Sam Altman hasn’t had "a good night of sleep" since OpenAI launched ChatGPT
Sam Altman, chief executive officer of OpenAI Inc., during a Senate Commerce, Science, and Transportation Committee hearing in Washington, DC, US, on Thursday, May 8, 2025.
Sam Altman, chief executive officer of OpenAI Inc., during a Senate Commerce, Science, and Transportation Committee hearing in Washington, DC, US, on Thursday, May 8, 2025.
Vous saviez qu’en ce moment, les attaques sur la supply chain faisaient des ravages ? En effet, les attaquants exploitent régulièrement la possibilité de modifier des tags existants pour injecter du code malveillant dans les pipelines CI/CD.
Mais heureusement, GitHub a enfin sorti LA fonctionnalité qui peut empêcher ce carnage : les Immutable Releases et je pense que c’est le genre de truc que tous les développeurs devraient activer illico sur leurs repos. Je vais vous expliquer pourquoi.
En fait, une fois que vous publiez une release avec cette option activée, plus personne ne peut toucher ni aux assets ni au tag associé. C’est comme si vous mettiez votre release dans un coffre-fort dont vous jetez la clé. Même vous, en tant que mainteneur, vous ne pouvez plus modifier les binaires ou déplacer le tag vers un autre commit.
D’après la documentation officielle , chaque release immuable génère automatiquement une attestation cryptographique. Cette attestation contient le SHA du commit, le tag et la liste des assets. Vos utilisateurs peuvent vérifier l’intégrité de ce qu’ils téléchargent en s’assurant que cela correspond exactement à ce que vous avez publié.
Pour activer cette option merveilleuse, c’est dans les settings de votre repo ou de votre organisation. Une fois activé, toutes les nouvelles releases deviennent alors automatiquement immuables. Les anciennes releases restent toutefois modifiables (pour éviter de casser vos workflows existants), mais bon, c’est mieux de migrer progressivement.
Attention quand même, il y a quelques pièges à éviter. Premièrement, vous ne pouvez plus ajouter d’assets après publication. Donc si votre CI upload les binaires après avoir créé la release, il faut inverser : Créez d’abord une draft release, uploadez les assets, puis publiez. Deuxièmement, si vous supprimez une release immuable, vous ne pourrez JAMAIS réutiliser le même tag. C’est définitif.
Pour les projets qui utilisent des tags de version majeure style v1
qu’ils mettent à jour régulièrement (coucou GitHub Actions), pas de panique. Vous pouvez continuer à utiliser cette pratique pour les tags qui ne sont pas associés à des releases. L’immuabilité ne s’applique qu’aux releases publiées, pas aux tags simples.
Les équipes de sécurité recommandent d’ailleurs d’activer cette fonctionnalité sur tous les repos qui publient du code versionné. C’est particulièrement critique pour les bibliothèques open source, les GitHub Actions, et tout ce qui est consommé par d’autres projets. En gros, si votre code finit dans la supply chain de quelqu’un d’autre, vous leur devez cette protection.
Le truc cool aussi, c’est que ça protège contre les erreurs humaines. Combien de fois j’ai vu des mainteneurs qui écrasaient accidentellement une release avec la mauvaise version ? Ou qui supprimaient un asset critique par erreur ? Avec les Immutable Releases, ces accidents appartiennent au passé.
Pour les entreprises, c’est un argument de vente en or. Ça permet de garantir à vos clients que vos releases ne peuvent pas être altérées après publication, c’est un niveau de confiance supplémentaire surtout dans des secteurs régulés où la traçabilité est cruciale.
Bref, GitHub est en train de déployer progressivement cette fonctionnalité en public preview. Pour l’instant, il faut l’activer manuellement pour chaque repo, mais ils travaillent sur une API pour permettre l’activation en masse. D’ici là, prenez donc 2 minutes pour l’activer sur vos projets critiques.
Voilà, après les dégâts causés par les attaques de type tag hijacking ces dernières années, ne pas activer les Immutable Releases sur vos repos publics, c’est comme laisser votre porte d’entrée grande ouverte avant de partir en vacances. Vous pouvez le faire, mais ne venez pas pleurer si ça tourne mal.
Créer un système d’exploitation complet from scratch pour s’amuser, c’est le genre de projet un peu foufou qu’on ne voit plus tellement aujourd’hui. Pourtant SkiftOS existe !
SkiftOS c’est un OS écrit entièrement depuis zéro, et pas un n-ième fork de Linux ou d’une distribution BSD. Non, c’est un vrai OS avec son propre kernel, son interface graphique et même les bases d’un moteur de navigateur web.
J’ai découvert ce projet en me baladant sur les Top GitHub et ça m’a rappelé cette époque d’avant ma naissance où créer son OS était un genre de rite de passage pour tous les développeurs passionnés. Sauf qu’ici, on n’est plus dans les années 70 et le projet utilise du C++20 moderne avec une architecture microkernel très propre.
Et malgré son statut de projet “hobby”, il fonctionne réellement. Il tourne pour le moment sur du hardware x86_64 et l’équipe travaille sur le support RISC-V.
L’architecture modulaire du projet est d’ailleurs particulièrement bien pensée. Chaque module a son petit nom, c’est rigolo. Hjert gère le microkernel avec les fonctions essentielles telles que la gestion mémoire, l’ordonnancement et l’IPC (Inter-Process Communication). Karm fournit la bibliothèque C++ de base sans dépendre de la STL (Standard Template Library) . KarmUI propose un framework d’interface réactive. Hideo s’occupe du bureau et de l’environnement graphique. Et Vaev ambitionne de devenir un moteur de navigateur web complet.
Pour compiler tout ça, l’équipe a également développé CuteKit, leur propre système de build qui gère les dépendances et la cross-compilation. Bah oui, quand on réinvente un OS, autant réinventer aussi tous les outils pour le construire.
Cette approche “tout fait maison” rend en tout cas le projet fascinant d’un point de vue pédagogique. Car oui le code source est disponible sur GitHub donc si vous voulez comprendre comment fonctionne un OS moderne sans vous perdre dans les millions de lignes de code de Linux ou de Windows (pour les vieilles versions qui ont leakée), c’est une excellente opportunité pour apprendre. Pas besoin donc d’être Microsoft ou Apple pour développer un système d’exploitation fonctionnel.
Faut “juste” de la motivation, du temps, des compétences en C++ moderne, et surtout l’envie de construire quelque chose de différent.
Vous l’aurez compris, SkiftOS ne remplacera probablement jamais votre OS principal, c’est clair mais pour les développeurs curieux qui veulent comprendre les entrailles d’un système d’exploitation, ou pour ceux qui cherchent un projet open source technique sympa où contribuer, c’est une sacrée mine d’or.
Et qui sait, peut-être que dans quelques années on parlera de SkiftOS comme on parle aujourd’hui des débuts de Linux…
Imaginez demain matin, vous vous réveillez et 90% des sites web ont disparu. Plus de blogs, plus de sites de presse, plus de forums. Juste des pages blanches et des erreurs 404. De la science-fiction ? Et bien pas selon Matthew Prince, le CEO de Cloudflare, qui gère 20% du trafic web mondial.
Dans plusieurs interviews récentes, il explique qu’on est en train d’assister en direct à l’effondrement du modèle économique qui a fait vivre Internet pendant 25 ans. En effet, le deal était simple : Google crawle votre contenu, vous envoie du trafic, vous monétisez avec de la pub.
Sauf que ce pacte avec le diable vient de voler en éclats.
Il y a dix ans, pour 2 pages que Google scannait sur votre site, il vous envoyait 1 visiteur. Un échange équitable, presque symbiotique. Mais aujourd’hui, Il faut 6 pages crawlées pour obtenir 1 seul clic.
Mais attendez, là c’est Google, le gentil de l’histoire parce qu’avec les nouveaux venus de l’IA, c’est l’apocalypse qui s’annonce. En effet, d’après les données de Cloudflare , le ratio d’OpenAI est passé de 250 pour 1 à 1500 pour 1 en quelques mois. Autrement dit, ChatGPT aspire 1500 pages de votre contenu pour vous renvoyer généreusement… 1 seul visiteur. Anthropic avec Claude, on est à 60 000 pages pour un visiteur. Bref, c’est pas du crawling, c’est du pillage en règle.
Et Prince ne mâche pas ses mots : “Si les créateurs de contenu ne peuvent plus tirer de valeur de leur travail, ils vont arrêter de créer du contenu original.” Et devinez quoi ? C’est déjà en train de se produire car les données montrent que le trafic des moteurs de recherche vers les sites web a chuté de 55% entre 2022 et 2025. Par exemple, le Washington Post et le HuffPost ont vu leur trafic organique divisé par deux en trois ans.
Le plus ironique dans tout ça c’est que Google lui-même creuse sa propre tombe. Prince révèle qu’il y a six mois, 75% des recherches Google se terminaient sans aucun clic vers un site externe. Mais alors pourquoi ce changement soudain ? Hé bien la réponse tient en deux mots : Answer Engines. C’est le cas par exemple avec le déploiement d’ AI Overview , leur nouvelle fonctionnalité qui donne directement les réponses, ce chiffre pourrait atteindre 90%. Google est ainsi devenu un genre de cul-de-sac d’Internet…
Il est fini donc le temps où Google vous donnait une carte au trésor avec des liens à explorer. Maintenant, l’IA vous donne directement le trésor et comme ça plus besoin de visiter les sites, plus de trafic, plus de revenus publicitaires. La boucle vertueuse s’est transformée en spirale mortelle…
Les prédictions de Gartner sont glaçantes car le volume des recherches traditionnelles va chuter de 25% d’ici 2026. Par exemple, chez les 18-24 ans, 66% utilisent déjà ChatGPT pour chercher de l’information, contre 69% pour Google. L’écart se resserre dangereusement.
Prince voit donc trois scénarios possibles pour l’avenir, et aucun n’est réjouissant.
Premier scénario, le plus nihiliste : Tous les journalistes, chercheurs et créateurs de contenu “meurent de faim” faute de modèle économique viable. Ce sont littéralement ses mots.
Deuxième scénario : On revient à un système de mécénat médiéval où cinq grandes entreprises IA emploient directement tous les créateurs. Adieu l’indépendance éditoriale.
Troisième scénario : On invente un nouveau modèle économique, mais personne ne sait encore lequel…
Voilà en gros les choix qui se présentent à nous.
Cloudflare, de son côté, ne reste bien sûr pas les bras croisés. Prince a lancé AI Audit , un système qui bloque par défaut tous les bots IA. Comme il l’a dit : “Je fais la guerre tous les jours aux gouvernements chinois, russe, iranien et nord-coréen qui tentent de hacker nos clients, et vous me dites que je ne peux pas arrêter un nerd avec une société dans la Silicon Valley ?”
La solution qu’il propose c’est donc un système de “pay-per-crawl” utilisant le protocole HTTP 402 (celui qui était prévu pour les micropaiements et que personne n’a jamais utilisé). Les IA devront donc payer pour crawler le contenu… On verra si ça marche…
L’économie des créateurs , évaluée à 203 milliards de dollars en 2024, est donc directement menacée par les IA. Paradoxalement, 84% des créateurs utilisent maintenant l’IA pour produire du contenu, accélérant leur propre obsolescence. C’est le serpent qui se mord la queue où l’IA se nourrit de contenu humain pour créer du contenu synthétique qui remplace le contenu humain qui nourrit l’IA qui… vous voyez le problème ?
Le plus dingue, c’est la vitesse à laquelle tout s’effondre. En mai 2024, Google lançait AI Overview et en juin 2025, le pourcentage de recherches d’actualités sans clic est passé de 56% à 69%. En seulement un an. À ce rythme, d’ici 2027, plus personne ne cliquera sur rien.
Et tout cela se passe maintenant, sous nos yeux, et personne ne semble capable de l’arrêter. Les éditeurs subissent donc une “menace existentielle” selon les propres mots de Prince. Le New York Times a décidé de se battre en justice. Les petits blogs et petits médias disparaissent en silence et Reddit et les forums deviennent des jardins clos pour protéger leur contenu.
La question n’est donc plus de savoir si le modèle économique du web va s’effondrer, mais quand et comment on va reconstruire sur les ruines. Prince compare la situation aux débuts d’Internet : “Nous sommes dans une période de destruction créatrice schumpétérienne .” Sauf que cette fois, ce qui est détruit, c’est le tissu même du web ouvert.
Meta de son côté a lancé son Creator Monetization Suite cette année, promettant de nouveaux moyens de monétisation… mais quand on y regarde de près, c’est juste une façon de garder les créateurs sous leur emprise, produisant du contenu que l’IA de Meta pourra ensuite digérer sans jamais les laisser partir ailleurs.
Bref, ces mêmes entreprises qui ont construit leur empire sur le contenu gratuit du web sont en train de le tuer et Google, qui a encouragé la création de contenu pendant 25 ans pour alimenter son moteur de recherche, est maintenant celui qui coupe le robinet du trafic.
Prince termine son interview sur une note sombre mais réaliste : “L’internet tel que nous le connaissons ne survivra pas sous sa forme actuelle.”
Le choix qui nous reste est donc très simple : Soit on accepte un web contrôlé par cinq méga-corporations qui emploient directement tous les créateurs, soit on invente quelque chose de radicalement nouveau. Mais une chose est sûre, le web libre et ouvert qu’on a connu est en train de mourir, et il ne reviendra pas.
Vous entendez ce silence ?
C’est le bruit du web qui s’éteint, un site à la fois. Et pendant ce temps, les IA continuent de crawler, de digérer, de régurgiter. Et cela jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien à manger… Bienvenue dans l’ère post-trafic.
Population : Vous et quatre chatbots 😭.
Depuis que le notch a fait son apparition sur les MacBook, vous avez probablement déjà tous râlé contre cette petite encoche qui grignote votre barre de menu. Mais voilà qu’un développeur pas con a eu une bonne idée : transformer ce bout d’écran perdu en quelque chose de vraiment pratique. Et une fois qu’on y goûte, on ne peut plus s’en passer.
DropNotch est donc une application gratuite qui métamorphose votre notch en zone de dépôt instantané pour vos fichiers. Glissez un document, une image ou n’importe quel fichier vers l’encoche, et une petite interface apparaît avec vos options de partage : AirDrop, Mail, Messages.
Le concept est tellement simple qu’on se demande pourquoi Apple n’y a pas pensé. Au lieu d’ouvrir le Finder, faire un clic droit, chercher l’option partager, vous balancez directement votre fichier sur le notch. Deux secondes chrono pour envoyer un PDF à un collègue.
L’application fonctionne sur tous les Mac avec macOS Monterey ou plus récent. Pour les MacBook avec notch, c’est l’expérience optimale. Et pour les Mac sans notch physique (Mac mini, iMac), DropNotch crée intelligemment une zone de dépôt virtuelle dans la barre de menu, offrant la même praticité sans l’encoche.
Vous pouvez télécharger le fichier DMG directement depuis le site officiel et comme je le disais l’app est gratuite, ce qui est appréciable pour ce genre d’utilitaire qu’on apprécie mais jamais assez pour payer. Snif.
Pour ceux qui partagent souvent des fichiers en télétravail ou qui jonglent entre plusieurs projets, c’est donc un petit gain de temps. Plus besoin de naviguer dans les menus. Votre workflow devient plus fluide.
Ah et Apple Silicon ou Intel, peu importe, l’application est compatible avec les deux architectures.
Bref, transformer le notch en fonctionnalité aussi pratique, fallait y penser et j’adore !
Merci à Lorenper pour la découverte !
September 2025 has delivered an impressive lineup of sustainable designs that prove environmental consciousness doesn’t require sacrificing style or functionality. From water bottles engineered with medical-grade precision to furniture crafted from waste materials, this month’s standout products demonstrate how thoughtful design can address both our daily needs and planetary concerns.
These designs represent more than just green alternatives to conventional products. They’re examples of how sustainable thinking can drive innovation, creating objects that often perform better than their traditional counterparts. Each product on this list solves real problems while reducing environmental impact, showing that eco-friendly design has fully matured from niche concern to mainstream excellence.
The OKAPA water bottle elevates hydration into an engineering achievement, combining over 70 global patents with materials trusted in medical settings. Every component serves both performance and safety, from the Swiss-made Grilamid TR-90 spout to the German borosilicate glass body. This isn’t just another reusable bottle; it’s a technical marvel that sets new standards for what portable hydration can be.
Hygiene drives every design decision in the OKAPA system. The medical-grade spout material resists odors and bacteria while meeting both EU and FDA safety standards. The borosilicate glass body prevents chemical leaching and handles temperature changes without compromising water purity. Each sip delivers clean, fresh water that tastes exactly as intended, proving that sustainable choices can exceed conventional alternatives in every measurable way.
This biodegradable tumbler transforms daily hydration into an environmental statement through revolutionary material science. Crafted from corn and paper-based resin, it offers the familiar comfort of ceramic and wood while completely biodegrading into water and CO2 through natural microbial processes. Each piece carries unique variations from natural materials, making every tumbler subtly different while maintaining consistent performance and heat resistance up to 248°F.
The matte black urethane coating adds water resistance and sophisticated texture while preserving the eco-friendly core material. This thoughtful finish ensures durability for daily use without compromising the biodegradable properties that make this tumbler special. Contemporary design meets environmental responsibility, creating a vessel that looks as good as it feels while supporting sustainable living practices with every use.
Lollo reimagines portable dining through brilliant compact engineering that nests three essential utensils into one streamlined unit. The stainless steel spoon, fork, and knife feature subtly concave handles that stack together perfectly, eliminating the bulk and inconvenience of traditional travel cutlery sets. This clever design means you’ll never again struggle with mismatched or clunky utensils that refuse to stay organized in your bag.
The recycled silicone cap performs double duty as both protection and containment, keeping your cutlery hygienic before meals and mess-free afterward. This practical feature transforms into an environmental statement by utilizing recycled materials and reducing single-use plastic dependency. Lollo supports sustainable living one meal at a time, proving that eco-friendly choices can improve daily experiences while reducing planetary impact.
IGGY captures the nostalgic charm of traditional storm lamps while eliminating every inconvenience through modern solar technology. The classic silhouette immediately evokes warmth and comfort, but replaces dangerous fuel tanks with sleek solar panels that harness free energy from the sun. This thoughtful design maintains the rugged dependability and emotional appeal of vintage lanterns without the weight, mess, or environmental concerns of kerosene-powered alternatives.
Lightweight construction preserves the portability that made storm lamps essential travel companions while adding contemporary convenience. The solar panel provides reliable illumination without ongoing fuel costs or toxic emissions, making IGGY perfect for camping, emergency lighting, or creating an ambient atmosphere anywhere. This perfect fusion of heritage aesthetics and sustainable technology proves that modern solutions can honor the past while building a cleaner future.
The Da Vinci Pencil transcends traditional writing tools by lasting 7-10 years under normal use while doubling as a bookmark when not actively writing. Advanced 3D printing technology creates this minimalist multi-purpose tool from PLA-CF (Polylactic Acid with Carbon Fiber), combining strength with lightweight performance. The high-performance metal alloy nib eliminates sharpening and refilling while delivering smooth writing that matches traditional graphite without the waste.
Ergonomic shaping ensures natural grip comfort during extended writing sessions, while the thin profile allows bookmark use without damaging pages or disrupting book closure. This thoughtful design reduces waste by replacing dozens of traditional pencils over its lifespan, proving that sustainability can improve functionality rather than compromise it. The Da Vinci Pencil demonstrates how rethinking familiar objects can create superior experiences while supporting environmental goals.
The Cork Box transforms organization through natural toasted cork agglomerate that requires no chemical adhesives or artificial binding agents. Designed by Ana Relvao and Gerhardt Kellermann, these stackable containers use heat-activated natural cork resin to create sturdy, lightweight storage that brings warmth and organic texture to any space. The manufacturing process relies entirely on cork’s inherent properties, making these boxes genuinely eco-friendly without performance compromises.
Natural cork agglomerate offers unique tactile qualities that synthetic materials cannot replicate, creating storage solutions that feel as good as they look. The stackable design maximizes vertical space efficiency while maintaining easy access to contents, perfect for modern homes and offices where organization meets aesthetic appeal. These boxes prove that sustainable materials can enhance rather than limit design possibilities while delivering superior functionality.
The SMÅ printer revolutionizes home and office printing through a vertical design that maximizes functionality while minimizing desk space requirements. Smart engineering places the paper feed at the top with integrated storage for up to 120 sheets, eliminating separate trays while maintaining clean aesthetics. The transparent extension prevents multi-page documents from sliding off while preserving the compact footprint that makes SMÅ perfect for modern workspaces.
Eco-conscious design principles drive every aspect of SMÅ’s development, from energy-efficient operation to reduced material usage in manufacturing. This sustainable approach creates a printer that performs better while consuming fewer resources, proving that environmental responsibility can improve rather than limit technological capabilities. SMÅ demonstrates how rethinking familiar devices can create superior user experiences while supporting planetary health through thoughtful engineering choices.
The Paper Tube Chair challenges furniture industry norms by transforming discarded cardboard tubes into functional seating inspired by Pierre Jeanneret’s iconic library chairs. Dhammada Collective intercepts waste from local print shops where thick tubes face landfill disposal due to glue layers that prevent recycling. Fifteen salvaged tubes are cut and assembled using bright vermilion rope through figure-eight lashing patterns that tighten under load while maintaining component replaceability.
This radical material choice embodies “joyful frugality” by making quality design accessible to communities beyond metropolitan centers through abundant waste streams. The open-source approach democratizes furniture creation while proving that discarded materials can create beautiful, functional objects when approached with creativity and skill. Construction techniques borrowed from traditional crafts create structural integrity that rivals conventional furniture while celebrating sustainable resourcefulness.
IKEA’s new Bluetooth speakers embrace Scandinavian simplicity while incorporating eco-friendly materials and energy-efficient technology. The NATTBAD features soft, rounded edges and matte finishes in neutral colors that complement any interior, while BLOMPRAKT adds whimsical patterns in a compact cube design. Both models utilize Bluetooth 5.3 for seamless connectivity and feature touch-sensitive controls that respond to gentle taps for volume and track management.
The innovative Spotify Tap button launches the streaming service instantly, reflecting IKEA’s pivot toward accessible, music-first experiences. Sustainable materials and energy-efficient operation demonstrate environmental responsibility without sacrificing functionality or aesthetic appeal. These speakers prove that eco-friendly electronics can deliver superior user experiences while supporting sustainable living practices through thoughtful design and manufacturing choices that prioritize both performance and planetary health.
The Sonnenglas Light Carafe elevates solar lighting through a sophisticated design that transforms recycled glass bottles into stunning illumination pieces. Handcrafted construction ensures each piece is unique while maintaining consistent performance for both indoor and outdoor use. The elegant carafe silhouette offers a refined alternative to traditional mason jar solar lights, with sleek proportions that complement any décor style from rustic to contemporary.
Environmental responsibility drives every aspect of production, from 100% recycled glass construction to solar power that eliminates ongoing energy costs. This commitment creates lighting solutions that support sustainable living while delivering aesthetic appeal and reliable functionality. The Sonnenglas demonstrates how recycled materials can create premium products that exceed conventional alternatives in beauty, performance, and environmental impact through thoughtful design and manufacturing.
September 2025’s eco-friendly designs demonstrate that sustainability has evolved beyond simple material substitution. These products represent sophisticated engineering solutions that often exceed conventional alternatives in performance, durability, and user experience. From medical-grade water bottles to waste-stream furniture, each design proves environmental consciousness drives innovation rather than constraining it.
These diverse products unite through their commitment to solving real problems sustainably. Whether reducing plastic waste, extending lifecycles, or utilizing renewable energy, each design makes environmental responsibility feel natural and beneficial. This maturity suggests consumers can now choose sustainable options without compromising quality, functionality, or aesthetic expectations.
The post 10 Best Eco-Friendly Designs Of September 2025 first appeared on Yanko Design.
I recently read a Digital Trends piece that spoke about how the ‘iPhone Air is setting us up for Apple Smart Glasses‘, and I couldn’t help but think about how journalists who look at the iPhone Air have one of two reactions. There’s one group of bloggers who believe this particular launch is just a stepping stone to a foldable phone… while the other group, marveling at how all the computing of the iPhone Air exists inside the bump, believe that this is actually leading to Apple building smart glasses. The latter are wrong, but before I tell you my spicy take, let me just preface by declaring that Apple almost certainly could be working on both foldables as well as smart glasses. I just don’t think the iPhone Air is leading to Apple Glasses – because there’s already a device that’s been leading to it. The Watch.
Something about Apple launching a new product really makes journalists lose all sense of objectivity. I’m not being rude, I’m saying this because I’ve found myself doing this too. I was genuinely excited when Apple unveiled the Touch Bar, the Dynamic Island, and Camera Control. It felt ground-breaking for precisely 4 minutes before I then reminded myself… the Touch Bar was first put on a Lenovo laptop 2 years before apple, the Dynamic Island is still larger than most hole-punch cameras, and the Camera Control, while great, doesn’t beat the innovation that Sony’s had in their ‘camera phone’ era. I’m not dunking on Apple, but hear me out – it’s impressive how Apple managed to fit an entire smartphone into the iPhone Air’s camera bump, but Apple’s done this before – the Apple Watch is essentially a computer crammed into a wristwatch. Saying the iPhone Air is building up to smart glasses means completely ignoring all of Apple’s work in the Watch category.
Will the iPhone Air’s innovations lead to wearable breakthroughs? Absolutely. The watch’s heart rate monitor led to breakthroughs in heart-tracking tech that made it to the AirPods Pro 3. The Center Stage camera on the Mac made it to the iPhone. Innovation always travels in multiple directions. But nobody looked at the heart rate monitor on the Apple Watch and thought, wow, this is definitely going to go into my ear someday.
The point is, Apple’s been on track for making powerful wearable devices. The Watch is essentially a computer that’s only limited by its chipset and OS. Bump the S-series chipset’s capabilities to match the A-series and the smartwatch essentially becomes a powerful computing device. It’s already got a gyroscope, it has a battery, tracks health, is ridiculously water-resistant, and could easily pack a camera if you remove the entire sensor array on the bottom for calculating blood oxygen, wrist temperature, respiratory rate, and heart rate variability.
So what’s the iPhone Air hinting at? To be honest, I think the most logical conclusion is a foldable. Apple’s built the iPhone Air to be ridiculously strong, thin, and capable of matching up to the performance of regular flagships. The iPhone Air’s thin design still has a massive battery, which obviously doesn’t port to a pair of smart glasses. Digital Trends asks this exact same question, wondering if Apple’s glasses will have a tethered battery pack like the Vision Pro. But then again, this is exactly what I find so amusing – journalists forgetting that Apple’s been making powerful computing devices with tiny batteries. All you need to do is look at your wrist!
The post The iPhone Air is NOT a precursor to Apple Glasses… Here’s why first appeared on Yanko Design.
Wireless earbuds reached a ceiling two years ago. Every major brand promises the same three things: decent sound, acceptable battery life, and noise cancellation that works sometimes. The result feels like choosing between different flavors of mediocre, where each model excels at one thing while failing at everything else.
Designer: Apple
Many years of testing dozens of wireless earbuds reveals the same pattern every time. Premium models cost $300+ but still can’t handle phone calls in windy conditions. Budget options sound terrible during workouts. Mid-range choices offer compromise everywhere without excellence anywhere.
After experiencing the AirPods Pro 3 this week, those industry limitations feel like ancient history. The difference becomes apparent the moment you slide them into your ears and feel that perfect seal lock into place. This isn’t another incremental upgrade promising slightly better battery life or marginally improved sound. These breakthrough capabilities work together seamlessly to redefine what wireless audio can accomplish in your daily life.
Putting on the AirPods Pro 3 feels different from any previous generation. The internal architecture was completely re-engineered while the external geometry of the ear tip was aligned to the center of the body for increased stability. The pre-installed ear tips fit perfectly right out of the box, creating that satisfying acoustic seal without any pressure points. Having five different tip sizes available, including a new XXS size, means virtually everyone can find their ideal fit.
This improved design delivers the most secure and best-fitting AirPods ever, utilizing over 10,000 ear scans with more than 100,000 hours of user research and an unparalleled dataset of more than 300 million points. The IP57 sweat and water resistance marks the first time any AirPods model offers this level of protection, built to handle tough workouts and unpredictable weather.
The new multiport acoustic architecture precisely controls the airflow that carries sound into the ear, helping deliver an exceptional spatial listening experience. With next-generation Adaptive EQ, this architecture transforms the bass response, widens the soundstage so you hear every instrument, and brings vivid vocal clarity to higher frequencies across music, shows, and calls.
Active noise cancellation delivers a massive leap forward, delivering up to 2x more effectiveness than AirPods Pro 2, with 4x more noise removed compared to the original AirPods Pro. Apple demonstrated this across multiple challenging environments during the demo: the constant drone of airplane cabins, the clatter and conversation of busy restaurants, and the persistent hum of office HVAC systems.
Across every environment during the controlled demos, the AirPods Pro 3 eliminated distracting background noise while preserving every nuance of your music, movies, and calls. The restaurant demo proved particularly impressive – cutting through the complex mix of conversation, kitchen noise, and background music that typically makes wireless earbuds struggle. The result is the world’s best ANC of any in-ear wireless headphones, made possible with ultra-low noise microphones and advanced computational audio combined with new foam-infused ear tips for greater passive noise isolation.
A more personalized Transparency mode means your own voice and the people speaking to you sounds more natural than ever, helping you stay connected to your surroundings without missing a beat. While listening to music with ANC enabled, AirPods Pro 3 now provide up to eight hours of music playback – a 33 percent increase over the previous generation.
Live Translation enables in-person communication across select languages and is available in beta. This transformational, hands-free capability is powered by computational audio and Apple Intelligence to help people easily connect whether they’re traveling to a new place, collaborating at work or school, or simply catching up with the people who matter most.
The system works through three key components, as demonstrated during Apple’s presentation. First, the AirPods microphones capture speech from both conversation participants. Second, computational models on your iPhone process the audio and generate translations using on-device Apple Intelligence. Third, the translated audio plays directly in your ears while simultaneously lowering the volume of the original speaker, creating space for you to process and think about what you’re hearing.
Unlike many translation devices that get confused when multiple people speak simultaneously, the AirPods Pro 3 handle complex audio environments with remarkable precision. The advanced microphone array and computational audio processing can isolate individual voices even in group conversations, ensuring accurate translations without the frustrating errors that plague other devices.
The deliberate pacing is intelligent. The system includes natural pauses that give your brain time to absorb the translated information before continuing. During the demo, these thoughtful breaks became essential for processing complex conversations rather than getting overwhelmed by a constant stream of translated audio.
When both people have AirPods with Live Translation enabled, the experience becomes seamless. Each person hears the other’s words translated into their preferred language, with the original speech automatically dimmed in the background. For conversations where only one person has the capability, your iPhone transforms into a horizontal display, showing live transcription of your words in the other person’s language.
The on-device processing means everything works without Wi-Fi or cellular connectivity once the language models are downloaded to your iPhone.
For international travelers, the AirPods Pro 3 become your essential translation partners that hear what you hear. Having traveled extensively to Japan and China where English isn’t widely spoken, this feature is a genuine game-changer for navigating foreign countries. The AirPods don’t just translate conversations – they should theoretically work for train announcements, airport boarding calls, and street-level interactions that make international travel challenging.
Think of it this way: your AirPods Pro 3 are constantly listening to your environment, ready to translate whatever audio reaches your ears. Whether it’s a subway announcement in Tokyo, a restaurant server explaining the menu in Shanghai, or directional help from locals, your translation partners are always active and processing the world around you.
Live Translation launches with support for English, French, German, Portuguese, and Spanish, with the crucial additions of Japanese, Korean, and Chinese (simplified) arriving before year-end – perfectly timed for travelers heading to Asia.
AirPods Pro 3 introduce Apple’s smallest ever heart rate sensor – a custom photoplethysmography (PPG) sensor that shines invisible infrared light pulsed at 256 times per second to measure light absorption in blood flow. Combined with sensor fusion from the AirPods Pro accelerometers, gyroscope, GPS, and a new on-device AI model on iPhone, users can start up to 50 different workout types, track their heart rate and calories burned, close their Move ring, and earn awards in the Fitness app.
With just AirPods Pro 3 and iPhone, you’ll also have access to Workout Buddy, a fitness experience powered by Apple Intelligence that incorporates your workout data and fitness history to generate personalized, motivational insights during your session. For added motivation, Apple Fitness+ users with AirPods Pro 3 can now view real-time performance metrics directly onscreen, such as heart rate, calories burned, progress on their Move ring, and the Burn Bar.
AirPods Pro 3 also increase battery life in Transparency mode by 67 percent over the previous generation with up to 10 hours with a single charge.
Beyond fitness tracking, the AirPods Pro 3 is a breakthrough for anyone with mild hearing loss. The automatic conversation boost feature dynamically elevates voices while reducing background noise, making conversations clearer and more intelligible in challenging acoustic environments.
Having mild hearing loss myself, this feature addresses one of the most frustrating daily experiences: trying to follow conversations in restaurants, offices, or crowded spaces where background noise overwhelms speech. The AirPods Pro 3 act as sophisticated hearing aids, amplifying the specific frequencies needed for speech clarity while suppressing distracting environmental sounds.
The 10-hour battery life in Transparency mode with hearing aid features enabled means all-day support without worrying about power. More importantly, both your own voice and others speaking to you sound more natural than ever, eliminating the artificial or echo-like quality that can make traditional hearing aids feel intrusive.
After extensive testing with everything from $2,000 custom-fitted Breggz earbuds to premium over-ear headphones like the AirPods Max I reviewed for Yanko Design, the AirPods Pro 3 delivers something genuinely surprising. While the Breggz offered exceptional three-dimensional spatial audio and perfect custom molding, they came with significant downsides: unreliable touch controls during workouts, unknown long-term support from a new brand, and connectivity uncertainties that made them impractical for daily use despite their audio excellence.
The AirPods Pro 3 eliminates these compromises entirely. The audio quality matches what you’d expect from earbuds costing eight times more, while the integrated health tracking eliminates the need for separate fitness devices.
Most impressively, every feature enhancthe others rather than creating feature bloat. The perfect fit enables accurate heart rate sensing. The translation capability works seamlessly because of the superior microphone array. The extended battery life supports all-day hearing aid functionality.
For anyone still using previous-generation wireless earbuds, the upgrade path is clear. The combination of perfect fit, exceptional audio, hands-free translation, and precise health monitoring creates possibilities that extend far beyond traditional earbuds into genuine life enhancement territory.”
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Every September, Apple shows the world what’s possible when design meets engineering. This year’s “Awe Dropping” event delivered innovations that solve problems you didn’t know existed. Your iPhone, watch, and headphones are about to feel ancient.
These changes affect daily life in ways that become obvious once you experience them. Apple redesigned fundamental aspects of how we interact with technology. Here are the ten biggest design insights from Apple’s latest event.
Apple debuted the all-new iPhone Air, the thinnest iPhone ever made, with pro performance. iPhone Air features a breakthrough titanium design that is elegant and light yet strong. The company solved the biggest challenge in thin phone design.
The back of iPhone Air is now protected with Ceramic Shield, and the front cover uses Ceramic Shield 2, delivering 3x better scratch resistance. This makes iPhone Air more durable than any previous iPhone. Strength and thinness no longer require compromise. Apple reversed years of increasing thickness through engineering breakthroughs.
This creates new possibilities for how phones feel in pockets and hands. The titanium frame provides structural integrity without adding bulk.
Apple announced iPhone 17, featuring the new Center Stage front camera that takes selfies to the next level. The technology automatically frames selfies and video calls without manual adjustment. Bad selfie angles become impossible with this intelligent system.
The camera tracks faces and adjusts composition in real time. Video calls look professional without any effort from users. Group selfies include everyone perfectly without awkward repositioning.
Machine learning understands photography rules better than most people. The system creates flattering angles and proper framing consistently across all lighting conditions.
Apple built the iPhone 17 Pro with an Apple-designed vapor chamber that is laser-welded into a strong, light, and thermally conductive aluminum unibody. This delivers Apple’s best-ever performance and an enormous leap in battery life. The design represents a major departure from previous titanium construction.
The vapor chamber enables superior heat management during intensive tasks. Aluminum provides structural strength while remaining lightweight. The unibody construction eliminates weak points found in multi-piece designs.
This design choice prioritizes thermal performance over premium materials. The engineering breakthrough enables sustained high performance without overheating.
The 6.3-inch Super Retina XDR display with ProMotion is bigger and brighter, enabling supersmooth scrolling, immersive gaming, and improved efficiency on the base iPhone 17. Apple removed artificial barriers between product tiers. Smooth scrolling becomes available to everyone who buys an iPhone.
Gaming performance improves dramatically across all price points. The technology that made Pro models special now defines the entire lineup. This democratization of premium features shows Apple’s confidence in its technology leadership.
Users no longer need to choose between affordability and display quality.
The new Ceramic Shield 2 front cover is tougher than any smartphone glass or glass-ceramic, with 3x better scratch resistance than the previous generation and reduced glare. For the first time, Ceramic Shield protects the back of Pro devices, delivering 4x better resistance to cracks than previous back glass.
This creates complete protection against drops and scratches. Users can feel confident using phones without bulky cases. Repair costs decrease significantly over the device lifetime.
Apple pushed material science boundaries to achieve these improvements. The technology makes phones more reliable and longer-lasting for everyday use.
Apple introduced Apple Watch Series 11, offering the most comprehensive set of health features yet, longer battery life, an even more durable cover glass, and 5G cellular capabilities. Apple Watch Series 11 empowers users with notifications for signs of chronic high blood pressure, also known as hypertension.
Healthcare becomes proactive rather than reactive with this technology. Users receive early warnings about potential heart problems. Apple Watch positions itself as essential medical equipment.
FDA clearance for hypertension notifications is expected soon, and the feature will be available in more than 150 countries and regions this month. The feature could prevent heart attacks and strokes through early detection.
With watchOS 26, Apple Watch can help users understand the quality of their sleep and how to make it more restorative with a new sleep score feature. Sleep is fundamental to a person’s health and critical to daily restoration.
The system analyzes multiple factors including heart rate and temperature. Users get actionable insights for improving sleep quality. The scoring system makes complex sleep data understandable for everyone.
This transforms how people think about rest and recovery. Sleep becomes measurable and improvable rather than mysterious.
AirPods Pro 3 deliver unbelievable sound quality and the world’s best in-ear Active Noise Cancellation. They remove up to 2x more noise than the previous-generation AirPods Pro, and 4x more than the original AirPods Pro. This advancement eliminates more environmental distractions than ever before.
The updated design helps AirPods Pro 3 fit even better and provides greater in-ear stability during activities like running, HIIT, yoga, and more. Comfort improves alongside acoustic performance. Active users can trust the earbuds to stay secure during intense movement.
The engineering breakthrough makes quiet spaces possible anywhere. Concentration and focus become achievable in noisy environments.
Live Translation comes to AirPods, making face-to-face conversations easier by helping users connect even if they don’t speak the same language. The earbuds become universal communication tools for any situation. Language barriers disappear during face-to-face interactions.
Business meetings across cultures become seamless experiences. Travel to foreign countries feels less intimidating. The technology bridges communication gaps through elegant design innovation.
This transforms how people interact across different languages and cultures. Real-time translation makes global communication effortless.
The Crossbody Strap is compatible with iPhone 17 Silicone Case with MagSafe, iPhone 17 Pro cases, iPhone 17 Pro Max cases, iPhone Air Case with MagSafe, and iPhone Air Bumper. Apple officially acknowledges that phones function as primary creative tools.
Photography becomes more stable with hands-free operation. Content creators get professional camera stability from their phones. The design makes phones feel more like professional camera equipment than communication devices.
This accessory represents a fundamental shift in how Apple views phone usage. Mobile photography becomes a serious creative medium worthy of professional accessories.
Apple’s September 2025 event shows how thoughtful design solves real problems people face daily. These innovations prove that premium technology can become accessible while pushing entirely new boundaries. The changes affect how we work, communicate, and create content in meaningful ways that will reshape daily interactions with technology.
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Shai, c’est un collègue développeur qui ne dort jamais, qui ne râle jamais quand vous lui demandez de déboguer votre code à 3h du matin, et qui vit littéralement dans votre terminal. C’est un outil qui s’inscrit dans la même lignée que Codex ou Claude Code et qui est 100% français puisque proposé par OVHcloud.
Terminé donc les outils qui nécessitent des interfaces graphiques lourdes ou des plugins IDE complexes puisqu’ici, tout se passe dans le terminal.
L’installation tient en une seule ligne :
curl -fsSL https://raw.githubusercontent.com/ovh/shai/main/install.sh | sh
Et en quelques secondes, vous avez un assistant IA fonctionnel, prêt à vous épauler dans vos tâches quotidiennes. Pas de configuration complexe, pas de dépendances infernales à gérer. Bien sûr, comme pour tout script téléchargé, pensez à vérifier le contenu avant exécution.
Vous l’aurez compris, SHAI ne se contente pas d’être un simple chatbot qui répond à vos questions. Il peut véritablement prendre le contrôle et exécuter des commandes, créer des fichiers, déboguer votre code, et même automatiser des workflows complets. Vous pouvez lui demander de créer un site web complet, de convertir des fichiers d’un format à l’autre, ou de corriger cette commande shell que vous n’arrivez jamais à mémoriser correctement.
La philosophie “written in Rust with love” inscrite dans le code du projet n’est pas non plus qu’une simple formule marketing car le choix de Rust garantit des performances exceptionnelles et une sécurité mémoire à toute épreuve. Avec 99,2% du code en Rust, les développeurs d’OVHcloud ont clairement misé sur la robustesse et la rapidité d’exécution. Je tiens quand même à dire qu’au cours de mes tests, j’ai quand même eu quelques plantages de l’application. Mais elle est encore jeune, donc j’espère que ça va s’améliorer.
Ce qui distingue vraiment SHAI des autres assistants IA, c’est sa capacité à fonctionner en mode “headless”. Vous pouvez simplement lui envoyer des prompts via un pipe Unix : echo "crée-moi un hello world en Python" | shai
. Et rien que cette fonctionnalité ouvre des possibilités infinies pour l’automatisation et l’intégration dans des pipelines CI/CD existants.
Plus impressionnant encore, le mode “shell assistant” transforme SHAI en véritable garde du corps de votre terminal. Une fois activé, chaque fois qu’une commande échoue, SHAI intervient automatiquement pour vous proposer une correction. Plus besoin de chercher sur Stack Overflow pourquoi votre commande tar
ne fonctionne pas comme prévu.
Pour réussir tout ça, il utilise par défaut Qwen3-32B mais rassurez vous, y’a moyen de changer de provider. L’aspect multi-provider est donc crucial et heureusement SHAI n’est pas verrouillé sur un seul modèle d’IA. Vous pouvez donc configurer différents providers selon vos besoins, vos préférences ou vos contraintes de confidentialité. Mais par défaut, OVHcloud propose un accès anonyme (avec limitation de débit) pour que tout le monde puisse tester l’outil sans engagement. Perso, j’ai éclaté la limite au bout de quelques minutes d’utilisation. Snif.
Lors de mes tests, j’ai aussi constaté que les commandes qu’on appelle normalement avec le “/” n’ont pas fonctionné chez moi et concernant le thème de l’interface de Shai, en fonction des couleurs de votre terminal, ça peut vite être illisible. C’est dommage mais j’imagine que ça va se bonifier avec le temps…
Voilà, avec Shai , OVHcloud mise clairement sur cette approche minimaliste mais puissante pour séduire les développeurs qui veulent de l’IA sans les complications habituelles et surtout qui tourne sur le sol français, dans le respect de vos données personnelles.
Je leur souhaite plein de succès !
Un fichier JSON qui met en danger des milliers de développeurs. Voilà en gros le pitch du jour, et franchement, il y a de quoi s’inquiéter un peu.
Vous connaissez Cursor ? C’est ce nouvel éditeur de code qui fait le buzz avec son IA intégrée, GPT-5 et Claude sous le capot. Et bien selon Oasis Security , cet outil de plus en plus populaire dans la communauté des développeurs, a une faille d’importance. En effet, l’équipe de développement a décidé de désactiver par défaut une fonction de sécurité cruciale de Visual Studio Code qui est le Workspace Trust.
Pourquoi ? Bah parce que ça gênait le fonctionnement de leur précieuse IA !
Alors qu’est-ce que ça change ce Workspace Trust ? Eh bien, imaginez que vous ouvrez tranquillement un projet GitHub pour jeter un œil au code. Pas pour l’exécuter, juste pour regarder. Avec VS Code de base, aucun souci, le Workspace Trust vous protège mais avec Cursor, c’est open bar pour les hackers.
Car il suffit qu’un petit malin glisse un fichier .vscode/tasks.json
dans son repository avec la bonne configuration, et boom. Dès que vous ouvrez le dossier, le code s’exécute automatiquement sur votre machine avec "runOn": "folderOpen"
. Sans votre accord bien sûr. Sans même que vous vous en rendiez compte.
Les chercheurs d’Oasis Security ont créé une démo pour prouver le danger . Leur fichier tasks.json envoie discrètement le nom d’utilisateur de la victime vers un serveur externe. Sympa comme proof of concept, mais imaginez les dégâts avec du vrai code malveillant.
Avec ce genre de manip, un attaquant pourrait faire du vol de tokens d’authentification, de clés API planquées dans vos variables d’environnement, une modification silencieuse de vos fichiers de code, un connexion à un serveur de commande et contrôle… etc. Bref, le kit complet du cybercriminel moderne et vu que beaucoup de développeurs bossent sur des projets sensibles, ça peut vite devenir une porte d’entrée pour des attaques sur la chaîne d’approvisionnement logicielle.
Le truc énervant, c’est quand Oasis Security a alerté l’équipe de Cursor… leur réponse a été… comment dire… rafraîchissante car selon les chercheurs, l’équipe de Cursor a reconnu le problème mais a refusé de réactiver le Workspace Trust par défaut. Plus diplomatiquement, ils ont expliqué que cette fonction de sécurité casserait les fonctionnalités IA pour lesquelles les gens utilisent leur produit.
Leur conseil pour ceux qui s’inquiètent c’est donc d’ activer manuellement le Workspace Trust dans les paramètres ou d’utiliser un autre éditeur pour ouvrir les projets douteux. Autrement dit, démerdez-vous.
Pour activer cette protection vous-même, il faut donc aller dans les settings et modifier security.workspace.trust.enabled
en le passant à true
. Vous pouvez aussi complètement désactiver l’exécution automatique des tâches avec task.allowAutomaticTasks: "off"
.
Plusieurs experts en sécurité recommandent maintenant d’ouvrir les repositories inconnus uniquement dans des environnements isolés, genre machine virtuelle ou conteneur jetable. Pas très pratique pour du code review rapide.
En tout cas, je me souviens que ce n’est pas la première fois que Cursor fait parler de lui niveau sécurité. Récemment, deux autres vulnérabilités ont été découvertes : MCPoison (CVE-2025-54136) et CurXecute (CVE-2025-54135). Bref, visiblement, la sécurité n’est pas leur priorité numéro un.
Et pour détecter si vous êtes victime de cette faille, cherchez les fichiers .vscode/tasks.json
contenant "runOn": "folderOpen"
dans vos projets. Surveillez aussi les shells lancés par votre IDE et les connexions réseau inhabituelles juste après l’ouverture d’un projet.
A vous de décider maintenant… jusqu’où êtes-vous prêt à sacrifier votre sécurité pour un peu plus de confort ? Parce que là, on parle quand même d’exécution de code arbitraire sans consentement…
Avez-vous déjà passé des heures sur After Effects pour créer une simple animation de 30 secondes qui explique un concept. Entre nous, c’est un cauchemar. Jongler avec les keyframes, les courbes de bézier et 150 calques qui se battent en duel pour savoir lequel doit apparaître en premier, c’est bien relou et on finit par perdre plus de temps à se battre avec le logiciel qu’à créer du contenu.
Vous voyez de quoi je parle, non ?
Mais voilà, j’ai testé un truc qui s’appelle StoryMotion et qui permet de créer des animations façon tableau blanc aussi facilement que vous faites des slides PowerPoint. Pas de compétences professionnelles requises, pas de formation de 3 mois sur YouTube. Juste vous, vos idées, et un outil qui sait que votre temps est précieux.
L’idée de StoryMotion est venue à son créateur, Chun Rapeepat, après avoir utilisé Excalidraw et Keynote pendant des années pour créer des visuels pour ses articles de blogs techniques. Quand il a voulu passer à la vidéo, il s’est retrouvé à passer des heures interminables sur des logiciels complexes pour obtenir un résultat qu’il aurait pu dessiner à la main en 5 minutes.
Pour ceux qui ne connaissent pas, Excalidraw c’est un outil de dessin collaboratif open source qui a conquis le cœur des développeurs et créateurs tech, et qui permet de dessiner vos schémas, diagrammes ou illustrations directement sur un espèce de tableau blanc.
StoryMotion permet de faire la même chose mais est en plus équipé d’un éditeur de timeline. Avec cet éditeur, au lieu de jongler avec des dizaines de paramètres obscurs, vous assignez simplement des effets à vos éléments : zoom, fade, apparition progressive et la timeline vous permet d’ajuster la durée et le timing de chaque animation avec une simplicité t’as peur. C’est vraiment pensé pour ceux qui veulent créer du contenu, et pas devenir des experts en motion design.
Les cas d’usage sont nombreux. Vous pouvez par exemple expliquer un algorithme étape par étape, ou créer une animation qui montre comment fonctionne une recherche Google. Si vous voulez saire une vidéo explicative sur un concept technique complexe c’est aussi tout à fait possible ! Je vous invite à aller voir les exemples sur le site. C’est génial pour les créateurs de contenu éducatif qui veulent produire des vidéos de qualité sans y passer leur week-end.
Et une fois votre animation créée, vous pouvez l’exporter vers votre éditeur vidéo préféré, que ce soit Canva, CapCut, After Effects ou Premiere Pro. L’idée, vous l’aurez compris, n’est pas de tout faire dans StoryMotion, mais juste de gérer la partie la plus chronophage à savoir la création d’animations et cela de la manière la plus efficace possible.
L’outil est actuellement en early beta, ce qui signifie que de nouvelles fonctionnalités arrivent régulièrement et c’est gratuit pour le moment. Mais ne vous y trompez pas, dès que ça sortira de beta, ça passera payant je pense. Alors en attendant, autant en profiter !
Vous en avez marre de jongler entre différents clients VPN selon vos appareils ?
Alors ça tombe bien puisque je viens de tomber sur TailGuard , un projet open source qui est une application Docker, mise au point par un certain Juho Vähä-Herttua qui sert de passerelle entre WireGuard et Tailscale .
Si vous n’avez jamais entendu parler de ces deux technologies, laissez-moi vous faire un petit récap rapide… WireGuard, c’est LE protocole VPN moderne ultra-rapide dans le vent, et Tailscale, c’est LA solution mesh VPN qui fait un carton en ce moment.
Et le truc chouette avec TailGuard, c’est qu’il résout ce casse-tête des appareils qui ne peuvent pas faire tourner Tailscale nativement. Vous savez, ces vieux routeurs, ces IoT un peu bizarres ou ces environnements restreints où installer un client VPN moderne c’est plus compliqué que d’avoir un Premier Ministre décent. Mais avec TailGuard, vous créez ainsi un pont entre votre infrastructure WireGuard existante et le réseau mesh de Tailscale. Pas besoin de tout refaire de zéro, c’est plutôt bien pensé.
Alors, comment ça marche ?
Et bien en gros, vous avez un serveur WireGuard qui tourne quelque part, avec ses configurations et ses clés et TailGuard, lui, vient se greffer dessus via Docker et expose automatiquement vos sous-réseaux WireGuard sur Tailscale. Du coup, tous vos appareils Tailscale peuvent accéder à vos ressources WireGuard, et inversement. C’est du routage bidirectionnel automatique, avec support IPv4 et IPv6.
Pour l’installation, c’est un jeu d’enfant. Vous téléchargez votre config WireGuard client, vous la sauvegardez en wg0.conf
, vous créez un réseau IPv6 Docker et vous lancez le container avec les bons volumes.
docker network create --ipv6 ip6net
docker run -it \
-v ./wg0.conf:/etc/wireguard/wg0.conf -v ./state:/tailguard/state \
--cap-add NET_ADMIN --device /dev/net/tun \
--sysctl net.ipv4.ip_forward=1 --sysctl net.ipv6.conf.all.forwarding=1 \
--sysctl net.ipv4.conf.all.src_valid_mark=1 \
--network ip6net -p 41641:41641/udp \
--name tailguard juhovh/tailguard:latest
Et en quelques minutes, votre passerelle est opérationnelle. Et le petit plus, c’est que vous pouvez personnaliser pas mal de paramètres via des variables d’environnement : nom des interfaces, clé d’authentification Tailscale, routes spécifiques, hostname, etc.
L’un des gros avantages de cette approche, c’est la centralisation de la gestion des clés. Plus besoin de distribuer des configs WireGuard à tous vos appareils. Tailscale gère l’authentification avec votre provider d’identité préféré (Okta, Google, GitHub, etc.) et TailGuard fait le lien avec votre infra WireGuard. Cette architecture mesh a aussi le gros avantage d’éliminer les points de défaillance uniques des VPN traditionnels.
Et en termes de sécurité, on est sur du solide car chaque connexion reste chiffrée de bout en bout avec WireGuard, réputé pour sa robustesse cryptographique. Et Tailscale ajoute sa couche de zero-trust avec authentification continue et politiques d’accès basées sur l’identité. Comme ça, plus besoin de faire confiance au réseau, puisque chaque requête est vérifiée.
Et pour ceux qui ont des besoins plus spécifiques, TailGuard offre la possibilité de créer des architectures plus complexes. Vous pouvez par exemple router certains sous-réseaux spécifiques, gérer plusieurs tunnels WireGuard, ou même créer des passerelles redondantes pour la haute disponibilité.
Un truc que j’ai trouvé pas mal du tout en testant, c’est la possibilité de faire du SSO (Single Sign-On) sur des équipements qui normalement ne le supportent pas. Votre vieux serveur Linux avec WireGuard devient soudainement accessible via votre compte Google ou Microsoft, grâce à la magie de Tailscale. Pratique pour les équipes qui souhaitent standardiser leurs accès sans tout migrer.
Et si vous vous demandez pourquoi ne pas utiliser directement Tailscale partout, la réponse est simple : Parfois, c’est juste impossible ou trop compliqué. Certains environnements embedded, certains OS propriétaires ou certaines architectures exotiques ne peuvent pas faire tourner le client Tailscale.
TailGuard vient donc combler ce gap en utilisant WireGuard comme protocole universel de base.
Voilà, c’est encore une fois un projet sous licence MIT qui est activement maintenu sur GitHub. Bref, si vous cherchez une solution pour unifier vos VPN sans tout casser, TailGuard mérite vraiment le coup d’œil !
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