Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierFlux principal

Incogni et les différents leaks du milieu de l’automobile

Par : Korben
18 mars 2024 à 08:53

Bannière Incogni

— Article en partenariat avec Incogni

Salut la compagnie, vous vous souvenez de cette époque éloignée de fin 2023 ? Je vous avais présenté une source de fuite potentielle de vos données privées : votre voiture « intelligente ». Et bien depuis j’ai continué à voir des choses pas très fun pour nous, pauvres consommateurs de ce genre de véhicules que nous sommes.

Alors je ne sais pas si c’est le phénomène Baader-Meinhof qui agit, mais je vois passer plus souvent des informations sur le sujet depuis quelques mois. Pour ceux qui ne sachez pas, cet effet c’est une sorte de biais cognitif qui fait que lorsqu’on remarque une chose pour la première fois, on a tendance à la voir plus souvent. L’exemple typique : vous achetez un nouveau pull et subitement vous voyez 4 personnes chaque jour qui portent le même. Après c’est de votre faute aussi, vous auriez pu vous douter que 75% de la population se fournit dans les mêmes boutiques de fringues ou portent les 12 mêmes marques.

Bref, pour en revenir aux voitures, depuis l’étude Mozilla partagée dans mon article précédent … je ne vois plus que des fuites d’huile de données dans le monde de l’auto. Rien qu’en janvier, nous avons eu droit :

  • au hack de la National Automobile Dealers Association (NADA, importante organisation commerciale représentant les concessionnaires franchisés de voitures et de camions neufs aux US). Numéros de téléphones, emails, factures, paiements et cartes des acheteurs … au total plus d’un million de données.
  • Mercedez-Benz qui oublie une clé privée dans un repo GitHub public, donnant accès à tout son code source.
  • Hyundai Inde qui expose les données perso de ses clients (noms, adresses physiques …)
  • Plus de 100Gb de données récupérées chez Nissan après une attaque visant les acheteurs australien et néo-zélandais

Et ce n’est que sur une période d’un mois ! Ce qui confirme plutôt bien ce que j’écrivais dans l’article de l’an dernier : sécuriser vos données chez les constructeurs automobiles ? Aussi important qu’un grain de sable au milieu du Sahara pour un Inuit.

Ces informations sont ensuite revendues aux data brokers. Qui peuvent alors les combiner avec les nombreuses bases de données déjà récupérées ailleurs sur le web (légalement ou non). Le mail et les données bancaires que vous avez donnés au concessionnaire se retrouvent aussi dans une base de boutique en ligne qui dispose de l’historique de vos achats fringues et gadgets ? Paf, on a un profil plutôt complet de vous. De votre nom et prénom, à votre adresse physique, la voiture que vous conduisez, ce que vous faites durant vos temps libres et comment vous vous habillez. Plutôt précis. Sans compter que les endroits que vous fréquentez sont éventuellement dans la liste aussi (que ce soit via les déplacements de la voiture, ou depuis votre téléphone).

Incogni Infos Perso

Même en étant parano c’est compliqué de ne rien laisser filtrer. D’où l’intérêt de ne pas laisser trainer nos données déjà récupérées par l’un ou l’autre broker. Et pour y arriver sans passer des journées entières à effectuer les recherches en solo dans son coin : il y a Incogni.

Je vous ai déjà présenté le service à de multiples reprises ici, mais un petit rappel ne fait pas de mal. En vous abonnant à Incogni, vous allez lui donner l’autorisation de contacter les data brokers (il en connait quasi 200) en votre nom. Et leur demandera de retirer les informations que vous voulez voir disparaitre, en faisant valoir les lois en vigueur (RGPD & co). En quelques jours/semaines vous verrez les premières suppressions arriver dans votre tableau de bord.

Est-ce que ça marche ? Oui, en grande partie. J’ai d’ailleurs fait un retour d’expérience personnel sur plusieurs mois d’utilisation. Tous les brokers n’ont pas joué le jeu, mais la majorité l’a fait. Et je peux vous dire que j’ai senti une réelle différence dans le nombre de spams et de sollicitations que je reçois. Après je sais que j’ai un profil d’utilisateur du web plutôt « power user », avec une adresse mail qui traine partout depuis 20 ans et des centaines (et sans doute milliers) de sites testés pour vous concocter mes petits articles quotidiens pleins d’amour. Ce sera forcément moins sensible si vous apparaissez seulement dans 3 bases de données.

Le petit plus d’Incogni c’est qu’une fois qu’un broker vous a retiré de sa base, l’outil va continuer à vérifier de temps en temps que vous n’y revenez pas. Et son interface est ultra simple à prendre en main. Elle vous donnera même des informations précieuses sur l’avancée des travaux, mais aussi la dangerosité des gens qui ont rachetés vos infos.

Jusqu’ici le service de Surfshark se targue d’avoir validé plus de 20 millions de demandes de retraits. L’air de rien ça doit commencer à faire un peu moins de profils complets chez certains brokers. Continuons donc à leur mettre des bâtons dans les roues.

Découvrir Incogni !

Pourquoi vous devriez prendre un abonnement à Surfshark One

Par : Korben
21 mars 2024 à 11:05

— Article en partenariat avec Surfshark —

Salut les amis, ça chauffe du côté de la sécurité en ligne et aujourd’hui, on se plonge dans l’univers de la protection ultime avec le VPN Surfshark, particulièrement dans sa formule complète, j’ai nommé Surfshark One. Parce que Surfshark ne se tourne pas les pouces depuis 2018. C’est devenu bien plus qu’un simple bouclier VPN, c’est une armure numérique complète.

Surfshark One

En plus de s’imposer comme l’un des meilleurs VPN en termes de rapport qualité/prix, Surfshark a étoffé son arsenal. Au-dessus du simple abonnement VPN, on trouve désormais la couche de sécurité intégrale, Surfshark One. Elle comprend un antivirus (basé sur le moteur Avira), un moteur de recherche, un système d’alerte, un bloqueur de pubs, et même un outil pour créer des identités alternatives. Le tout en restant léger comme une Chantilly et gérable depuis un tableau de bord unique dont l’interface est claire et simple à prendre en main. Et bien sûr, avec des analyses manuelles ou programmables au menu.

Cette boîte à outils a pour mission de vous fournir tout ce dont vous avez besoin pour être à l’abri du plus grand nombre de menaces en ligne, tout en préservant votre vie privée. Bref, Surfshark fait le boulot à votre place. Parce que franchement, il y a mieux à faire que de traquer les risques qui pullulent sur le web au quotidien. Par exemple profiter de ce début de printemps pour admirer sa nouvelle mare.

C’est donc Surfshark qui prend le relais avec une surveillance en temps réel. Leur antivirus est en mode chien de garde numérique, mettant à jour ses listes de sites malveillants toutes les trois heures, prêt à dézinguer tout virus ou logiciel corrompu qui ose s’approcher. Il va :

  • scanner tout ce que vous téléchargez
  • garder un œil sur votre webcam pour s’assurer qu’elle n’est pas utilisée à votre insu
  • détecter le phishing et autres menaces obscures (fichiers louches dans vos mails, scareware, etc.).

Ils ont même une fonctionnalité appelée Cloud Protect, qui fouille les documents dans une zone tampon avant de les balancer sur votre machine (protection contre les menaces types zero-day).

Le moteur de recherche et le système d’alerte sont simples, mais plutôt efficaces. Le moteur vous permet de faire des recherches sans dévoiler vos infos aux moteurs classiques et sans résultats biaisés par votre historique. Le système d’alerte, lui, scrute les bas-fonds d’Internet pour voir si vos données ne trainent pas où elles ne devraient pas. Et il vous alerte illico dès qu’il sent que quelque chose cloche.

Parlons du pillage de données, cette nouvelle ruée vers l’or noir du numérique. Dans mon article précédent, je vous ai parlé de la brèche majeure datée de janvier 2024 (répondant au doux nom de « Mother of all Breaches »), qui concernait plus de 26 MILLIARDS de comptes sur toutes les plateformes les plus utilisées. Depuis ce n’est pas plus calme, avec notamment une énorme faille qui a touché plus de 33 millions de Français le mois dernier (50% de la population). Cette fois ce sont Viamedis et Almerys (opérateurs de tiers payant) qui ont subi une cyberattaque relâchant dans la nature : vos noms/prénoms, numéro de SÉCU, date de naissance, assureur et type de contrat souscrit … tout y est passé. Un mail d’alerte de Surfshark qui vous secoue dès que ça chauffe, c’est quand même bien pratique pour prendre les devants.

Autre gros avantage de Surfshark One : c’est simple à configurer et ça protège jusqu’à 5 machines chez vous. Du vieux PC familial au dernier MacBook Pro, en passant par les smartphones de la famille. Peu importe le navigateur ou le système d’exploitation, Surfshark s’adapte sans sourciller. Pas besoin de faire des choix cornéliens sur quelle machine sécuriser, protégez-les toutes en même temps. Une sacrée tranquillité d’esprit, surtout si vous avez des ados ou des parents distraits qui naviguent sur le web sans trop se poser de questions niveau sécurité.

Je ne présente pas l’outil VPN dans cet article, car je l’ai déjà fait dans d’autres billets (ici par exemple), mais il est bien évidemment inclus dans le pack Surfshark One. En plus de toutes les protections citées (antivirus, alertes, moteur, identité alternative …) vous avez donc le VPN qui vous permettra de regarder du contenu bloqué/géolocalisé, de sécuriser votre trafic en ligne et vos connexions, etc.

Et pour tester Surfshark One, c’est sans risque grâce à leur garantie satisfait ou remboursé de 30 jours. En ce moment, profitez d’une belle offre à -77% + 2 mois offerts sur l’abonnement annuel, soit environ 49$ pour 14 mois de protection (l’équivalent de 3.49$/mois). Si vous l’utilisez sur 5 machines, cela fait donc moins de 70 centimes par appareil et par mois.

Alors les amis, plus d’excuses pour ne pas essayer Surfshark One !

Un VPN est il toujours indispensable ?

Par : Korben
25 mars 2024 à 09:00

Surfshark Logo

— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Salut les amis, aujourd’hui on va plonger dans les méandres du monde numérique pour répondre à une question brûlante : est-ce que vous devez utiliser un VPN tout le temps ? Au vu de l’explosion des atteintes à la confidentialité en ligne, du nombre de fuites de données* ou de l’augmentation de la surveillance gouvernementale, il est plus que jamais utile de se munir d’outils pour se protéger.

* N’est ce pas France Travail, Urssaf et autres organismes de mutuelles ?  

Pour les nouveaux venus dans le merveilleux monde de la cybersécurité, un VPN est essentiellement un tunnel sécurisé entre votre appareil et Internet. Cela signifie que toutes vos données sont chiffrées (via algorithme AES-256 et protocoles IKEv2/IPse), ce qui rend beaucoup plus difficile pour les tiers de suivre vos activités en ligne. Tout de suite j’ai 3 raisons dans lesquelles vous devriez toujours utiliser un VPN qui me viennent en tête :

Sur les réseaux Wi-Fi publics : Lorsque vous vous connectez à un réseau Wi-Fi public dans un café, un aéroport, votre hôtel ou un AirBnB, vos données peuvent être interceptées par des pirates ou autres entités malveillantes. Utiliser un VPN protège votre trafic, assurant que même s’il est intercepté, il reste chiffré et donc inutilisable pour les attaquants.

Pour accéder au contenu géobloqué : de nombreux services en ligne restreignent leur contenu en fonction de votre emplacement géographique (les services de streaming comme Netflix ou Amazon Prime en tête). Un VPN vous permet de contourner ces restrictions en vous attribuant une adresse IP dans un pays différent, ce qui vous donne accès à un contenu qui serait normalement inaccessible depuis votre région (comme je l’ai expliqué dans mon article sur VPN et Amazon Prime Video).

Protéger votre vie privée : si vous êtes soucieux de votre vie privée en ligne, l’utilisation d’un VPN peut vous aider à rester anonyme. Votre fournisseur d’accès Internet (FAI) via le mode camouflage de Surfshark, les annonceurs et même les agences gouvernementales auront du mal à suivre vos activités en ligne. En modifiant sans cesse votre adresse IP (IP rotative), en vous créant des identités alternatives … vous diluez vos traces et les possibilités de recouper vos informations.

Surfshark VPN promo été 2023

En voilà juste 3, mais j’aurais pu en citer un tas d’autres même avec un cerveau en état de fatigue avancée :

  • Moins de ralentissements (parfois). Certains FAI limitent (limitaient ?) le débit alloué selon le service que vous utilisez (vous vous souvenez de Free et YouTube ?), le VPN permet de s’en affranchir.
  • Protéger votre famille qui s’y connait moins en sécu (surtout les enfants). Le nombre d’appareils pouvant être protégés par Surfshark est illimité et tous peuvent être utilisés simultanément. Pas de choix à faire, tout est couvert (smartphone, ordinateur, console, smart TV …)
  • Faire des économies lors de vos prochaines vacances
  • Éviter de se faire pister par les annonceurs et autres régies publicitaires (Surfshark Cleanweb)
  • Etc.

Maintenant au vu de tout ça on peut se demander s’il ne vaut pas mieux toujours avoir un VPN activé. Et bien pas forcément. Quand n’avez-vous pas besoin d’un VPN ? Lorsque vous utilisez applis et sites qui bloquent son utilisation. C’est assez souvent le cas des applications bancaires par exemple (ou PayPal). Dans ce cas vous devrez couper votre VPN ou mettre le site de votre banque en liste blanche. 

Le volume de data consommée par un smartphone pourrait être légèrement supérieur avec un VPN. Osef vous allez me dire, sauf si une débilité du genre proposition de Najat devenait concrète et pas juste un texte sortit d’une réalité alternative.

Si vous êtes déjà connecté à un réseau domestique sécurisé, l’utilisation d’un VPN peut amener plus d’inconvénients qu’autre chose (lenteurs sur certains vieux hardwares, etc.). Là c’est à vous de peser le pour et le contre en fonction de vos activités. Après il faut dire que pour l’utiliser depuis des années, Surfshark est quasi invisible, j’ai rarement expérimenté un surf lent. Surtout qu’ils sont passés sur un parc de serveurs à 10 Gb/s l’année dernière (je crois que tous ne sont pas encore améliorés, mais c’est en cours).

En fin de compte, la décision vous appartient. Comme toujours vous êtes seul maitre à bord de votre navire, c’est le bon côté de la vie parait (mais j’espère que vous savez nager). L’offre 2 ans de Surfshark VPN est actuellement à 71.45€ + 2 mois gratuits, soit moins de 2.75€/mois.

Profitez de Surfshark VPN !

Comment configurer un VPN sur Apple TV ?

Par : Korben
18 avril 2024 à 10:36

— Article en partenariat avec Surfshark VPN

Vous le savez déjà parce que je vous le répète depuis des années, mais dans notre ère numérique, protéger sa vie privée en ligne et améliorer son expérience de streaming sont essentiels. Et aujourd’hui on va voir ensemble et en détail comment le faire sur une Apple TV.

En intégrant un réseau privé virtuel (VPN) sur votre smart TV, vous débloquez tout un monde de possibilités tout en assurant un accès sécurisé et illimité au contenu. Dans cet article, je vais creuser un peu les tenants et aboutissants de la configuration d’un VPN sur l’appareil de la pomme, en mettant en lumière ses fonctionnalités, ses avantages, et les meilleures options adaptées pour une intégration transparente. Et si vous n’avez pas de TV Apple ? J’ai déjà publié un article pour Surfshark VPN et n’importe quelle smart TV.

Comprendre les VPNs et Apple TV

Qu’est-ce qu’un VPN et comment ça marche ?

En 2024 je pense que tout le monde (au moins sur mon site) sait ce qu’est un VPN, mais dans le cas contraire je vais juste rappeler qu’il s’agit d’un outil qui permet d’établir une connexion sécurisée et chiffrée entre votre appareil et internet. En faisant transiter votre trafic internet par des serveurs distants, un VPN masque votre adresse IP et chiffre vos données, garantissant ainsi anonymat et confidentialité en ligne. Ce chiffrage assure que vos activités en ligne, que ce soit le streaming, la navigation ou le gaming, restent privées et sécurisées loin des regards indiscrets. Et cela même pour votre fournisseur d’accès (grâce au mode camouflage de Surfshark).

Les fonctionnalités de l’Apple TV

Une Apple TV disposant du tvOS, c’est un peu la machine de streaming révolutionnaire par excellence. Elle proposent une multitude d’options de divertissement, avec non seulement des services de streaming, mais aussi (depuis peu) des applications et des jeux. Par contre si l’Apple TV offre un accès fluide au contenu numérique il faut reconnaitre que sa connectivité internet native manque des fonctionnalités de sécurité robustes, mais aussi du déblocage géographique qu’un VPN peut offrir. En intégrant un VPN avec votre Apple TV, vous améliorez votre expérience de streaming, accédez au contenu géorestreint, et protégez votre vie privée en ligne simultanément. Que demande le peuple ?

Bref la trousse à outils par excellence, d’ailleurs je vous ai déjà détaillé tout cela. Mais pour résumer voilà les avantages d’utiliser un VPN avec Apple TV

  • confidentialité améliorée : protégez vos activités en ligne des regards indiscrets et des potentielles violations de données en chiffrant votre trafic internet.
  • Déblocage géographique : accédez au contenu restreint par région et contournez les restrictions de censure facilement, ce qui vous permet en plus de profiter d’une gamme plus large d’options de streaming (catalogues d’autres pays … par exemple le catalogue Netflix).
  • Sécurité renforcée : protégez vos informations sensibles des hackers et des menaces en ligne en chiffrant vos données et en masquant votre adresse IP.
  • Streaming optimisé : surmontez la limitation de vitesse imposée par votre fournisseur d’accès internet et profitez d’un streaming sans tampon de vos contenus préférés, garantissant une expérience de visionnage aux petits oignons

La possibilité de combiner les 2 est encore toute chaude donc toutes les fonctionnalités classiques du VPN ne sont pas encore intégrées : c’est le cas par exemple de la fonction Cleanweb (ça aussi je vous en ai déjà parlé), du MultiHop dynamique ou encore de l’IP fixe. Ces options devraient apparaitre dans un futur plus ou moins proche, en tous cas on peut l’espérer. Et je vous en reparlerai si c’est le cas.

Avez-vous besoin d’un VPN pour votre Apple TV ?

Si vous vous demandez s’il est obligatoire d’utiliser un VPN … la réponse est non. Je ne vous regarderai pas avec moins de bienveillance (encore que …). Mais si ce n’est pas une nécessité absolue pour utiliser Apple TV, il offre quand même de sacrés avantages qui améliorent votre expérience de streaming. Surtout si vous accordez de l’importance à la confidentialité, à la sécurité, ou à l’accès à une gamme plus large de contenu. Et encore plus si vous n’êtes pas trop égoïste et que vous pensez à protéger le reste de votre famille.

Parce que je vous rappelle quand même sur Surfshark VPN supporte un nombre de connexions … illimitées et simultanées. Ce qui reste un des gros points forts de l’outil VPN du requin.

Comment configurer un VPN ?

Voilà le moment que vous attendiez tous, mettre les mains dans le cambouis ! Configurer un VPN sur votre Apple TV peut se faire de plusieurs moyens, chacun adapté à votre configuration matérielle. On va creuser le processus étape par étape, et comme vous allez le voir il n’y a vraiment rien de bien compliqué.

Si vous disposez d’une Apple TV HD ou un modèle 4K (pour les 3 premières générations, voir plus bas) : vous allez commencer par installer l’appli Surfshark sur votre appareil depuis l’App Store (Captain Obvious est parmi nous). Pour ouvrir l’appli, vous pouvez utiliser votre adresse mail habituelle ou directement votre compte Apple. Et pour la version mobile, il suffit de scanner le QR Code qui apparaitra sur l’écran. Jusque là même Mme Michu est encore dans le game.

Ensuite ? Rien, c’est fini. Ce n’est pas une démarche digne de la NASA, c’est ultra simple comme sur n’importe quel autre appareil et c’est fait exprès. Vous allez simplement vous connecter à des serveurs en choisissant un pays en fonction du catalogue de votre plateforme de streaming, du pays le plus proche, etc.

Éventuellement si vous avez des soucis de connexions, il faudra passer par les paramètres de votre Apple TV (Paramètres > Réseau > Détails de connexion > Supprimer VPN) et retenter la connexion. Et si vraiment vous avez du mal et que vous préférez voir de vos yeux comment ça marche, l’équipe a mis en place une vidéo YouTube dans laquelle on apprend que le protocole par défaut est Wireguard (bon choix).

Et si, comme je le mentionnais plus haut, vous disposez d’une télévision Apple des 3 premières générations ? Pas de panique. Elles ne supportent pas l’installation d’applis, mais il est toujours possible de passer par la fonction Smart DNS ou passer par un routeur.

Configurer un VPN sur votre routeur

  1. Accédez à la page des paramètres de votre routeur et localisez la section VPN.
  2. Entrez les identifiants VPN fournis par votre fournisseur de VPN.
  3. Enregistrez les paramètres et redémarrez votre routeur pour appliquer les modifications.
  4. Connectez votre Apple TV au réseau de routeur activé par VPN.

Configurer un routeur virtuel avec un VPN

  1. Installez un client VPN sur votre ordinateur portable ou de bureau.
  2. Configurez un routeur virtuel en utilisant les paramètres intégrés de votre appareil.
  3. Connectez le routeur virtuel à votre serveur VPN.
  4. Connectez votre Apple TV au réseau du routeur virtuel.

Configurer Smart DNS sur votre Apple TV

  1. Accédez au menu Paramètres sur votre Apple TV.
  2. Sélectionnez « Réseau » puis choisissez votre réseau Wi-Fi.
  3. Entrez les adresses DNS fournies par votre fournisseur de VPN.
  4. Enregistrez les paramètres et redémarrez votre Apple TV pour appliquer les modifications.

Comment choisir le meilleur VPN ?

Lors du choix d’un VPN pour Apple TV, prenez en compte les facteurs suivants :

  • Compatibilité : assurez-vous de la compatibilité avec les appareils Apple TV pour une intégration sans faille.
  • Vitesse et performance : optez pour un VPN avec des serveurs rapides et une latence minimale pour améliorer votre expérience de streaming. De ce côté Surfshark a frappé fort en passant la majorité de son parc de serveurs de 1Gb/s à 10 Gb/s ces derniers mois.
  • Couverture serveur : choisissez un fournisseur de VPN avec un vaste réseau de serveurs pour des capacités de déblocage géographique optimales. Ce qui vous permettra d’accéder au contenu du monde entier, mais aussi d’avoir un temps de réponse plus rapide. Surfshark c’est 3200+ serveurs dans 100+ pays.
  • Fonctionnalités de sécurité : les protocoles de chiffrement doivent être solides et reconnus (AES 256, ChaCha20, Wireguard, OpenDNS …), bouton kill switch, split tunneling, protection contre les fuites DNS sont des incontournables aujourd’hui.

Même si la plupart des fournisseurs de VPN offrent un support pour divers appareils, y compris Apple TV, c’est toujours mieux d’aller vérifier précisément si c’est vraiment le cas. Recherchez un VPN qui mentionne explicitement la compatibilité avec les appareils Apple cela vous garantira que vous n’allez pas vous retrouver dans la mouise à devoir bidouiller des solutions annexes ou demander un remboursement. Juste histoire de ne pas avoir de mauvaise surprise, on se prend déjà assez la tête ailleurs. Même si la plupart des outils proposent un remboursement sous 30 jours, vous savez comment ça se passe hein … y’a jamais de soucis pour que l’argent arrive chez eux, par contre pour le retour c’est pas toujours aussi simple. Au moins Surfshark est clair de ce côté, son outil est adapté.

Les meilleurs VPNs pour Apple TV

Alors, comme vous le savez je suis un utilisateur comblé avec Surfshark depuis plusieurs années, qui me convient très bien au quotidien avec très peu de lenteurs, etc. Mais on ne va pas se mettre des oeillères non plus et d’autres VPN font plutôt bien le taf de ce que j’en sais (mais eux sans avoir testé de manière concrète). Un petit tour rapide de quelques outils que je connais en mode bullet points (à prononcer en bon français, boulettes pwoiiiin) :

Surfshark VPN

  • Avantages : connexions simultanées illimitées, fonctionnalités de sécurité robustes, et serveurs optimisés pour le streaming.
  • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, intégration transparente, capacités de streaming améliorées, bibliothèques de contenu du monde entier …

NordVPN

  • Avantages : vaste réseau de serveurs, serveurs dédiés au streaming, et protocoles de sécurité de premier ordre.
  • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, accès illimité aux bibliothèques de contenu du monde entier.

ExpressVPN

  • Avantages : serveurs ultra-rapides, interface conviviale, et excellent support client.
  • Compatibilité : compatible avec les appareils Apple TV, streaming optimisé et des fonctionnalités de sécurité améliorées.

Et du côté des VPN gratuits ?

Vous connaissez déjà mon avis sur le sujet, oui il existe des bouses options de VPN gratuites. Le souci c’est qu’elles présentent souvent des limitations comme des quotas de données, des vitesses plus lentes, moins de serveurs et c’est blindé de pubs. Et, comme si ça ne suffisait pas, il n’y a pas non plus de niveau de sécurité minimal si vous faites attention à vos données. De plus il y a de très fortes chances que la plupart d’entre eux revendent vos données à divers organismes (il faut bien manger ma bonne dame). Si vous avez déjà essayé d’utiliser un VPN gratuit … vous savez que ça fait aussi mal que de marcher sur des tessons de bouteilles. 

Pour des performances et une sécurité optimales, investir dans un service VPN payant réputé n’est pas un luxe. Performances fiables et stables, des fonctionnalités de sécurité robustes … rien de mieux pour diminuer sa dose de stress.

Surtout au prix actuel qui reste vraiment abordable depuis plusieurs années. On parle de moins de 2.75€/mois TTC avec l’abonnement 2 ans et 2 mois. C’est vraiment pas cher si vous avez 4 ou 5 machines à protéger ou que vous avez de la famille. Et du côté du paiement, Surfshark est plutôt flexible, vous pouvez payer d’un tas de manières différentes : PayPal, carte bancaire ou de débit, Google ou Amazon Pay, et même en cryptomonnaies (l’occasion d’enfin faire quelque chose de vos Ripple ou Cardano … haha). Toujours avec la garantie de 30 jours satisfait ou remboursé.

Je n’en ai pas parlé aujourd’hui parce que c’est déjà pas mal long, mais vous pouvez aussi ajouter diverses options à votre VPN si vous voulez une protection plus complète. Surfshark One (avec son antivirus, son système d’alerte, etc.) ou la version Plus (qui intègre le service Incogni) sont aussi à votre disposition pour quelques euros de plus.

Découvrir le VPN de Surfshark !

Quels sont les différents types de data brokers et comment lutter ?

Par : Korben
25 avril 2024 à 08:00

Bannière Incogni

— Article en partenariat avec Incogni

Ah, les data brokers, ces entreprises mystérieuses dont on entend parler à peine plus souvent que de la météo sur Pluton (jamais en gros). Pourtant, ces entités obscures ont les mains (ou plutôt les serveurs) pleines de données, récoltées dans les plus sombres recoins numériques. J’ai déjà abordé le sujet sur ce site, mais comment opèrent-ils concrètement ? Voyage dans les entrailles du web pour percer le mystère des data brokers et comment lutter avec l’aide d’Incogni.

Qui sont-ils et que font-ils ?

Les data brokers, ce sont un peu les fantômes du cyberespace. On les connait rarement de nom, mais ils traquent nos traces numériques comme des chasseurs de primes à la recherche d’informations. Ils collectent des données de toutes sortes, du registre foncier à notre historique d’achat en passant par nos profils sociaux et nos activités en ligne. Une fois leur butin amassé, ils compilent le tout pour dresser un portrait-robot le plus précis possible et le revendent ou le partagent avec des tiers. Faisant de notre petite personne la cible d’un jeu de piste numérique. Tout ça pour quelques brouzoufs (enfin quelques … parfois ça peut se compter en centaines voire milliers d’euros). Le marché de la data étant en pleine phase d’expansion, ce marché juteux devrait quasiment doubler d’ici la fin de la décennie pour atteindre plus de 450 milliards de $.

Les types de data brokers

Et oui, contrairement à ce que vous pensez peut-être, tous les data brokers ne sont pas tous taillés dans le même moule. Ils offrent une variété de produits aux acheteurs. Cela va des informations financières à votre santé personnelle, en passant par le marketing et la publicité. Voici un petit tour d’horizon des espèces les plus répandues qui peuplent cet écosystème obscur.

Les brokers en recherche de personnes

Vous vous souvenez de ces annuaires téléphoniques épais et lourd comme un parpaing ? Eh bien ce type de broker fait la même chose, mais en version 2.0. Ils vous permettent de fouiller dans les profils d’autres consommateurs, de retrouver d’anciens amis ou de déterrer des secrets bien enfouis. Et pas besoin de sonner à leur porte pour qu’ils vous livrent leurs trouvailles, tout est en ligne et à portée de clic. Sans doute les brokers les plus visibles pour tous. Notamment accessibles sur des sites comme PeekYou, Spokeo ou White Pages. Une sorte de niveau 1 de l’espionnage, la base.

Les courtiers en marketing et publicité

C’est un peu comme la cour de récré pour les marketeurs. Ils segmentent les consommateurs en fonction de leur comportement et de leurs préférences, offrant des cibles sur un plateau d’argent aux annonceurs. Ils peuvent même enrichir nos profils avec des informations supplémentaires pour un ciblage ultra-précis (comme les géolocalisations ou le groupe ethnique). C’est pas cool, mais limite ce sont quasi les moins dangereux de l’histoire.

Les courtiers en informations financières

Si je vous cite des noms comme Experian, Equifax et Transunion il y a de grandes chances que cela ne vous dise rien. Pourtant, imaginez-les comme les trois mousquetaires de la data financière. Ils rassemblent tout ce qui s’y rapporte, que ce soit des rapports de crédit, des historiques de paiement et des informations sur les comptes débiteurs. Leur but ? Vendre les données aux institutions financières afin que celle-ci puisse prendre des décisions. Ils sont régis par diverses lois (notamment en Europe), mais ça ne les empêche pas de jouer les acrobates avec nos données. Un exemple concret ? Si l’on vous refuse un crédit de manière répétitive sans que vous compreniez trop pourquoi, c’est peut-être parce que les banques ont en stock vos précédents comportements et qu’ils n’ont pas assez confiance.

Les brokers en gestion des risques

Ces petits malins détectent les différentes fraudes que vous auriez pu commettre et vérifient les identités des clients en un clin d’œil. Avec des outils sophistiqués, ils peuvent traiter des millions de transactions par heure, gardant un œil vigilant sur nos activités et notre historique. Nos remboursements de crédit, nos salaires, les attestations ou amendes reçues, les découverts et autres agios, etc.

Les courtiers en santé

Ah, la santé, un sujet cher à nos cœurs et à nos portefeuilles. Ces brokers traquent par exemple nos achats de médicaments en vente libre, nos recherches sur les symptômes d’une maladie, nos abonnements à des magazines de santé, l’installation de certaines applications, etc. Ils vendent alors ces informations à des compagnies pharmaceutiques et d’assurance santé, faisant de notre bien-être une marchandise à échanger.

Mais d’où viennent ces données ?

Vous vous demandez peut-être comment ces brokers mettent la main sur nos données. Eh bien, c’est un peu comme un jeu de piste géant, avec des indices cachés dans tous les coins du web, parfois là où l’on ne s’y attend pas (voir mon article sur les différents leaks du milieu de l’automobile).

Les sources gouvernementales

Les gouvernements sont généreux avec nos informations, fournissant des données sur tout, des naissances aux décès en passant par les permis de conduire. Les data brokers se servent à pleines mains dans ce buffet à volonté de données publiques, construisant des profils détaillés sans jamais nous demander notre avis. Et je ne parle même pas de ces derniers mois ou les organismes officiels de notre cher gouvernement sont entrés en mode « grande braderie » (fuites France Travail, Urssaf, etc.). Servez-vous ma bonne dame, 80% de la population française est à portée de clavier, livrée de bon coeur.

Les sources commerciales

Les entreprises aussi sont des donneurs généreux. Elles fournissent des historiques d’achat, des données de garantie et même des informations de carte de fidélité. Et comme un bon ami qui prête sans jamais demander à être remboursé, elles donnent tout ça gracieusement aux data brokers, qui se régalent sans se poser de questions.

Les sources publiquement disponibles

Nos vies numériques (ou tout du moins une partie) sont des sortes de livres ouverts pour les data brokers. Ils parcourent nos profils sociaux, nos messages sur les forums et nos commentaires sur les blogs pour trouver des indices sur nos vies. Des enquêteurs privés, mais avec des algorithmes à la place de loupes. Le point positif c’est qu’au moins sur cet aspect nous avons notre mot à dire. Nous pouvons limiter les informations que nous partageons, utiliser des identités alternatives, sécuriser et chiffre nos échanges, etc.

Le pistage web

Et enfin, il y a le traçage en ligne, la cerise sur le gâteau des data brokers. Avec des cookies et des identifiants publicitaires, ils suivent nos moindres mouvements sur le web, collectant des informations sur nos habitudes de navigation et nos achats en ligne, récupèrent la liste des applications que nous utilisons, etc. Comme si Big Brother avait embauché des paparazzis pour nous suivre partout où nous allons. Mais là encore nous avons une part de responsabilité et nous pouvons agir de manière proactive (navigateur sans traqueurs, VPN …).

C’est déjà trop tard ?

Peut-être, mais cela peut éventuellement changer. Ils sont partout, ils savent tout, et nous, on est là, à ne pas trop savoir quoi faire. Mais nous pouvons décider d’au moins leur donner du fil à retordre. Déjà en faisant attention à ce que nous partageons en ligne, en utilisant les bons outils, etc. Et en faisant appel à un service comme Incogni pour tout ce qui est déjà dans la nature et que l’on ne peut rattraper.

Incogni, le désormais bien connu outil de Surfshark, propose un abonnement pour vous aider à nettoyer les données personnelles des bases de données des courtiers en données et des entreprises qui les stockent. Basé sur des réglementations comme le RGPD en Europe et la CCPA en Californie, Incogni impose aux courtiers en données de supprimer les informations des utilisateurs. Ces données peuvent être des choses comme vos noms, adresses, numéros de téléphone, etc.

Incogni Surfshark

Son gros avantage est de tout automatiser. Vous n’avez pas besoin de contacter chaque broker pour lui demander de vous supprimer de sa base de données. Incogni va le faire pour vous et surtout, va s’assurer que le retrait perdure. Un autre aspect intéressant du tableau de bord de l’outil est que vous allez visionner très rapidement les différents niveaux de dangerosité des courtiers. Mais aussi de connaitre le champ d’action de chacun d’entre eux et si vous trainez plutôt du côté des données de santé ou de la publicité.

Concrètement pour voir comment cela se passe, je vous redirige vers mon test Incogni sur une période d’un an. On va dire que le gros du travail se fait sur les 3 premiers mois, et qu’ensuite les récalcitrants finissent pas craquer au fil des relances du service. En ce moment ce dernier est d’ailleurs à moins de 95€ TTC par an, environ 7.8€/mois.

Essayez Incogni !

Hier — 16 mai 2024Flux principal

Protégez votre équipe avec Surfshark VPN

Par : Korben
16 mai 2024 à 08:30

Surfshark VPN

— Article en partenariat avec Surfshark

On a tendance à souvent présenter un VPN sous l’angle de la protection personnelle : comment il permet de garder nos informations privées, comment il va nous permettre d’accéder au catalogue mondial Amazon Prime, etc. On va aussi penser à la protection de toute sa famille et/ou de son parc de machines perso. On pense moins souvent à l’outil dans son application au domaine professionnel, alors que c’est tout aussi (si pas plus) important.

Surfshark VPN a récemment décidé de mettre un peu plus le focus sur cet aspect communautaire. Et après tout pourquoi pas, tous les intervenants sont gagnants (« iz a win win zituazion » comme disent les ricains). Aussi bien les entreprises qui vont du coup sécuriser leurs données et leurs employés, que ceux-ci qui auront une couche de protection offerte par la boite. C’est encore plus indispensable depuis la démocratisation du télétravail, les appareils et lieux de connexions sont beaucoup plus nombreux et variés qu’auparavant.

Et c’est d’autant plus simple à gérer avec Surfshark qu’il est le seul (avec IPVanish à ma connaissance) à proposer un abonnement qui prend en compte un nombre illimité d’appareils. Quelle que soit la taille de votre équipe (à partir de 5 personnes minimum) il n’y a pas de surcouts cachés à prévoir, de quota de trafic ou autres limitations, ce qui est plutôt appréciable. De plus il est l’un des plus flexibles du marché, il supporte toutes les plateformes et systèmes d’exploitation : Windows, macOS, Linux, Android, iOS, mais aussi la plupart des navigateurs, consoles de jeux, routeurs et autres smart TV. Téléphone, desktop, laptop ou tablette … quelle que soit la manière de travailler de chacun, il sera là.

L’interface sera toutefois légèrement différente de la version classique. Elle va permettre à un référent (le geek informaticien de la société ou le chef, à tout hasard) de superviser l’ensemble. Il disposera d’un certain nombre d’invitations, en fonction de la taille de l’abonnement, et il pourra alors donner des accès, en supprimer, gérer les droits … Ce qui permet de superviser un peu le tout sans que cela ne devienne trop le boxon. Plus d’excuse de « la mauvaise connexion » ou « je ne pouvais pas avoir accès depuis le pays ou j’étais, le site y est censuré » 😉 Avec plus de 3200 serveurs répartis dans 100 pays, quasi tous passés à des débits de 10 Gb/s, difficile de ne pas trouver ce qu’il vous faut.

L’interface pour la gestion des équipes

Bien entendu l’un des plus gros bénéfices est le même que si vous prenez Surfshark VPN en mode personnel : le chiffrement des données. Et dans le cadre d’informations d’entreprises parfois sensibles, cela peut être encore plus important. Chiffrement AES-256-GCM, protocole IKEv2/IPsec, possibilité d’utiliser OpenVPN, WireGuard ou L2TP … du côté sécurité toute la panoplie est là.

Vous bénéficiez aussi de toutes les fonctionnalités classiques (mode camouflage pour votre FAI, création d’identité alternative, multiHop, rotation d’IP, bouton kill switch, Surfshark Nexus …). Et si vous voulez encore mieux protéger votre équipe, vous avez la possibilité d’ajouter l’option Surfshark One. Cette dernière comprend un antivirus en temps réel (avec surveillance de hack potentiel de la webcam), un moteur de recherche privé (sans flicage et sans pubs), ainsi qu’un système d’alerte par mail. Celui-ci pourra s’avérer intéressant, car il va surveiller en continu les tréfonds du web pour vous prévenir si l’adresse d’un membre de votre société a fuité quelque part.

Le télétravail, meilleure invention de l’humanité

Et comme nous parlons ici d’un cadre plutôt pro, je ne dirai rien concernant les accès aux services VOD (et musique) du monde qui sont accessibles. Les connexions Surfshark ne sont pas bloquées par Netflix, YouTube, Amazon, Spotify…etc. En fonction du pays du serveur que vous choisirez, vous aurez accès à des catalogues de contenus sans restrictions géographiques. Non, n’insistez pas, je resterai motus et bouche cousue. Nada, je n’en parlerai pas. Pas envie d’avoir des soucis avec votre patron.

J’en profite d’ailleurs pour mentionner une petite nouveauté du côté de l’antivirus sur Windows, la fonctionnalité Web Protection. Celle-ci n’a rien de révolutionnaire, mais est plutôt axée pratico-pratique. Elle permet de vérifier vos logiciels et applications et scanner toutes urls avant que vous n’accédiez aux sites. Et bloquer celles qui pourraient s’avérer dangereuses, ce qui limitera les risques de phishing ou de téléchargements de malwares de la part des plus distraits.

Bref si vous cherchez à mieux protéger vos salariés adorés, vous pouvez utiliser directement le formulaire sur le site Surfshark (bouton rouge « Demander un devis ») pour recevoir une offre. Mais la démarche peut venir de votre côté si vous êtes salarié et que vous pensez que votre protection n’est pas assurée ou suffisante. N’hésitez pas à en parler avec votre boss pour attirer son attention sur le sujet.

Prenez soin de vos employés avec Surfshak VPN !

❌
❌