Refurb HP Slim Desktop: Efficient, Compact, and Capable
The J5040 offers responsive everyday computing in a small footprint, now under $200
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Vous avez un site WordPress et vous voulez ajouter de l’IA dedans ?
Alors pour faire ça, vous installez un super plugin qui utilise ChatGPT. Parfait ! Sauf que 2 mois après, vous découvrez l’existence d’un nouvelle version de Claude qui est bien meilleure. Ou Gemini sort une fonctionnalité que vous voulez absolument..
Mais bon, votre plugin est marié avec OpenAI, et impossible de divorcer. Du coup, vous êtes coincé. Bienvenue dans le grand bordel de l’IA, où chaque outil parle sa propre langue et refuse de discuter avec les autres.
Heureusement, WordPress vient de sortir un truc qui pourrait bien changer tout ça. En gros, ils ont créé trois outils qui fonctionnent ensemble pour transformer WordPress en “traducteur universel” pour les IA. Ça s’appelle l’Abilities API, le PHP AI Client SDK, et le support du MCP (Model Context Protocol).
D’après l’annonce officielle sur Make WordPress , l’idée c’est donc de créer un registre central où toutes les capacités de WordPress sont décrites de manière lisible par les machines. Jonathan Bossenger explique que l’Abilities API ne se limite pas à découvrir les capacités du site, mais gère aussi les permissions et l’exécution de manière sécurisée. Votre site peut dire à une IA “Voilà ce que je sais faire, voilà ce que tu peux toucher, et voilà comment tu exécutes ça”.
// N'importe quel plugin peut enregistrer ses capacités avec le hook `init`.
wp_register_ability( 'my-seo-plugin/analyze-content-seo', [
'label' => __( 'Analyser le SEO du contenu', 'my-seo-plugin' ),
'description' => __( 'Analyse le contenu de l\'article pour améliorer le SEO.', 'my-seo-plugin' ),
'thinking_message' => __( 'Analyse de votre contenu en cours !', 'my-seo-plugin' ),
'success_message' => __( 'Contenu analysé avec succès.', 'my-seo-plugin' ),
'execute_callback' => [ 'MySEOPlugin', 'analyze_content' ],
'input_schema' => [
'type' => 'object',
'properties' => [
'post_id' => [
'type' => 'integer',
'description' => __( 'L\'identifiant de l\'article.', 'my-seo-plugin' ),
'required' => true
],
],
'additional_properties' => false,
],
'output_schema' => [
'type' => 'number',
'description' => __( 'Le score du contenu en pourcentage.', 'my-seo-plugin' ),
'required' => true,
],
'permission_callback' => 'edit_posts',
] );
Le truc marrant, c’est que WordPress a la réputation d’être la technologie “has-been” du web. Les hipsters du dev vous disent que c’est un dinosaure, qu’il faut passer à Next.js ou je ne sais quoi, et pourtant, c’est ce dino qui devient le premier CMS à adopter le MCP, qui est quand même un standard ultra-récent. Si vous n’avez jamais entendu parlé de MCP, c’est développé par Anthropic et ça permet de standardiser la façon dont les IA communiquent avec les outils externes.
WordPress a intégré le MCP en quelques mois et je vous explique rapidmeent comment ça marche, parce que c’est pas si compliqué. Le PHP AI Client SDK v0.1.0 est en fait une interface unifiée pour parler à n’importe quelle IA. Vous écrivez votre code une fois, et ça fonctionne avec OpenAI, Claude, Gemini, ou même un modèle local que vous faites tourner chez vous. Ce SDK se charge donc de traduire vos requêtes dans le langage de chaque provider.
C’est donc surtout un truc pour les développeurs, les agences, les gens qui codent des plugins et des thèmes custom. Et si vous êtes un utilisateur lambda de Wordpress (qui ne code pas dans cet écosystème), sachez quand même que les plugins et thèmes que vous utiliserez demain seront construits là-dessus.
Donc indirectement, ça va influencer votre expérience car vous aurez des plugins qui vous laisseront choisir votre fournisseur de LLM IA dans les réglages. Par exemple, un plugin de rédaction pourra utiliser Claude pour le style, GPT-4 pour la structure, et Gemini pour la recherche d’images, tout en même temps si vous le souhaitez… Ce sera un peu comme le Bluetooth ou l’électricité : vous ne savez pas vraiment comment ça marche, mais vous l’utiliserez tous les jours sans y penser.
Ce SDK est déjà disponible via Composer pour les devs qui veulent tester et WordPress 6.9 intégrera l’Abilities API directement dans son core. Après ça, on devrait donc voir une explosion de plugins qui utiliseront plusieurs IA simultanément.
Après si vous n’utilisez pas Wordpress, rassurez-vous, c’est pas juste une feature de chez eux… C’est un standard qui pourra être adopté également par d’autres CMS. Un peu comme RSS à l’époque qui a commencé dans un coin, puis que tout le monde a adopté parce que c’était ouvert et pratique. Et bien là, c’est pareil, l’Abilities API et le MCP sont open source donc n’importe qui peut les implémenter dans ses outils.
A voir maintenant comment les projets concurrents vont réagir… Wix va-t-il continuer à pousser son intégration exclusive avec ChatGPT ? Shopify va-t-il ouvrir son API IA ? Ou est-ce qu’ils vont tous regarder WordPress prendre une longueur d’avance et se dire “Merde, on a peut-être loupé un truc” ?
Bref, moi je trouve ça cool car WordPress aurait pu faire comme les autres, c’est à dire un beau partenariat exclusif avec OpenAI, un joli chèque, et enfermer 43% du web dans un écosystème propriétaire… Mais au lieu de ça, ils ont créé un standard ouvert et gratuit comme ça, c’est la communauté qui décide.
Et ça c’est beau ! Donc si vous êtes dev et que vous voulez tester, le repo GitHub du PHP AI Client est dispo ici avec toute la doc. Et si vous êtes juste utilisateur curieux, gardez un œil sur les plugins qui sortiront après WordPress 6.9 car ça va devenir intéressant…
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On connait tous le problème des petites imprimantes pas chères type Canon, HP, Epson…etc. C’est vendu pour une bouchée de pain mais à côté de ça, les cartouches coûtent une couille !! Et on est prisonnier d’un format de cartouches propriétaires avec dessus une puce, qui parfois s’arrange pour bloquer toute impression parce que le niveau d’encre est trop bas alors qu’il en reste dedans de quoi imprimer encore des centaines de feuilles.
Et tout le monde s’en fout !
Tout le monde ? Non, car trois français viennent de dire stop à cette arnaque avec l’Open Printer, une imprimante jet d’encre qui tourne sur Raspberry Pi Zero W et qui fait quelque chose de complètement foufou en 2025 : elle imprime quand vous le voulez, avec l’encre que vous voulez, sans vous bloquer ou exiger un abonnement.
Léonard Hartmann, Nicolas Schurando et Laurent Berthuel de Open Tools ont créé cette machine incroyable qui n’a pas de puce qui compte vos impressions, pas de cartouche qui se désactive après 6 mois, pas de driver propriétaire qui refuse de fonctionner sous Linux. C’est juste une imprimante qui imprime. Point.
Le truc génial avec l’Open Printer, c’est qu’elle accepte les cartouches HP standard (les modèles black et color) mais sans le DRM qui va avec. Vous pouvez donc les recharger avec n’importe quelle encre, autant de fois que vous voulez !
Et comme sur les vieilles imprimantes matricielles des années 80, cette jet d’encre imprime sur des rouleaux de papier et coupe automatiquement les pages. Ça veut dire que vous pouvez imprimer une liste de courses de 3 mètres, un ticket de caisse personnalisé, ou même une bannière “Joyeux anniversaire” sans vous prendre la tête avec les formats A4. Elle accepte aussi les feuilles classiques (letter, tabloid, A4, A3) pour ceux qui préfèrent.
Techniquement, c’est du solide puisque son Raspberry Pi Zero W fait tourner le cerveau, y’a aussi un microcontrôleur STM32 de STMicroelectronics qui gère la mécanique, et CUPS qui assure la compatibilité avec tous les OS. USB, Wi-Fi, Bluetooth, tout y est. Et il y a même un petit écran de 1,47 pouces avec une molette qui permet de contrôler la bête directement.
Et au lieu de vous vendre une imprimante à 50 balles pour vous saigner sur les cartouches à 40 balles, Open Tools met tout en Creative Commons BY-NC-SA 4.0. Plans, firmware, matériaux, tout est libre, vous pouvez donc modifier, améliorer, réparer cette imprimante éternellement…
HP continue de verrouiller ses cartouches avec des DRM de plus en plus vicieux , et les autres fabricants suivent le mouvement. Epson propose bien des modèles EcoTank avec réservoirs rechargeables, mais à 230€ minimum et toujours avec leur écosystème propriétaire. L’Open Printer arrive donc pile poil au bon moment pour ceux qui en ont marre de se faire avoir.
La campagne de financement participatif sur Crowd Supply arrive bientôt. On ne connait pas encore le prix, mais vu que c’est basé sur un Raspberry Pi Zero W (environ 15€) et des composants standards, ça devrait rester raisonnable. Et même si c’était plus cher qu’une imprimante classique, au moins vous payez une fois et c’est fini. Pas d’abonnement “Instant Ink”, pas de cartouches qui expirent, pas de mises à jour qui désactivent les fonctions. Vous êtes peinard.
Et pour les makers, c’est Noël avant l’heure. Imaginez les possibilités d’une telle machine pour vos projets !
Alors oui, c’est un projet de niche et il faudra probablement mettre les mains dans le cambouis pour l’assembler. Mais entre payer 40€ tous les deux mois pour des cartouches DRM ou investir une fois dans une machine que vous contrôlez vraiment, le choix est vite fait.
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Image of the HP OMEN 35L VALORANT Limited Edition pre-built desktop gaming PC.
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HP OmniBook 5 Flip Memorial Day deal
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Image of the HP OMEN MAX 16 (2025) gaming laptop.
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The HP EliteBook Ultra 14 (G1i) being held up by a hand. A Windows Central Editor's Choice award is in the bottom right corner of the image.
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The HP OMEN 35L on a desk with its lighting on.
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The HP OmniBook Ultra Flip 14 (2024) held in the hand in tablet mode.
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Wireless keyboards are nothing new. Whether you’re on a desktop trying to escape the tangle of cables or on a laptop wanting to expand your limited set of keys, a wireless keyboard offers a bit more freedom and flexibility than other keyboards. That said, they still have the same limitations, namely, requiring a separate mouse or touchpad to move the computer cursor around. Not only does that take up more desk space, it also means another device you might forget or lose along the way. Some Bluetooth keyboards add a tiny touchpad off to the side, but that comes at the cost of reducing the number of keys available on the keyboard. This ingenious solution gives the best of both worlds by practically turning the entire keyboard into one giant touchpad you can swipe and pinch, just like any other touchpad.
Designer: Igor Solovyov (Industrial Designer, Clevetura)
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Laptops have the advantage of having both a keyboard and a pointing device in a single body, but their arrangement is hardly the best in terms of ergonomics and flexibility. Wireless keyboards with built-in trackpads, on the other hand, try to cram this component in an already small space but still manage to sacrifice keys like the numeric keypad. It’s almost as if there’s no ideal design that solves this problem, but the CLVX 1 boldly tries to think outside the box while offering a keyboard that, at least on paper, matches the functionality of many Bluetooth keyboards in the market today.
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In a nutshell, the middle area of the CLVX 1 keyboard is touch-sensitive and functions like a giant touchpad. Thanks to a special slippery coating, you can effortlessly glide your finger across that area to move the mouse around without snagging on the edges of the keys. You can even pinch to zoom or perform any other touch gestures, just like a normal trackpad. As a bonus, the top row of function keys also functions as a slider that you can smoothly swipe without even having to look, making it just as easy to control the volume or any other function you program into the gesture. The keyboard promises that it won’t mix up typing and gestures, as it automatically disables touch detection once you press a key. And in case you’re wondering about mouse button presses, the keyboard has dedicated physical buttons below the spacebar for those actions.
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In all other aspects, the CLVX 1 boasts a laundry list of features available on many wireless keyboards and then some. It has a 110-key layout, which is far more than your typical Bluetooth keyboard, and uses scissor switches. The RGB lighting also has a few tricks, like following your finger as you glide over the keys. You can pair up to three devices with it via Bluetooth, but you can also connect to a device using USB-C for a fourth connection.
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The CLVX 1 is definitely an intriguing design, but its mettle still needs to be tested in real-world use. The smoothness of swiping over keys will definitely be the biggest point of concern, but the typing experience of having those keys so close together is also an important consideration. Nevertheless, it definitely deserves some praise for thinking outside the box to deliver a design that doesn’t compromise just to mix two functions in one.
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