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Pixel Snapper - L'outil qui répare le pixel art baveux des IA

Par : Korben
1 décembre 2025 à 11:21

Si vous avez déjà essayé de générer du pixel art avec une IA comme Midjourney ou le nouveau modèle Nano Banana Pro de Google, vous avez forcément remarqué ce problème : c’est moche de ouf ! Enfin non, c’est pas moche dans l’absolu, mais les pixels sont tout sauf alignés sur une grille propre. On se retrouve avec des trucs qui ressemblent à du pixel art de loin, mais qui sont en fait une bouillabaisse de pixels de tailles variables, mal placés, avec des anti-aliasing qui n’ont rien à faire là.

Heureusement pour nous, Pixel Snapper va nous aider à corriger tout ça en quelques secondes !

L’outil est développé par Hugo-Dz sur GitHub dans le cadre du projet Sprite Fusion. Vous balancez votre image de pixel art foireuse, et il recale automatiquement chaque pixel sur une grille propre comme ça, fini les pixels qui font du 1,3 × 0,8 au lieu de faire un beau carré 1 × 1 comme le bon dieu du rétro gaming l’a voulu.

Voici la différence… A gauche c’est l’image IA, et à droite, c’est l’image recalée comme il faut :

Le truc cool, c’est que l’outil préserve tous les détails de votre image, c’est à dire le dithering, les courbes, les petits trucs subtils que vous ne voulez pas perdre dans la conversion. C’est pas un outil qui va vous massacrer l’image en la pixelisant bêtement même si certaines couleurs sautent car faut pas dépasser les 16 couleurs.

Voilà, il analyse la structure et recale intelligemment chaque élément sur la grille cible en moins de 2 secondes. Y’a pas besoin de vous créer un compte et c’est sans limite.

En plus, c’est gratuit et open source, donc vous pouvez l’utiliser pour vos projets perso comme pour vos jeux commerciaux sans vous poser de questions. D’ailleurs si vous bossez avec Unity, Godot, Defold ou Flame, les assets générés sont directement utilisables dans vos projets.

Voilà, si vous utilisez des générateurs d’images IA pour créer des assets de jeux rétro et que vous en avez marre de passer des heures à recaler les pixels à la main, testez Pixel Snapper !

SponsorBlock – Gérez les sponsors YouTube à votre façon

Par : Korben
1 décembre 2025 à 08:25

Ce matin, vous vous êtes levé, motivé, vous vous êtes posé sur l’ordinateur, très concentré, pour vous lancer dans la réparation de votre aspirateur robot qui fait encore des siennes. Vous lancez le tutoriel YouTube et au bout de 3 minutes, d’un seul coup le mec pose son tournevis et se met à vous parler de sa gourde magique sponsorisée durant 90 longues secondes.

Grmpfff… Bon, après on va pas se mentir, les sponsors, c’est ce qui permet aux créateurs de vivre de leur passion et de continuer à produire du contenu gratuit dont vous vous goinfrez comme des petits cochons grassouillets. C’est le deal. Mais parfois, quand on est pressé ou qu’on enchaîne les tutos, on aimerait bien pouvoir zapper ces passages pour y revenir plus tard évidemment (ou pas ^^).

C’est là qu’intervient SponsorBlock, une extension open source qui permet de sauter automatiquement les segments sponsorisés dans les vidéos YouTube. Le principe : quand quelqu’un identifie un passage pub dans une vidéo, il le signale via l’extension, et ensuite tous les autres utilisateurs peuvent choisir de sauter automatiquement ce passage. C’est du crowdsourcing, et plus de 13 millions de personnes utilisent l’extension .

Bien sûr, si vous utilisez ce genre d’outil et que vous appréciez vraiment un créateur, pensez à le soutenir autrement. Que ce soit via un like, un partage, un abonnement à son Patreon, ou tout simplement en désactivant l’extension sur ses vidéos. Les sponsors, c’est souvent ce qui leur permet de bouffer et de continuer à créer du contenu de qualité. Cet outil est pratique, mais il ne faut pas oublier qu’il y a des humains derrière les vidéos.

Ceci étant dit, l’extension ne se limite pas qu’aux sponsors. Vous pouvez aussi la configurer pour sauter les intros interminables, les outros avec les rappels d’abonnement, ou même les passages non-musicaux dans les clips. L’extension affiche des segments colorés sur la timeline YouTube : du jaune pour les sponsors, du vert pour les intros, du bleu pour les outros, violet pour l’auto-promo, rose pour les intermissions… Vous choisissez ce que vous voulez skipper et ce que vous gardez.

Niveau stats, les utilisateurs ont soumis plus de 17 millions de segments et il y a un système de votes qui permet d’évaluer la qualité des signalements, donc les segments mal identifiés finissent par disparaître.

L’extension est dispo sur tous les navigateurs classiques : Chrome, Firefox, Edge, Safari, Opera… Et si vous êtes sur mobile, y’a des solutions aussi. Par exemple sous Android, des apps comme ReVanced intègrent SponsorBlock nativement. Sur iOS, y’a une app dédiée pour Safari. Enfin, pour les plus geeks d’entre vous, des ports existent pour MPV, Kodi, les TV connectées, Android TV, et même Chromecast.

Côté vie privée, la base de données est publique et n’importe qui peut la télécharger ou l’auditer. Le développeur principal, Ajay Ramachandran, a même mis en place un système de requête qui préserve la vie privée, donc l’extension ne sait pas quelle vidéo vous regardez quand elle interroge le serveur.

Voilà, si vous passez beaucoup de temps sur YouTube et que vous cherchez à optimiser votre temps de visionnage, SponsorBlock peut vous intéresser. C’est gratuit et open source.

WSABuilds - Le retour du Windows Subsystem pour Android (Avec le Google PlayStore, svp !)

Par : Korben
29 novembre 2025 à 07:47

Microsoft a officiellement enterré le Windows Subsystem for Android (WSA) le 5 mars dernier car le projet n’a jamais réussi à générer d’argent et l’absence de Google Play Services a été le dernier clou dans le cercueil. Du coup, plus de mises à jour, plus de support, plus d’Amazon Appstore dans le Microsoft Store.. Snif…

Sauf que voilà, y’a des gens qui refusent de lâcher l’affaire et c’est comme ça qu’est né le projet WSABuilds dispo sur GitHub qui propose des builds pré-compilées de WSA avec tout ce qui manquait à la version officielle : le Google Play Store, Magisk ou KernelSU pour le root, et des versions stables régulièrement mises à jour !

WSABuilds vous permet donc de continuer à faire tourner des apps Android sur Windows 10 et 11, même après l’abandon de Microsoft et les builds sont disponibles en plusieurs variantes. Soit avec ou sans Google Apps, avec Magisk ou KernelSU pour le root, en version stable ou LTS…etc. Et vous avez aussi le choix entre x86_64 et ARM64 selon votre config.

L’installation est plutôt simple puisque vous n’avez qu’à télécharger l’archive depuis les releases GitHub ou OneDrive, vous extrayez tout ce bordel, vous renommez le dossier en “WSA” (important d’avoir un nom court), et vous lancez l’install via PowerShell. Le projet contient des scripts qui gèrent tout le processus, donc c’est encore plus confortable que votre chaise de gamer acheté sur Aliexpress.

Côté prérequis, il vous faut Windows 11 build 22000.526 ou plus, ou Windows 10 22H2 avec minimum 8 Go de RAM, même si 16 Go sont recommandés pour une expérience fluide. Et bien sûr, faudra activer la virtualisation dans le BIOS.

Et si vous aviez déjà WSA installé d’avant ce 5 mars 2025 fatidique, il continue de fonctionner mais sans aucune mise à jour, donc WSABuilds devient donc la seule option viable pour avoir une version maintenue et avec le Play Store intégré !

Et pour ceux qui préfèrent les alternatives classiques comme BlueStacks ou NoxPlayer , c’est toujours possible mais WSA reste la solution la plus propre car elle s’intègre nativement à Windows sans passer par un émulateur tiers.

Amusez-vous bien !

Une ÉNORME liste des meilleurs chaînes IPTV gratuites et sans abonnement pour votre box ou Smart TV

Par : Korben
29 novembre 2025 à 05:48

Si vous voulez monter votre propre service IPTV pour vos besoins personnels et arrêter de payer des services mafieux ou décodeurs pirates pour regarder de la TV en streaming, j’ai ce qu’il vous faut en accès gratuit.

Il existe plusieurs dépôts Github qui compilent des playlists au format .m3u regroupant de nombreux streams en IPTV. Attention, comme la radio en streaming , rien d’illégal pour l’utilisateur ici, c’est tout simplement des chaînes dont les flux sont accessibles gratuitement et légalement sur le web sans décodeur.

Pour le commun des mortels, ça suffira largement à votre bonheur, et vous pourrez lire toutes ces chaînes sans céder à l’achat d’un boitier IPTV ou abonnement IPTV spécifique. Un simple lecteur vidéo comme VLC suffira. Ça fonctionnera également sur votre téléviseur avec l’application Smart IPTV ou sur votre box Android.

Free-TV/IPTV - La playlist communautaire de qualité

Le premier dépôt que je vous recommande c’est Free-TV/IPTV . Il est maintenu par une communauté de bénévoles qui privilégient la qualité plutôt que la quantité. Y’a que des chaînes qui fonctionnent vraiment, pas de contenu adulte, religieux ou politique, juste du mainstream entertainment et des chaînes d’info.

Pour commencer à regarder la TV sans décodeur ni box android, lancez simplement VLC ou tout autre lecteur vidéo capable de lire les fichiers M3U comme Kodi puis faites Fichier -> Ouvrir un flux réseau et copiez-collez simplement le lien suivant :

https://raw.githubusercontent.com/Free-TV/IPTV/master/playlist.m3u8

Cette playlist regroupe des chaînes TV gratuites du monde entier, soit localement en hertzien, soit gratuitement sur internet via des services comme Plex TV, Pluto TV (en anglais, espagnol, français, italien), Samsung TV Plus, Roku TV ou encore des flux YouTube en direct.

iptv-org/iptv - Le mastodonte

Y’a aussi un autre projet encore plus massif : iptv-org/iptv . Celui-là c’est un véritable monstre avec près de 370 contributeurs et des milliers de chaînes du monde entier. La playlist principale est dispo ici :

https://iptv-org.github.io/iptv/index.m3u

Ce projet propose également un guide de programmes électronique (EPG) via un dépôt séparé, ce qui permet d’avoir les horaires des émissions directement dans votre lecteur si celui-ci le supporte. Y’a aussi une API publique et une base de données complète des chaînes disponibles. Vous trouverez également des playlists triées par pays, par langue ou par catégorie dans leur documentation. Ils maintiennent aussi une liste awesome-iptv qui recense tous les outils et ressources autour de l’IPTV.

Quel lecteur utiliser ?

Si VLC ça ne vous convient pas, vous avez plusieurs options. IPTVnator reste un excellent choix : c’est un player open source avec 5 100 stars sur GitHub, dispo sur Windows, Mac et Linux, qui supporte les playlists M3U/M3U8 et l’EPG. Il est passé de Electron à Tauri récemment, ce qui le rend plus léger.

Si vous préférez une solution directement dans le navigateur sans rien installer, y’a M3U IPTV Browser qui permet de charger vos playlists et regarder les chaînes directement dans votre navigateur. Sinon, TiviMate ou Ellipto IPTV sont un lecteur web moderne avec une interface sympa et compatible avec tous les navigateurs récents.

Pour ceux qui veulent aller plus loin, Kodi avec le plugin PVR IPTV Simple Client reste la solution la plus complète pour gérer l’IPTV sur à peu près n’importe quelle plateforme.

Ces listes sont maintenues par des communautés actives et mises à jour régulièrement et couvrent des dizaines de pays et proposent des chaînes en plusieurs langues. Par contre, gardez en tête que certains liens peuvent être géobloqués selon votre localisation, et que les flux peuvent parfois changer d’URL. C’est le jeu avec l’IPTV gratuit !

Profitez-en bien !

Article publié initialement le 21/03/2024 et mis à jour le 29/11/2025

A Cordless Kitchen Processor Soft Enough to Leave Out All Day

Par : Ida Torres
1 décembre 2025 à 17:20

If you cook in a small kitchen, you already know the choreography. The toaster gets shoved into a cabinet so the kettle can come out. The air fryer lives on the floor of a pantry. Power cords drape across the counter like tripwires. It is domestic Tetris, and it rarely looks good.

That is the quiet problem the Food Sitter Cooking Processor, designed by Qi Liu, is trying to solve. On paper it is a cordless, multifunctional food processor that chops, blends, and whisks. In reality it feels more like a friendly little gadget that wants to restore some visual calm to your kitchen.

Designer: Qi Liu

The first thing that stands out is the form. Instead of the usual squat base with a forest of buttons, this processor reads almost like a compact handheld vacuum crossed with a milk frother. A clean cylinder holds the motor and battery, with a straight handle projecting from the side and a clear jar below. The lines are smooth and rounded, and the whole object looks soft without being cute for the sake of it.

Color does a lot of the emotional work here. The palette of cream white, gentle gray, and lemon yellow is closer to lifestyle accessories than industrial appliances. These are the kinds of colors you expect from a Scandinavian lamp or a wireless speaker, not a device that pulverizes garlic. That choice is intentional. Food Sitter positions itself as a Korean kitchen lifestyle brand with the motto “Less Effort, More Joy,” and the processor fits that promise. It is designed to sit out in the open without visually shouting.

Cordless power is the other big shift. The processor has a built in battery and charges via USB, which instantly changes how and where you use it. No cord means you can move from counter to dining table to balcony without hunting for an outlet. It is easy to imagine it on a picnic table, pureeing salsa next to a portable speaker, or on a camping trip where it turns into a tiny off grid prep station. The portability feels closer to a tech gadget than a traditional kitchen tool, and that is part of the appeal.

Functionally, the product leans into modularity. Interchangeable blades and accessories cover three core jobs chopping, blending, and whisking. In design terms it is a single platform with multiple behaviors. Instead of owning a separate chopper, mini blender, and hand whisk, you swap attachments on one compact base. That reduces clutter and, importantly, visual noise. One small cylinder on your shelf looks a lot better than three unrelated appliances with three different design languages.

The interaction details are refreshingly straightforward. There is a clear top hole for feeding ingredients, paired with a small stick that nudges food down toward the blades. It is almost analog in spirit. You are still present in the process, but the tool does the heavy lifting. The controls are minimal, with a small display for on off and speed, and a single main button. It feels closer to using a simple audio player than programming a blender.

Cleaning, the step that often kills our enthusiasm for kitchen gadgets, is handled with the same clarity. Every food contact part is designed to come apart quickly. Blade, jar, and lid separate for a rinse under the tap, no awkward crevices or trapped onion pieces. That kind of invisible design work is what makes a product move from novelty to daily habit.

What makes this project interesting beyond the kitchen is how it merges three worlds. From a design perspective, it borrows the soft minimalism of contemporary home objects. From tech, it adopts battery power, portability, and a restrained interface. From pop culture, it taps into our current love of “tiny living” and curated domestic aesthetics. It is the kind of object you can imagine on Instagram next to a latte and a stack of cookbooks, but it also has the chops to justify its presence.

For modern homeowners especially those living in apartments or shared spaces that blend work, life, and cooking into one room this balance matters. We want tools that earn their footprint. The Food Sitter Cooking Processor feels like a response to that desire. It is compact, visually calm, and flexible enough to support both weekday meal prep and weekend kitchen experiments. In the end, this is not just another food processor. It is a small argument for a different kind of kitchen where technology is cordless and quiet, aesthetics are part of function, and the tools that help you cook are pleasant enough to leave out in plain sight.

The post A Cordless Kitchen Processor Soft Enough to Leave Out All Day first appeared on Yanko Design.

I Stopped Paying for Cloud Storage After Trying This Tiny 256GB iPhone SSD

Par : Sarang Sheth
1 décembre 2025 à 02:45

I remember a time when smartphones had expandable storage. In fact, I remember feeling this internal rage when I saw the iPhone Air and that Apple even decided that a physical SIM slot wasn’t necessary anymore, because apparently a SIM tray blocks so much space that you need to shave down on a phone’s battery capacity. It’s wild that we’ve gotten to this point in our lives, and what’s more wild is that we now have to ‘rent’ storage out by paying for iCloud or Google Drive subscriptions to store our photos and videos. I remember when you could pop in a MicroSD card and those low-storage problems would go away… and ADAM Elements is trying to bring back that convenience with its ultra-tiny SSDs.

The iKlips S isn’t as small as a MicroSD, but it’s sufficiently more advanced than one. Barely the size of a 4-stud LEGO brick, this SSD plugs right into your smartphone, giving it an instant 256GB memory boost. It docks in your phone’s USB-C port, transferring data at incredible speeds, and here’s the best part – the tiny device packs biometric scanning too, which means you can pretty much secure your backups with a fingerprint the way you secure your phone with FaceID. The best part? No pesky subscription fees. You pay once and own the storage forever, and everything’s local and offline… so you never need to worry about remembering passwords, or about having companies and LLMs spy on your personal data to train themselves.

Designer: ADAM Elements

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Think a thumb drive, but insanely tinier. That’s the beauty of SSDs, and ADAM Elements touts that the iKlips S currently holds the record for the world’s smallest SSD. Plug it into your phone, tablet, laptop, or any device and it instantly gets a 258GB bump. Data transfers at speeds of up to 400Mb/s with read speeds of 450Mb/s, that’s fast enough to move RAW files in milliseconds and entire 4K videos in seconds, or even directly preview/edit ProRes content on your phone, tablet, or laptop without having to transfer data to local storage. After all, that’s the dream, right?

The tiny device comes with a machined aluminum body and a lanyard hole so that you can string something through to prevent it from getting lost. Plug it into your phone to back up media, then into your laptop or iPad to edit said media. You can transfer data between multiple devices fairly quickly, across platforms too, thanks to cross-compatibility with iOS, Android, MacOS, Windows, ChromeOS, and even Linux. The tiny design sits practically flush against your phone, tablet, or laptop, occupying about the same amount of space as a USB receiver for a wireless keyboard or wireless mouse. Its most important design detail, however, hides in plain sight.

On the underside of the iKlips S is a fingerprint scanner, allowing you to add authentication to your SSD the way you add a password to your iCloud. The device can hold as many as 20 fingerprints, making it perfect for redundancies (just in case you cut a finger while chopping veggies) or even for a team of multiple people sharing data. Place your finger on the iKlips S and it unlocks the SSD, allowing you to read/write data in no time. You’re never faced with forgetting your iCloud password as your password literally lives on your fingertips.

The price of it all? A mere $62.3, which costs about as much as an annual subscription to these cloud storage services. For that, you get something you truly own, and can use without needing an app or an internet connection. Just plug it in and you’ve suddenly got extra storage. Secure the storage with a fingerprint, and move data around at speeds your internet service provider could only dream of. Neat, huh?

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The post I Stopped Paying for Cloud Storage After Trying This Tiny 256GB iPhone SSD first appeared on Yanko Design.

Samsung's fastest gaming monitor just hit an all-time low — 500Hz for under $800

Samsung’s Odyssey OLED G6 gaming monitor is down to its lowest price yet, offering a 500Hz refresh rate, QD-OLED visuals, and burn-in protection for $799.99.

Samsung Odyssey OLED G6 gaming monitor deal graphic

Best controller for Call of Duty: Black Ops 7 — play like a pro on Xbox and PC, whatever your budget

Call of Duty: Black Ops 7 is still best played on controller, even on PC, but you're going to want to have the right one. Here are the best options right now for Xbox and PC.

Razer Raiju V3 Pro and Razer Wolverine V3 Pro

We gave this Xbox Ally case a perfect score, and we adore it even more with a Black Friday price tag — the Killswitch is flawless

There is a 60% discount deal being offered by dBrand for its Killswitch Ultra Kit, a protective case for gaming handhelds. We gave its Travel Edition a rare, perfect 5/5 review score.

dBrand Killswitch installed on a front facing Xbox Ally X and a back facing Xbox Ally.

Magicbrake - Handbrake en mode facile

Par : Korben
19 novembre 2025 à 08:34

HandBrake c’est un chef-d’œuvre open source qui fait, en gros, tout ce qu’on peut rêver en terme de conversion vidéo…

Ainsi, si vous voulez juste transformer une vidéo en MP4 qui marche sur votre téléphone, HandBrake est capable de vous proposer 147 options, 23 presets différents, des onglets pour les codecs, les sous-titres, les filtres, l’audio multi-pistes. Ensuite, vous cliquez sur OK en priant pour que le preset par défaut fasse le taf !

Et c’est ça le problème car c’est un super outil mais pour le maitriser, faut faire 18 formations ;-). Heureusement Magicbrake dit stop à cette folie !

Car Magicbrake c’est une app macOS qui ne permet de faire qu’UNE chose. Vous glissez une vidéo dessus, vous cliquez sur le bouton, et vous récupérez un MP4. Y’a pas de menu, pas d’options et encore moins de documentation à lire et ça c’est cool !

Techniquement, c’est un wrapper GUI qui utilise HandBrakeCLI avec le preset “Very Fast 1080p30” préconfigué. C’est con mais ça fera plaisir aux gens qui n’ont pas envie de se prendre la tête avec l’interface d’Handbrake qui ressemble à un cockpit d’Airbus.

Voilà, Magicbrake c’est juste un problème réel résolu avec le moins de code possible et également un bon rappel que des fois, la meilleure solution c’est la simplicité.

Bref, pour la majorité des gens qui veulent juste convertir une vidéo de leur GoPro, leur drone, ou récupérer un vieux fichier AVI des années 2000, Magicbrake fera bien le taf. Après vous voulez vous lancer dans le choix d’un bitrate ou l’incrust de sous titres, pas le choix, faudra aller sur Handbrake.

Le site officiel Magicbrake est ici !

Itoa - Pour convertir une image en ASCII Art

Par : Korben
19 novembre 2025 à 08:16

Vous avez un iPhone qui prend des photos 48 mégapixels, un écran Retina qui affiche 254 pixels par pouce, et des GPU qui font tourner des jeux en 4K mais ce que vous n’avez pas c’est Itoa , un outil web qui fait exactement l’inverse puisqu’il transforme vos images haute-définition en une grille de caractères ASCII monochrome / couleur de 10 symboles maximum (Par exemple : .:-=+*#%@).

Car l’ASCII art, c’est littéralement la mise à mort volontaire de l’image. Vous prenez quelque chose qui a besoin de millions de pixels pour exister et vous le réduisez à une poignée de caractères typographiques et en 2025, ça continue !

Sur que itoa (ça veut dire “image to ascii art”, au fait) fait ça très bien ! C’est donc, vous l’aurez compris, un convertisseur image-vers-ASCII codé en React et Vite qui tourne directement dans votre navigateur. Vous glissez dessus une image JPG, PNG ou GIF, et hop, l’outil vous la transforme en grille de caractères.

Deux modes sont dispo : monochrome pur et dur, ou couleur où chaque caractère hérite de la teinte du pixel d’origine. Vous pouvez aussi contrôler la taille de sortie (petit, moyen, grand) et exporter le résultat en PNG si vous voulez le partager ou l’imprimer.

Techniquement, itoa utilise l’API Canvas HTML5 pour analyser votre image. Ensuite, l’image est redimensionnée en gardant son ratio, puis chaque pixel est analysé. Pour le mode monochrome, l’algorithme calcule la luminance et ensuite l’outil mappe la valeur sur une échelle de caractères allant du plus clair (.) au plus foncé (@). Et pour le mode couleur, chaque pixel conserve sa couleur RGB d’origine via des balises HTML.

Bien sûr, itoa n’est pas le seul convertisseur ASCII du monde. Y’a pas exemple ManyTools.org qui fait le job depuis des années, Folge.me avec son interface moderne et ses options couleur, ou encore ASCII-Art-Generator.org qui peut exporter en SVG.

Bref, si vous aimez la nostalgie tech ou si vous voulez illustrer des .txt, c’est l’outil qu’il vous faut !

A découvrir ici !

iMessage Exporter - Pour faire un backup de vos conversations iMessage

Par : Korben
19 novembre 2025 à 07:29

Vous avez combien de messages iMessage sur votre Mac ?

10 000 ? 50 000 ? Plus ????

Vous en avez des amis, dites moi ! Et maintenant, petite question piège : Combien de ces messages pouvez-vous réellement exploiter en dehors de l’app Messages d’Apple ?

Hé bien la réponse va vous surprendre (non) : zéro !

Hé oui, car vos conversations sont stockées dans une base SQLite quelque part sur votre disque dur , mais Apple a fait en sorte que vous ne puissiez rien en faire. Les pièces jointes sont planqués dans des dossiers obscurs avec des noms aléatoires, les métadonnées sont éclatées sur une quinzaine de tables, et les timestamps sont au format Apple (pas Unix). Vous pouvez donc ouvrir la base avec DB Browser si vous voulez, mais vous allez juste pleurer du sang devant votre écran et perdre votre joie de vivre.

Et le plus beau dans tout ça c’est qu’Apple ne propose AUCUN moyen d’exporter vos messages. Y’a rien. Y’a des boutons d’export pour vos photos, pour vos mails, pour vos contacts, mais pour vos SMS et iMessages, c’est podzob !

Donc si vous voulez quitter l’écosystème Apple et migrer vers Android (mais qui fait ça ??? lol), bonne chance pour récupérer ces 10 ans de conversations torrides avec Monique de la compta. Et si vous avez besoin d’archiver des échanges professionnels pour raisons légales, à part faire des centaines de captures écran ou de copier coller, j’vois pas.

Heureusement, un dev nommé ReagentX en a eu marre de cette situation et a créé imessage-exporter, un outil open source en Rust qui fait exactement ce qu’Apple refuse de faire à savoir vous donner accès à VOS propres données dans un format lisible et portable.

L’outil tourne sur macOS évidemment, mais aussi sur Linux et Windows. Comme ça, même si vous avez viré votre Mac depuis 3 ans, vous pouvez quand même récupérer votre ancienne base iMessage et l’exporter tranquillement depuis votre machine Ubuntu ou Windows.

Et au niveau des formats d’export, vous avez le choix entre du txt et du html. Le format html est particulièrement bien foutu parce qu’il recrée l’interface visuelle d’iMessage avec vos bulles bleues et grises, les heures d’envoi, et surtout il préserve tous les médias : photos, vidéos, audios, tout y passe. Vous vous retrouvez avec un site html statique que vous pouvez ouvrir dans n’importe quel navigateur et parcourir comme si vous étiez dans l’app Messages, sauf que là c’est rien qu’à vous et personne peut vous le reprendre (sauf le karma ^^).

Pour l’install, si vous êtes à l’aise avec Rust, hop, un simple cargo install imessage-exporter fera l’affaire. Sinon y’a un package Homebrew (brew install imessage-exporter) ou des binaires précompilés sur la page du projet pour Mac Intel et Apple Silicon.

Notez qu’il vous faudra aussi installer ImageMagick et ffmpeg pour la conversion des pièces jointes, mais rien de sorcier. Ensuite, côté utilisation, c’est de la ligne de commande pure et dure. Par exemple, pour exporter toutes vos conversations en html avec les médias dans votre dossier personnel, vous tapez :

imessage-exporter -f html -c clone

Si vous voulez exporter uniquement les conversations avec un contact spécifique, vous pouvez filtrer par numéro de téléphone :

imessage-exporter -f html -c clone -t "0612345678"

Et si votre base iMessage est corrompue ou que vous soupçonnez des problèmes, l’outil intègre aussi une fonction diagnostic qui va scanner la base et vous remonter les anomalies.

Et l’outil gère iMessage, RCS, SMS, MMS, les conversations de groupe, les messages formatés, les threads de réponse, les messages édités, les traductions, les sondages, les votes, et même les arrière-plans de chat custom. C’est ouf ! Et ça c’est parce que ReagentX maintient ce projet depuis des années et suit les updates Apple en temps réel, ce qui n’est franchement pas une mince affaire vu qu’Apple change régulièrement le schéma de leur base.

Normal que ce projet cartonne !

Voilà si vous tenez un minimum à vos données, allez faire un tour sur le repo GitHub d’imessage-exporter … çaa prend 10 minutes à installer, et vous dormirez mieux en sachant que vos échanges et autres souvenir seront conservés bien au chaud sur votre prochain backup.

Et un grand merci à Lorenper de m’avoir signalé ce projet.

SimpMusic - L'app Android qui libère Youtube Music

Par : Korben
19 novembre 2025 à 06:37

Google a YouTube Music ave un budget illimité, des équipes entières de devs, des serveurs partout dans le monde… et pourtant une autre app Android open source fait mieux le job ! Cette app c’est SimpMusic et vous allez l’adorer !

Car oui, YouTube Music officiel , c’est bridé à mort. Y’a pas lecture possible en tâche de fond sans l’option premium, y’a des pubs et des trackers partout et pas de canvas comme sur Spotify (canvas, ce sont les petites vidéos qui tournent en boucle quand vous lisez une chanson). Bref, c’est pas ouf.

Du coup, le dev de SimpMusic a eu pour idée de balancer tout ce que YouTube Music officiel refuse de vous donner : De la lecture sans pub ET en tâche de fond (vous pouvez sortir de l’app et la musique continuera à jouer), de quoi vous balader dans les nouveaux podcasts et les tubes du moment et autres playlists et y’a même du cache offline et la possibilité de vous lancer dans la lecture de paroles synchronisées avec la musique. SimpMusic offre aussi un SponsorBlock intégré, et des fonctionnalités comme le retour des dislike, le support Android Auto, des suggestions et traduction IA, et un timer qui coupe tout au bout d’un moment si vous vous endormez en musique… Bref, que des bonnes idées !

Et tout cela est codé en Kotlin et utilise les API cachées de YouTube Music. C’est donc du bon gros reverse engineering pur et simple. D’où le côté beta de l’app qui peut parfois se comporter bizarrement. Mais si ça vous dit de tester, vous pouvez choper ça sur F-Droid, IzzyOnDroid, ou directement sur les releases GitHub. Évidemment, vous ne la trouverez pas sur le Play Store puisque Google n’aime pas ce genre d’app. Ils ont même banni Spotube de leur store officiel.

Quoiqu’il en soit, si un jour Google peut décider de couper les API “cachées” ou de bannir l’app, ça sera très facile pour eux. Comme d’hab, c’est un jeu du chat et de la souris entre les devs et le géant de la tech.

Merci à Lorenper de m’avoir signalé ce projet et chapeau à maxrave-dev pour avoir osé coder ce que Google refuse de donner.

Docker Manager - Pour gérer vos conteneurs depuis votre smartphone

Par : Korben
17 novembre 2025 à 10:09

Vous vous souvenez de la dernière fois où vous avez dû redémarrer un container Docker en urgence depuis votre téléphone, planqué dans les chiottes du resto un jour de St Valentin ?

Le minuscule clavier, la connexion SSH qui rame, les commandes qu’on tape mal parce que l’autocorrect veut absolument transformer “docker ps” en “docker pas”, l’écran trop petit pour lire les logs… Bref, la grosse merde !!

Heureusement, Docker Manager débarque pour transformer ce cauchemar en expérience qui fait plaisir aux yeux. C’est une app Android qui gère vos containers Docker à distance, et c’est tellement bien foutu que vous allez enfin arrêter d’ouvrir votre laptop n’importe où juste pour faire un simple restart.

C’est vrai que faire du SSH depuis un smartphone, ça a toujours été possible. Y’a même plein d’apps terminal mobiles, de clients fait pour ça, même des bidouilles pour se connecter à vos serveurs. Mais “possible” et “agréable”, c’est pas vraiment la même chose.

Grâce à Docker Manager ce sera donc possible ET agréable ! Vous gérez déjà Docker, vous connaissez déjà les commandes, vous savez ce que vous faites mais au lieu de vous faire taper des commandes dans un terminal de 5 pouces, l’app vous offre une interface utilisateur carrée avec des boutons, des statistiques en temps réel, des logs lisibles, et même un shell interactif quand vous en avez vraiment besoin !

Vous connectez donc vos serveurs via SSH (mot de passe ou clé, comme d’hab), et hop, vous aurez accès à tout. Start/stop/restart de containers, inspection des images, gestion des volumes et des networks, stats CPU/RAM en direct… Tout ce que vous feriez normalement en SSH, mais sans vous arracher les yeux sur un terminal mobile.

Autre truc sympa, l’app supporte plusieurs serveurs, donc vous pouvez switch entre votre VPS perso, votre homelab, et votre serveur de prod en deux tapotages ^^. Elle gère aussi les VPN comme Tailscale, donc si vos serveurs sont derrière un réseau privé, pas de problème. Elle propose même des thèmes light/dark, parce que oui, même en pleine nuit à 3h du matin quand un container plante, vous avez le droit à votre petit confort visuel.

L’app supporte aussi Podman. Vous configurez juste votre CLI Docker custom, et ça marche ! Et en plus, c’est open source ! Vous pouvez même faire du cleanup système pour virer les images et containers qui traînent histoire de faire un peu de ménage.

L’app est dispo sur le Play Store et sur GitHub pour ceux qui veulent build depuis les sources ou juste regarder le code. Testez, vous verrez, ça change la vie.

Merci à Friendly_0day pour le partage !

Freewrite Wordrunner Counts Words With Clicking Mechanical Wheels

Par : JC Torres
19 novembre 2025 à 09:45

Writers spend more time with their keyboards than any other tool, yet most options are either gaming boards covered in RGB lights or cheap office slabs optimized for cost rather than comfort. Neither category really thinks about what writers actually need, which is a keyboard that can keep up with long sessions without killing your wrists and maybe even help you stay focused when the blank page starts feeling oppressive.

Freewrite’s Wordrunner is a mechanical keyboard built specifically for writing, complete with a built-in mechanical word counter and sprint timer. It works with any device that accepts a USB or Bluetooth keyboard, from laptops and desktops to tablets and phones, and its core features live in the hardware rather than in yet another app or cloud service that you’ll forget to open halfway through your writing session.

Designer: Freewrite

The standout feature is the Wordometer, an eight-digit electromechanical counter with rotating wheels driven by a coreless motor and controlled by an internal microprocessor. It tracks words in real time using a simple algorithm based on spaces and punctuation, stays visible even when the keyboard is off, and can be reset with a mechanical lever to the left of the display. The counter makes a soft clicking sound as the wheels turn, giving you tactile and audible feedback every time you hit a milestone.

The keyboard also includes a built-in sprint timer that lets you run Pomodoro-style sessions or custom writing sprints without leaving your desk. Subtle red and green lights keep you on track, and you can configure the timer to count up or down depending on how you prefer to work. The standard function row has been replaced with writer-centric keys like Find, Replace, Print, and Undo, plus three programmable macro keys labeled Zap, Pow, and Bam for whatever shortcuts you use most.

The typing experience is what you’d expect from a premium mechanical keyboard. High-quality tactile switches, multiple layers of sound dampening, and a gasket mount design deliver what beta testers kept calling “so satisfying.” Each switch is rated for eighty million presses, which should be enough to see you through multiple novels without the keys wearing out. The die-cast aluminum body gives the board a heft and solidity that plastic keyboards can’t match, keeping it planted on your desk no matter how fast your fingers fly.

Tucked into the top right corner is a multi-directional joystick that controls media playback and volume, so you can adjust your music without touching the mouse or breaking flow. Connectivity is equally flexible. The Wordrunner supports wired USB-C and Bluetooth, pairs with up to four devices at once, and switches between them with a keystroke. It works with Windows, macOS, iPadOS, and Android without requiring special software, which means you can move it between machines without reconfiguring anything.

Wordrunner is designed for writers who want their keyboard to be more than a generic input device. It turns progress into something physical with the mechanical word counter, structures writing sessions with the built-in timer, and wraps it all in a solid, retro-industrial chassis that looks like a specialized tool rather than consumer electronics. It’s less about flashy features and more about making the act of writing feel intentional every time you sit down to work.

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HR’s Role in Preventing Insider Threats: 4 Best Practices

Par : Zac Amos
19 novembre 2025 à 06:25

Navigating insider threats is tricky for any company. The IT department might notice increased activity as a hacker attempts to breach databases from the outside, but those inside the organization? They already have access and trust.

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