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Stockage + chiffrement + gestionnaire de mots de passe à vie ! Merci pCloud !

– Article en partenariat avec pCloud –

Salut les amis !

Alors que le Black Friday approche à grands pas, pCloud débarque avec une promo qui va faire mal au portefeuille des GAFAM mais bien soulager le votre ! En effet, le service de stockage cloud suisse (oui, celui qui respecte vraiment votre vie privée) sort l’artillerie lourde aujourd’hui avec jusqu’à -60% sur leurs plans à vie, mais surtout avec un pack 3en1 exclusif qui regroupe tout ce dont vous avez besoin pour sécuriser votre vie numérique.

Et quand je dis “à vie”, c’est pas du marketing. Un seul paiement, et hop, vous êtes tranquille pour les 99 prochaines années alors que les autres vous pompent en moyenne 10 balles par mois… Là, vous réglez le problème une bonne fois pour toutes.

Le pack 3en1 qui change tout

pCloud lance donc pour ce Black Friday un pack exclusif qui envoie du lourd : 5 To de stockage + pCloud Encryption à vie + pCloud Pass à vie, le tout pour 599 € au lieu de 1498 €. Vous économisez donc 899 balles d’un coup, et vous avez la totale en termes de sécurité !

Mais décortiquons un peu ce pack. Avec 5 To d’espace de stockage, vous avez de quoi stocker l’intégralité de vos photos et vidéos depuis la naissance de votre premier enfant jusqu’à ce qu’il parte de chez vous. pCloud Encryption chiffre également vos fichiers sensibles côté client avant même qu’ils ne partent sur les serveurs, ce qui veut dire que personne ne peut y accéder à part vous ! Et pCloud Pass, c’est, vous l’aurez compris, le gestionnaire de mots de passe qui vous évite de recycler ce bon vieux “Azerty1234” sur tous vos comptes.

Les autres offres Black Friday

Maintenant si ce pack 3en1 vous semble un peu trop ambitieux, pCloud vous propose aussi des plans individuels à vie avec des réductions intéressantes :

  • 1 To à vie : 199€ au lieu de 435€ (-54%)
  • 2 To à vie : 279€ au lieu de 590€ (-53%)
  • 10 To à vie : 799€ au lieu de 1890€ (-58%)

Pour ceux qui calculent vite, 1 To chez Google Drive c’est environ 100 balles par an. Avec pCloud, vous payez 199 € une fois et c’est réglé. Donc au bout de 2 ans, vous êtes déjà gagnant et sur 10 ans, j’en parle même pas.

pCloud Photos débarque et ça change tout

pCloud vient aussi de sortir **une nouveauté qui va faire grincer **des dents chez Google. Il s’agit d’une fonctionnalité de galerie photo intelligente avec éditeur intégré, incluse dans tous les plans sans supplément.

La galerie organise automatiquement pour vous, toutes vos images par date avec un flux chronologique. Vous pouvez ainsi naviguer par année, exclure certains dossiers pour ne pas mélanger vos screenshots avec vos vraies photos, et retrouver n’importe quel cliché en quelques secondes. Comme ça, c’est fini le bordel où les captures d’écran et les logos d’apps se retrouvent mélangés avec vos souvenirs de vacances.

Et le plus chouette je trouve, c’est l’éditeur intégré. Vous modifiez vos photos directement dans pCloud sans avoir à installer Photoshop ou sortir votre CB pour un abonnement Adobe. Vous avez 8 filtres accessibles en un clic (Retrofilm, Vibrant, Vintage, Duotone, Coolbreeze, Redtint, Warmtone, Coldtone), des ajustements précis pour la luminosité, le contraste, les hautes lumières et les ombres, plus les outils classiques comme le recadrage et la rotation. Et tout ça en temps réel, directement dans votre stockage sécurisé.

pCloud a donc clairement décidé de ne plus se contenter de stocker vos fichiers en transformant votre espace cloud en centre de gestion de photos, et tout ça sans avoir à passer par les serveurs de Google qui scannent vos images pour mieux vous balancer des pubs ciblées.

pCloud Encryption : le coffre-fort

Pour ceux qui manipulent des fichiers sensibles, pCloud Encryption est aussi un game changer. Le chiffrement se fait côté client, sur votre machine, avant même que les fichiers ne partent vers les serveurs. Vos clés de chiffrement restent donc uniquement entre vos mains et pCloud applique une politique de confidentialité stricte à “connaissance nulle” (zero knowledge), ce qui veut dire que même eux ne peuvent pas accéder à vos données chiffrées.

C’est le niveau de protection qu’Edward Snowden recommanderait si on lui demandait son avis !

pCloud Pass : le gestionnaire de mots de passe qui assure

Inclus dans le pack 3en1, pCloud Pass simplifie également votre sécurité en ligne puisqu’il stocke tous vos mots de passe de manière chiffrée, génère automatiquement des mots de passe forts et uniques pour chaque compte, et remplit les formulaires de connexion en un clic.

Compatible avec tous les appareils, navigateurs et systèmes d’exploitation, pCloud Pass synchronise vos mots de passe partout. Vous créez un mot de passe ultra-sécurisé sur votre PC, et il est ainsi immédiatement dispo sur votre smartphone. Comme ça, y’a plus besoin de noter vos bons vieux passwords sur ces petits carnets à mots de passe vendus à la FNAC que vos parents adorent vous offrir à Noël parce que vous êtes “geek”. lol

pCloud Drive et les fonctionnalités qui tuent

pCloud Drive transforme aussi votre espace cloud en disque virtuel accessible comme un SSD local. Compatible Windows, macOS et Linux, il synchronise vos fichiers instantanément sur tous vos appareils. Comme ça, si vous travaillez sur un document sur votre PC, il est immédiatement dispo sur votre smartphone. Et les apps mobiles iOS et Android uploadent automatiquement vos photos et vidéos pour libérer de l’espace sur votre téléphone.

Avec pCloud Backup, vos fichiers importants sont sauvegardés en continu en arrière-plan comme ça, plus de prise de tête avec les sauvegardes manuelles. Vous collaborez facilement avec des liens sécurisés, même avec des gens qui n’ont pas pCloud. Le service compte deux centres de données, l’un aux États-Unis et l’autre au Luxembourg, et vous choisissez où vos fichiers sont stockés.

Alors pourquoi pCloud plutôt que les GAFAM ?

Et bien dans ce monde bizarre où Google, Microsoft et consorts se partagent vos données personnelles comme un gâteau d’anniversaire, pCloud arrive avec une approche très différente puisqu’ils sont basés en Suisse avec des serveurs au Luxembourg, et leur service respecte le RGPD et les lois suisses qui sont parmi les plus strictes au monde en matière de protection des données.

pCloud possède également ses propres datacenters, donc pas de sous-location douteuse chez Amazon Web Services ou Google Cloud. Et ainsi, vos fichiers restent en Europe, soumis aux régulations européennes. Pas de scanning automatique pour cibler vos pubs, pas de vente de metadata à des tiers, mais juste du stockage qui respecte votre vie privée.

Avec plus de 22 millions d’utilisateurs qui leur font confiance, pCloud a prouvé que le modèle “paiement unique + respect de la vie privée” fonctionnait. Et franchement, pouvoir dire “mes données sont au Luxembourg” plutôt que “j’sais pas trop où Google planque mes trucs”, c’est quand même plus classe.

Comment profiter de l’offre Black Friday ?

Hé bien c’est hyper simple ! Vous allez sur la page Black Friday pCloud , vous choisissez votre plan (le pack 3en1 si vous voulez la totale, ou un plan individuel si vous avez juste besoin de stockage), vous payez une fois, et c’est réglé comme he vous le disais, pour les 99 prochaines années.

L’offre est valable du 17 au 29 novembre 2025 et si vous hésitez encore, pCloud propose une garantie satisfait ou remboursé.

En tout cas, c’est l’occasion parfaite de reprendre le contrôle de vos données tout en faisant des économies. Et avec les nouvelles fonctionnalités Photos qui viennent de sortir, pCloud devient enfin une alternative crédible à Google Photos sans sacrifier votre vie privée.

L’offre se termine le 29 novembre, alors ne traînez pas trop !

→ Profiter de l’offre Black Friday pCloud

SmoothCSV3 - Pour traiter vos fichiers CSV avec respect

Les CSV, c’est comme les cafards et les politiciens. Tout le monde les déteste, mais ils survivront à l’apocalypse nucléaire. Ainsi, pendant que les formats propriétaires disparaissent avec leurs éditeurs au fil des ans, ce petit fichier texte avec des virgules continue tranquillement de faire tourner le monde.

Par exemple, 80% des datasets sur Kaggle sont en CSV et toutes les APIs qui valent quelque chose proposent un export CSV. Même votre comptable, ce gros nullos en informatique vous envoie des CSV.

Et vous, vous ouvrez ça avec quoi ? Excel ?

Aïe aïe aïe, Excel, votre meilleure ennemi en ce qui concerne les CSV ! Vous double-cliquez sur un fichier de 100 Mo, et le ventilo de votre machine s’emballe comme si vous miniez du Bitcoin ! La RAM explose et, PAF, 15 minutes plus tard, l’outil de Microsoft se crash. Ou pire, il ouvre le fichier, mais il a transformé les IDs en formules de maths, vos dates en n’importe quoi, et votre UTF-8 est massacré.

Bref, pas merci Microsoft.

Et c’est pas un problème théorique. Rien qu’en 2020, le Royaume-Uni a égaré 16 000 cas de COVID parce qu’Excel a une limite de 65 000 lignes par feuille, du coup des milliers de cas positifs n’ont jamais été contactés par les services de santé. Même JP Morgan a perdu 6 milliards de dollars à cause d’une erreur dans un fichier Excel. Et des centaines d’articles scientifiques ont dû être retirés parce qu’Excel avait corrompu des noms de gènes en les transformant automatiquement en dates.

Le problème, c’est qu’Excel n’a jamais été conçu pour éditer des CSV. Excel, c’est fait pour les tableaux croisés dynamiques et les graphiques en camembert que personne ne lit mais surtout pas pour bosser proprement avec des fichiers texte qui font 500 Mo.

Alors en bon geek, vous vous êtes surement déjà dit : OK, je vais utiliser autre chose. LibreOffice ? Même combat mais en moche. Un chouette éditeur de texte comme Notepad++ ou Sublime ? Super pour voir les virgules, mais nul pour visualiser la structure. Et les outils en ligne ? Lents, pas sécurisés, et vous envoyez vos données chez oncle Sam la plupart du temps. Bref, vous êtes coincé !

Et c’est après cette intro interminable (je m’en fous, c’est vendredi) qu’arrive SmoothCSV3, un éditeur CSV développé par kohii et dispo sur GitHub et dont l’ambition affichée par le dev est claire : devenir le VS Code des éditeurs tabulaires. Rien que ça !

Le logiciel tourne sur macOS et Windows, avec Linux en approche. Comme vous pouvez le voir sur ma capture écran, l’interface ressemble à un tableur classique, mais sous le capot, c’est du costaud. Le dev annonce une execution 12× plus rapide qu’Excel sur un fichier de 100 Mo et niveau fonctionnalités, vous avez la recherche et le remplacement, le tri, le filtrage, l’édition multi-cellules mais surtout, vous avez des requêtes SQL directement dans le CSV. Oui, du SQL dans un fichier texte avec des virgules. Ça vous permet de sélectionner vos colonnes avec un WHERE, de faire des JOINs entre plusieurs fichiers, et de les grouper avec un GROUP BY. C’est encore plus magique qu’Eric Antoine !

Il y a aussi une palette de commandes à la VS Code. Vous tapez Cmd+Shift+P et vous avez accès à toutes les fonctions du logiciel sans quitter le clavier. Si vous avez déjà utilisé VS Code, Sublime Text ou IntelliJ, vous êtes donc en terrain familier.

Alors oui, le CSV, c’est moche, c’est fragile, c’est chiant à parser, mais c’est universel, ça marche partout et surtout, ça traverse les époques. Ce qui lui manquait c’était surtout un outil qui le traite comme une princesse, avec le respect qu’il mérite.

Téléchargez SmoothCSV3 ici !

MkEditor - L'éditeur Markdown que personne n'attendait

Moi, j’adore quand quelqu’un fabrique un truc juste parce qu’il en a envie, sans business plan, sans pitch deck, sans lever de fonds. Juste un dev, son clavier, et l’envie de créer.

Et bien c’est exactement ce qui s’est passé avec MkEditor, et ça fait du bien !

Le créateur de MkEditor (qui se décrit lui-même comme “un peu timide pour partager ses créations”) a passé plusieurs années à maintenir cet éditeur Markdown qui respecte les specs CommonMark.

Pourquoi ?

Et bien pas pour concurrencer Obsidian ou Typora. Pas pour devenir la prochaine licorne de la tech. Non, non, juste parce qu’il voulait comprendre comment VSCode fonctionnait en détail. Et ce qu’il nous a pondu, c’est un éditeur qui utilise Monaco Editor de Microsoft, le même moteur qui fait tourner VSCode.

Alors oui, on va me dire “mais Korben, il existe déjà 50 éditeurs Markdown”. C’est vrai et ces éditeurs ont su se rendre incontournables pour les développeurs et les équipes. Obsidian cartonne avec son graph view, Typora fait toujours rêver avec son rendu en temps réel. Mais MkEditor a quelque chose de différent : Il ne cherche pas à révolutionner quoi que ce soit. Il fait juste très bien ce qu’il fait.

L’outil embarque des fonctionnalités plutôt sympas. D’abord, vous avez un split screen redimensionnable avec synchronisation du scroll entre l’éditeur et la preview. Ensuite, des raccourcis clavier personnalisables pour formater votre texte ou insérer des blocs de code. Et il y a même de l’autocomplétion pour les langages dans les code blocks, exactement comme dans VSCode.

Ce qui est bien pensé aussi, c’est l’export HTML. Vous pouvez comme ça générer du HTML brut ou une version stylée avec Bootstrap et FontAwesome directement injectés dans le <head>. Pratique quand vous voulez partager un document qui a de la gueule sans vous prendre la tête avec le CSS. Les paramètres sont configurables soit via l’interface, soit directement dans un fichier settings.json pour les puristes du terminal.

Le truc cool aussi, c’est qu’il y a la palette de commandes de VSCode. Vous tapez Ctrl+Shift+P (ou Cmd+Shift+P sur Mac) et boom, vous avez accès à toutes les commandes. Pour ceux qui vivent dans VSCode, c’est comme retrouver ses pantoufles.

Et si vous ne voulez pas installer l’application desktop (disponible en Electron pour Windows, Linux et macOS), vous pouvez tester directement la version web en cliquant ici. Pas de compte à créer, pas de données à fournir, vous arrivez et vous écrivez. C’est chouette non, à une époque où chaque app veut votre mail, votre 06 et votre groupe sanguin.

Le développeur l’avoue lui-même dans son post… il a créé MkEditor juste parce qu’il en avait envie, sans cas d’usage particulier, juste pour le plaisir de construire quelque chose. C’est cette philosophie qui résume tout ce que j’aime dans l’open source.

Le projet est donc sur GitHub si vous voulez contribuer ou juste jeter un œil au code. Le dev accepte les feedbacks et les rapports de bugs, toujours avec cette modestie qui caractérise les vrais artisans du code.

Alors non, MkEditor ne va pas détrôner les géants du Markdown et il ne va pas lever 10 millions (enfin, quoique, on ne sait jamais dans la vie…). Il n’aura peut-être même pas sa propre conférence annuelle, mais il existe, il fonctionne bien, et il est gratuit.

NotepadNext - Du Notepad++ enfin cross-platform ?

Bon, faut que je vous avoue un truc inavouable. Même si j’adore Notepad++, je ne l’utilise plus depuis que je suis passé sous Mac. Et ça me manque tellement que j’ai failli installer une VM Windows rien que pour ça.

Heureusement, je viens de découvrir NotepadNext qui est une version de Notepad++ qui marche partout, même sur Mac et Linux.

Le développeur dail8859 a eu cette idée de génie, réimplémenter complètement Notepad++ avec le framework Qt pour qu’il tourne sur toutes les plateformes.

Google AI Overviews - Le massacre des éditeurs web

Vous savez ce qui est formidable avec l’intelligence artificielle ? C’est qu’elle va peut-être réussir à faire quelque chose que même les pires virus ou nos députés n’ont jamais réussir à accomplir depuis toutes ces années : Tuer Internet de l’intérieur.

Et oui, alors que Google AI Overviews et Perplexity prétendent nous faciliter la vie en résumant absolument tout, ils viennent de signer (encore une fois) l’arrêt de mort de milliers de sites web qui nourrissaient justement leur IA sans contrepartie.

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