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BugStalker – Le debugger Rust puissant et convivial

Je sais, convivial c’est un mot bizarre pour parler d’un outil de débogage, mais celui-ci va vous faire kiffer si vous codez en Rust. Ça s’appelle BugStalker et c’est juste le debugger qu’il vous faut pour traquer les bugs vicieux dans vos programmes puisqu’il comprend toutes les subtilités du langage.

Ça veut dire qu’il sait gérer les types Rust complexes comme les vecteurs, les pointeurs intelligents et même les variables locales des threads. Et il ne fait pas que les afficher joliment, il vous permet carrément d’interagir avec !

Vous pouvez poser des breakpoints où vous voulez dans votre code, que ce soit sur une ligne précise, une fonction ou même une instruction assembleur. Et quand votre programme s’arrête sur un breakpoint, vous pouvez contrôler son exécution pas à pas, rentrer dans les fonctions ou les sauter, tout ça à la volée.

Et si vous avez besoin d’inspecter les données de votre programme, il a ce qu’il vous faut dans le ventre. Vous pouvez par exemple évaluer des expressions pour afficher les variables locales et globales, les arguments des fonctions, et même découper des tableaux ou des vecteurs pour voir ce qui se cache dedans.

L’outil vous propose deux interfaces au choix : une classique en ligne de commande, et une interface graphique en mode TUI (Text User Interface) qui claque. Et le kif, c’est que vous pouvez passer de l’une à l’autre quand vous voulez pendant une session de débogage !

Ah et j’allais oublier un truc énorme : les Oracles ! Non, je ne parle pas de la boîte qui fait des bases de données, mais d’une fonctionnalité trop stylée de BugStalker. En gros, c’est des modules qui viennent se greffer au debugger pour vous filer des infos sur des aspects spécifiques de votre programme. Par exemple, l’Oracle Tokio vous donne des insights sur le runtime Tokio si vous faites de l’asynchrone, sans avoir à modifier votre code. Trop fort !

Bon allez, je vais pas vous faire languir plus longtemps. Si vous voulez essayer, c’est tout simple, vous installez ça avec cargo :

cargo install bugstalker

et hop, vous êtes prêts à déboguer comme des pros. Et si jamais vous avez un souci avec la dépendance libunwind, y a même une version sans, mais entre nous, libunwind c’est quand même mieux.

Franchement, je « ne contracte pas » quand je vous dis que BugStalker c’est le debugger qu’il vous faut pour vos projets Rust. Avec lui, traquer les bugs c’est presque devenu un sport national, alors go sur https://github.com/godzie44/BugStalker , votre code Rust vous dira merci !

Allez, sur ce je vous laisse, j’ai un programme à déboguer moi (non, mon code est parfait).

Plandex – L’assistant qui dev

Plandex est un open-source, qui se pilote directement depuis votre terminal, qui grâce à ses agents intelligents tournant en tâche de fond, est capable de prendre en charge des tâches complexes qui s’étalent sur plusieurs fichiers et nécessitent de nombreuses étapes.

Le principe est simple : vous balancez une tâche à Plandex, et il se charge de la découper en sous-tâches plus digestes qu’il va réaliser une par une jusqu’à ce que le job soit bouclé. C’est encore mieux qu’un stagiaire ^^.

Plandex vous permet d’avancer plus rapidement sur votre backlog, de vous débloquer quand vous séchez sur une techno et de passer moins de temps sur les trucs chiants, tout ça sans risque, puisque les modifications sont d’abord appliquées dans un bac à sable protégé (sandbox) que vous pouvez valider avant de les intégrer à votre projet. Et grâce à son système de gestion de versions, vous pouvez facilement revenir en arrière ou tester différentes approches en parallèle.

Autre point fort de Plandex : la gestion du contexte. Vous pouvez ajouter des fichiers ou des dossiers entiers au contexte de l’IA en un clin d’œil, et ils seront automatiquement mis à jour au fur et à mesure de votre travail. Comme ça, vous êtes sûr que l’IA a toujours accès à l’état le plus récent de votre projet pour un résultat optimal.

Plandex est compatible avec les principaux OS du marché (Mac, Linux, Windows…) et se lance directement depuis un exécutable standalone, sans dépendances. Il suffit de l’installer, de lui refiler votre clé d’API OpenAI, et c’est parti mon kiki !

Mais attention, Plandex ne va pas coder votre projet à votre place du début à la fin. Il faut le voir comme un assistant qui va vous mâcher le boulot et vous faire gagner un temps précieux, mais vous devrez quand même garder un œil sur ce qu’il fait. Les mises à jour de fichiers automatiques peuvent parfois avoir besoin d’un petit coup de polish manuel.

Mais dans l’ensemble, les résultats sont plutôt satisfaisants surtout quand on prend le temps de bien formuler ses instructions et de sélectionner les bons fichiers à mettre dans le contexte. C’est sûr que si vous balancez votre projet en vrac dans sa totalité, l’IA va avoir du mal à s’y retrouver et à produire un code propre mais utilisé intelligemment, ça peut vite devenir votre meilleur pote.

D’ailleurs, les mecs derrière le projet ne manquent pas d’idées pour améliorer leur bébé. Support des modèles open-source, intégration avec d’autres providers d’IA comme Google ou Anthropic, plugins communautaires… Les chantiers en cours ne manquent pas, et c’est tant mieux !

Jetez un œil au repo GitHub du projet, y’a de quoi s’amuser !

Ghore – Convertissez vos fichiers Markdown en HTML façon GitHub

Vous êtes développeur ou rédacteur et vous travaillez souvent avec GitHub ? Alors laissez-moi vous présenter Ghore, un outil en ligne de commande qui va changer votre façon de prévisualiser vos fichiers Markdown avant de les committer !

Ghore est un outil open-source qui convertit simplement vos fichiers Markdown en HTML, en imitant à la perfection le style de rendu de GitHub. Fini le temps où vous deviez pusher vos modifications pour voir à quoi ressemblera votre README.md une fois sur GitHub. Là, vous aurez un aperçu instantané, directement dans votre terminal :

  • Vous pouvez l’utiliser complètement hors-ligne. Pas besoin d’Internet pour faire mumuse avec vos fichiers Markdown. Vous pouvez même l’utiliser dans un bunker anti-atomique, si ça vous chante !
  • Il surveille automatiquement les changements dans votre fichier Markdown et met à jour le rendu HTML en temps réel. C’est un peu comme si Ghore lisait dans vos pensées et anticipait vos moindres modifications. Flippant et génial à la fois.
  • Vous aimez les blocs de code colorés et syntaxiquement parfaits ? Ghore aussi ! Grâce à l’intégration de Starry Night, vos blocs de code n’ont jamais été aussi beaux. C’est presque un plaisir de lire du code dans le terminal.
  • Cerise sur le gâteau, Ghore prend en charge la prévisualisation en direct des blocs de code Mermaid. Vous savez, ces diagrammes super pratiques qu’on peut faire en Markdown ? Eh bien, même l’API de GitHub ne les prend pas en charge nativement, mais Ghore, si ! Vous allez pouvoir épater vos collègues avec vos diagrammes interactifs.

Bref, pour utiliser Ghore, rien de plus simple. Clonez le dépôt, installez les dépendances avec npm, et vous êtes prêt à convertir vos fichiers Markdown en un clin d’œil.

git clone https://github.com/p-balu/ghore.git

cd ghore

npm install

npm start votre/fichier/README.md

Et si vous voulez personnaliser le rendu HTML, pour mettre du Comic Sans rose fluo sur fond vert, allez-y, personne ne vous jugera (enfin, presque) ! Ghore vient en effet, avec son propre fichier CSS que vous pouvez tripatouiller à votre guise.

C’est dispo ici.

Realtime Colors – Visualisez vos couleurs et polices en temps réel sur un vrai site

Vous cherchez les couleurs et polices idéales pour votre site web ? Avec Realtime Colors, vous allez pouvoir choisir très vute puisque cet outil ingénieux distribue vos teintes sur un vrai site, ce qui permet de rendre tout ça beaucoup plus concret.

Fini les palettes avec lesquelles il est difficile de se projeter puisqu’en quelques clics, vous obtiendrez votre identité visuelle sur mesure, prête à être exportée. Realtime Colors cartonne aussi sur Figma, où son plugin compte plus de 19 000 aficionados.

Bref, une fois sur le site, commencez par choisir deux couleurs neutres pour le texte et le fond. Ensuite, choisissez vos teintes primaires et secondaires (pour les CTAs et sections importantes, puis les boutons et encarts moins cruciaux). Enfin, ajoutez une touche finale avec une couleur d’accentuation qui viendra rehausser images, liens, etc.

Et voilà, en quelques instants, vous avez votre combo couleurs et polices parfaitement assorti et harmonieux, sans prise de tête ! Plutôt cool non ?

Et si le résultat vous botte, hop, cliquez sur « Exporter » pour récupérer les CSS, les Tailwind, le code custom, les shades, gradients…etc. Et petit bonus qui a son importance : Realtime Colors intègre aussi un vérificateur de contraste pour s’assurer que vos textes seront toujours lisibles.

Bref, si vous en avez assez de galérer pour habiller votre site et désirez un rendu professionnel sans effort, foncez sur Realtime Colors. Merci Lorenper pour cette super découverte !

Asak – Un outil audio CLI puissant écrit en Rust

Voici un outil qui va changer votre façon de bidouiller avec le son. Oubliez les interfaces compliquées et les logiciels gourmands, place à la ligne de commande avec Asak !

Il s’agit d’un outil audio multiplateforme, écrit dans le langage du moment, j’ai nommé Rust. Léger, rapide et diablement efficace. Le genre de truc qui vous donne envie de ressortir votre vieux Termina pour jouer.

Asak permet d’enregistrer, lire, et même appliquer des effets en temps réel, le tout via son interface en ligne de commande ou son interface utilisateur textuelle (TUI) super intuitive. Fini les clics à n’en plus finir, ici on tape des commandes comme un vrai hacker du dimanche.

Pour l’installer, rien de plus simple.

Assurez-vous d’avoir Cargo installé, puis lancez un petit

cargo install asak

et hop, vous voilà prêt à en découdre avec les ondes sonores. Si vous n’avez pas encore Cargo, pas de panique, suivez simplement le guide d’installation et vous serez paré en un rien de temps.

Ensuite, si vous voulez enregistrer un message pour votre répondeur façon années 80, c’est facile :

asak rec hello

Et si vous ne précisez pas de nom de fichier, pas de panique, Asak vous demandera gentiment de le faire, avec un nom par défaut.

Maintenant pour écouter votre chef-d’œuvre :

asak play hello.wav

Et si vous ne vous souvenez plus du nom, un petit coup d’œil dans le répertoire courant et Asak vous proposera gentiment de choisir parmi les fichiers .wav disponibles.

Mais Asak ne s’arrête pas là. Vous pouvez paramétrer l’appareil d’enregistrement et de lecture avec -r et -p, la durée avec -d, la fréquence d’échantillonnage avec -s, les canaux et le format avec -ch. Bref, vous avez le contrôle total.

Et que serait un outil audio digne de ce nom sans la possibilité de jouer avec le son en temps réel ? Asak vous propose de régler le volume avec -a, d’appliquer des effets comme la réverbération ou le délai avec -f, et même de faire du passthrough avec des effets live grâce à -z. Bref, de quoi transformer votre bureau en studio d’enregistrement lo-fi tendance.

Côté formats, Asak supporte les classiques WAV, AIFF et FLAC, en entrée comme en sortie. Et s’il vous prend l’envie de bidouiller avec plusieurs flux audio simultanés, pas de souci, Asak gère ça comme un chef.

Alors, convaincu ? Vous aurez plus d’infos ici.

Sur ce, je vous laisse, j’ai une soudaine envie d’aller bidouiller avec des samples de vieux films de science-fiction. Que la force du son soit avec vous !

Snapify – Enregistrez et partagez votre écran facilement

Ca va, pas trop chaud ? Allez aujourd’hui, on va parler de Snapify qui est un outil qui permet de capturer son écran en vidéo et de partager ça en deux clics.

Vous me direz, y’a déjà plein d’outils pour faire ça. Certes, mais avouez que c’est souvent une vraie galère. Soit c’est bourré de pub, soit ça plante toutes les 5 minutes, soit faut être ingénieur à la NASA pour comprendre comment ça marche. Bref, on est loin du truc idéal.

Avec Snapify c’est pas pareil, vous allez voir. Déjà, c’est 100% gratuit et open source et une fois installé, vous avez juste à lancer un enregistrement en appuyant sur une touche de votre clavier ou un bouton dans l’interface. Ça capture alors tout ce qui se passe sur votre écran (en totalité, juste une app ou juste un onglet de navigateur).

Et quand vous avez fini, vous stoppez l’enregistrement et là, magie, magie, vous obtenez directement un lien de partage. Vous balancez ça à qui vous voulez et le tour est joué. Pas besoin d’uploader la vidéo sur YouTube ou je ne sais où.

En plus, Snapify gère des trucs de pro comme l’incrustation webcam, la sélection de zone, le dessin en direct sur l’écran… Bref, si vous voulez faire des tutos, des démos ou même streamer vos games, c’est top !

Bon après, faut pas s’emballer non plus. Snapify ne remplace pas un bon vieux OBS pour faire de l’enregistrement vidéo poussé mais pour dépanner rapidement ou partager un truc à la volée, sans s’encombrer avec la technique c’est juste parfait.

Snapify est dispo ici.

Rallly ou comment planifier vos réunions facilement

Vous en avez marre de la valse des emails pour planifier une simple réunion ? Bienvenue au club ! Heureusement, j’ai déniché un petit bijou open source qui va vous changer la vie : Rallly.

Rallly (avec 3 L), c’est l’outil parfait pour organiser vos événements sans prise de tête. Son concept est simple mais diablement efficace. Vous créez un sondage avec les dates et heures qui vous conviennent, vous invitez les participants et hop, chacun vote pour son créneau préféré. Comme ça, terminé le casse-tête pour trouver un moment qui arrange tout le monde !

Sous son interface épurée, Rallly cache une machinerie bien huilée. Développé en Next.js, Prisma et tRPC, le backend assure un service aux petits oignons et côté front, TailwindCSS apporte une touche d’élégance sans sacrifier la performance.

Mais la cerise sur le gâteau, Rallly est entièrement open source ! Vous pouvez donc héberger votre propre instance en un clin d’œil grâce à Docker. Clonez le dépôt GitHub, configurez vos variables d’environnement, lancez Docker Compose et voilà, votre Rallly personnel est prêt à l’emploi.

L’installation se fait en quelques commandes :

git clone https://github.com/lukevella/rallly.git
cd rallly
cp sample.env .env (et éditer le fichier pour la config)
yarn
yarn db:setup (ou "yarn dx" si vous n'avez pas de base postgres qui tourne)
yarn dev

Et si vous voulez passer à la vitesse supérieure, suivez le guide pour déployer votre instance avec Docker Compose. Bien sûr, vous pouvez garder le contrôle sur qui peut accéder à votre instance. Il suffit de renseigner les adresses email autorisées dans votre fichier de configuration et vous pouvez même utiliser des wildcards (*) pour autoriser des domaines entiers.

Une fois votre serveur opérationnel, créer un sondage devient alors un jeu d’enfant. Choisissez vos options de date et d’heure, envoyez le lien à vos invités et laissez la magie opérer. Vous pouvez par exemple restreindre le nombre de votes par participant, histoire d’éviter les abus. Ou encore clôturer un sondage quand bon vous semble. Et comme ça, plus besoin de relancer les retardataires ou de jongler entre les agendas.

La plupart des options sont gratuites mais quelques fonctionnalités avancées nécessitent quand même un compte payant. Quoiqu’il en soit, c’est un super outil que je vous recommande !

Plausible – L’alternative open source à Google Analytics

Vous en avez assez de la complexité de Google Analytics et de son impact sur la vie privée de vos visiteurs ? Alors laissez-moi vous parler de Plausible Analytics, une alternative open source rafraîchissante qui se concentre sur l’essentiel au travers de son interface épurée et intuitive.

Ainsi, vous avez accès en un clin d’œil à toutes les statistiques clés de votre site web : nombre de visiteurs uniques, pages vues, sources de trafic, pays d’origine…sans vous noyer dans les données. Et son point fort, c’est le respect de la vie privée puisque là où Google Analytics suit vos visiteurs à la trace, Plausible reste totalement anonyme : Pas de cookies, pas de données personnelles collectées, rien. Vos utilisateurs naviguent sereinement, et vous récoltez des data sans compromettre vos valeurs.

En plus d’être éthique, Plausible est aussi incroyablement léger. Son script pèse moins d’1 KB, contre 45 KB pour Google Analytics comme ça, vos pages se chargent en un éclair, votre référencement naturel s’améliore, et même la planète respire mieux avec moins de données qui transitent !

Et comme Plausible est open source, vous pouvez l’adapter à vos besoins spécifiques ou même l’héberger vous-même. Mais si vous préférez la simplicité du cloud, y’a moyen d’utiliser ça en SaaS sur leurs serveurs moyennant finance.

Vous pouvez aussi spécifier des événements custom pour suivre les objectifs importants pour votre business, comme les clics sur des boutons d’action ou les pages vues d’un tunnel de conversion. Je vous invite à lire la documentation qui détaille toutes les possibilités offertes.

A vous de voir maintenant si vous balancez Google Analytics au profit de Plausible.

Freeze – Pour capturer et customiser vos screenshots de code

Fini les captures d’écran toutes moches qui donnent pas envie. Avec Freeze, vous allez pouvoir customiser vos screenshots de code comme jamais.

Vous pouvez l’installer avec Homebrew sur macOS ou Linux, ou même avec un bon vieux go install si vous êtes old school et une fois que c’est fait, vous balancez juste

freeze moncode.js -o code.png

dans votre terminal, et hop, Votre screenshot sera là, beau frais comme un gardon et beau comme un camion.

Vous pouvez même capturer le résultat de commandes avec le paramètre –execute :

freeze --execute "eza -lah"

Le petit plus de Freeze, c’est qu’il permet de choisir un thème afin de personnaliser le rendu du code. Un petit --theme dracula et vous voilà avec un code aux couleurs du célèbre vampire. Besoin d’ajouter des contrôles de fenêtre façon macOS ? --window et le tour est joué. Et que dire de la possibilité d’ajouter une ombre, des coins arrondis, ou même d’intégrer votre propre police ? Les dev de Freeze ont pensé à tout…

Et si vous êtes du genre à aimer bidouiller, vous allez adorer le mode interactif de Freeze. Lancez

freeze --interactive

et vous pourrez customiser votre screenshot en direct, comme un vrai pro.

C’est aussi un vrai gain de temps pour les développeurs qui souhaitent rendre des bouts de code présentables pour intégrer par exemple dans une doc ou un site web. Allez, je vais vous donner un petit exemple pour la route. Disons que vous voulez capturer un bout de code JavaScript, avec le thème Dracula, une jolie fenêtre, une ombre, et des coins arrondis.

Voilà ce que ça donne :

freeze moncode.js --theme dracula --window --shadow.blur 20 --shadow.x 0 --shadow.y 10 --border.radius

Ainsi, en une seule ligne de commande, vous obtenez une image de code digne d’un vrai pro. Puis l’avantage c’est que ça peut s’automatiser.

Bref, je crois que vous avez compris l’idée. Si ça vous intéresse, rendez-vous sur https://github.com/charmbracelet/freeze.

Les outils de crise indispensables pour Linux

Aujourd’hui, on va causer d’un sujet qui nous tient tous à cœur (du moins je l’espère 😅) : les outils de crise sous Linux ! Parce que quand ça part en sucette et que les serveurs rament, pas question de perdre un temps précieux. C’est que souvent, quand la caca-strophe pointe le bout de son nez, vous vous rendez compte que vous n’avez pas les bons outils installés. Et là, c’est le drame… SSH qui rame, les serveurs qui répondent plus, les paquets qui veulent pas s’installer, le firewall qui fait des siennes… Un vrai calvaire !

Alors, quels sont ces fameux outils qu’il est impératif d’avoir sous la main quand le caca touche le ventilo ? Je dirais que y a déjà les classiques comme ps, vmstat, top et compagnie pour avoir un aperçu rapide de ce qui cloche. Rien que ça, ça peut déjà vous sauver les miches.

Mais si vous voulez jouer dans la cour des grands, va falloir sortir l’artillerie lourde. Je parle bien sûr des outils de tracing comme perf, bpftrace, opensnoop, execsnoop et toute la clique. Ça vous permettra de tracer en live ce qui se passe sur votre système, de débusquer les coupables et de mettre fin au carnage. Le top du top !

Voici comment procéder à grand coups d’apt install…

Étape 1 : Installer les packages de base

  • procps : fournit ps, vmstat, uptime, top pour les stats de base
  • util-linux : dmesg, lsblk, lscpu pour les logs systèmes et infos matérielles
  • sysstat : iostat, mpstat, pidstat, sar pour les stats disques/CPU
  • iproute2 : ip, ss, nstat, tc, les outils réseau recommandés
  • numactl : numastat pour les stats NUMA

Commande : sudo apt install procps util-linux sysstat iproute2 numactl

Étape 2 : Ajouter les outils réseaux

  • tcpdump : sniffer réseau
  • nicstat : stats interfaces réseau
  • ethtool : infos interfaces

Commande : sudo apt install tcpdump nicstat ethtool

Étape 3 : Outils de profilage et de traçage

  • linux-tools-common et linux-tools-$(uname -r) : perf, turbostat
  • bpfcc-tools (ou bcc) : une suite d’outils eBPF puissants
  • bpftrace : un outil de scripting eBPF dynamique
  • trace-cmd : outil en ligne de commande pour ftrace

Commande : sudo apt install linux-tools-common linux-tools-$(uname -r) bpfcc-tools bpftrace trace-cmd

Étape 4 (optionnelle) : Outils spécifiques au matériel

Selon vos serveurs, installez les outils d’analyse pour :

  • GPU Intel : intel-gpu-tools
  • GPU NVIDIA : nvidia-smi
  • Autres accélérateurs éventuels

Par contre, méfiez-vous, c’est pas donné à tout le monde de dompter ces bêtes-là. Ça demande un peu de bouteille et de la jugeote. Mais une fois que vous les maîtrisez, vous serez parés pour affronter les pires galères. Les plantages intempestifs, les I/O de l’enfer, les fuites mémoire vicieuses… plus rien ne vous résistera !

Bref, croyez-moi, le mieux c’est d’avoir tout ce bazar installé d’office sur vos machines. Comme ça, pas de mauvaise surprise le jour J. Évidemment, ça a un petit coût en espace disque. Mais franchement, c’est que dalle comparé au temps que vous allez perdre à galérer pour installer tout ça en pleine crise.

Sur ce, je vous laisse méditer là-dessus. Et n’oubliez pas, dans le monde merveilleux de l’informatique, il vaut mieux prévenir que guérir ! Allez, à plus les linuxiens et un grand merci à Brendan Gregg pour son article éclairant à ce sujet.

Créez facilement des livres électroniques avec mdBook

Vous rêvez de créer votre propre livre électronique ou une bonne grosse documentation technique mais vous ne savez pas par où commencer ?

Ne cherchez plus, mdBook est là pour vous !

Il s’agit d’un outil codé en Rust, qui a l’aide de quelques commandes simples, vous permettra d’initialiser la structure de votre ouvrage, de rédiger votre contenu en Markdown, de personnaliser le rendu et de le mettre en ligne. Voici un exemple de ce que ça peut donner comme rendu.

Pour démarrer votre aventure avec mdBook, rien de plus simple. Installez l’outil en suivant les instructions sur le site officiel, puis lancez la commande suivante dans un terminal :

mdbook init mon-premier-livre

Et voilà, le squelette de votre chef-d’œuvre est prêt et vous n’avez plus qu’à rédiger !

mdBook regorge de fonctionnalités pour mettre en forme votre contenu. Vous pouvez organiser vos chapitres dans le fichier SUMMARY.md, ajouter une page d’introduction dans README.md, créer votre propre template, et même inclure des images et autres ressources. Et une fois votre prose finalisée, vous pourrez donner vie à votre livre à l’aide de la commande :

mdbook serve

Celui-ci va alors générer une version web interactive accessible via un serveur web, avec une navigation et moteur de recherche intégré, de vos écrits. Et la commande

mdbook build

… vous permettra de générer une version HTML de votre bouquin.

Je trouve ça très satisfaisant de passer par le markdown pour la rédaction et la mise en forme. Je le faisais pour des prez style Powerpoint mais full markdown à l’époque où je faisais des confs, et c’était un vrai gain de temps.

Mais le véritable atout de mdBook, c’est sa capacité à automatiser la publication de votre livre. Grâce à l’intégration continue, chaque modification que vous apportez peut être instantanément mise en ligne. Comme ça, fini les mises à jour manuelles bien reloues !

Bref, vous l’aurez compris, mdBook est un excellent outil pour les auteurs qui aiment partager leur travail avec leur communauté. Ah, j’allais oublier ! Si vous avez besoin d’inspiration, n’hésitez pas à explorer la documentation officielle de mdBook. Vous y trouverez des astuces, des exemples et même des témoignages d’auteurs conquis.

Terminalizer – Enregistrez et partagez vos sessions de terminal en GIF animé

Si vous avez envie de partager une session de votre terminal avec des collègues ou votre communauté ou tout simplement enregistrer vos lignes de commandes pour pouvoir les rejouer plus tard, j’ai ce qu’il vous faut. Cela s’appelle Terminalizer, et c’est un outil en ligne de commande qui va changer votre façon de collaborer et d’apprendre.

Avec Terminalizer, vous pouvez facilement capturer tout ce qui se passe dans votre terminal et générer un GIF animé ou un lien web pour le partager en un clic. Super pratique pour montrer en temps réel à un collègue comment résoudre un problème, archiver vos sessions pour documenter votre travail ou tout simplement faire de la doc. Les possibilités sont infinies !

L’un des gros points forts de Terminalizer, c’est qu’il est cross-platform. Que vous soyez sur Linux, Windows ou MacOS, vous pouvez l’installer et l’utiliser en toute simplicité. D’ailleurs, pour l’installer, rien de plus simple. Il vous suffit d’avoir Node.js sur votre machine, puis de lancer

npm install -g terminalizer

et le tour est joué !

Une fois installé, lancez une nouvelle session avec

terminalizer record mavideo

et tout ce que vous ferez dans votre terminal sera alors enregistré. Une fois que vous avez terminé, vous pourrez alors rejouer la session avec

terminalizer play mavideo

l’éditer si besoin, puis générée un rendu avec

terminalizer render mavideo

pour avoir le fameux GIF qui va bien.

C’est également un outil hautement configurable qui vous permet de personnaliser chaque aspect de vos enregistrements. Vous pouvez ainsi choisir la police, la taille du texte, les couleurs, ajouter une image de fond, un titre… Bref, donner vie à vos sessions de terminal comme jamais. Vous pouvez même choisir d’ajuster la vitesse, de couper certaines parties, d’ajouter des délaies entre les commandes, etc.

Terminalizer propose aussi des templates pour rendre vos GIF encore plus attractifs. Vous pourrez choisir entre différents styles de fenêtres, de la classique fenêtre de terminal à des frames plus originales. Bref, de quoi donner un style vraiment pro à vos enregistrements sans aucune compétence en graphisme.

Côté partage, c’est également un jeu d’enfant. En plus de pouvoir générer un GIF animé, Terminalizer vous permet de générer un lien pour partager votre session avec qui vous voulez. Pour cela, utilisez la commande

terminalizer share mavideo

Et hop, votre session sera uploadée sur leurs serveurs, et vous obtiendrez un lien que vous pourrez partager. Les personnes qui l’ouvriront verront alors votre session se jouer dans leur navigateur. Génial pour montrer votre travail au plus grand nombre !

Bref, c’est un incontournable pour tous ceux qui passent leurs journées sur un terminal.

A découvrir ici !

Happy recording !

SocialScreenshots – Mettez en valeur vos captures écran sans effort

Vous rêvez de créer des visuels de fou pour vos réseaux sociaux ?

Ne cherchez plus, SocialScreenshots est là ! Développé par Gabriel, un jeune développeur toulousain de 29 ans, cet outil ingénieux vous permet de capturer, recadrer et améliorer vos captures d’écran en quelques clics, directement depuis votre navigateur.

Inspiré par l’interface de Screen Studio, Gab a développé son site uniquement avec ReactJS et canvas, en créant lui-même tout l’habillage et le résultat est très sympa !

Grâce à ce site, vous pouvez créer un screenshot directement depuis un site web, puis le recadrer automatiquement au format voulu (Pour X, Facebook, Instagram, Linkedin et les résolutions d’écran classiques), et l’améliorer grâce à l’éditeur afin d’obtenir des rendus dignes d’un graphiste en herbe en ajoutant une ombre, en arrondissant les coins, et en choisissant un joli fond ou un dégradé pour l’arrière-plan.

C’est gratuit, y’a pas de filigrane ni de limite de temps, vous n’avez rien à installer et pas même besoin de créer un compte. Et toutes les manipulations se font localement dans votre navigateur, pour un maximum de simplicité et de confidentialité.

À découvrir ici

Fabric – Un framework open source pour travailler main dans la main avec l’IA

Depuis que l’IA a débarqué dans nos vies, il est maintenant possible de lui déléguer une grande partie de nos tâches fastidieuses et chronophages, ce qui nous permet de nous concentrer sur l’essentiel. Des outils comme ChatGPT ont évidemment démocratisé l’accès à cette technologie, mais ses capacités vont bien au-delà d’un simple agent conversationnel.

En effet, l’IA peut devenir un véritable assistant personnel pour booster à la fois notre créativité et notre productivité. Perso, je ne peux plus m’en passer, et que vous soyez développeur, designer, écrivain ou entrepreneur, il existe de nombreuses façons de l’intégrer dans vos workflows. Génération de code, création de visuels, rédaction et correction de texte, analyse de données, relecture de contrats, automatisation de tâches… La liste est infinie pour peu que vous ayez un peu d’imagination.

C’est là qu’entre en scène le projet open-source Fabric qui permet justement de créer des workflows basés sur l’IA totalement sur-mesure en combinant différents modèles et différentes APIs. Comme ça vous pourrez concevoir vos propres assistants adaptés à vos propres besoins.

Concrètement, Fabric fonctionne comme un framework avec différents composants réutilisables :

  • Des Patterns qui sont des templates de prompts répondant à un besoin précis (ex : résumer un article, extraire les idées clés d’une vidéo, etc).
  • Des Stitches qui permettent d’enchaîner plusieurs Patterns pour créer des workflows avancés.
  • Un serveur central appelé Mill qui héberge et sert les Patterns.
  • Des apps clientes appelées Looms qui invoquent les Patterns via des APIs.

Plutôt que d’utiliser des services IA fermés, Fabric vous donne le contrôle total sur vos workflows. Comme ça, vous pouvez héberger vous-même les différents composants et garder vos données en local. Le tout étant bien sûr basé sur des standards ouverts et interopérables.

L’idée pour les gens derrière Fabric, c’est de rendre l’intégration de l’IA aussi simple que l’utilisation de commandes Unix. Par exemple, pour résumer le contenu d’une page web avec l’IA, il vous suffit de chaîner les deux commandes suivantes :

curl https://example.com | fabric --pattern summarize

Vous pouvez même créer des aliases pour vos patterns les plus utilisés. Par exemple pour analyser un article :

alias analyze="fabric --pattern analyze" cat article.txt | analyze

Bien sûr, tout ceci nécessite un peu de pratique et de changements dans vos habitudes de travail mais une fois les bons réflexes pris, le gain de temps sera considérable.

Certains craignent que l’IA nous mette tous au chomage mais je pense au contraire qu’elle va surtout nous aider à torcher rapidement les tâches ingrates pour nous permettre d’être plus créatifs et de bosser sur les sujets de fond avec plus de valeur ajoutée.

Si ça vous dit d’essayer Fabric, la doc est ici.

Sécurité : Créer facilement des mots de passe efficaces

Malgré la mise en place un peu partout de l’authentification multifacteur, nous avons besoin de mots de passe efficaces et pratiques pour nos téléphones, courriels, connexion à l’ordi, banque, etc.

Une grande majorité d’entre nous utilise le même mot de passe pour tous les sites web visités, parce qu’avouons-le, c’est beaucoup plus facile d’avoir à se rappeler d’un seul mot de passe, mais avouons-le, cela peut-être très pénalisant.
Le problème, c’est que nous sommes de plus en plus connectés, et donc devenons de plus en plus vulnérables au vol d’identité, aux fraudes, etc..
Raison de plus pour choisir des mots de passe efficaces et en même temps faciles à retenir, mais comment procéder ?

En utilisant une bonne méthode de construction de mot de passe.

mots de passes efficaces

One rule to rule them all

Cette règle devra vous permettre d’avoir un mot de passe qui :

  1. Soit spécifique au site web auquel il “s’adresse” : 2 sites web ne devraient pas avoir le même mot de passe ;
  2. Soit “lié” à vous : 2 personnes suivant la même méthode de construction de mot de passe ne devraient pas arriver au même résultat.

On va donc partir sur 2 choses :

  1. le nom du site web pour lequel vous voulez avoir un mot de passe
  2. un mot ou une expression qui vous est propre

Libre à vous de trouver une règle à appliquer à votre partie fixe, une règle pour le site web et une manière de combiner les 2.
Par exemple, si Eurédicte Ictor veut s’inscrire sur Le blog du Wis et recherche un mot de passe, il pourrait procéder comme suit :

  1. Prendre ces initiales (“E” et “I“)
  2. Prendre les 2 premières et les 2 dernières lettres du site (“Le” et “is“) et les retourner (“eL” et “si“)
  3. Combiner le tout : EeLIsi

La même règle donne EaYIoo pour Yahoo par exemple, ou EmAIno pour Amazon.

Pourquoi faire simple quand on peut faire compliquer

Ces mots de passe sont déjà suffisamment différents d’un site à l’autre, mais on peut grandement améliorer la complexité de ceux-ci en rajoutant 2 ou 3 choses :

  1. Choisir aussi des chiffres dans la partie “personnelle” ;
  2. Placer un ou plusieurs caractères non alphabétiques dans le mot de passe ;

On arrive par exemple à EeL#81Isi juste parce que Eurédicte est né en 1981.
Une dernière chose qui peut encore plus complexifier le mot de passe est l’utilisation du leet speak, c’est-à-dire le remplacement de lettre par des combinaisons de chiffres et de ponctuation.

Par exemple, remplacer “I” par “1” ou “E” par “3” ou “D” par “|)“.

Au final, avec la règle de construction suivante :

  1. Prendre les initiales de mon prénom et de mon nom (E, I)
  2. leeter” le “E” (3)
  3. Prendre les 2 premières et les 2 dernières lettres du site web (Le, is)
  4. Les inverser (eL, si)
  5. Placer les parties dans cet ordre : Initiale1, Site1, #81, Initiale2, Site2

les mots de passe d’Eurédicte seront :

  • Pour Le blog du Wis : 3eL#81Isi
  • pour Yahoo: 3aY#81Ioo
  • pour Amazon : 3mA#81Ino

Et si Shunn Pol 😆utilise la même méthode qu’Eurédicte, ses mots de passe seront :

  • pour Le blog du Wis : 5eL_1985Psi
  • pour Yahoo : 5aY_1985Poo
  • pour Amazon : 5mA_1985Pno

On remarque que les mots de passe sont différents d’un site à l’autre et d’une personne à l’autre.

On n’est, bien sûr, pas obliger d’aller aussi loin, surtout s’il y a une autre couche de sécurité. Il faut juste choisir une bonne règle de génération en fonction d’une partie fixe et d’une autre changeante afin que vos mots de passe soient le plus efficaces possible.

À voir également : Microsoft 365 : Activer l’authentification Multifacteur (MFA)

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Cloudflare : Ajouter un domaine

Comment ajouter un domaine sur Cloudflare ?
Cloudflare est une entreprise leader en solutions de sécurité et de performances web contribuant à une meilleure qualité de l’internet global.
Composé de plus d’une centaine de data centers gérant plus de 10 000 milliards de requêtes par mois, Cloudflare exploite l’un des plus vastes réseaux au monde.

Car oui, cloudflare ne sert pas juste a géré la zone DNS de votre domaine, la plateforme propose plusieurs services gratuits ou payants tels que la protection DDoS, le Pare-feu pour les applications Web, le serveur de proxy inversé, etc.


Mais alors, comment ajoute-t-on son domaine ?

Attention : À la fin de cette procédure, votre zone DNS ne sera plus gérée par votre service de domaine, mais pas Cloudflare.

Ajouter un domaine

  1. Connectez-vous à Cloudflare ou créer un compte si ce n’est pas déjà fait : https://dash.cloudflare.com/login
    Se connecter à Cloudflare
  2. Ajouter votre domaine en cliquant sur “Ajouter un site” depuis le menu “Sites web” :
    Cloudflare - Ajouter un site
  3. Taper ensuite, le nom de votre domaine (exemple : leblogduwis.com).

    Note : Si Cloudflare est incapable d’identifier votre domaine comme un domaine enregistré, assurez-vous d’utiliser un domaine de premier niveau ( .com, .fr, .ca, .net ou autres ).

  4. Choisissez l’offre gratuite (tout en bas) cependant, si vous souhaitez plus de fonctionnalités, commencez par la version pro ($20 US/mois) qui offre une sécurité renforcée, de l’optimisation sans perte d’images, etc.
  5. Cloudflare va alors rechercher vos entrées DNS déjà enregistré chez votre hébergeur de domaine actuel
  6. Vous aurez alors le nom des serveurs à mettre à jour chez votre hébergeur de domaine actuel:
    Noms de serveur

Mettre à jour votre serveur de noms

  1. Connectez-vous à votre hébergeur de domaine (exemple : OVH, Godaddy, Hostpapa, etc.)
  2. Changez alors les “Serveurs de noms” par ceux donner par Cloudflare ( exemple : brad.ns.cloudflare.com, gina.ns.cloudflare.com ).

    Note : Les changements peuvent prendre plus de temps selon l’hébergement que vous utilisez cependant, le fait de déjà avoir vos entrées DNS chez Cloudflare empêchera une coupure inopinée de votre site web.

  3. Dès que l’opération sera terminée, vous recevrez un courriel de Cloudflare vous indiquant que votre domaine est actif !

Bravo : Vous avez réussi ! Vous savez maintenant comment activé un domaine avec Cloudflare

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PowerToys : Des utilitaires pour les plus expérimentés

Powertoys est un ensemble d’utilitaires proposés par Microsoft permettant l’ajout de nouvelles fonctionnalités à son système d’exploitation.


PowerToys existait depuis Windows 95 et le concept a été suivi jusqu’à Windows XP mais ce n’est qu’en 2019 que Microsoft annonça la remise à disposition de ces outils sous Windows 10. Microsoft a alors publié le code source sur GitHub, ce qui a permis à la communauté de procéder à des améliorations.

Nous sommes aujourd’hui à la version 0.53 de cet ensemble d’utilitaires et grâce à cette communauté open source, les utilisateurs expérimentés ont désormais une version de PowerToys adapté à Windows 11.

Je vais alors profiter pour vous présenter ces nouvelles fonctionnalités telles que “Always On Top” ou la recherche Web avec le lanceur.

Note : Le lien de téléchargement est en fin d’article.

Bienvenue dans PowerToys !

Menu Powertoys

Always On Top

Je dirais qu’avec le nom, on s’est a peu près de quoi il s’agit !
C’est un ajout à la fonctionnalité multitâche de Windows 11. Elle permet que n’importe quel application soient toujours visibles au premier plan.
Pour utiliser cette fonctionnalité, il vous suffit d’appuyer sur les touches de votre clavier : WIN + CTRL + T.

Always On Top

Le Mode Awake

Ce mode vous permet de garder votre PC actif à la demande sans avoir à gérer vos paramètres d’alimentation.
Pour l’activer, vous devez ouvrir les Paramètres PowerToys et l’activer.

Awake mode

Color Picker 💚

L’une des meilleurs outils selon moi, car il permet de rapidement sélectionner des couleurs à l’échelle de votre système d’exploitation.
Pour l’activer, appuyer sur les touches de votre clavier WIN + SHIFT + C. Voilà comment je met rapidement des couleurs à mes articles 😎.

PowerToys - Color Picker

FancyZones

Il s’agit d’un gestionnaire d’ancrage de fenêtre un peu plus complexe que celui présenter avec Windows 11. Elle vous permet d’agencer des fenêtres sur plusieurs écrans sans compter la possibilité de modifier les dispositions selon vos choix.
Pour ouvrir l’éditeur FanzyZones, appuyer sur les touches de votre clavier : WIN + SHIFT + È.

Fancyzones

Extensions de l’Explorateur des fichiers

Cette fonctionnalité va vous permettre de gérer vos gestionnaires d’aperçu personnalisé dans l’explorateur de fichiers Windows.
Vous pouvez, par exemple, ajouter l’aperçu des fichiers PDF ou G-code.

Pour l’activer, il faudra Ouvrir les paramètres.

Explorateur de fichiers

Image Resizer

Image Resizer vous permet avec un simple clic droit sur une image de l’a redimensionner sans avoir a ouvrir un logiciel de traitement d’image quelconque.
A l’installation de PowerToys, cette fonctionnalité est prête à l’emploi.

Image Resizer

Et bien d’autres fonctionnalités

Je vous invite à découvrir les autres fonctionnalités comme l’utilitaire de souris, le PowerRename ou le PowerToys Run avec la nouvelle gestion du Web.

lanceur

Attention : Cet ensemble d’utilitaires est réservé aux personnes expérimentées donc qui sont assez avancées sur l’utilisation de leur système d’exploitation

Liens utiles

GitHub du projet

Télécharger PowerToys

À voir également : Windows 11 : Activer le mode sombre

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