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ChatGPT parent company OpenAI is in talks for a $100 billion funding round — setting the stage for a $1 trillion IPO filing in 2026

OpenAI is reportedly in initial talks with investors to raise funds, which could push its market valuation to approximately $750 billion.

ANKARA, TURKIYE - AUGUST 13: In this photo illustration, the logo of OpenAI logo is being displayed on a mobile phone screen in front of another screen displaying a robotic hand, in Ankara, Turkiye on August 13, 2025. (Photo by Ismail Aslandag/Anadolu via Getty Images)

OpenAI just made ChatGPT images 4x faster and easier on the eyes — now CEO Sam Altman faces the GPU crunch

OpenAI has unveiled ChatGPT Images with new capabilities, which Sam Altman described as “something fun.” The update promises greater precision, enhanced creativity, and is said to be four times faster.

OpenAI logo with ChatGPT images promotional video screencap

Docker offre ses images blindées à tout le monde - Enfin un peu de sécu sans vendre un rein

Si vous utilisez des conteneurs Docker au quotidien, vous allez sauter de joie car Docker vient d'annoncer que ses Docker Hardened Images (DHI), ces fameuses images ultra-sécurisées qui étaient réservées aux entreprises prêtes à cracher le pognon, sont maintenant gratuites pour tout le monde. Et c'est pas encore un truc limité avec des restrictions à la noix, non non... C'est du vrai open source sous licence Apache 2.0.

Ils proposent donc plus de 1 000 images conteneur prêtes à l'emploi, construites sur Debian et Alpine et ces images sont "durcies", c'est-à-dire qu'elles ont été débarrassées de tous les composants inutiles qui traînent habituellement dans les images de base et qui ne servent qu'à augmenter la surface d'attaque. Du coup, ça leur permet d'annoncer une réduction des vulnérabilités de plus de 95% par rapport aux images classiques. C'est pas maaaal, hein ?

Et ce qui est top c'est que chaque image embarque un SBOM complet (le fameux Software Bill of Materials), des données CVE transparentes accessibles publiquement, une preuve cryptographique d'authenticité et une provenance SLSA Level 3. Bref, c'est plutôt sérieux de ce que je capte.

Car faut dire que les attaques sur la supply chain logicielle, c'est devenu le cauchemar numéro un des développeurs. En 2025, ces attaques auraient causé plus de 60 milliards de dollars de dommages selon les estimations, soit le triple d'il y a quatre ans, du coup, avoir des images béton dès le départ, sans devoir se prendre la tête à tout vérifier soi-même, ça fait la diff.

Maintenant, si vous êtes une grosse boîte avec des besoins spécifiques, Docker propose aussi une version Enterprise payante avec des SLA garantis sur la remédiation des CVE, des images compatibles FIPS, des options de personnalisation et même un support étendu de 5 ans après la fin du support officiel. Des entreprises comme Adobe et Qualcomm ont déjà fait le saut mais pour nous, utilisateurs lambdas et autres développeurs qui bossons sur nos projets perso ou des startups incroyables du futur, la version gratuite devrait largement suffire.

Et en cadeau bonux, sachez que l'assistant IA de Docker peut maintenant scanner vos conteneurs existants et vous recommander automatiquement les images durcies équivalentes. Y'a même des Hardened Helm Charts pour Kubernetes et des serveurs MCP durcis (MongoDB, Grafana, GitHub...). Que demande le peuple ?

Voilà, si vous voulez vous y mettre, tout est dispo sur le Docker Hub sans aucune restriction d'usage ni abonnement requis. Foncez !

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Reprendre le contrôle de ses données avant 2026 : Incogni, le bouton "reset" de votre vie numérique

-- Article en partenariat avec Incogni --

Si vous êtes comme moi, chaque fin d’année, vous faites peut-être le ménage dans vos mails, vos dossiers, parfois dans la vie pro. Mais le vrai bazar ne se trouve plus dans nos tiroirs : il est éparpillé dans des centaines de bases de données commerciales, de sites de recherche de personnes et de courtiers en données qui vendent notre profil en kit. Ces entreprises savent où vous habitez, ce que vous achetez, avec qui vous vivez, vos revenus probables, vos centres d’intérêt, parfois même votre état de santé supposé. Incogni s’attaque précisément à ce chantier invisible : faire supprimer, légalement et en continu, ces informations là où elles valent le plus pour les autres… et le moins pour vous.

Vos données se baladent partout (et vous ne les suivez plus)

Les « data brokers » vivent d’un modèle simple : collecter le maximum d’informations sur vous, les recouper puis les revendre à des publicitaires, assureurs, chasseurs de têtes, agrégateurs de profils, voire des acteurs beaucoup moins recommandables. Ils se nourrissent de formulaires, programmes de fidélité, applis, jeux « gratuits », cookies, traqueurs, fuites de sites, réseaux sociaux, etc. Une fois votre profil créé, il se duplique et se revend en boucle. Le résultat, ce sont des pubs ultra ciblées, des spams de plus en plus crédibles, une augmentation des risques d’usurpation d’identité, et la sensation désagréable d’être constamment suivi, même hors ligne. Bref c'est bien relou.

Le passage à 2026 est un moment idéal pour reprendre la main, parce que la tendance ne va pas s’inverser spontanément. Encore moins à l'époque de l'IA omniprésente. Plus on attend, plus votre « clone » numérique prend de la valeur (à chaque nouvelle information ajoutée) et plus il se multiplie. L’enjeu n’est pas de disparaître à 100% (ça c'est probablement mission impossible), mais de réduire la surface d’attaque : moins de données en circulation, moins de points d’entrée pour les arnaques, les hausses de tarifs ciblées, les fuites massives. Incogni propose d’industrialiser ce ménage, là où le faire à la main demanderait des centaines d’heures et une patience hors-norme.

Incogni : le service qui passe sa journée à dire « supprimez-moi »

L’idée d’Incogni est brutale dans le bon sens du terme : plutôt que de vous fournir des conseils abstraits, le service va directement chercher vos données chez plus de 420 courtiers et sites spécialisés, puis leur envoie des demandes de suppression en s’appuyant sur les lois en vigueur (RGPD en Europe, CCPA en Californie, PIPEDA si vous êtes au Canada, etc.). Dès l’inscription, le robot lance une première vague de requêtes, puis relance automatiquement tous les acteurs qui prennent trop leur temps. Des rapports réguliers indiquent qui a répondu, ce qui a été supprimé, ce qui est en cours, et ce qui résiste encore.

Pour l’utilisateur, tout se concentre dans un tableau de bord : on y voit les brokers contactés, le type de données qu’ils exploitent, et le statut de chaque requête (suppression confirmée, en attente, refus, relance planifiée). Les plans les plus complets ajoutent la possibilité de soumettre des demandes personnalisées sur des sites précis exposant vos infos : un vieux forum, un annuaire obscur, une base d’anciens clients, etc. Dans ces cas-là, l’équipe d’Incogni prend le relais et gère la procédure à votre place. C’est cette automatisation et ce suivi sur la durée qui font la différence avec un « grand ménage » ponctuel.

Ce que disent les chiffres (et pourquoi 2026 est le bon moment)

Incogni publie régulièrement des études sur la façon dont les gens laissent filer leurs données, notamment autour de périodes comme le Black Friday qui vient de se terminer. Une enquête récente menée aux États-Unis montre, par exemple, que les consommateurs sont nombreux à multiplier les comptes, newsletters et inscriptions « juste pour une promo », sans réfléchir à ce que deviennent leurs informations après coup. Beaucoup sous-estiment totalement le nombre de bases dans lesquelles leurs données terminent, et la durée pendant laquelle elles y restent. Certes, c’est basé sur des comportements américains, mais il n’y a aucune raison de penser que les Français, qui raffolent tout autant des bons plans et des achats en ligne, soient fondamentalement différents dans ce domaine.

Cette étude met surtout en lumière un paradoxe : les gens disent être inquiets pour leur vie privée… mais acceptent sans sourciller des conditions d’utilisation qui autorisent les marchands à revendre leurs infos. Fin 2025 / début 2026, c’est donc une fenêtre parfaite pour briser ce cercle. Après une année de formulaires, de comptes créés « juste pour voir », d’abonnements, d’inscriptions à des loteries en ligne, commencer 2026 en nettoyant tout ce qui peut l’être est un geste à la fois symbolique et très concret. Incogni se positionne précisément comme ce bouton « reset » annuel, voire permanent.

Pour les particuliers, les pros, et tous ceux qui ont mieux à faire

Une des forces d’Incogni , c’est d’être pensé aussi bien pour le particulier qui en a assez de voir son nom sur des sites de recherche de personnes, que pour la petite boîte qui doit prouver qu’elle prend la protection des données au sérieux. En entreprise, le service peut contribuer à limiter les risques de fuite de fichiers clients ou d’employés utilisés en dehors du cadre initial, tout en fournissant des rapports utiles pour les audits internes ou les échanges avec la CNIL & Co. Dans l’e‑commerce, la santé ou les services financiers, réduire ce qui traîne chez les courtiers, c’est aussi limiter l’ampleur possible d’un futur incident.

Du côté des particuliers, l’intérêt est plus instinctif : moins de spam personnalisé, moins de démarchage ciblé, moins d'appels non sollicités, moins de chances que des informations sensibles (adresse, date de naissance, numéros de téléphone, données de localisation, historique d’achat) servent à monter un dossier d’usurpation d’identité ou de scam bien ficelé. L’inscription est rapide, la prise en main se fait en quelques minutes, et les premiers résultats se voient souvent sous quelques semaines (baisse de certains spams, disparition progressive de fiches sur des sites de recherche de personnes). Certaines évaluations indépendantes mentionnent même des vérifications externes (type audit Deloitte) des cycles de relance et des promesses de suppression.

Une démarche à inscrire dans la durée… mais à commencer maintenant

Le piège, ce serait de penser qu’un gros nettoyage une fois suffit. Les data brokers continuent d’aspirer en permanence des flux venant de nouvelles sources, de nouveaux partenaires, de nouveaux formulaires. C’est pour cela qu’Incogni fonctionne plutôt comme un abonnement qu’un simple « passage unique » : le service renvoie régulièrement des demandes, vérifie que les suppressions tiennent dans le temps, et ajoute à sa liste de nouveaux courtiers au fil des mois (des dizaines supplémentaires par an, selon les retours récents). L’objectif est de maintenir votre exposition à un niveau minimum, malgré la tendance inverse du marché.

Le début 2026 est un excellent prétexte pour enclencher cette logique. Faire son bilan de l’année, nettoyer ses comptes, resserrer ses mots de passe, activer un gestionnaire , et, en parallèle, lâcher Incogni sur les courtiers en données pour qu’il fasse le travail ingrat. Le combo est simple : vous limitez ce que vous donnez à l’avenir, et un service automatisé retire ce qui traîne déjà dans la nature. Ce n’est pas de la parano, c’est de l’hygiène numérique, au même titre qu’un antivirus ou un VPN. Surfshark propose d'ailleurs le triple combo dans son offre Surfshark One .

On ne récupérera sans doute jamais un contrôle absolu sur toutes les miettes laissées au fil des années. Mais réduire le volume de données exploitables, c’est déjà reprendre l’avantage. Et si un outil peut passer ses journées à harceler les courtiers en votre nom, autant le laisser faire pendant que vous vous occupez de choses plus intéressantes que de lire des politiques de confidentialité en petits caractères (vous pouvez me préparer du pain d'épice et me l'envoyer pour mes fêtes par exemple, au hasard).

Vous avez encore quelques jours pour profiter de l'offre de fin d'année à -55%, donc ne tardez pas trop. L'abonnement standard annuel revient à 86,26€ TTC, mais en appliquant le code KORBEN55 vous économisez encore un peu plus, puisque vous ne payerez que 77,63€ TTC.

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LibrePods - Le hack qui libère vos AirPods de la prison Apple

Vous avez des AirPods Pro que vous avez payés 300 balles et quand vous les branchez sur votre téléphone Android ou votre PC Linux, la moitié des fonctionnalités disparaissent. C'est pas parce que le matériel ne peut pas les faire mais juste parce qu'Apple a décidé que vous n'aviez pas le droit de les utiliser si vous n'êtes pas dans leur écosystème. Snif !

Et là, LibrePods débarque et règle ce problème. Ils s'agit d'un projet open source qui déverrouille toutes les fonctionnalités exclusives des AirPods sur les appareils non-Apple, et c'est compatible avec les AirPods Pro 2, AirPods Pro 3 (sauf le monitoring cardiaque), les AirPods 4, et même les AirPods Max en mode complet. Les autres modèles AirPods ont également un support basique (batterie et détection d'oreilles).

Mais alors qu'est-ce que vous récupérez avec LibrePods ?

Hé bien tout ce qu'Apple vous a vendu mais que vous ne pouviez pas utiliser ailleurs que sous iOS. Par exemple, le contrôle du bruit actif et la transparence adaptative, la détection d'oreille qui met en pause quand vous retirez un écouteur, les gestes de la tête pour répondre aux appels, le statut de batterie précis, les paramètres d'aide auditive complets, la connexion à deux appareils simultanés, et la reconnaissance de conversation qui baisse automatiquement le volume.

La dernière version (v0.2.0-alpha) a ajouté pas mal de trucs sympas comme la possibilité de voir la batterie de vos AirPods même quand ils ne sont pas connectés à votre téléphone, la connexion automatique quand vous recevez un appel ou lancez de la musique, et la personnalisation complète du mode transparence (amplification, balance, tonalité, réduction du bruit ambiant).

Techniquement, LibrePods fonctionne en utilisant un hook sur le Bluetooth Device Identification. Ce DID Bluetooth, c'est ce qui permet aux appareils de s'identifier entre eux et Apple utilise ce système pour vérifier si l'appareil connecté est un produit Apple. Si oui, les fonctionnalités se débloquent, si non, elles restent cachées. LibrePods se fait donc passer pour un appareil Apple à ce niveau, du coup, les AirPods croient qu'ils sont connectés à un iPhone ou un Mac. Et là, hop, tout se débloque ! Chouette non ?

Et c'est pas un hack compliqué... Ça consiste juste à enlever un filtre logiciel qu'Apple a mis volontairement pour vous forcer à rester dans leur écosystème.

LibrePods fonctionne sur Android et Linux. Notez que pour Android, vous devez avoir un appareil rooté avec Xposed installé à cause d'un bug dans la stack Bluetooth d'Android. Par contre, bonne nouvelle si vous êtes sur un OnePlus ou un Oppo avec ColorOS ou OxygenOS 16, vous pouvez utiliser l'app sans root pour les fonctions de base comme l'ANC, la reconnaissance de conversation et la détection d'oreilles !

Sur Linux, une nouvelle version est en développement actif et promet d'apporter encore plus de fonctionnalités mais en attendant, l'ancienne version permet déjà de contrôler les modes de bruit, les paramètres d'aide auditive, et d'autres fonctions.

D'autres applis existent pour gérer les AirPods sur Android comme CAPod, AirPodsDesktop, MagicPods, EarX mais elles ne proposent pas grand chose par rapport à LibrePods.

C'est vrai que l'Union Européenne force les fabricants à déverrouiller le firmware de certains appareils pour permettre la réparation et l'interopérabilité sauf que les écouteurs Bluetooth ne sont pas couverts par ces lois, ce qui fait qu'Apple peut continuer à brider des fonctionnalités matérielles avec du logiciel sans aucun problème légal.

LibrePods prouve donc qu'on n'a pas besoin d'attendre des lois. Faut juste des hackers qui en ont marre de se faire entuber et un peu de code !

Voilà, si vous avez des AirPods et que vous utilisez Android ou Linux, franchement, allez voir. Y'a tout sur le repo GitHub : le code source, les instructions d'installation, la doc technique...etc

Merci à Kiyoshi pour l'info !

Mon nouveau semainier est incroyable !

Les amis aujourd'hui j'ai eu une jolie surprise ! Ma femme qui se trouve être, par le plus grand des hasards, l'être le plus exceptionnel de cette planète, a aussi de nombreux talents.

Et parmi ses talents, elle est capable de faire surgir du néant des cahiers, livres, agendas et tout autre objet de papèterie 100% faits maison. C'est assez fou.

Et moi de mon côté, bien que j'adore la technologie, je suis assez bordélique sur l'organisation de ma semaine, le suivi de mes tâches, le suivi de mes rendez-vous et compagnie. Et ne me parlez pas de Google Calendar ou de todo list ou encore de rappels dans le smartphone, tout ceci me gave profondément.

Alors j'ai trouvé une solution, c'est de mettre un semainier tout pourri devant moi sur le bureau. A l'ancienne quoi mais au moins, j'ai tout sous les yeux et grâce à ça, je n'ai pas besoin d'ouvrir une app, d'activer des notifs relous et youpi, je n'oublie quasiment plus rien ^^.

C'est peut-être le dernier truc de ma life que je n'ai pas dématérialisé.

Et je devais en racheter un pour la nouvelle année, quand j'ai eu l'idée de demander à ma femme de m'en faire un from scratch 100% custom. Donc elle s'est mise au boulot dans le plus grand des secrets et l’œuvre d'art m'a été révélée ce matin.

Alors je vous montre ça, car c'est magnifique !

Comme vous pouvez le voir, il est bleu comme mon site, un petit côté Jean's que j'aime beaucoup et mon logo doré ainsi que l'URL de mon site au dos.

Puis alors ces petits coins en métal, ça fait toute la différence sans oublier la doublure, et le petit logo Korben également à l'intérieur des pages. Bref c'est royal !

Voilà, c'était juste pour partager cette beauté avec vous.

C'est Noël avant l'heure dans mon ti cœur et avec ça, je serais d'attaque pour l'année qui vient !

Ces extensions VPN gratuites aspirent toutes vos conversations avec ChatGPT

Vous utilisez une extension VPN gratuite sous Chrome ou Edge pour "protéger votre vie privée" ? Cool story les bro, mais si je vous disais que cette même extension enregistre peut-être toutes vos conversations avec ChatGPT, Claude, Gemini et compagnie pour les revendre à des courtiers en données (les fameux data brokers) ?

Hé bien c'est exactement ce que viennent de découvrir les chercheurs en sécurité de Koi qui ont mis le doigt sur 4 extensions très populaires comptabilisant plus de 8 millions d'utilisateurs au total : Urban VPN Proxy (6 millions à elle seule), 1ClickVPN Proxy, Urban Browser Guard et Urban Ad Blocker qui aspirent silencieusement tout ce que vous tapez dans vos chat IA préférées.

Le truc vicieux, c'est que ces extensions ne se contentent pas de regarder votre historique de navigation comme les trackers classiques. Non non non, elles injectent du code JavaScript directement dans les pages des chatbots IA quand vous les visitez et ça modifie les fonctions de base du navigateur (fetch() et XMLHttpRequest pour les techos) pour intercepter absolument tout ce qui passe entre vous et l'IA.

Vos prompts, les réponses du chatbot, les métadonnées de conversation, tout est aspiré et envoyé vers les serveurs analytics.urban-vpn.com et stats.urban-vpn.com. Et le pire c'est que cette collecte continue en arrière plan même quand le VPN est désactivé. Bye bye tous vos secrets.

Derrière ces extensions se cache Urban Cyber Security Inc., une boîte affiliée à BiScience, un courtier en données bien connu des chercheurs en sécurité. Ces gens-là sont passés de la collecte d'historique de navigation à la collecte de conversations IA complètes, soit un niveau de sensibilité bien supérieur vu ce qu'on peut raconter à une IA (questions médicales, code propriétaire, problèmes personnels, données financières...).

Et devinez quoi ? Ces extensions arboraient fièrement le badge "Featured" sur le Chrome Web Store et le Microsoft Edge Add-ons, censé garantir que Google et Microsoft ont vérifié leur sécurité. Nos deux géants américains ont donc validé des extensions qui violent directement leur propre politique d'utilisation limitée des données utilisateurs.

Bref, si vous avez installé une de ces extensions et utilisé ChatGPT, Claude, Gemini, Copilot, Perplexity, DeepSeek, Grok ou Meta AI depuis juillet de cette année, partez du principe que toutes ces conversations sont maintenant sur les serveurs d'un data broker et potentiellement revendues à des annonceurs.

La morale de l'histoire, c'est que dans le cas des VPN gratuits, le produit c'est littéralement tout ce que vous faites en ligne. Donc si vous voulez vraiment protéger votre vie privée avec un VPN, mieux vaut payer quelques euros par mois pour un service sérieux comme NordVPN ou Surfshark qui n'a pas besoin de revendre vos données pour survivre.

🔒 VPN sérieux vs extensions gratuites douteuses

Pour protéger réellement vos conversations IA et votre vie privée sans finir dans une base de données de data broker, NordVPN fait le job :

  • ✓ Politique stricte de non-conservation des logs (auditée par des tiers indépendants)
  • ✓ Chiffrement AES-256 de tout votre trafic, y compris vos échanges avec ChatGPT & co
  • ✓ Protection contre les fuites DNS et WebRTC
  • ✓ Plus de 8000 serveurs dans 110+ pays
  • ✓ Garantie satisfait ou remboursé 30 jours

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Et désinstallez moi ces merdes immédiatement si vous les avez.

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This Doughnut Chair Has One Bite Missing, and That’s Your Seat

Most chairs are clearly assembled objects, with legs, a seat, and a backrest, all stacked and joined together. Sculptural lounge pieces sometimes flip that script and feel more like a single volume that has been carved or sliced. Chunk is a concept that leans into that second approach, imagining seating as a doughnut with a bite taken out rather than a frame with cushions bolted on, treating furniture as something you edit rather than assemble.

The designer imagined a chair that looks like a doughnut with a chunk removed. The missing piece becomes the seat and the opening for the backrest, while the rest of the ring wraps around in a continuous loop. The concept is less about novelty and more about seeing how far a single looping form can be pushed into something you can actually sit in, where the absence of material defines the place for the body.

Designer: Liam de la Bedoyere

Both the seat and backrest share the same oval cross-section, but as the base curves up to become the backrest, that oval quietly swaps its length and width. It is wide and low where you sit, then gradually becomes tall and narrow as it rises behind you. The section never breaks; it just morphs along the path, which gives the chair a sense of motion even when it is still and empty.

The “bite” creates a bowl-like seat that cradles the hips and thighs, while the rising loop offers a relaxed backrest rather than a rigid upright. The proportions suggest a low, lounge-style posture, closer to a reading chair or a corner piece in a living room than a dining chair. The continuous curve encourages you to lean back and sink in, not perch on the edge ready to stand again.

A near-cylindrical form can look like it might roll away, but the geometry and internal structure are tuned to keep the center of gravity low and slightly behind the seat. The base is subtly flattened, and a denser core at the bottom would keep it from tipping forward when someone leans back. The result is a chair that looks precarious from some angles but behaves like a grounded lounge piece once you sit.

The monolithic upholstery, a textured fabric that wraps the entire volume without obvious breaks, reinforces the idea of a single chunk of material. The form reads differently as you move around it, sometimes like a shell, sometimes like a curled leaf, sometimes like a coiled creature. It is the kind of chair that anchors a corner or gallery-like space, inviting you to walk around it before you decide to sit down and settle in.

Chunk uses subtraction as its main design move, starting from a complete ring and then removing just enough to create a place for the body. For a category that often defaults to adding parts, there is something satisfying about a chair that feels like it has been edited down to a single, looping gesture, with one decisive bite turning an abstract volume into a place to rest, read, or just sink into for a while.

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Tray210 Proves Recycled Plastic Doesn’t Have to Look Grey and Boring

Recycled plastic products often fall into two camps: grey utilitarian bins or loud, speckled experiments that feel more like proof of concept than something you want on your desk. Tray210 recycled, a collaboration between Korean studio intenxiv and manufacturer INTOPS under the rmrp brand, takes a different approach, using recycled plastics and waste additives to create a tray that feels like a considered object first and an eco story second, treating material diversity as part of the design language.

Tray210 recycled is a circular tray with three compartments, an evolution of the original Tray210 form. It grew out of INTOPS’ grecipe eco-material platform and hida’s CMF proposals, which is a long way of saying it is the result of a tight loop between material science and industrial design. The goal was to pursue material diversity and break away from the cheap recycled stereotype, making something that belongs in sight rather than hidden under a desk.

Designer: Intenxiv x INTOPS

The form is intuitive, a 210 mm circle with a raised, ribbed bar running across the middle and two shallow wells on either side. The central groove is sized for pens, pencils, or chopsticks, and the ribs keep cylindrical objects from rolling away. The side compartments are open and shallow, perfect for earbuds, clips, rings, or keys. It is the kind of layout you understand at a glance without needing instructions or labels; just place your pen where the grooves are.

The material story is where Tray210 recycled gets interesting. Multiple recycled blends reflect their sources: Clam and Wood use 80 percent recycled PP with shell and wood waste, Charcoal adds 15 percent charcoal to 80 percent recycled PP, and Stone uses 10–50 percent recycled ABS. Transparent and Marble variants use recycled PC or PCABS with ceramic particles or marble-like pigment. Each colorway is visually tied to its waste stream, making the origin legible and intentional.

The aim is to create a design closer to the lifestyle rmrp pursues, breaking away from the impression recycled plastic generally gives. The Clam and Wood versions read as soft, muted pastels with fine speckling, Charcoal feels like a deep, almost architectural grey, and Stone and Transparent lean into translucency and particulate. Instead of hiding the recycled content, the CMF work uses it as texture and character, closer to terrazzo or stoneware than to injection-molded scrap that just happens to be grey.

The combination of clear zoning and tactile surfaces makes Tray210 recycled feel at home on a desk, entryway shelf, or bedside table. The central groove keeps your favorite pen or stylus always in the same place, while the side wells catch whatever tends to float around, from SD cards to jewelry. The different material stories let you pick a version that matches how you want the space to feel: calm, earthy, industrial, or a bit more playful.

A simple tray can carry a lot of design thinking, from intuitive ergonomics to material storytelling and responsible sourcing. Tray210 recycled is not trying to save the world on its own, but it does show how recycled plastic can be turned into something you actually want to touch and keep in sight. For people who care about both what an object does and what it is made from, that is a quiet but meaningful upgrade over another anonymous catch-all that eventually ends up in a drawer.

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Record setting Pocket Lab shrinks a full AI supercomputer into the size of a power bank

We have come a long way from the computers the size of entire rooms to the sleek personal computers that sit comfortably on our desks. The evolution of computing has consistently pushed toward smaller form factors and greater efficiency. The Mac mini, for example, illustrates how compact modern PCs have become. Yet the question persists: how miniature can a powerful computing device truly be? A recent Guinness World Records certification offers a striking answer.

Tiiny AI, a US-based deep-tech startup, has unveiled the Pocket Lab, officially verified as the “world’s smallest personal AI supercomputer.” This palm-sized device, no larger than a typical power bank, is capable of running large language models (LLMs) with up to 120 billion parameters entirely on-device, without relying on cloud servers or external GPUs.

Designer: Tiiny AI

At its core, the Pocket Lab aims to make advanced artificial intelligence both personal and private. Traditional AI systems often depend on cloud infrastructure, which can raise concerns around data privacy, latency, and carbon emissions associated with large server farms. The Pocket Lab addresses these issues by enabling fully offline AI computation. All processing, data storage, and inference happen locally on the device, reducing dependence on internet connectivity or cloud resources.

Despite its compact size, measuring 14.2 × 8 × 2.53 centimeters and weighing roughly 300 grams, this mini supercomputer delivers noteworthy computing power. The system operates within a typical 65-watt energy envelope, comparable to a conventional desktop PC, yet manages to support extensive AI workloads. The hardware architecture combines a 12-core ARMv9.2 CPU with a custom heterogeneous module that includes a dedicated Neural Processing Unit (NPU), together achieving approximately 190 TOPS (tera-operations per second) of AI compute performance. This configuration is backed by 80 GB of LPDDR5X memory and a 1 TB solid-state drive, allowing large AI models to run efficiently without external accelerators.

Two key technologies underpin the Pocket Lab’s ability to run large models so efficiently in such a small package. TurboSparse improves inference efficiency through neuron-level sparse activation, reducing computational overhead while preserving model intelligence. PowerInfer, an open-source heterogeneous inference engine with a significant developer following, dynamically distributes workloads across the CPU and NPU, delivering server-grade performance at far lower power and cost than traditional GPU-based solutions.

In practical terms, the Pocket Lab supports a wide ecosystem of open-source AI models and tools. Users can deploy popular LLMs such as GPT-OSS, Llama, Qwen, DeepSeek, Mistral, and Phi, alongside agent frameworks and automation tools, all with one-click installation. This broad software compatibility extends the device’s usefulness beyond enthusiasts and hobbyists to developers, researchers, professionals, and students.

By storing all user data and interactions locally with bank-level encryption, the Pocket Lab also emphasizes privacy and long-term personal memory. This feature contrasts with many cloud-based AI services that retain data on remote servers. Tiiny AI plans to showcase the Pocket Lab at CES 2026, but has not yet disclosed full details on pricing or release dates.

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