Everything you need to know to get started with Gemini, Google’s generative AI.

Choose your path to attracting an audience and taking advantage of SEO with this variety of digital marketing courses.

Australia is grappling with this cyber security challenge that is resulting in frequent breaches across large companies. Here are possible solutions, including how cyber security pros can help.

TechRepublic identified the top five emerging cloud technology trends that businesses in the U.K. should be aware of this year.

More remote work and a focus on resource planning are two trends driving changes in project management software in APAC and around the globe. Celoxis’ Ratnakar Gore explains how PM vendors are responding to fast-paced change.

Des chercheurs de l’Université du Michigan ont mis au point une technique absolument dingue qui permet de générer des spectrogrammes ayant l’allure d’images capables de produire des sons qui leur correspondent lorsqu’ils sont écoutés. Ils appellent cela des « images qui sonnent ».

Leur approche est simple et fonctionne sans entraînement spécifique. Elle s’appuie sur des modèles de diffusion text-to-image et text-to-spectrogram pré-entraînés, opérant dans un espace latent partagé. Durant le processus de génération, les deux modèles « débruitent » des latents partagés de manière simultanée, guidés par deux textes décrivant l’image et le son désirés.

Le résultat est bluffant ! Ça donne des spectrogrammes qui, vus comme des images, ressemblent à un château avec des tours, et écoutés comme des sons, font entendre des cloches. Ou des tigres dont les rayures cachent les motifs sonores de leurs rugissements.

Pour évaluer leur bidouille, les chercheurs ont utilisé des métriques quantitatives comme CLIP et CLAP, ainsi que des études de perception humaine. Leur méthode dépasse les approches alternatives et génère des échantillons qui collent finement aux prompts textuels dans les deux modalités. Ils montrent aussi que coloriser les spectrogrammes donne des images plus agréables à l’œil, tout en préservant l’audio.

Cette prouesse révèle qu’il existe une intersection entre la distribution des images et celle des spectrogrammes audio et en dépit de leurs différences, ils partagent des caractéristiques bas niveau comme les contours, les courbes et les coins. Cela permet de composer de façon inattendue des éléments visuels ET acoustiques, comme une ligne qui marque à la fois l’attaque d’un son de cloche et le contour d’un clocher.

Les auteurs y voient une avancée pour la génération multimodale par composition et une nouvelle forme d’expression artistique audio-visuelle. Une sorte de stéganographie qui cacherait des images dans une piste son, dévoilées uniquement lorsqu’elles sont transformées en spectrogramme.

Pour recréer cette méthode chez vous, il « suffit » d’aller sur le Github du projet et de suivre les instructions techniques.

Source

Ça y est, les amis, l’API WebNN débarque enfin en preview pour les développeurs, et croyez-moi, ça va changer totalement la manière dont on fait tourner de l’IA dans nos navigateurs web !Grâce à cette techno, on va pouvoir profiter de la puissance de nos GPU et autres accélérateurs matériels directement depuis nos pages web, sans avoir à installer le moindre plugin ou logiciel supplémentaire.

Concrètement, WebNN est une API JavaScript qui va permettre aux applications web d’exécuter des tâches d’inférence de réseaux neuronaux de manière super efficace, en exploitant à fond les capacités des CPU, GPU et autres processeurs dédiés à l’IA (les fameux NPU et TPU). Fini les calculs qui rament, bonjour la fluidité et la réactivité, même pour les modèles les plus gourmands !

WebNN est complètement agnostique côté matériel et côté modèles. Quel que soit le hardware qu’on a sous le capot (Intel, AMD, NVIDIA, Qualcomm…) et le format des modèles (ONNX, TensorFlow…), cette API va nous permettre de tirer parti un maximum des ressources disponibles, tout ça de manière transparente, sans avoir à se prendre la tête avec des lignes de code spécifiques à chaque plateforme.

Cette API suit un modèle de programmation super simple en deux grandes étapes :

• 1. La construction du modèle : on utilise l’API MLGraphBuilder pour définir notre réseau de neurones, ses opérations, ses entrées et ses sorties et une fois que c’est fait, on peut le compiler en un graphe exécutable.
• 2. L’exécution du modèle : maintenant qu’on a notre super graphe optimisé, il ne reste plus qu’à lui envoyer nos données d’entrée, et il va nous fournir ses prédictions et classifications à toute vitesse !

Grâce à WebNN, les tâches d’inférence de machine learning sont accélérées par le matériel local, ce qui offre des performances améliorées et une faible latence, même sans connexion internet ou avec une connexion non fiable. De plus, les données restent sur la machine de l’utilisateur, ce qui préserve ainsi sa vie privée.

WebNN est conçu pour fonctionner avec DirectML sur Windows, lequel assure des performances optimales sur divers matériels, notamment les RTX GPUs de NVIDIA, les Intel Core Ultra avec Intel AI Boost, et les Copilot+ PC avec des NPU Qualcomm Hexagon. Ça ouvre la porte à des applications évoluées de génération d’IA, de reconnaissance d’images, de traitement du langage naturel, et bien d’autres cas d’utilisation tout à fait passionnants.

Si vous voulez vous lancer dès maintenant avec WebNN, je vous conseille fortement de visiter le dépôt WebNN Developer Preview sur GitHub. Vous y trouverez plein de démos et d’exemples de code pour vous familiariser avec l’API et ses fonctionnalités. Par contre, vous devrez télécharger Edge en version Canary et la dernière Insider de Windows 11 puis dans la barre d’URL, tapez edge://flags/ pour pouvoir ensuite activer WebNN.

Pour plus de détails, vous pouvez consulter le tutoriel officiel de Microsoft.

Un grand merci au super neurone NexusSeven pour les sources de cet article !

Source

Et si la reconnaissance faciale devenait monnaie courante en France ? Partout où vous allez, des caméras scrutent votre visage, comparent vos traits à une gigantesque base de données, et vous identifient en temps réel. Aux chiottes l’anonymat dans l’espace public, Big Brother vous observe, tout le temps, où que vous soyez. Ça fout les jetons, pas vrai ?

Et pourtant, c’est ce genre de scénario qui risque de se concrétiser si on n’y prend pas garde. Les autorités françaises multiplient les expérimentations de technologies de surveillance plus intrusives les unes que les autres avec de la reconnaissance faciale à l’entrée des lycées, de l’analyse des comportements par vidéosurveillance algorithmique dans les gares, de l’identification des supporters dans les stades… Ça part dans tous les sens !

Alors quand il s’agit de vérifier son identité à l’aéroport pour passer plus vite ou de déverrouiller notre smartphone, pourquoi pas mais quand il s’agit d’identifier automatiquement et pister les gens à leur insu, en permanence, dans l’espace public, ça s’appelle de la surveillance de masse. Et c’est très dangereux pour nos libertés fondamentales.

C’est une atteinte disproportionnée à notre droit à la vie privée car être épié en continu, sans rien avoir à se reprocher, juste parce qu’on met le nez dehors, ça reste inacceptable dans une société démocratique et ça menace également sérieusement le droit de manifester et la liberté d’expression. Si on sait qu’on sera identifié et fiché dès qu’on participe à un rassemblement, les gens vont y réfléchir à 2 fois avant de descendre dans la rue. Bref, c’est la porte ouverte à l’autocensure et au musellement de toute contestation.

Enfin, on sait que la reconnaissance faciale est loin d’être infaillible. Elle fait beaucoup d’erreurs, surtout sur les visages noirs et métissés. Du coup, il y a un gros risque d’aggravation des discriminations et de ciblage de certaines populations. Sans parler du fait que ces outils high-tech entre les mains des régimes autoritaires, c’est un cauchemar assuré pour les opposants et les minorités…

Bref, la reconnaissance faciale appliquée à la surveillance de masse, c’est non comme l’illustre très bien le court-métrage d’Amnesty International que je vous invite à regarder :

Tout cela nous rapproche dangereusement d’une société de contrôle façon 1984 ou Minority Report et perso, c’est pas le futur dont je rêve !

Heureusement, tout n’est pas perdu puisqu’en France, la CNIL veille au grain et recadre régulièrement les velléités sécuritaires abusives du mieux qu’elle peut. Mais face à la pression et avec ses moyens limités, ça ne suffira pas. Il faudrait surtout une loi claire pour interdire purement et simplement la reconnaissance faciale à des fins d’identification dans l’espace public, autrement les garde-fous sauteront les uns après les autres.

Bref, c’est ce que réclame Amnesty International avec sa campagne lancée à l’occasion des Jeux olympiques. L’objectif, c’est de créer une prise de conscience et de pousser nos élus à légiférer avant qu’il ne soit trop tard. parce qu’une fois que la reconnaissance faciale se sera répandue comme une traînée de poudre, ce sera beaucoup plus dur de revenir en arrière…

D’ailleurs, vous pouvez aussi agir en signant la pétition d’Amnesty International pour dire « Non à la reconnaissance faciale en France »

En espérant que ce court-métrage ne devienne pas notre quotidien.

Source

Vous cherchez une manière simple et efficace de discuter avec des assistants IA directement depuis votre terminal Linux alors Elia est fait pour vous ! Cette application vous permet d’interagir avec une variété de modèles de langage comme Claude, ChatGPT, GPT-4, ou même des modèles locaux tels que Llama, Phi, Mistral ou Gemma, tout cela sans quitter votre terminal préféré.

Elia dispose donc d’une interface utilisateur minimaliste mais diablement efficace, entièrement pilotable au clavier et vos conversations sont stockées dans une base de données SQLite locale, ce qui vous permettra de reprendre vos discussions là où vous les avez laissées.

L’installation d’Elia est plutôt simple grâce à pipx et il vous faudra quelques clés d’API pour les modèles propriétaires dans vos variables d’environnement (OPENAI_API_KEY, ANTHROPIC_API_KEY, GEMINI_API_KEY).

pipx install elia-chat

Une fois installé, tapez elia dans votre terminal et vous voilà propulsé dans l’interface. Vous pouvez même lancer une discussion express en mode « inline » directement sous votre prompt avec l’option -i :

elia -i "Raconte-moi une blague sur Linux !"

Pour spécifier un modèle LLM particulier, c’est avec l’option -m :

elia -m gpt-4o

Comme je le disais au début, l’outil est aussi compatible avec les modèles open source comme Llama. Il vous suffit d’installer ollama, de télécharger le modèle voulu, de lancer le serveur ollama en local et d’ajouter le modèle au fichier de configuration d’Elia. Et voilà, vous pouvez discuter avec une IA 100% libre.

La config se fait via un fichier texte tout ce qu’il y a de plus basique. C’est là que vous pourrez ajouter vos différents modèles, spécifier celui à utiliser par défaut, personnaliser le prompt système ou encore choisir le thème de coloration syntaxique pour vos bouts de code.

Un exemple de fichier de config :

default_model = "gpt-4"
system_prompt = "Tu es un assistant serviable qui parle comme un pirate." message_code_theme = "dracula"

[[models]]

name = "ollama/llama3"

[[models]] 
name = "openai/mon-modele" 
api_base = "http://localhost:8080/v1" 
api_key = "ma-cle-api-si-besoin"

Évidemment, ce n’est pas aussi complet qu’une interface web de ChatGPT et on ne peut pas changer les raccourcis clavier, mais l’essentiel est là.

D’ailleurs, sachez qu’Elia vous permet d’importer facilement vos conversations depuis l’interface web de ChatGPT. Pratique pour retrouver tous vos échanges au même endroit. Il suffit d’exporter l’historique au format JSON depuis ChatGPT, puis de taper :

elia import 'chemin/vers/conversations.json'

Et hop, toutes vos conversations sont là, prêtes à être poursuivies depuis votre terminal.

Un dernier petit conseil avant de vous laisser jouer avec votre nouveau copain : si à un moment donné les choses dérapent et que le LLM commence à délirer (ça arrive même aux meilleurs), n’hésitez pas à lui remettre les idées en place avec un bon gros reset :

elia reset

Voilà, vous savez tout (ou presque) sur ce logiciel… Vous allez pouvoir refaire le monde, le tout sans quitter votre shell adoré. Que demande le peuple ?

Source

Vous cherchez une méthode simple et efficace pour raccourcir vos URLs tout en gardant un œil sur les statistiques ? Sink peut vous aider ! Ce raccourcisseur d’URL nouvelle génération combine simplicité d’utilisation, rapidité et sécurité, et il est entièrement déployable sur Cloudflare, donc pas besoin de gérer de serveurs !

Avec cet outil, les URLs longues et illisibles laissent la place à des liens propres et mémorisables, que vous pouvez personnaliser avec vos slugs comme bon vous semble. Et si l’inspiration vous manque, pas de souci puisque Sink dispose d’un assistant IA intégré pour vous suggérer des slugs intelligents basés sur le contenu de votre page.

Maintenant parlons analytics… Avec Sink, vous pouvez suivre les statistiques de vos liens comme un pro : Combien de clics, d’où viennent-ils, à quelle heure sont-ils arrivés…etc, vous aurez toutes les stats pour frimer (ou optimiser vos campagnes, au choix).

Sink utilise les dernières technologies à la mode :

• Nuxt pour le framework
• Cloudflare Workers KV pour la base de données
• Cloudflare Workers Analytics Engine pour les analytiques
• Shadcn-vue pour les composants d’interface
• Tailwind CSS pour le style
• Et bien sûr, le tout est déployé sur Cloudflare !

Avec un combo pareil, vous êtes parés à affronter le trafic le plus intense et vos liens tiendront la route !

En plus c’est open source, alors pourquoi hésiter ?

Pour déployer cet outil, c’est simple :

Étape 1 – Forkez le Dépôt
1. Rendez-vous sur la page GitHub de Sink.
2. Cliquez sur le bouton « Fork » en haut à droite pour forker le dépôt dans votre propre compte GitHub.

Étape 2 – Créez un Projet Cloudflare Pages
1. Accédez à Cloudflare Pages.
2. Cliquez sur « Create a project ».
3. Sélectionnez le dépôt « Sink » forké précédemment.
4. Choisissez le preset « Nuxt.js ».

Étape 3 – Configurez les Variables d’Environnement
Ajoutez les variables environnementales suivantes :
– NUXT_SITE_TOKEN : configurez un token de site supérieur à 8 caractères.
– NUXT_CF_ACCOUNT_ID : trouvez votre Cloudflare Account ID ici.
– NUXT_CF_API_TOKEN : générez un token d’API Cloudflare avec les permissions nécessaires en suivant ce guide.

Étape 4 – Déploiement Initial
Cliquez sur « Save and deploy ». Si le déploiement échoue, annulez-le et passez à l’étape suivante.

Étape 5 – Configurez les Fonctionnalités

1. Allez dans Settings -> Functions dans Cloudflare Pages.
2. KV namespace bindings : Associez KV à une namespace KV existante ou nouvelle.
3. Workers AI Bindings (optionnel) : Associez AI au catalogue Workers AI.
4. Analytics Engine Binding : Associez ANALYTICS au dataset sink et activez le Cloudflare Analytics Engine Beta pour votre compte.

Étape 6 – Redéployez le Projet : Après avoir configuré les bindings, redéployez le projet depuis Cloudflare Pages.

Étape 7 : y’a plus qu’à accédez à votre tableau de bord déployé, à raccourcir un lien en utilisant l’interface, à le personnaliser avec un slug, à le diffuser puis à consulter l’analytique de vos liens pour suivre les clics et l’engagement.

Pour tester Sink c’est par ici !

Imagine strapping a stylish mini flashlight to your wrist. That’s the magic of Ceralume, IWC Schaffhausen’s innovative luminous ceramic technology. Developed by the tech experts at IWC’s XPL division, Ceralume combines ceramic powders with high-grade Super-LumiNova pigments. These pigments absorb light and emit it, ensuring your watch glows brightly for over 24 hours in the dark. Whether navigating a dark trail or trying to find your keys at night, your watch has got you covered.

Designer: IWC Schaffhausen

Revolutionary Material and Engineering

Ceralume is a cut above the rest when it comes to ceramics. Traditional ceramics are already lightweight, incredibly hard, and highly resistant to scratches. However, IWC has taken things further by incorporating Super-LumiNova pigments, enhancing durability and luminescence. Achieving a perfect blend of these materials posed a significant challenge. Think about trying to mix the finest flour with sparkly glitter—it’s not easy. IWC’s engineers developed a custom ball milling process to ensure a perfect mix.

Once the mix’s perfected, the ceramic gets heated in a kiln through sintering to turn it into a solid block. This step has to be precise to retain the luminescent properties without compromising the ceramic’s strength. The final stage involved grinding the ceramic to achieve the desired finish, ensuring it was both tough and brilliantly luminous. This meticulous process highlights IWC’s commitment to innovation and quality in watchmaking.

Enhanced Functionality and Aesthetics

Super-LumiNova pigments are incredibly effective. They absorb light from any source—sunlight, indoor lighting, you name it—and then emit it as a bright, blueish glow in the dark. These pigments can keep glowing indefinitely without degrading. As long as your Ceralume watch is exposed to light, it will continue to shine.

The luminous effect adds practicality and enhances the watch’s aesthetic appeal. Your watch will be highly visible and easily read in low-light conditions. Whether you’re at a dimly lit restaurant or on a night hike, the bright blueish glow makes a striking impression. The luminous properties add a unique visual effect that sets these watches apart from traditional ceramics, blending advanced technology with elegant design. It’s a testament to IWC’s innovative approach to combining functionality with style.

Future Implications and Developments

Ceralume represents a significant milestone for IWC Schaffhausen, paving the way for future innovations in luxury watchmaking. This patent-pending technology will be the foundation for new models, allowing IWC to continue its legacy of pioneering advancements in watch materials. The ability to produce fully luminous ceramic watch cases opens up exciting possibilities for design and functionality, providing watch enthusiasts with practical and visually stunning timepieces.

IWC’s first fully luminous ceramic concept watch, the Pilot’s Watch Chronograph 41, showcases the potential of Ceralume. It perfectly blends functionality and style with a glowing ceramic case, a white luminescent dial, and a rubber strap enriched with Super-LumiNova pigments. This watch makes a bold statement and signals IWC’s commitment to innovation and trend-setting in the watchmaking industry.

Looking ahead, IWC’s continued research and development in luminescent ceramics promise even more breakthroughs. Combining advanced materials with innovative manufacturing processes, IWC remains at the forefront of luxury watchmaking. They are setting new standards for durability, functionality, and design. As IWC continues to explore the potential of Ceralume, watch enthusiasts can expect more exciting developments and exceptional timepieces that reflect the brand’s commitment to excellence. So, next time you’re considering a new watch, think about one that lights up your world.

The post IWC’s Ceralume and the Future of Glowing Watch Technology first appeared on Yanko Design.

AI in the design process reshapes the industry, and BMW’s Designworks studio leads this transformation. AI tools like MidJourney, Runway, and Kaiber enhance how designers generate images, create animations, and develop textures inspired by nature and existing designs. This shift streamlines workflows and democratizes creativity, making it easier for designers to visualize and iterate on ideas quickly.

Designer: BMW Designworks

Revolutionizing Workflow and Democratizing Creativity

These AI tools have become essential in BMW’s Designworks studio. They allow the generation of images, animations, and textures that would otherwise require labor-intensive traditional methods. By leveraging AI, designers can explore creative possibilities quickly and efficiently, significantly reducing the time and effort needed to bring concepts to life.

Traditionally, creating a new design involves numerous steps: sketching, modeling, rendering, and iterating based on feedback. Each of these steps can be time-consuming and resource-intensive. However, with AI, designers can input parameters or a simple sketch and receive multiple fully realized design options within minutes. This rapid iteration capability allows for more experimentation and refinement, leading to higher quality and more innovative designs.

AI democratizes creativity by enabling designers with varying skill sets to contribute effectively to projects. Even those without extensive experience in animation or 3D modeling can produce compelling visual content. This inclusivity fosters a more collaborative environment where team members can present fully visualized ideas during brainstorming sessions, resulting in a more productive and innovative development process.

At BMW’s Designworks, this collaborative spirit is evident. Team members from different disciplines—industrial design, UI/UX, and creative consulting—can all contribute to the design process. AI tools bridge the gap between these disciplines, allowing for a unified creative vision. During brainstorming sessions, designers can bring AI-generated visuals to the table, enabling more effective communication and collaboration. This speeds up decision-making and ensures that the final design is holistic and well-rounded.

Inspiration, Innovation, and Practical Applications

AI-generated content provides unique sources of inspiration that traditional methods often miss. This capability helps designers think outside the box and push the boundaries of conventional design. For instance, AI can blend textures, materials, and shapes in ways that might not occur to a human designer, leading to innovative and unexpected results.

While AI tools are powerful, human designers’ creative input and oversight remain essential. AI serves to augment human creativity, not replace it. Designers at BMW’s Designworks use AI as a starting point, a source of inspiration that can be further refined and developed. This synergy between AI and human creativity ensures the final product is technologically advanced and artistically inspired.

One illustrative example is the use of AI in automotive design. AI tools are employed to design various aspects of BMW vehicles, including both interiors and exteriors, emphasizing the integration of all elements. By visualizing how different materials and textures can be blended, AI helps create cohesive and aesthetically pleasing designs. This approach enhances the vehicle’s visual appeal and aligns with BMW’s commitment to sustainability and innovation.

The practical application of AI tools is evident in various projects at BMW’s Designworks. For example, the design team often demonstrates how tools like MidJourney and Runway create design elements. They might show how an AI-generated texture can be applied to a vehicle interior or how an animated sequence can bring a design concept to life. These demonstrations provide tangible insight into AI’s capabilities and how it enhances the design process.

Technological Advancements, Competitive Advantage, and Future Outlook

AI development is rapid, with new tools and updates released frequently. This requires designers to continually update and integrate these new capabilities into their workflows. Designworks continuously explores and adopts the latest AI technologies to maintain a competitive edge.

The competitive advantage that AI provides BMW is multifaceted. First, the ability to rapidly generate and iterate on design ideas allows BMW to stay ahead of market trends and respond quickly to changing consumer preferences. This agility is crucial in the highly competitive automotive industry, where innovation and timely market entry can be decisive success factors.

Second, the democratization of creativity means that BMW can leverage the full potential of its design team, harnessing diverse perspectives and talents to create more innovative and appealing designs. This inclusive approach fosters a more dynamic and creative work environment and leads to designs that resonate more deeply with a broader range of customers.

Third, integrating AI in the design process enhances the quality and precision of BMW’s vehicles. AI tools can analyze vast amounts of data and generate optimized performance, aesthetics, and sustainability designs. This results in cars that are not only visually stunning but also technically superior, reinforcing BMW’s reputation for excellence and innovation.

The future outlook for AI in design is promising. As AI tools become more sophisticated, their integration into the design process will become even more seamless. Designers will have access to more advanced capabilities to create more complex and refined designs. This evolution will likely lead to even greater innovation and efficiency in the design process.

BMW’s Designworks studio illustrates how AI can transform the design process. By leveraging advanced tools like MidJourney, Runway, and Kaiber, the studio has improved its workflows, democratized creativity, and fostered a more collaborative environment. AI-generated content provides unique sources of inspiration, while the rapid development of AI technologies ensures that designers can continue to innovate and push the boundaries of conventional design. As AI tools become more integrated into the design process, the future of design at BMW’s Designworks looks brighter and more exciting than ever.

In embracing AI, BMW stays at the cutting edge of automotive design and secures its position as a leader in innovation, creativity, and excellence in the automotive industry.

The post How BMW’s Designworks Transforms Automotive Design Using AI Tools first appeared on Yanko Design.

Orange juice is great for you. It’s packed with Vitamin C, antioxidants, citric acid, and anti-inflammatory compounds. The problem is that juicing an orange is a little more annoying than it should be. You need to cut the oranges, manually juice each cut half, strain the pulp, and then wash your hands because you got juice all over them. It takes way too long to get one glass of OJ and you end up smelling like oranges in the process. It’s much more convenient to buy a carton of orange juice, and that’s quite a shame… Which is why a Barcelona-based startup Citring designed the Citring One, a citrus juicer that works about as fast as a Keurig or a Nespresso takes to make coffee. Just add the oranges, press a button, and you’ve got yourself a glass of fresh juice. Sounds too good to be true, right?

Designer: Citring

Click Here to Buy Now: $289 $409 (30% off). Hurry, only 42/150 left! Raised over $100,000.

Well, if you think of how Nespresso and Keurig made coffee-brewing as simple as inserting a pod and hitting a button, the Citring One does the same for all citrus-based fruits. About the size of a coffee maker, the Citring One squeezes and juices 3 fruits at a time, eliminating the need for elbow grease, straining pulp, and cleaning yourself up after. Just open the lid and insert up to 3 whole citrus fruits in the silicon container. Shut the lid, place a glass under the dispenser, and hit the button on the Citring One. Once you do, something rather interesting happens. A slicer ascends upwards, guillotining the fruit into two halves, before using compressed air to press into the cut fruit and squeeze its juice out. Juice is dispensed to your glass through the same silicone container, so there is no need to clean any additional parts.

The entire process is absolutely foolproof because you don’t need to do anything at all. The Citring One cuts and juices your fruit for you, giving you empty hemispheres of squeezed fruit that you can then throw away. The interface has all but one button, so you don’t need to worry about any settings, modes, or a smartphone app that tells you how much Vitamin C intake you’ve had all day. Drinking juice is good for you and the simpler the process the better. Every few uses, the BPA-free food-grade silicone containers inside the Citring One can be removed and rinsed under running water or in your dishwasher. The technology under its hood is impressive, and the overall product even secured an iF Design Award this year for how simple and foolproof it is.

Aside from being a little larger than your citrus juicer or even your blender, the Citring One does sport a $289 price tag which would make anyone reconsider… But think about a few things. You’d pay the same amount for a coffee machine, so why not a juicer? After all, juice is great for you. Secondly, those cartons of juice are filled with more sugar than fruit, and the costs add up when you end up buying a carton every week. Fresh fruit (especially from a farmer’s market) is a lot cheaper, and actually helps you regulate how much added sugar you consume in a day. Moreover, the Citring One works with other citrus fruits too, from lemons and limes to grapefruits, tangerines, mandarins, blood oranges, etc. It’s perfect for people who love consuming fruit, and just personally, makes for a great addition at juice cafes or restaurants/canteens wanting to offer juice that doesn’t get fresher than this. The Citring One comes in 2 colors, an all-black version and a stormtrooper black + white variant, and ships globally.

Click Here to Buy Now: $289 $409 (30% off). Hurry, only 42/150 left! Raised over $100,000.

The post This Juicer gives you Fresh Squeezed Orange Juice in Less Time than it takes to Brew Coffee first appeared on Yanko Design.

The meteoric rise of On Cloud shoes in the athletic footwear market is attributed to their revolutionary CloudTec technology, offering soft cushioning and energy return combined with lightweight and stylish designs. These shoes provide exceptional versatility across various terrains, making them suitable for road running, trail running, and everyday wear. Strategic partnerships with high-profile athletes and a solid commitment to sustainability through initiatives like the Cyclon program and CleanCloud technology further boost their appeal. My family’s personal experiences with the durability and comfort of On Cloud shoes underscore their exceptional craftsmanship and high-quality materials, solidifying their reputation as a trusted choice for performance and casual use.

Designer: On + Roger Federer

Technology Making Every Step Feel Like a Cloud

CloudTec technology sets On Cloud shoes apart from other running shoes. Imagine stepping on tiny, soft clouds every time you walk or run. That’s the magic of CloudTec! This innovative technology is at the heart of every On Cloud shoe, providing runners and walkers with an outstanding comfort and performance experience. 

When you look at On Cloud shoes, you’ll notice the distinctive “cloud” pods on the bottom. These hollow pods act like tiny bubbles. As you walk or run, these pods compress and squish down, making your landing soft and gentle, like stepping on a cushion. This is especially noticeable in models like the On Cloud 5 and the Cloud X, where the pods are designed to absorb impact effectively, reducing the strain on your feet and legs.

But the magic doesn’t stop there. After the pods compress during your landing, they quickly bounce back to their original shape when you push off with your toes for your next step. This bounce gives you a little extra spring in your step, helping you move forward more quickly. This feature is particularly beneficial in On Cloudflow, a shoe runners favor for its responsive and energetic feel during fast-paced runs.

CloudTec’s ability to provide soft landings and bouncy takeoffs makes it unique. Traditional running shoes might feel hard or stiff when you land, but CloudTec ensures that every step is cushioned. At the same time, the bounce helps you propel forward, enhancing your performance without compromising comfort. The Cloudflyer model, designed for stability and support, showcases how CloudTec can adapt to different running needs while offering that cloud-like feel.

This technology enhances both comfort and performance. For example, the Cloudswift features CloudTec combined with Helion super foam, providing a smooth, comfortable ride with excellent energy return. Whether training for a marathon or just enjoying a leisurely walk, the soft landings protect your joints, while the responsive takeoffs boost your performance.

Lightweight and Minimalist Design Allows For Speed and Agility in Every Step

In addition to their innovative CloudTec technology, On Cloud shoes are renowned for their lightweight and minimalist design. This design philosophy is perfect for modern runners who value speed and agility. On Cloud shoes are built to be incredibly light, using materials that reduce weight without sacrificing support or durability.

For instance, the On Cloud 5 is one of the lightest models in the lineup, making it ideal for everyday wear and casual runs. Its minimalist design means that it lacks the bulky, heavy materials found in traditional running shoes, allowing runners to feel faster and more agile. This lightness doesn’t come at the expense of support, as each shoe is carefully engineered to provide the stability and structure needed for a comfortable run.

The aesthetics of On Cloud shoes also play a significant role in their popularity. They come in various stylish colors and sleek designs, appealing to those who want their running shoes to look as good as they feel. The Cloud X, for example, offers a range of vibrant color options that stand out whether you’re running in the park or walking around town. The attention to design detail extends to small features like reflective decals for added visibility and a tiny Swiss flag on the rear of the right shoe, showcasing their Swiss heritage.

Depending on where you live and the local climate, you might prefer the waterproof versions of On Cloud shoes. Models like the Cloudventure Waterproof are designed to keep your feet dry during wet weather runs. While these waterproof versions gain a little weight and sacrifice some breathability, they provide excellent protection against the elements, ensuring your socks and feet stay dry, which can make a big difference in comfort and performance during a rainy run.

The lightweight construction and eye-catching design make On Cloud shoes functional and fashionable. Whether you prefer the bold colors of the Cloudflow or the classic look of the Cloud, there’s a design to match every style. This blend of performance and aesthetics ensures that On Cloud shoes remain a top choice for runners and casual wearers.

Versatility Across All Terrain Lets You Conquer Roads and Trails Alike

Transitioning to the versatility of On Cloud shoes, it’s evident that they are designed to handle a variety of terrains, both on and off the trails. This adaptability is a key factor in their widespread popularity among runners and outdoor enthusiasts. Whether you’re pounding the pavement, navigating rocky trails, or enjoying a mix of both, On Cloud shoes have got you covered.

Models like the Cloudventure are specifically engineered for trail running, offering excellent grip and stability on uneven surfaces. The aggressive outsole design ensures that you maintain traction, even on slippery or loose ground. The Cloudventure’s durable construction and protective features make it ideal for tackling rugged terrain, providing confidence and support with every step.

For those who prefer road running, the On Cloudstratus offers a smooth and stable ride on paved surfaces. Its double layer of CloudTec cushioning absorbs impact effectively, making long runs on hard surfaces more comfortable. The Cloudstratus also features a responsive Speedboard that enhances your stride efficiency, making it a favorite for distance runners.

But the flexibility of On Cloud shoes extends beyond running. The Cloudultra is perfect for those who enjoy a mix of activities, from trail running to hiking to casual wear. Its adaptable design and superior comfort make it a great choice for any outdoor adventure. Whether you’re exploring new trails or simply walking around town, the Cloudultra provides the support and cushioning you need.

This versatility ensures that On Cloud shoes are not confined to a single type of activity or terrain. They are built to transition seamlessly between different environments, making them a reliable choice for outdoor pursuits. With On Cloud shoes, you can confidently tackle any adventure, knowing that your footwear is designed to perform, no matter where your journey takes you.

The Influencer Effect and Celebrity Endorsements: Boosting Popularity

Another significant factor contributing to the popularity of On Cloud shoes is the influence of celebrities and social media endorsements. Strategic partnerships with well-known athletes and influencers have significantly boosted the brand’s visibility and popularity. The involvement of notable tennis players in product development showcases On’s commitment to performance and innovation.

Roger Federer, a co-entrepreneur and investor in On since 2019, plays a significant role beyond mere sponsorship. He collaborates closely with the company’s founders and product development teams, bringing his extensive experience and insights to enhance On’s products and marketing strategies. This partnership began organically when Federer was seen wearing On shoes, leading to a deeper involvement due to shared values and a passion for innovation. One notable outcome of this collaboration is “THE ROGER” series, a tennis-inspired sneaker line that combines Swiss engineering with Federer’s input to deliver high performance and comfort.

Federer’s involvement was a strategic move that paid off significantly. He spent 20 days in the lab with the On team, developing the pro tennis shoe to meet his high standards. This hands-on approach allowed Federer to contribute directly to the design and functionality of the shoes, ensuring they met the demands of professional athletes.

Building on Federer’s influence, On has recently signed world No. 1 Iga Świątek and American rising star Ben Shelton. Świątek, a three-time Grand Slam champion, is the first female tennis player to join On. She will wear On’s tennis shoes and apparel and contribute her ideas to developing new products tailored to athletes’ needs. Świątek’s endorsement aligns with On’s core values and commitment to supporting top-tier athletes.

Ben Shelton, known for his athleticism and power, also joins On as the brand’s first male tennis player. His early success, including reaching the quarterfinals at the Australian Open and winning the Japan Open, underscores his potential. Shelton’s partnership with On allows him to grow with a company making significant strides in the tennis world.

These endorsements highlight On’s strategy to integrate athlete feedback into their product development, ensuring their offerings meet the highest performance and innovation standards. This approach enhances On’s reputation in the sports industry and helps them create products that resonate with both professional athletes and everyday users.

Commitment to Sustainability

On Cloud’s commitment to sustainability is a core aspect of its brand identity, driving innovation in product design and corporate practices. The company has implemented several groundbreaking initiatives to reduce its environmental footprint and promote a circular economy.

One of the flagship sustainability projects is the Cyclon program, which exemplifies On’s dedication to circularity. This program offers high-performance gear designed to be fully recyclable. A prime example is the Cloudneo shoe, which is made from over 50% castor beans. Instead of purchasing the shoe outright, customers subscribe to it. When the shoes are worn out, they return them to On, where the materials are recycled into new products. This model reduces waste and ensures that materials are continually reused, aligning with the principles of a circular economy. The Cyclon-T, a performance tee made with over 90% bio-based materials, is another product in this line, showcasing On’s commitment to renewable resources.

In addition to the Cyclon program, On has developed CleanCloud technology, which transforms carbon emissions into high-performance materials. The Cloudprime shoe is a notable product from this initiative, featuring an EVA foam sole made with 51% CO2. This innovative approach captures carbon emissions, converts them into ethanol, and transforms them into various materials used in footwear and apparel. This process helps reduce atmospheric CO2 and sets a new standard for sustainable material production in the industry.

On Running also focuses on sustainable production practices across its entire product line. The company is working towards eliminating petrol-based materials and replacing them with fossil-free alternatives. The CleanCloud fabric in their Pace collection incorporates 20% recycled carbon emissions, demonstrating how On integrates sustainability into its apparel line.

Moreover, On has launched re-commerce platforms like Onward to extend the lifecycle of its products. This initiative allows customers to return used gear, which is then refurbished and resold, reducing waste and promoting a culture of reuse. On’s commitment to sustainability is further evidenced by its ongoing efforts to improve the production processes of its core technologies, such as the Speedboard, to minimize waste and emissions.

By integrating sustainable practices into every aspect of their business, from material selection to production and end-of-life recycling, On Running addresses the environmental impact of their products and leads the industry in eco-friendly innovation. This holistic approach ensures that On’s products meet the highest performance standards while supporting a more sustainable future for the planet.

Exceptional Craftsmanship and Quality Materials

On’s dedication to exceptional craftsmanship and the use of high-quality materials sets it apart in the athletic footwear industry. This commitment is evident in its advanced technologies, sustainable practices, and user experiences, which speak volumes about the brand’s reliability and performance.

From my own experience, On Cloud shoes have consistently delivered on their promise of comfort and durability. I own a pair of On Cloud 5 Waterproof shoes, which have served me well in various weather conditions. Initially, these shoes provided excellent waterproofing and support during my runs, keeping my feet dry and comfortable even in wet conditions. Over time, as they transitioned from my go-to running shoes to my yard shoes, their durability continued to impress me, showcasing the long-lasting quality of On’s materials and construction.

My wife shares a similar appreciation for On Cloud shoes. She primarily wears the Cloud 5 model for her daily activities and workouts. The lightweight design and superior cushioning of the CloudTec technology make them her preferred choice for short runs and long walks. The breathability and comfort provided by these shoes have enhanced her overall experience, making them an indispensable part of her active lifestyle.

Our 13-year-old daughter is also a fan of On Running. She owns a pair of On Cloud 5 All Terrain and proper tennis shoes, perfect for her adventurous spirit. Whether she’s running on trails or competing in tennis matches, these shoes provide the necessary grip and stability to keep her safe and comfortable. The stylish design also appeals to her, making them a hit among her friends and peers.

Between the three of us, we own seven pairs of On Running shoes, each serving a unique purpose yet all sharing the same high quality and performance standards. The variety in On’s lineup—from specialized tennis shoes to versatile all-terrain options—ensures that every family member can find a model that fits their needs.

On Cloud’s exceptional craftsmanship and use of high-quality materials are reflected in the positive experiences my family and I have had with their products. From the durability of the Cloud 5 Waterproof shoes to the comfort of the Cloud 5 and the versatility of the All Terrain model, On Running has proven to be a reliable and preferred brand in our household.

The post Unveiling the Popularity of On Cloud Shoes: Why Everyone Loves Them first appeared on Yanko Design.

Vous rêvez de créer des visuels de fou pour vos réseaux sociaux ?

Ne cherchez plus, SocialScreenshots est là ! Développé par Gabriel, un jeune développeur toulousain de 29 ans, cet outil ingénieux vous permet de capturer, recadrer et améliorer vos captures d’écran en quelques clics, directement depuis votre navigateur.

Inspiré par l’interface de Screen Studio, Gab a développé son site uniquement avec ReactJS et canvas, en créant lui-même tout l’habillage et le résultat est très sympa !

Grâce à ce site, vous pouvez créer un screenshot directement depuis un site web, puis le recadrer automatiquement au format voulu (Pour X, Facebook, Instagram, Linkedin et les résolutions d’écran classiques), et l’améliorer grâce à l’éditeur afin d’obtenir des rendus dignes d’un graphiste en herbe en ajoutant une ombre, en arrondissant les coins, et en choisissant un joli fond ou un dégradé pour l’arrière-plan.

C’est gratuit, y’a pas de filigrane ni de limite de temps, vous n’avez rien à installer et pas même besoin de créer un compte. Et toutes les manipulations se font localement dans votre navigateur, pour un maximum de simplicité et de confidentialité.

À découvrir ici

Des chercheurs de l’Université de Chicago ont voulu tester les capacités de GPT-4 dans le domaine de l’analyse financière, et pas n’importe quelle analyse hein, ils sont allés directement au cœur du sujet à savoir la prédiction des bénéfices futurs des entreprises à partir de leurs états financiers !

Normalement, c’est un boulot d’expert réservé aux analystes financiers chevronnés, car il faut savoir décortiquer les bilans comptables, calculer des ratios clés, interpréter des tendances… Bref, c’est complexe et les machines n’étaient pas vraiment censées rivaliser avec le flair et l’expérience des pros.

Sauf que… Surprise ! Les résultats de l’étude sont bluffants.

GPT-4, sans aucune formation spécifique, s’est révélé meilleur que la moyenne des analystes humains pour prédire si les bénéfices allaient augmenter ou baisser ! L’IA a même fait jeu égal avec les modèles de machine learning spécialisés, entraînés pendant des heures sur des tonnes de données financières. Pas mal comme performance !

Pour y parvenir, les chercheurs ont préparé des données en anonymisant les états financiers comme ça, pas moyen pour GPT-4 de tricher en allant piocher dans sa mémoire. Il a donc dû se débrouiller comme un grand, en analysant uniquement les chiffres fournis… Il repère les tendances clés, calcule les bons ratios, interprète finement les résultats… bref, il effectue un vrai travail d’analyste !

Les chercheurs ont même montré qu’un réseau de neurones entraîné uniquement sur les commentaires fournis par GPT-4 arrivait à prédire les bénéfices presque aussi bien que l’IA elle-même.

Évidemment, GPT-4 a encore du mal avec les cas tordus, genre les petites boîtes qui font des pertes et les analystes humains gardent un avantage quand ils ont accès à des infos « soft » en plus des chiffres, donc rassurez-vous l’IA ne va pas piquer leur job demain (mais après-demain ?).

N’empêche, ces résultats ouvrent des perspectives plutôt excitantes ! Premièrement, ça pourrait démocratiser l’analyse financière en la rendant accessible au grand public. Deuxièmement, les hedge funds pourraient utiliser GPT-4 pour détecter des opportunités d’investissement.

Les chercheurs ont d’ailleurs testé une stratégie de trading basée sur les prédictions de l’IA, et ça marche plutôt bien ! L’étude montre que la stratégie « long short » basée sur les prédictions de GPT-4 génère des rendements supérieurs au marché, avec des ratios de Sharpe et des alphas significatifs. L’IA semble particulièrement douée pour dénicher de la valeur dans les petites capitalisations, là où les analystes humains et même les réseaux de neurones traditionnels ont plus de mal.

Mais attention, il faut rester prudent. Une IA qui joue en bourse, ça peut être risqué et il va falloir plus de garde-fous. Et puis n’oublions pas que ça reste une étude expérimentale et pas la réalité du terrain.

Mais je trouvais ça assez cool pour vous en parler.

Source

The EU AI Hub, launched by AI security firm Cranium with KPMG and Microsoft, provides businesses with the tools and expertise they need to ensure their AI offerings are compliant with new regulations.

Major breakthroughs were made in global nations’ AI safety commitments, AI safety institutes, research grants and AI risk thresholds at this month’s AI Seoul Summit.

Cisco’s Splunk acquisition was finalised in March 2024. Splunk’s Craig Bates says the combined offering could enhance observability and put data to work for security professionals in an age of AI threat defence.