Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

Sam Altman hasn’t had "a good night of sleep" since OpenAI launched ChatGPT

CEO Sam Altman recently admitted he struggles to sleep at night, overwhelmed by the thought of hundreds of millions of people interacting with ChatGPT daily.

Sam Altman, chief executive officer of OpenAI Inc., during a Senate Commerce, Science, and Transportation Committee hearing in Washington, DC, US, on Thursday, May 8, 2025.

Google DeepMind CEO dismisses claims of PhD-level AI as "nonsense" — today's systems lack continued learning, pushing true general intelligence 5–10 years away

Google DeepMind CEO Demis Hassabis argues that artificial intelligence still lacks key capabilities, pushing AGI 5–10 years away.

CEO of DeepMind Technologies Demis Hassabis attend an AI summit at Imperial College London, in central London on July 9, 2025.

From ChatGPT to cheating — AI is changing the way UK students learn, and universities aren't prepared

UK students are using AI to write essays, study for exams, and even complete homework. Teachers are scrambling to keep up.

Stanford graduated students get photos taken after graduation ceremony at Stanford University in Stanford, California, United States on June 12, 2024.

So much for reaching net-zero — Google's proposed AI datacenter emissions are mind-boggling

Plans for an upcoming Google datacenter in the UK show a bleak look at the impact AI is having on the environment, with the same CO2 emissions as hundreds of flights to Europe every day.

Aerial view of a data center owned by the US multinational and technology company Google in Santiago on October 9, 2024.

America's AI power trio is heading to the UK — President Trump, Sam Altman, and Jensen Huang to announce a "British Stargate"

As the UK readies for a second state visit from President Trump, Sam Altman and Jensen Huang of OpenAI and NVIDIA are also making the trip, with major AI projects on the agenda.

WASHINGTON, DC - APRIL 30: U.S. President Donald Trump (L) listens as Nvidia CEO Jensen Huang speaks in the Cross Hall of the White House during an event on "Investing in America" on April 30, 2025 in Washington, DC. Trump was joined by CEOs to highlight companies and their investments in the United States during the event. (Photo by Andrew Harnik/Getty Images)

Oxford University boffins created an AI tool to help discover "the needles in a cosmic haystack" — reducing its astronomer's workloads dramatically

Oxford University astronomers have detailed an AI tool they've been using to help spot supernovae out in the depths of space and reduce the workload on humans by 85%.

View over Domes and Spires of Oxford, UK

Oboe - Une plateforme d'apprentissage par IA qui vous génère un cours en quelques secondes

Vous vous souvenez d’Anchor, cette plateforme qui avait permis de simplifier la création de podcasts avant de se faire racheter par Spotify pour 150 millions de dollars ? Eh bien ses créateurs, Nir Zicherman et Michael Mignano, sont de retour avec un nouveau projet qui pourrait bien changer l’apprentissage en ligne. Leur nouvelle création s’appelle Oboe et permet de créer des cours éducatifs personnalisés en quelques secondes grâce à l’IA.

Une fois sur Oboe, vous tapez un prompt du genre “Histoire de l’IA”, “Comment réaliser des pâtisseries” ou même “Préparer mon déménagement au Japon” et hop, Oboe vous génère instantanément un cours complet adapté à vos besoins. C’est le premier outil d’apprentissage généralisé par IA qui permet vraiment de créer des formations sur n’importe quel sujet, d’une manière plus personnalisée et efficace que tout ce qui existe aujourd’hui.

Mon cours sur les échecs

Ce qui rend Oboe vraiment intéressant, c’est son architecture multi-agents développée from scratch. Sur TechCrunch , Zicherman explique que leur système fait tourner plusieurs agents IA en parallèle qui s’occupent de tout : développer l’architecture du cours, vérifier les informations de base, écrire le script pour les podcasts, récupérer des images pertinentes sur Internet et même auditer le contenu pour garantir sa qualité et son exactitude. Tout ça en quelques secondes chrono.

Au lancement, Oboe propose déjà 9 formats de cours différents ( Cours classique, épisode de podcast, points clés à retenir, livre audio, FAQ, flashcards, quiz, etc…) capables de couvrir des domaines aussi variés que les sciences, l’histoire, les langues étrangères, l’actualité, la pop culture ou même la préparation aux changements de vie selon ce que vous lui demandez. Chaque cours combine du texte, des visuels, des conférences audio, des quiz interactifs et même des jeux. Vous avez deux modes audio disponibles : un format de conférence traditionnelle ou une expérience plus conversationnelle façon podcast, un peu comme NotebookLM de Google.

Le nom “Oboe” n’a pas été choisi au hasard. Il s’inspire de la racine du mot japonais qui signifie “apprendre”. Une jolie référence qui colle parfaitement à leur mission de rendre l’humanité plus intelligente. Encore faudrait-il qu’elle souhaite “apprendre”, cette humanité…

Niveau business model, Oboe adopte une approche freemium assez classique. Vous pouvez créer jusqu’à 2 cours par mois et si vous voulez aller plus loin, deux forfaits payants sont disponibles : Oboe Plus à 12$/mois pour 30 cours supplémentaires et Oboe Pro à 32$/mois pour 100 cours.

Au lieu d’avoir des cours statiques créés par des experts et consommés passivement, Oboe permet à chacun de générer instantanément du contenu éducatif ultra-personnalisé, comme un prof particulier capable de créer un programme sur mesure en temps réel, quel que soit le sujet qui vous intéresse.

Perso, j’ai testé et j’ai trouvé les 2 formations que ça m’a généré de très bonne qualité. Et si vous creusez un peu sur Google, vous pouvez aussi trouver certains cours générés par d’autres utilisateurs : inurl:https://oboe.fyi/courses/

Quand on voit la qualité de ce que peuvent générer les IA aujourd’hui, l’idée d’avoir une plateforme capable de créer des cours complets et structurés en quelques secondes, c’est assez cool, surtout avec leur système multi-agents qui vérifie la qualité et l’exactitude des informations. Ça pourrait vraiment changer les choses dont on apprend de nouvelles compétences ou dont on explore de nouveaux sujets.

Reste maintenant à voir si Oboe réussira à s’imposer face aux géants de l’éducation en ligne mais avec l’expérience des fondateurs, ils ont clairement quelques atouts dans leur manche.

Comment l'IA est en train de tuer le web sous nos yeux

Imaginez demain matin, vous vous réveillez et 90% des sites web ont disparu. Plus de blogs, plus de sites de presse, plus de forums. Juste des pages blanches et des erreurs 404. De la science-fiction ? Et bien pas selon Matthew Prince, le CEO de Cloudflare, qui gère 20% du trafic web mondial.

Dans plusieurs interviews récentes, il explique qu’on est en train d’assister en direct à l’effondrement du modèle économique qui a fait vivre Internet pendant 25 ans. En effet, le deal était simple : Google crawle votre contenu, vous envoie du trafic, vous monétisez avec de la pub.

Sauf que ce pacte avec le diable vient de voler en éclats.

Il y a dix ans, pour 2 pages que Google scannait sur votre site, il vous envoyait 1 visiteur. Un échange équitable, presque symbiotique. Mais aujourd’hui, Il faut 6 pages crawlées pour obtenir 1 seul clic.

Mais attendez, là c’est Google, le gentil de l’histoire parce qu’avec les nouveaux venus de l’IA, c’est l’apocalypse qui s’annonce. En effet, d’après les données de Cloudflare , le ratio d’OpenAI est passé de 250 pour 1 à 1500 pour 1 en quelques mois. Autrement dit, ChatGPT aspire 1500 pages de votre contenu pour vous renvoyer généreusement… 1 seul visiteur. Anthropic avec Claude, on est à 60 000 pages pour un visiteur. Bref, c’est pas du crawling, c’est du pillage en règle.

Et Prince ne mâche pas ses mots : “Si les créateurs de contenu ne peuvent plus tirer de valeur de leur travail, ils vont arrêter de créer du contenu original.” Et devinez quoi ? C’est déjà en train de se produire car les données montrent que le trafic des moteurs de recherche vers les sites web a chuté de 55% entre 2022 et 2025. Par exemple, le Washington Post et le HuffPost ont vu leur trafic organique divisé par deux en trois ans.

Le plus ironique dans tout ça c’est que Google lui-même creuse sa propre tombe. Prince révèle qu’il y a six mois, 75% des recherches Google se terminaient sans aucun clic vers un site externe. Mais alors pourquoi ce changement soudain ? Hé bien la réponse tient en deux mots : Answer Engines. C’est le cas par exemple avec le déploiement d’ AI Overview , leur nouvelle fonctionnalité qui donne directement les réponses, ce chiffre pourrait atteindre 90%. Google est ainsi devenu un genre de cul-de-sac d’Internet…

Il est fini donc le temps où Google vous donnait une carte au trésor avec des liens à explorer. Maintenant, l’IA vous donne directement le trésor et comme ça plus besoin de visiter les sites, plus de trafic, plus de revenus publicitaires. La boucle vertueuse s’est transformée en spirale mortelle…

Les prédictions de Gartner sont glaçantes car le volume des recherches traditionnelles va chuter de 25% d’ici 2026. Par exemple, chez les 18-24 ans, 66% utilisent déjà ChatGPT pour chercher de l’information, contre 69% pour Google. L’écart se resserre dangereusement.

Prince voit donc trois scénarios possibles pour l’avenir, et aucun n’est réjouissant.

Premier scénario, le plus nihiliste : Tous les journalistes, chercheurs et créateurs de contenu “meurent de faim” faute de modèle économique viable. Ce sont littéralement ses mots.

Deuxième scénario : On revient à un système de mécénat médiéval où cinq grandes entreprises IA emploient directement tous les créateurs. Adieu l’indépendance éditoriale.

Troisième scénario : On invente un nouveau modèle économique, mais personne ne sait encore lequel…

Voilà en gros les choix qui se présentent à nous.

Cloudflare, de son côté, ne reste bien sûr pas les bras croisés. Prince a lancé AI Audit , un système qui bloque par défaut tous les bots IA. Comme il l’a dit : “Je fais la guerre tous les jours aux gouvernements chinois, russe, iranien et nord-coréen qui tentent de hacker nos clients, et vous me dites que je ne peux pas arrêter un nerd avec une société dans la Silicon Valley ?

La solution qu’il propose c’est donc un système de “pay-per-crawl” utilisant le protocole HTTP 402 (celui qui était prévu pour les micropaiements et que personne n’a jamais utilisé). Les IA devront donc payer pour crawler le contenu… On verra si ça marche…

L’économie des créateurs , évaluée à 203 milliards de dollars en 2024, est donc directement menacée par les IA. Paradoxalement, 84% des créateurs utilisent maintenant l’IA pour produire du contenu, accélérant leur propre obsolescence. C’est le serpent qui se mord la queue où l’IA se nourrit de contenu humain pour créer du contenu synthétique qui remplace le contenu humain qui nourrit l’IA qui… vous voyez le problème ?

Le plus dingue, c’est la vitesse à laquelle tout s’effondre. En mai 2024, Google lançait AI Overview et en juin 2025, le pourcentage de recherches d’actualités sans clic est passé de 56% à 69%. En seulement un an. À ce rythme, d’ici 2027, plus personne ne cliquera sur rien.

Et tout cela se passe maintenant, sous nos yeux, et personne ne semble capable de l’arrêter. Les éditeurs subissent donc une “menace existentielle” selon les propres mots de Prince. Le New York Times a décidé de se battre en justice. Les petits blogs et petits médias disparaissent en silence et Reddit et les forums deviennent des jardins clos pour protéger leur contenu.

La question n’est donc plus de savoir si le modèle économique du web va s’effondrer, mais quand et comment on va reconstruire sur les ruines. Prince compare la situation aux débuts d’Internet : “Nous sommes dans une période de destruction créatrice schumpétérienne .” Sauf que cette fois, ce qui est détruit, c’est le tissu même du web ouvert.

Meta de son côté a lancé son Creator Monetization Suite cette année, promettant de nouveaux moyens de monétisation… mais quand on y regarde de près, c’est juste une façon de garder les créateurs sous leur emprise, produisant du contenu que l’IA de Meta pourra ensuite digérer sans jamais les laisser partir ailleurs.

Bref, ces mêmes entreprises qui ont construit leur empire sur le contenu gratuit du web sont en train de le tuer et Google, qui a encouragé la création de contenu pendant 25 ans pour alimenter son moteur de recherche, est maintenant celui qui coupe le robinet du trafic.

Prince termine son interview sur une note sombre mais réaliste : “L’internet tel que nous le connaissons ne survivra pas sous sa forme actuelle.

Le choix qui nous reste est donc très simple : Soit on accepte un web contrôlé par cinq méga-corporations qui emploient directement tous les créateurs, soit on invente quelque chose de radicalement nouveau. Mais une chose est sûre, le web libre et ouvert qu’on a connu est en train de mourir, et il ne reviendra pas.

Vous entendez ce silence ?

C’est le bruit du web qui s’éteint, un site à la fois. Et pendant ce temps, les IA continuent de crawler, de digérer, de régurgiter. Et cela jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien à manger… Bienvenue dans l’ère post-trafic.

Population : Vous et quatre chatbots 😭.

DropNotch transforme l'encoche de votre MacBook en zone de partage ultra pratique

Depuis que le notch a fait son apparition sur les MacBook, vous avez probablement déjà tous râlé contre cette petite encoche qui grignote votre barre de menu. Mais voilà qu’un développeur pas con a eu une bonne idée : transformer ce bout d’écran perdu en quelque chose de vraiment pratique. Et une fois qu’on y goûte, on ne peut plus s’en passer.

DropNotch est donc une application gratuite qui métamorphose votre notch en zone de dépôt instantané pour vos fichiers. Glissez un document, une image ou n’importe quel fichier vers l’encoche, et une petite interface apparaît avec vos options de partage : AirDrop, Mail, Messages.

Le concept est tellement simple qu’on se demande pourquoi Apple n’y a pas pensé. Au lieu d’ouvrir le Finder, faire un clic droit, chercher l’option partager, vous balancez directement votre fichier sur le notch. Deux secondes chrono pour envoyer un PDF à un collègue.

L’application fonctionne sur tous les Mac avec macOS Monterey ou plus récent. Pour les MacBook avec notch, c’est l’expérience optimale. Et pour les Mac sans notch physique (Mac mini, iMac), DropNotch crée intelligemment une zone de dépôt virtuelle dans la barre de menu, offrant la même praticité sans l’encoche.

Vous pouvez télécharger le fichier DMG directement depuis le site officiel et comme je le disais l’app est gratuite, ce qui est appréciable pour ce genre d’utilitaire qu’on apprécie mais jamais assez pour payer. Snif.

Pour ceux qui partagent souvent des fichiers en télétravail ou qui jonglent entre plusieurs projets, c’est donc un petit gain de temps. Plus besoin de naviguer dans les menus. Votre workflow devient plus fluide.

Ah et Apple Silicon ou Intel, peu importe, l’application est compatible avec les deux architectures.

Bref, transformer le notch en fonctionnalité aussi pratique, fallait y penser et j’adore !

Merci à Lorenper pour la découverte !

The one ‘Non-Apple product’ that Apple announced on September 9th

Apple’s September keynote events are a familiar ritual, a carefully choreographed presentation of their latest and greatest hardware. This year, we got everything we expected: the regular iPhone 17, the powerful new iPhone 17 Pro and Pro Max, details on the A19 Pro chip, and a surprise with the ridiculously slim iPhone Air. Amidst the sea of polished metal and Ceramic Shield panels, however, something unusual happened. Apple gave the spotlight to a product that wasn’t their own. For a few crucial moments, the focus shifted to a small, unassuming black box from Blackmagic Design, a company beloved by video professionals. This device, the Camera ProDock, was the only non-Apple product to get a showcase at the keynote, and its presence spoke volumes about where Apple sees the future of filmmaking heading.

The Blackmagic Camera ProDock is, at its core, the ultimate professional dongle for the iPhone 17 Pro. It’s a purpose-built hub designed to solve every major problem that has kept the iPhone from being a primary camera on a serious film set. For years, filmmakers have used iPhones for B-roll or in tight spots where a larger camera wouldn’t fit, but integrating them into a professional workflow has always been a collection of compromises and clunky workarounds. The ProDock aims to eliminate those compromises entirely by giving the iPhone the physical inputs and outputs that are standard on any high-end cinema camera. It’s a rugged, mountable accessory that provides connections for power, external microphones, headphones, on-set monitors, and solid-state drives for recording, all while fitting seamlessly into a professional camera rig.

Designer: Blackmagic

Two big features that made the cut this year on the Pro iPhones (which can be taken advantage of by the Camera ProDock) are genlock and external timecode. For anyone outside the film industry, these terms probably sound like technical jargon, but they are the bedrock of multi-camera productions. Think of genlock as the master conductor for an orchestra of cameras; it sends out a sync pulse that ensures every single camera on set captures a frame at the exact same microsecond. Timecode, then, is the sheet music, giving every one of those frames a unique, identical timestamp across all cameras and audio recorders. This synchronization is absolutely critical. It means an editor can drop footage from an iPhone 17 Pro, a high-end ARRI cinema camera, and a separate audio recorder onto a timeline, and everything will line up perfectly, down to the frame. This single feature, enabled by the ProDock’s BNC connectors, transforms the iPhone from a capable solo camera into a reliable team player in a professional ecosystem.

Beyond the crucial sync capabilities, the ProDock addresses the practical needs of a working set. Its full-size HDMI port allows for direct connection to a proper director’s monitor, so the creative team can see exactly what the camera is capturing on a large, color-accurate display. The three USB-C ports are a godsend for data management and power. A filmmaker can now record hours of footage in the highest quality ProRes RAW format directly to an external SSD, bypassing the iPhone’s internal storage limitations completely. At the same time, those ports can keep the phone and other accessories powered, ensuring a long shooting day isn’t cut short by a dead battery. The addition of professional 3.5mm jacks for both a microphone and headphones finally solves the audio problem, providing for high-quality sound capture and zero-latency monitoring, something impossible to achieve with wireless solutions.

This hardware is perfectly complemented by a robust software ecosystem. The dock works hand-in-hand with the free Blackmagic Camera app and Apple’s updated Final Cut Camera 2.0. These apps are the control center that unlock the ProDock’s full potential, allowing users to manage recordings, monitor audio levels, and take advantage of the iPhone 17 Pro’s new Apple Log 2 color profile for maximum flexibility in post-production. The combination of hardware and software creates a seamless, end-to-end workflow from capture to edit, which is precisely what professionals demand. Apple’s decision to feature the ProDock wasn’t just a friendly nod to a partner; it was a clear signal. It was an acknowledgment that while their own hardware and software are incredibly powerful, the final step into the professional world requires a bridge, a physical link to the established standards of an industry. The Blackmagic Camera ProDock is that bridge, and its quiet debut on Apple’s stage might just have been one of the most significant announcements for filmmakers this year.

The post The one ‘Non-Apple product’ that Apple announced on September 9th first appeared on Yanko Design.

❌