aux stratégies des titans de la tech, vous allez adorer cette nouvelle bataille qui se prépare.

Windows 10, 11 : Erreur partage imprimante 0x00000bcb

Vous avez tenté d’installer une imprimante réseau à partir d’un nom de partage “\\serveur\partageimprimante” et vous obtenez automatiquement l’erreur 0x00000bcb.

Pas de panique, il s’agit d’une mesure de sécurité Windows pour les non-administrateurs d’un poste.

Cette mise à jour est liée à une correction de vulnérabilité du service d’impression appelée “PrintNightmare”.
Cela impose d’avoir des droits d’administrateur local pour pouvoir mapper les imprimantes au client respectif.
https://support.microsoft.com/en-us/topic/kb5005652-manage-new-point-and-print-default-driver-installation-behavior-cve-2021-34481-873642bf-2634-49c5-a23b-6d8e9a302872

Du coup, soit vous l’a joué la sécurité en vous connectant en tant qu’administrateur pour l’installation (réinstaller l’imprimante sur le serveur d’impression en admin avant), soit vous modifiez la clé de registre :

HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Policies\Microsoft\Windows NT\Printers\PointAndPrint

Créer les clés non existantes si nécessaire, puis ajouter une entrée DWORD RestrictDriverInstallationToAdministrators de valeur 0.

Vous n’aurez même pas besoin de redémarrer votre ordinateur client.

Attention : Régler le problème de partage d’imprimante en ajoutant cette clé de registre enlève une couche de sécurité sur votre poste client !

À voir également : Régedix : Le regedit des gaulois


L’article Windows 10, 11 : Erreur partage imprimante 0x00000bcb est apparu en premier sur Le Blog du Wis.

❌