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ASUS ROG Zephyrus G14 (2024) vs. Razer Blade 14 (2024): Which AMD gaming laptop is better for you?

The ASUS ROG Zephyrus G14 received a major refresh for 2024, making it one of the best gaming laptops you can buy today. Can the Razer Blade 14 keep up, or will its high price drive gamers to the more affordable ASUS laptop?

ASUS ROG Zephyrus G14 (2024) vs. Razer Blade 14 (2024)

Les disques durs seraient de plus en plus fiables

Ça faisait un bail que je ne vous avais pas parlé stockage et j’ai reçu dans ma boite mail le dernier rapport de Backblaze sur les taux de panne des disques durs au premier trimestre 2024. Moi, ça m’intéresse toujours du coup, je vais vous faire un petit résumé de ce qu’ils racontent. Pour ceux qui ne connaissent pas, Backblaze c’est le gourou du stockage dans le cloud puisqu’ils ont des milliers et des milliers de disques dans leurs datacenters et publient régulièrement des stats sur leur fiabilité.

Alors, qu’est-ce que ça donne pour ce premier trimestre ?

Déjà, le taux de panne global est en baisse, et passe à 1,41% contre 1,53% au trimestre précédent. C’est plutôt une bonne nouvelle et ça s’explique notamment par le remplacement progressif des vieux disques de 4 To qui commençaient à fatiguer. Le taux de panne annualisé (AFR) des 4 To est ainsi passé de 2,33% à 1,36%. Comme quoi, la retraite, ça a du bon.

Mais le plus intéressant, c’est de regarder les taux par modèle et par fabricant. Et là, on a quelques surprises. D’abord, trois modèles Seagate n’ont eu aucune défaillance sur la période : le 16 To ST16000NM002J, le 8 To ST8000NM000A et le 6 To ST6000DX000. Chapeau bas même s’il faut nuancer un peu car l’intervalle de confiance est encore un peu haut sur les deux premiers. Mais le 6 To avec ses 9 ans de service sans broncher, c’est quand même impressionnant.

Côté déceptions, on retrouve des modèles avec des AFR au-dessus de 3,5%, notamment des Seagate 10 To et 14 To, des Toshiba 14 To et des HGST 12 To. Le pompon du fail revient au Seagate 12 To ST12000NM0007 avec un taux de panne annualisé de presque 13% ! Autant dire qu’il ne fait pas bon avoir ce modèle dans son NAS.

En regardant l’âge moyen de panne, on constate aussi une tendance intéressante. Il est passé de 2 ans et demi en 2023 à 2 ans et 10 mois début 2024. Bon, c’est encore tôt pour crier victoire et dire que les disques deviennent de plus en plus robustes, mais c’est un signal encourageant. D’autant que les modèles « actifs » (ceux encore en prod) ont maintenant une moyenne de 2 ans et 11 mois avant la panne. On se rapproche doucement des 3 ans, psychologiquement ça fait une différence.

Pour info, cette tendance suit ce qu’on appelle la courbe en baignoire (bathtub curve en anglais) qui modélise le taux de panne des disques durs au fil du temps. En gros, il y a pas mal de pannes au début (mortalité infantile), puis ça se stabilise pendant quelques années avant de remonter en fin de vie.

Si on zoome sur les disques hautes capacités, qui nous intéressent le plus car les plus fiables, voici ce qui se dégage :

  • En 12 To, les HGST (Hitachi) sont très fiables mais difficiles à trouver. Et les WD qui les ont remplacés commencent à faire leurs preuves.
  • En 14 To, les WD WUH721414ALE6L4, Toshiba MG07ACA14TA et Seagate ST14000NM001G sont de bonnes options. Les deux autres modèles 14 To par contre, bof bof.
  • En 16 To, le choix est large avec 6 modèles au top, surtout chez WD.

En bonus, le rapport nous livre quelques infos intéressantes :

  • Les 4 To, principalement des Toshiba MD04ABA400V qui ont tiré leur révérence, après des années de bons et loyaux services, ont été remplacés par des petits jeunes de 16 To.
  • Backblaze surveille la température des disques et vire ceux qui dépassent les specs du constructeur. Ils ont ainsi mis 275 disques au piquet ce trimestre. Si ça ce n’est pas du management thermique respecté, je sais pas ce que c’est !
  • Et il y a un groupe de 641 disques « à part », qui n’ont pas assez de jours au compteur pour être statistiquement pertinents. Mais ils les surveillent quand même du coin de l’oeil, des fois qu’un d’eux fasse des étincelles.

Voilà, vous savez tout sur ce rapport ! N’hésitez pas à le consulter, et Backblaze publie toutes les données brutes sur leur site. Vous pouvez jouer avec, faire vos propres analyses, identifier les pépites ou les boulets. C’est toujours intéressant de regarder sous le capot comment se comportent ces petites bêtes de stockage.

+ d’infos ici.

What is Snapdragon X Plus? A look at Qualcomm's more affordable Arm laptop processor.

Qualcomm has unveiled the Snapdragon X Plus SoC, a more affordable alternative to the X Elite. Both chips are made for Windows on Arm laptops, and they're expected to revolutionize the space when they start showing up in new PCs later this year.

Qualcomm Snapdragon X Plus

Surprise! Qualcomm has a second ARM64 processor that's less powerful—Snapdragon X Plus—but it's still faster than Apple's M3.

In addition to the forthcoming Snapdragon X Elite laptop CPU, Qualcomm has revealed another more budget-friendly Snapdragon X Plus chip. Despite not being as powerful as the X Elite, the new Snapdragon X Plus processor is still 10% faster than Apple's M3, found in the MacBook Pro.

Qualcomm's new Snapdragon X Plus processor

Un distributeur de CPU au Japon – Un Core i7-8700 pour 3 dollars !

Vous pensiez avoir tout vu en matière de distributeurs automatiques ? Et bien le pays du Soleil Levant repousse une fois de plus les limites de l’imagination avec une machine pour le moins insolite : un distributeur de… CPU Intel ! Si, si, vous avez bien lu. Au pays des capsules toys, tout est possible même de tomber sur un Core i7-8700 pour la modique somme de 500 yens, soit environ 3 dollars.

La scène se passe devant une boutique d’informatique nommée 1’s PC, qui a visiblement eu l’idée farfelue de recycler ses vieux processeurs en les mettant dans un distributeur façon gacha. Le principe est simple : vous insérez une pièce, tournez la manivelle, et hop ! Voilà votre petite capsule contenant un CPU mystère. C’est comme une pochette surprise, mais avec des puces en silicium dedans. Évidemment, c’est la loterie : vous pouvez aussi bien tomber sur un vieux Celeron tout poussiéreux que sur une pépite comme ce fameux i7-8700.

Un YouTubeur japonais nommé Sawara-San a tenté sa chance et a eu la main particulièrement chanceuse en décrochant le précieux sésame pour seulement 500 yens. Ni une ni deux, notre bidouilleur s’est empressé de rentrer chez lui pour tester la bête et vérifier si le CPU est fonctionnel ou non. Parce que bon, à ce prix-là, on peut légitimement avoir des doutes.

Après un montage express sur une carte mère d’occasion, première tentative de boot et… rien. Nada. Que dalle. L’écran reste désespérément noir. Le CPU serait-il mort ? Que nenni ! Après quelques secondes de panique, notre cher Sawara-San s’est rendu compte qu’il avait juste oublié de brancher le câble d’alimentation du GPU. Une fois ce léger détail corrigé, l’ordinateur a enfin daigné s’allumer.

Direction le BIOS pour checker les infos CPU et là, bingo ! C’est bien un Core i7-8700 qui est détecté. Ce processeur possède 6 cœurs et 12 threads, avec une fréquence de base de 3.2 GHz et un boost jusqu’à 4.6 GHz. Il est compatible avec les cartes mères équipées d’un socket LGA 1151 et d’un chipset de la série 300. Maintenant, il faut installer Windows et vérifier que tout fonctionne correctement. Et c’est là que les choses se corsent un peu…

L’installation se passe sans accroc, mais une fois sur le bureau, Sawara-San remarque quelques artefacts graphiques suspects. Après investigation, il semblerait que la puce graphique intégrée du CPU ait morflé. Ces soucis semblent spécifiques à ce processeur en particulier et ne sont pas forcément représentatifs de tous les Core i7-8700. Bon, tant pis, il décide de passer outre et de lancer quelques benchmarks pour voir ce que le proc a dans le ventre.

Résultat : l’i7-8700 se comporte plutôt bien malgré son statut de rescapé d’un distributeur automatique ! Sous Cinebench R15, il atteint un score de 992 points en multi-thread. Certes, c’est un poil en-dessous d’un modèle fraîchement sorti d’usine, mais pour 3 dollars, on va éviter de faire la fine bouche, hein.

En fouillant un peu dans le Gestionnaire des tâches, Sawara-San se rend compte que le CPU ne compte que 5 cœurs actifs au lieu de 6. Étrange… Serait-ce un autre dommage collatéral ? Ni une ni deux, il fonce dans le BIOS et décide de désactiver manuellement le cœur défectueux. Et voilà, le tour est joué ! Windows ne voit plus que 5 cœurs, mais au moins, le système est stable.

Au final, ce Core i7-8700 bradé dans un distributeur aura fait le bonheur de Sawara-San qui, pour seulement une poignée de yens, a pu mettre la main sur un CPU encore vaillant. Certes, la puce a quelques défauts, comme son iGPU aux fraises et un cœur en moins, mais pour ce prix, c’est tout bonnement exceptionnel. Un vrai coup de bol !

Et vous, seriez-vous prêt à tenter votre chance dans ce drôle de distributeur de CPU ?

Qui sait, peut-être que la chance vous sourira aussi ! En attendant, si vous passez devant la boutique 1’s PC au Japon, n’hésitez pas à faire un petit tour au rayon gacha, car c’est peut-être vous le prochain gagnant d’un processeur haut de gamme pour le prix d’un café !

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Short Stack – la Nintendo Wii miniaturisée à l’extrême

Ça y est les amis, on a atteint le summum du bidouillage et de la miniaturisation avec le Short Stack, un mod complètement dingue de la Nintendo Wii qui arrive à faire tenir toute la puissance de la console dans un boîtier de la taille d’un paquet de cartes ! C’est juste ahurissant quand on y pense.

Alors bien sûr, la Wii c’est pas la console la plus grosse à la base, mais quand même, passer de 157 x 60 x 197mm à un truc aussi compact, faut reconnaître que c’est quand même sacrément impressionnant. Et le plus fou dans tout ça, c’est que le moddeur n’a pas triché en passant par de l’émulation. Non non, le Short Stack embarque une vraie carte mère de Wii, juste super bien taillée et optimisée !

James Smith, le génie derrière ce projet de titan, a réussi à faire rentrer dans son petit boîtier imprimé en 3D la carte mère réduite de la Wii, un tas de cartes électroniques custom empilées les unes sur les autres (d’où le nom du mod) pour gérer le Bluetooth, l’USB, les ports manettes GameCube, et même un dissipateur thermique sur mesure. Niveau intégration, on est donc sur du très très haut niveau.

Bon par contre, évidemment, pas de lecteur de disque là-dedans, faut pas déconner. Mais ça n’empêche pas d’avoir quand même un petit slice factice qui s’illumine en façade pour faire genre. Les jeux et les sauvegardes sont stockés sur une carte microSD à la place. Et pour faire encore plus pro, le Short Stack se branche en HDMI et s’alimente en USB-C. De quoi faire un joli petit media center rétrogaming, fin et discret.

Alors certes, c’est pas le premier mod de Wii ultra compact, on avait déjà vu passer la KillMii qui tenait dans une boîte d’Altoids. Mais celle-là intégrait un écran, des contrôleurs et une batterie qui tenait… 10 minutes. Pas top pour les sessions de Mario Kart endiablées. Le Short Stack a au moins le mérite d’être vraiment utilisable au quotidien sans trop de compromis. Après, difficile de dire s’il s’agit vraiment de la « plus petite Wii du monde » comme l’affirme Smith, mais une chose est sûre, c’est probablement la plus compacte que vous aurez vraiment envie d’utiliser !

D’ailleurs si ce projet de fou vous tente, sachez que Smith a publié tous les détails, les fichiers de conception et les instructions sur GitHub. Vous y trouverez quelques infos sur la réalisation, même si on ne peut pas dire que ce soit un tutoriel complet non plus. Et attention, c’est clairement pas un mod pour débutants ! Il vous faudra de sacrées compétences en électronique, pas mal de matos spécifique et une bonne dose de patience pour arriver à un résultat similaire.

Enfin bref, je dis chapeau bas Monsieur Smith pour ce boulot de malade mental. On en redemande des comme ça ! Parce que soyons honnêtes, ça sert pas à grand chose mais qu’est-ce que c’est classe !

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Smartphone Xiaomi – Dites adieu à cette option que vous adorez

— Poisson d’avril ! —

Dans une annonce surprenante, le géant chinois Xiaomi a décidé de supprimer la fonctionnalité « Appel » de ses smartphones, affirmant que cette option n’est plus utilisée par la majorité de ses clients. Cette décision radicale a suscité de nombreuses réactions parmi les utilisateurs de la marque.

Xiaomi affirme que les appels passent désormais par les messageries instantanées

Selon un communiqué officiel de Xiaomi, la fonctionnalité « Appel » sera progressivement retirée de tous les modèles de smartphones de la marque à partir de la prochaine mise à jour. L’entreprise justifie cette décision en expliquant que la plupart des utilisateurs préfèrent désormais passer leurs appels via des applications de messagerie instantanée telles que WhatsApp, Facebook Messenger ou encore WeChat.

« Nos études montrent que moins de 5% de nos clients utilisent encore la fonction d’appel classique via le réseau de l’opérateur« , indique le porte-parole de Xiaomi. « Il nous a donc semblé logique de supprimer cette option devenue obsolète afin d’optimiser les performances de nos appareils. »

Des avantages et des inconvénients pour les utilisateurs

Si cette décision peut sembler radicale, Xiaomi met en avant plusieurs avantages pour ses clients. Tout d’abord, la suppression de la fonctionnalité « Appel » permettra de libérer de l’espace de stockage sur les smartphones, offrant ainsi plus de place pour les photos, vidéos et applications. De plus, l’entreprise promet une amélioration significative de l’autonomie de la batterie, les appels via les messageries consommant moins d’énergie que les appels traditionnels.

Cependant, certains utilisateurs s’inquiètent des conséquences de cette décision. En effet, les appels via les messageries nécessitent une connexion internet stable, ce qui n’est pas toujours le cas dans certaines zones géographiques. De plus, les personnes âgées ou moins à l’aise avec la technologie pourraient se retrouver dans l’incapacité de passer des appels depuis leur smartphone Xiaomi.

Vers une suppression de l’application SMS ?

Suite à cette annonce, des rumeurs circulent quant à une possible suppression de l’application SMS dans un futur proche. En effet, Xiaomi aurait également constaté une baisse significative de l’utilisation des SMS au profit des messageries instantanées.

Si cette information venait à se confirmer, cela marquerait un tournant majeur dans l’histoire de la téléphonie mobile. Les smartphones deviendraient alors de véritables « appareils de messagerie », délaissant progressivement les fonctions de communication traditionnelles.

Quoi qu’il en soit, cette annonce a eu l’effet d’une bombe dans le monde de la tech, suscitant de nombreux débats sur l’avenir de la téléphonie mobile et une fool en colère. Reste à voir si d’autres fabricants emboîteront le pas à Xiaomi dans cette « pêche » aux fonctionnalités obsolètes.

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