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Obsidenc - Du chiffrement parano en Rust pour vos dossiers sensibles

Vous avez des dossiers sensibles que vous aimeriez chiffrer avant de les balancer sur un cloud ou un disque externe ? Ça tombe bien, je vous ai trouvé un petit outil en Rust qui va vous plaire.

Obsidenc , c'est son nom, est un utilitaire de chiffrement que son créateur qualifie de "paranoid-grade". Et après avoir jeté un œil au code source, je peux vous dire que c'est pas du marketing puisque ce truc archive votre répertoire en TAR et le chiffre avec XChaCha20-Poly1305, un algorithme AEAD moderne qui assure à la fois la confidentialité et l'intégrité de vos données.

Côté dérivation de clé, ça utilise Argon2id conforme à la RFC 9106. Pour les non-initiés, Argon2id c'est l'algo qui a gagné le Password Hashing Competition et qui est spécifiquement conçu pour résister aux attaques par GPU et circuits spécialisés (ASIC). L'outil adapte automatiquement les paramètres à votre machine en utilisant 85% de votre RAM disponible (entre 512 Mo minimum et 2 Go maximum) afin de rendre le brute-force astronomiquement coûteux. Et si vous avez moins de RAM dispo, il compense en augmentant le nombre d'itérations.

C'est du code Rust bien propre qui utilise les bibliothèques cryptographiques RustCrypto (bien auditées par la communauté) et le code implémente des bonnes pratiques de sécurité comme le memory locking (mlock sur Unix, VirtualLock sur Windows) pour éviter que vos clés se retrouvent dans le swap, et le zeroize pour effacer la mémoire sensible après utilisation.

Vous compilez ça avec cargo build --release, puis pour chiffrer un dossier :

obsidenc encrypt ~/mon-dossier ~/mon-dossier.oen

Pour déchiffrer :

obsidenc decrypt ~/mon-dossier.oen ~/mon-dossier-dechiffre

Le mot de passe doit faire minimum 20 caractères (pas de négociation possible, déso pas déso) et vous devez le confirmer deux fois. Vous pouvez aussi ajouter un fichier de clé en plus du mot de passe pour du 2FA old-school.

L'outil a aussi quelques protections défensives sympas. Par exemple, il refuse les symlinks (vecteur d'attaque classique), limite le nombre de fichiers à 1 million et la longueur des chemins à 4096 caractères pour éviter les zip bombs. Sur les systèmes Unix, il vérifie même que votre fichier de clé n'est pas lisible par tout le monde (chmod 600 obligatoire).

Cet outil part du principe qu'un attaquant peut avoir accès à votre fichier chiffré et dispose de temps illimité pour tenter de le casser, du coup, tout est conçu pour rendre l'attaque offline la plus douloureuse possible.

Bref, si vous cherchez un moyen de sauvegarder vos dossiers sensibles de manière vraiment sécurisée avant de les balancer sur un cloud ou un disque externe, obsidenc fait le taf et en plus c'est open source (MIT/Apache 2.0) !

Nano-PDF - Éditez vos PDF grâce à l'IA Nano Banana

Modifier un PDF, c’est toujours la galère surtout si c’est un PDF avec que des images sans texte sélectionnable. Soit vous avez Adobe Acrobat qui coûte une couille, soit vous vous tapez des outils en ligne douteux, soit vous exportez en Word et vous priez pour que la mise en page survive. Bref, vous faites vos trucs de losers….

Mais ça c’était sans compter sur Nano-PDF qui propose une approche radicalement différente : Vous décrivez ce que vous voulez changer en langage naturel, et l’IA se chargera du reste.

Par exemple, si vous avez une présentation PDF avec une faute de frappe sur la slide n°5, au lieu de galérer avec un éditeur, vous tapez juste

`nano-pdf edit ma_presentation.pdf 5 "Corrige la faute sur le mot 'investisement'"`

Et hop, c’est réglé. Vous voulez mettre à jour un graphique avec les données de 2025 ? Pareil, vous décrivez le changement et l’outil se débrouille !

Nano-PDF utilise le modèle Gemini 3 Pro Image de Google (surnommé “Nano Banana Pro”) pour interpréter vos instructions et générer les modifications visuelles. Le workflow technique est d’ailleurs bien fichu puisque les pages PDF sont converties en images via Poppler , envoyées au modèle avec votre prompt, puis les images générées sont reconverties en PDF avec une couche de texte restaurée par OCR via Tesseract. Du coup, vos PDF restent sélectionnables et cherchables après modification, contrairement aux solutions qui vous filent des images aplaties.

Côté fonctionnalités, y’a pas mal de choses sympas. Vous pouvez par exemple éditer plusieurs pages en une seule commande, créer de nouvelles slides qui respectent le style visuel de votre deck existant, même utiliser des pages de référence pour que l’IA comprenne mieux votre charte graphique, et le traitement par lot est géré en parallèle pour gagner du temps sur les grosses présentations.

L’installation passe par pip avec

`pip install nano-pdf`

Et comme je vous le disais, il vous faudra aussi Poppler pour le rendu PDF et Tesseract pour l’OCR. Et attention, petit détail qui a son importance, l’API Gemini Pro Image nécessite un compte payant. Faudra sortir la thune car les clés gratuites ne permettent pas de générer des images… donc bon, prévoyez quelques euros de crédit Google Cloud si vous voulez tester.

Le truc cool, c’est par défaut c’est du 4K en résolution, mais vous pouvez descendre en 2K ou 1K si vous voulez économiser sur les coûts d’API. Y’a aussi une option --use-context qui envoie tout le texte du PDF au modèle pour qu’il comprenne mieux le contexte de vos modifications. Et si vous créez une nouvelle slide, cette option est activée par défaut pour que le résultat soit cohérent avec le reste du document.

Voilà, si vous passez votre vie à modifier des présentations PDF et que vous en avez marre des workflows à rallonge, installez Nano-PDF . C’est open source sous licence MIT, et ça change la vie !

Merci Lorenper pour le partage !

UnMarker - Les watermarks IA ne servent à rien

Vous vous souvenez quand les géants de la tech ont promis à la Maison Blanche qu’ils allaient marquer toutes les images générées par IA avec des filigranes invisibles pour lutter contre les deepfakes ? Hé bien, des chercheurs de l’Université de Waterloo au Canada viennent de démontrer que c’était du pipeau avec un outil de leur cru baptisé UnMarker qui supprime n’importe quel watermark IA en quelques minutes, sans même avoir besoin de savoir comment le filigrane a été créé.

Andre Kassis et Urs Hengartner , les deux chercheurs derrière ce projet, ont publié leurs travaux lors du 46ème symposium IEEE sur la sécurité et la vie privée en mai 2025 et leurs résultats sont assez dévastateurs pour l’industrie.

En effet, ils ont testé leur attaque contre à peu près tous les systèmes de watermarking existants : Yu1, Yu2, HiDDeN, PTW, StegaStamp, TRW, Stable Signature… Et le meilleur taux de détection après passage dans UnMarker qu’ils ont obtenu c’est 43%. Et en dessous de 50%, c’est considéré comme inutile statistiquement parlant.

Ils ont aussi testé le tout nouveau, tout beau SynthID de Google, que Mountain View présente comme LA solution miracle. Et résultat le taux de détection est passe de 100% à environ 21% donc autant vous dire que c’est complètement pété.

Alors comment ça marche ce truc ?

Hé bien l’astuce d’UnMarker, c’est d’exploiter une faille fondamentale que tous les systèmes de watermarking partagent. Comme l’explique Kassis avec une analogie plutôt parlante, “Si vous gribouillez l’adresse sur une lettre, le facteur ne pourra plus la livrer.” et comme tous ces systèmes doivent stocker leur watermark dans les variations spectrales des pixels, UnMarker cible précisément ce canal pour le perturber, sans créer d’artefacts visuels. L’image reste ainsi identique à l’œil nu, mais le filigrane invisible est devenu illisible.

Unmarker.it est donc une version côté client de leur outil , qui tourne entièrement dans votre navigateur. Vous déposez une image, vous la “secouez, remuez et écrasez” comme ils disent, et hop, plus de watermark ! Par contre, si le watermark est aussi visuel comme la petite étoile de Gemini, pensez à mettre un petit coup de pinceau dessus pour la cacher.

Et c’est là que ça devient vraiment inquiétant pour la lutte contre les deepfakes car toute la stratégie des gouvernements et des plateformes repose sur l’idée qu’on peut marquer les contenus IA pour les identifier automatiquement. Donc si n’importe quel clampin peut supprimer ces marqueurs en quelques clics, tout le système s’effondre. Les chercheurs sont d’ailleurs assez cash dans leur conclusion, je cite : “Nos résultats montrent que le watermarking n’est pas une défense viable contre les deepfakes, et nous exhortons la communauté à explorer des alternatives.

Voilà, si vous pensiez que les watermarks invisibles allaient nous sauver de la désinformation par l’IA, vous vous mettez le doigt dans l’œil !

WSABuilds - Le retour du Windows Subsystem pour Android (Avec le Google PlayStore, svp !)

Microsoft a officiellement enterré le Windows Subsystem for Android (WSA) le 5 mars dernier car le projet n’a jamais réussi à générer d’argent et l’absence de Google Play Services a été le dernier clou dans le cercueil. Du coup, plus de mises à jour, plus de support, plus d’Amazon Appstore dans le Microsoft Store.. Snif…

Sauf que voilà, y’a des gens qui refusent de lâcher l’affaire et c’est comme ça qu’est né le projet WSABuilds dispo sur GitHub qui propose des builds pré-compilées de WSA avec tout ce qui manquait à la version officielle : le Google Play Store, Magisk ou KernelSU pour le root, et des versions stables régulièrement mises à jour !

WSABuilds vous permet donc de continuer à faire tourner des apps Android sur Windows 10 et 11, même après l’abandon de Microsoft et les builds sont disponibles en plusieurs variantes. Soit avec ou sans Google Apps, avec Magisk ou KernelSU pour le root, en version stable ou LTS…etc. Et vous avez aussi le choix entre x86_64 et ARM64 selon votre config.

L’installation est plutôt simple puisque vous n’avez qu’à télécharger l’archive depuis les releases GitHub ou OneDrive, vous extrayez tout ce bordel, vous renommez le dossier en “WSA” (important d’avoir un nom court), et vous lancez l’install via PowerShell. Le projet contient des scripts qui gèrent tout le processus, donc c’est encore plus confortable que votre chaise de gamer acheté sur Aliexpress.

Côté prérequis, il vous faut Windows 11 build 22000.526 ou plus, ou Windows 10 22H2 avec minimum 8 Go de RAM, même si 16 Go sont recommandés pour une expérience fluide. Et bien sûr, faudra activer la virtualisation dans le BIOS.

Et si vous aviez déjà WSA installé d’avant ce 5 mars 2025 fatidique, il continue de fonctionner mais sans aucune mise à jour, donc WSABuilds devient donc la seule option viable pour avoir une version maintenue et avec le Play Store intégré !

Et pour ceux qui préfèrent les alternatives classiques comme BlueStacks ou NoxPlayer , c’est toujours possible mais WSA reste la solution la plus propre car elle s’intègre nativement à Windows sans passer par un émulateur tiers.

Amusez-vous bien !

Google Antigravity - Bienvenue dans l'ère du développeur qui ne développe plus

Oh non, vilain Korben va encore parler de méchante IA, lol ! Car oui, j’sais pas si vous avez vu, mais Google vient de lancer Antigravity et tout le monde s’emballe et un Mars (uh uh !) en disant que c’est LE nouvel IDE magique pour coder avec des agents IA ! Et c’est surtout une grosse pub pour son nouveau modèle Gemini 3 sorti en même temps, faut bien le dire !

Et pour le coup, faut reconnaître que niveau timing, Google a frappé fort puisque Gemini 3 débarque moins d’une semaine après la sortie de GPT-5.1 d’OpenAI et seulement deux mois après Claude Sonnet 4.5. Hé oui, la guerre des modèles fait rage et personne ne veut laisser les autres prendre l’avantage, à ma plus grande joie (Oui, j’aime la tech et tester tous ces trucs) !

Sur le papier Antigravity est donc une plateforme de développement “agent-first” où les agents IA ont un accès direct à votre éditeur de code (un VS Code as usual), votre terminal et votre navigateur. Comme ça, ils peuvent écrire des specs, coder vos idées les plus folles, puis tester et valider tout ça pendant que vous, de votre côté, vous pouvez continuer à écrire des saloperies sur Mastodon !

Que demande le peuple ? lol

Et ces petits agents IA sont très forts pour produire ce que Google appelle des “artefacts”. En gros, ce sont des listes de tâches, des plans d’implémentation, des screenshots, ou encore des enregistrements vidéo de ce qu’ils ont fait ou prévoient de faire. Et vous, de votre côté, votre seul job c’est de valider ces artefacts et de commenter ce qui est produit.

Félicitations, vous venez d’avoir une promotion ! Vous n’êtes plus développeur, vous êtes maintenant chef de projet !

On peut bien sûr, toujours éditer le code, mais on va arrêter de faire semblant, ce n’est clairement plus l’objectif puisque ce sont les agents qui s’en occupent. Et ces derniers sont capables d’apprendre de vos retours en se construisant une base de connaissance interne avec vos feedbacks afin d’affiner les process et de tendre le plus efficacement possible vers vos objectifs.

Voilà… Maintenant, si vous aimez vraiment écrire du code avec vos petits doigts boudinés, ça ne sera pas fun, c’est certain. Par contre, si comme moi, vous êtes un piètre codeur mais que vous avez des tas d’idées folles et que vous aimez orchestrer, piloter, et valider des trucs, vous allez sur-kiffer !

Mis à par Gemini 3, Antigravity supporte aussi GPT-OSS, et les modèles d’Anthropic (Claude Sonnet 4.5 pour être précis) et d’OpenAI. L’outil est pour le moment gratuit en preview publique pour Mac, Windows et Linux et les limites d’utilisation de Gemini 3 Pro (en mode Low) sont très généreuses selon Google.

Et pour ceux qui se demandent si Gemini 3 c’est du vent ou du solide, sachez que le modèle cartonne sur les benchmarks avec un score de 1501 Elo sur LMArena (record absolu), 37.5% sur Humanity’s Last Exam (niveau PhD quand même), 91.9% sur GPQA Diamond, et 76.2% sur SWE-bench Verified qui teste spécifiquement les capacités de coding. Bref, sur le papier, c’est du lourd.

Google a même prévu une version “Deep Think” de Gemini 3 pour les abonnés Ultra qui arrivera dans les prochaines semaines, avec encore plus de capacités de raisonnement pour les tâches complexes. Et avec plus de 650 millions d’utilisateurs mensuels sur Gemini, on sent que Google veut vraiment en faire son fer de lance et détrôner OpenAI et Anthropic dans le cœur des codeurs !

Bref, maintenant à voir ce que ça donne en vrai et si ça fonctionne mieux que Windsurf ou Cursor, mais ça, je vous le dirai plus tard quand je me serais un peu plus amusé avec… Antigravity, c’est peut-être l’avenir du dev, ou c’est peut-être juste Google qui essaie de vous forcer à changer de taf sans vous demander votre avis… qui sait ?

On verra bien si leur mayonnaise prend, mais en attendant, si vous testez, dites-moi ce que vous en pensez, je suis curieux.

7 Best LEGO Creations Of November 2025

November 2025 marks a turning point for LEGO. The Danish brick giant has evolved from childhood toy manufacturer into something more nuanced: a creator of kinetic sculptures, display pieces that command adult spaces, and intricate tributes to pop culture that blur the line between building set and collectible art. This month’s releases span from mechanical aquariums to starships, from Hollywood race cars to space exploration milestones, each demonstrating how far brick-based design has traveled.

What unites these seven releases is their refusal to sit still on shelves. They demand interaction, closer inspection, and appreciation for the engineering challenges their designers solved. Whether through cranks that animate underwater scenes, modular sections that separate like the real starship, or intricate layering that creates dimensional depth, these sets prove LEGO understands its adult audience wants more than nostalgia. They want conversation pieces that justify their desk space.

1. LEGO Icons Tropical Aquarium (10366)

The Tropical Aquarium transforms 4,154 pieces into a living mechanical tableau that launched on November 13 for $479.99. This isn’t decor that fades into the background. Three distinct cranks and dials control independent motion systems, turning the aquarium into a kinetic sculpture where your interaction determines the scene’s energy. Turn one dial and the jellyfish bob through their vertical dance. Another crank sends the sea turtle gliding past coral formations. The third activates smaller fish as they navigate through swaying seaweed and bubble streams that appear frozen mid-rise.

LEGO solved a fundamental design challenge here: creating convincing spatial depth within a fundamentally shallow display case. The build employs layering techniques with translucent elements, representing water, varied-height coral structures, and the strategic placement of marine life to establish foreground, middle ground, and background planes. Four model fish become compositional tools rather than fixed elements. You’re not assembling a predetermined scene. You’re curating an underwater environment where placement decisions affect visual balance. The set includes seaworms, an oyster shell containing a pearl, sea snails, and air bubbles, serving as additional elements for creating your personal ecosystem.

What we like

  • The kinetic mechanism creates genuine movement that changes depending on your crank speed and direction
  • Compositional flexibility lets you rearrange elements rather than following rigid instructions

What we dislike

  • At $479.99, this represents a significant investment for a display piece rather than a traditional play set
  • The mechanical systems require regular interaction to justify the kinetic elements

2. LEGO Ideas Apollo 8 Earthrise (40837)

William Anders captured humanity’s first color photograph of Earth from space on December 24, 1968, using his Hasselblad 500 EL during the Apollo 8 lunar orbit. That image, titled Earthrise, showed our planet suspended above the moon’s desolate horizon and fundamentally altered how we see ourselves. Now, nearly sixty years later, LEGO Ideas has transformed that pivotal moment into an 859-piece buildable art piece that stands 48 centimeters tall and 32 centimeters wide.

This rendition captures three distinct visual elements that define the photograph: the infinite black void of space, Earth as a cloud-swirled blue marble, and the moon’s cratered, mottled surface in the foreground. LEGO’s designers used the brick medium to convey texture and color gradation across each element. The moon’s surface employs varied grey tones and deliberate gaps between pieces to suggest the shadowed irregularity of impact craters. Earth’s atmospheric layers transition from deep ocean blues to white cloud formations using careful brick selection. The black space background creates negative space that makes both celestial bodies pop forward visually.

What we like

  • The subject matter elevates this beyond standard space sets into historical tribute territory
  • At 859 pieces, the build offers enough complexity for an engaging construction experience

What we dislike

  • The relatively conservative piece count means some details require visual interpretation
  • Mounting hardware for the wall display isn’t included, requiring a separate purchase

3. LEGO Icons U.S.S. Enterprise NCC-1701-D (10364)

The Galaxy-class flagship from Star Trek: The Next Generation arrives in brick form on November 28 as a 3,600-piece behemoth measuring two feet long. Priced at $399.99, this isn’t LEGO’s first Trek venture, but it represents the most screen-accurate version of arguably the most beloved Enterprise design. The set captures the distinctive saucer-and-engineering-hull silhouette that defined seven television seasons and multiple films, complete with functional saucer separation mechanics that mirror the starship’s emergency protocol capabilities.

LEGO included enough minifigures to staff the bridge properly: Captain Picard, Commander Riker, Lieutenant Commander Data, Lieutenant Worf, Counselor Troi, Chief Engineer La Forge, and Doctor Crusher. Each figure comes with printed details that capture their Season 1 uniforms and distinctive features. The build itself uses advanced construction techniques to achieve the Enterprise-D’s smooth, curved surfaces while maintaining structural integrity. The warp nacelles attach via articulated pylons. The deflector dish receives intricate detailing. Even the bridge dome atop the saucer section gets architectural attention. This targets adult collectors who want the ship commanding their desk space with the same authority Picard brought to the captain’s chair.

What we like

  • Functional saucer separation adds interactive play value beyond static display
  • Screen-accurate proportions and details satisfy longtime Trek fans who know every hull panel

What we dislike

  • The $399.99 price point places this firmly in premium collector territory
  • Some builders note that the saucer section’s large, flat surfaces require patience during repetitive sections

4. LEGO Speed Champions APXGP F1 Race Car (77076)

LEGO’s partnership with the upcoming F1 film starring Brad Pitt and directed by Joseph Kosinski produces this sleek recreation of the fictional APXGP team’s race car. The model wears the movie’s distinctive black-and-gold livery, capturing the cinematic energy through carefully applied decals and printed elements. Two minifigures represent drivers Sonny Hayes and Joshua Pearce, complete with race suits, helmets with reflective visors, and printed sponsor logos that tie directly to the film’s aesthetic.

The build distinguishes itself from previous Speed Champions Formula 1 sets through refined proportions and wider Pirelli-style tires that better capture modern F1 car stance. Custom decals add visual depth across the bodywork. The set includes small accessories that reward closer inspection: a wrench and a remote control that nod toward the engineering side of racing. The wrench serves double duty as an actual building tool for applying stickers or separating tight bricks. These thoughtful inclusions demonstrate LEGO understands its audience wants both display accuracy and functional building aids.

What we like

  • The black-and-gold livery creates a striking visual contrast suitable for display
  • Film tie-in elements provide cultural relevance beyond generic racing sets

What we dislike

  • The Speed Champions scale limits interior detail compared to larger Technic F1 sets
  • Movie-specific branding may not appeal to builders wanting real team liveries

5. LEGO Ideas The Goonies (21350)

This $330 LEGO Ideas release transforms the 1985 adventure classic into a full-blown tribute to one of cinema’s most beloved treasure hunts. The set isn’t just a model you build and stick on a shelf. This captures those iconic moments that blend adventure with just the right amount of creepy: the Fratelli hideout functioning as a haunted house for criminals, the terrifying boulder trap, skeleton-filled caves, and One-Eyed Willy’s legendary pirate ship, the Inferno, complete with sails, treasure, and plenty of bones.

What really makes this set special are the minifigures. All twelve of them. You get the whole gang: Mikey, Mouth, Data, Chunk, Brand, Andy, and Stef, plus Sloth in his Superman shirt, Mama Fratelli, Francis, Jake, and even One-Eyed Willy’s skeleton. LEGO created brand new elements specifically for this set, like Sloth’s pirate hat and Mama Fratelli’s hair and beret combo, showing the level of detail they’re committed to. The skeleton pirate minifigure arrives perfectly timed for Halloween nostalgia, capturing both the film’s adventurous spirit and its spooky underground atmosphere.

What we like

  • Twelve minifigures provide the complete cast, including villains and One-Eyed Willy’s skeleton
  • Multiple iconic scenes from the film can be recreated with the Fratelli hideout and pirate ship

What we dislike

  • The $330 price point may feel steep for fans expecting a lower-tier Ideas set
  • Balancing multiple scenes in one set means each vignette receives less piece allocation

6. LEGO Ideas Pacific Rim Jaegers

Din0Bricks’ fan-made tribute to Guillermo del Toro’s Pacific Rim has earned LEGO Ideas Staff Pick status and rallied 661 supporters toward the 10,000 needed for official production consideration. The 2,218-piece concept recreates three iconic Jaegers from the 2013 film: Gipsy Danger with a retractable sword, Crimson Typhoon with rotating saw blades, and Cherno Alpha with its brutal industrial aesthetic. Support helicopters accompany each mech, capturing the logistical reality behind deploying humanity’s towering defenders against Kaiju threats.

What makes this concept remarkable is how Din0Bricks solved the challenge of capturing the Jaegers’ massive, imposing presence while maintaining structural stability and playability. Each mech features articulated joints at shoulders, elbows, hips, and knees, allowing authentic combat poses. The retractable sword mechanism on Gipsy Danger uses internal gearing. Crimson Typhoon’s three-armed configuration required custom engineering to balance properly. Cherno Alpha’s distinctive fists and nuclear reactor detailing push LEGO’s aesthetic toward industrial brutalism. This isn’t just a fan project. It’s a masterclass in translating screen designs into buildable, poseable figures that honor the source material’s scale and mechanical complexity.

What we like

  • Three distinct Jaegers provide variety and display options in a single set
  • Articulated joints enable dynamic combat poses that capture the film’s action sequences

What we dislike

  • As a LEGO Ideas concept, this isn’t guaranteed for production without reaching 10,000 supporters
  • The 2,218-piece count and three large models suggest a premium price point if approved

7. LEGO Ideas NASA James Webb Space Telescope

The LEGO James Webb Space Telescope replica tackles one of modern engineering’s most complex achievements through brick-based construction that mirrors the actual satellite’s intricate folding mechanisms. This build captures the telescope’s launch-critical ability to fold into a compact configuration before unfolding in space, requiring builders to understand both structural engineering and the precise mechanical sequences that made the real JWST mission possible. The design transforms complicated aerospace engineering into an accessible building experience that educates while it entertains.

Every major subsystem finds representation in this meticulous replica, from the eighteen iconic hexagonal mirrors that form the light-gathering array to the layered sun shield that protects sensitive instruments. The secondary hinged mirror, science instruments, propulsion systems, and communications arrays all function through LEGO’s mechanical systems, creating an interactive educational experience that illuminates the genuine complexity behind space exploration’s latest triumph. This isn’t a simplified approximation. It’s a functional demonstration of how the telescope actually operates in its orbit at the L2 Lagrange point.

What we like

  • Functional folding mechanism replicates the actual telescope’s deployment sequence
  • Eighteen hexagonal mirrors accurately represent the primary mirror array’s distinctive design

What we dislike

  • The complex folding mechanism requires careful handling to avoid stressing connection points
  • As a concept, availability depends on the LEGO Ideas approval process

Why November 2025 Matters for LEGO Design

These seven releases demonstrate LEGO’s strategic expansion into adult collector territory while maintaining the building experience that defines the brand. The kinetic mechanisms in the Tropical Aquarium, the historical gravitas of Earthrise, the pop culture cachet of the Enterprise and Goonies sets, the cinematic energy of the F1 car, and the community-driven passion behind the Pacific Rim Jaegers and James Webb Telescope all point toward a company that understands its audience has evolved. These aren’t toys. They’re display pieces that arrive in buildable form, offering the satisfaction of construction before claiming their space on shelves, desks, and walls.

What November’s lineup proves is that LEGO has moved beyond simple recreation into thoughtful interpretation. Each set solves specific design challenges: creating depth in shallow spaces, capturing kinetic energy through mechanical systems, translating beloved designs into brick form with screen accuracy, honoring cultural moments that shaped cinema, and making complex aerospace engineering comprehensible. The result is a collection of releases that justify their premium pricing through engineering sophistication, visual impact, and the kind of cultural resonance that makes people stop and ask about the objects commanding your workspace. That’s the difference between a toy and a design statement.

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