Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

Le VPN de Surfshark croque encore les prix (promo Black Friday -87%)

– Article en partenariat avec Surfshark

Qui n’a jamais ressenti un petit frisson en se connectant à un Wi-Fi public ? Entre la parano légitime et le ras-le-bol du pistage permanent, la frontière est mince. Pourtant, la plupart d’entre vous s’en remettent encore souvent au hasard, à défaut de solutions simples… ou abordables. En creusant un peu, Surfshark VPN s’impose aujourd’hui comme LA réponse à cette anxiété numérique, avec une conception faite pour disparaître complètement derrière votre usage quotidien, que vous soyez néophyte ou vieux barbu du net.

Oubliez le cliché du VPN qui rame

C’est terminé l’époque où activer un VPN c’était un peu comme brancher la PlayStation sur une ligne RTC : Surfshark a choisi de miser sur le muscle technique, pas la poudre aux yeux. Non content d’être passé d’un parc de 3200 machines à plus de 4500, les serveurs 100 Gb/s déployés depuis quelques semaines sur leurs hubs principaux ne sont pas qu’un chiffre choc pour faire joli dans les benchmarks. Résultat ? Que vous streamiez en 4K, télétravailliez avec dix onglets ouverts, ou téléchargiez à la volée depuis un aéroport à l’autre bout du monde, le débit tient la route. On oublie presque qu’il y a un VPN en route.

Mieux : la connexion simultanée illimitée et multiplateforme (macOS, iOS, Windows, Android …) met fin aux petites querelles de famille pour savoir qui a droit à sa session sécurisée. Tablette, box TV, ordi pro, téléphone, console… tout le monde roule en Surfshark, dans la foulée, sans coût caché ni micro-gestion.

La vraie force réside dans cette sensation de légèreté. On décolle pour l’étranger ? Netflix, Prime, chaînes nationales, tout redevient disponible comme si vous n’aviez pas quitté le salon. Surfshark gère les géorestrictions comme VPN Messi Lionel Messi évite les défenseurs adverses. Gauche-droite, tir au but (enfin un truc comme ça, vous savez que moi et le foot …). Plus besoin de jongler avec des extensions louches ou de jouer au chat et à la souris avec les catalogues internationaux.

L’appli, agréable à utiliser, ne pollue pas l’écran de pop-ups ou de réglages abracadabrants : trois clics, et la sécurité devient presque invisible. Besoin d’une couche supplémentaire ? Mode camouflage, MultiHop : activable en deux secondes pour ajouter de l’opacité selon le contexte, ou contourner les réseaux d’entreprise/fac/campus un peu trop curieux.

Sécurité de bout en bout… même quand tout part en vrille

Ce qui marque surtout, c’est l’effort pour ne jamais exploiter vos données : politique no-log auditée régulièrement par des organismes indépendants (encore récemment, le dernier audit date de juin), serveurs en RAM pure, fonctionnalité CleanWeb intégré pour bloquer pubs et malwares, etc. Et une volonté affichée de ne rien laisser trainer, surtout pas sous la pression d’on ne sait quelle demande tierce. Même si le serveur plante ou redémarre, aucune donnée ne reste stockée. Lorsque le VPN décroche (coupure Wi-Fi, extinction PC…) le Kill Switch fait le ménage en fermant tous les robinets, impossible de lâcher accidentellement votre IP ou vos habitudes de surf dans la jungle d’internet.

Marre de voir votre boîte mail infectée après chaque inscription banale ? Surfshark propose l’ Alternative ID , un générateur d’identités temporaires pour s’inscrire aux sites en limitant le spam et le pistage. Couplé à CleanWeb, c’est la fin des bannières intrusives, redirections foireuses et tentatives d’hameçonnage. Naviguer sur le web redevient aussi paisible que de lire un bouquin chez soi.

Le prix chute, la sécurité s’universalise

Black Friday ou non, l’offre du moment ne souffre aucune concurrence : moins de 2 € HT par mois sur 2 ans, et trois mois gratuits pour compléter la panoplie (soit 64.48€ TTC pour 27 mois). Pas d’options indispensables planquées dans des add-ons premium, pas de pièges à la reconduction tacite. Au contraire puisque l’abonnement ne fait qu’ajouter des options : ad-blocker, IP rotative, bypasser …

800x450

Un VPN ne doit plus être vécu comme une rustine de geek, mais comme le socle totalement transparent de votre vie connectée. Surfshark n’essaie pas de réinventer la roue : il la fait simplement tourner à pleine vitesse, sans bruit, partout, tout le temps et pour une fois, c’est le prix qui s’adapte à la vraie vie, pas l’inverse. Pour ceux qui veulent tenter sans risque, c’est la promesse d’une sécurité totale, même en mobilité ou sur les réseaux publics, et sans jamais rogner sur le débit ni votre compte bancaire.

Et ce qui fait vraiment la différence à mes yeux, c’est la boulimie d’activité du VPN. Rien qu’en 2025, on lui doit les nouvelles technologies Everlink et FastTrack, un bloqueur de contenu web, le lancement de la VPN Trust Initiative, la mise en place de serveurs DNS publics (utilisables par tout le monde, pas seulement les abonnés), des tonnes d’améliorations de fonctionnalités existantes, etc. Plus, comme je le disais plus haut, le passage de ses serveurs du standard 10Gb/s à 100Gb/s. Bref ils bougent tout le temps et ça, c’est plutôt un gage de confiance.

Surfshark VPN  à -87% !

SSH-Audit - L'outil indispensable pour sécuriser vos serveurs SSH

Vous saviez qu’il était possible de crasher SSH avec seulement 31 KB/s de trafic ? Hé oui, c’est carrement possible avec l’attaque DHEat, une vulnérabilité vieille de 20 ans qui fait encore des ravages et pourtant, personne n’en parle… Alors aujourd’hui, on va voir comment tester et sécuriser vos serveurs SSH.

SSH-Audit c’est un outil open source qui analyse vos serveurs (et même vos clients SSH) pour détecter tous les problèmes de configuration. Algorithmes obsolètes, vulnérabilités connues, mauvaises pratiques… rien ne lui échappe. Le truc cool, c’est qu’il ne se contente pas de vous balancer des erreurs à la figure. Non, non, il vous explique vraiment pourquoi c’est dangereux et vous propose des solutions concrètes.

Pour l’installer, c’est super easy. Si vous êtes team Python, un simple

pip3 install ssh-audit

et c’est réglé. Et si vous préférez Docker ?

docker pull positronsecurity/ssh-audit

et vous êtes prêt.

Et pour les adeptes de Snap,

snap install ssh-audit

fera le job. Bref, ils ont pensé à tout le monde.

Mais attendez, c’est pas fini puisque SSH-Audit intègre maintenant des tests pour les vulnérabilités les plus récentes. Vous avez entendu parler de l’attaque Terrapin (CVE-2023-48795) ? Cette saleté permet de compromettre l’intégrité du canal SSH en tronquant des messages. Et le pire c’est que 77% des serveurs SSH sur Internet y sont vulnérables. Donc c’est super car SSH-Audit détecte ça en deux secondes et vous dit exactement quoi faire pour vous protéger.

Et ssh-audit ne fait pas que scanner. Il peut carrément simuler des attaques pour tester la résistance de vos serveurs. L’attaque DHEat dont je parlais au début ? Vous pouvez la lancer avec la commande

ssh-audit --dheat=10 targetserver

Ça utilise 10 connexions simultanées pour saturer le CPU du serveur cible. C’est violent mais c’est exactement ce que ferait un attaquant donc mieux vaut découvrir la faille vous-même plutôt que de la laisser à un script kiddie, non ?

Et pour les pros qui gèrent des parcs de serveurs, ssh-audit propose un mode “politique” vraiment malin où au lieu de scanner bêtement, vous définissez une configuration de référence et l’outil vérifie que tous vos serveurs s’y conforment.

Par exemple, si vous voulez que tous vos serveurs Ubuntu 22.04 respectent les dernières recommandations de sécurité, vous pouvez créer une politique avec

ssh-audit -M ma_politique.txt serveur_reference

et l’appliquer partout avec

ssh-audit -P ma_politique.txt serveur_a_tester

D’ailleurs en parlant de ça, l’outil détecte aussi tous les algorithmes qui ne sont pas résistants aux attaques quantiques. En suivant le principe du “Harvest Now, Decrypt Later”, les agences de renseignement stockent déjà vos communications chiffrées en attendant d’avoir des ordinateurs quantiques pour les déchiffrer. SSH-Audit vous alerte sur ces algorithmes vulnérables pour que vous puissiez migrer vers des alternatives quantum-safe.

L’utilisation basique, permet aussi de scanner votre serveur :

ssh-audit monserveur.com

Et pour tester un client SSH (super utile pour vérifier que vos devs utilisent des configs sécurisées), lancez ssh-audit -c et connectez-vous avec ssh -p 2222 test@localhost. L’outil analysera la configuration du client qui se connecte.

Ah et j’oubliais un truc important. Si vous n’avez pas envie de jouer avec la ligne de commande, il y a une interface web sur ssh-audit.com. Vous entrez l’IP de votre serveur et hop, vous avez un rapport détaillé. C’est pratique pour faire un test rapide ou pour montrer à votre boss pourquoi il faut absolument mettre à jour les serveurs.

Voilà, donc si vous gérez des serveurs SSH (et qui n’en gère pas de nos jours ?), ssh-audit devrait faire partie de votre boîte à outils. C’est gratuit, c’est open source, et ça peut littéralement vous sauver les fesses en détectant des vulnérabilités critiques avant qu’elles soient exploitées. Donc faites-vous une faveur et testez vos serveurs maintenant. Vous me remercierez quand vous découvrirez que votre serveur de prod utilise encore des algos SHA-1 ou qu’il est vulnérable à DHEat !

Et si vous voulez aller plus loin, jetez un œil aux guides de durcissement fournis par l’équipe de ssh-audit. Ils expliquent étape par étape comment sécuriser OpenSSH, Dropbear et d’autres implémentations SSH.

Car comme dirait votre psy, détecter les problèmes c’est bien, mais les corriger c’est encore mieux !

❌