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This LEGO Reflexology Mat Turns a Parent’s Worst Nightmare into Physical Therapy

Par : Sarang Sheth
6 novembre 2025 à 21:30

The only thing worse than ‘Floor is Lava’ is probably ‘Floor is LEGO Brick’. LEGO bricks are famously torturous to step on. The studs, the sharp corners, the unforgiving plastic, all of these combine into creating something that feels like modern day torture. Step on a lego brick with enough body-weight and that thing practically digs into your tissue, causing probably one of the most painful experiences according to the internet. However, what if there was a ‘right’ way of stepping on LEGO bricks?

No, I’m not talking about some mind-over-body nonsense where you overcome your ability to feel pain. LEGO builder eat.sleep.build.repeat. designed a foot reflexology mat using just LEGO bricks, tapping into ancient eastern healing techniques to create a stimulating mat that helps you boost blood flow to your legs and to even other parts of the body. Made from just 820 bricks, this piece, titled ‘How to Step on a LEGO Brick?’ is a rather fun and informative hat-tip to old culture, using modern-day plastic bricks. One might say it puts the LEG in LEGO!

Designer: eat.sleep.build.repeat.

“Foot reflexology is an ancient practice, extremely common in China, where people step on mats with pressure nodes that practitioners believe produce beneficial effects elsewhere in the body,” says eat.sleep.build.repeat. “Decades later, their popularity remains strong as people continue to embrace simple, natural methods for daily wellness.”

The 820-brick MOC comes with the foot mat itself, color coded to perfection with different zones that supposedly stimulate different parts of the body. Each kit also comes with a coded legend that lets you see which color is assigned to which body part. Not that we’re medical professionals (please don’t take this as medical advice), but standing on the mat while having pressure applied (thanks to the LEGO studs) on different parts of the foot is known to be able to cure diseases and boost recovery. Who knew standing on LEGO bricks could be this therapeutic?!

The MOC (My Own Creation) is currently gathering steam on the LEGO Ideas website, an online forum dedicated to enthusiasts who build and vote for their favorite LEGO creations. If this particular build sounds enticing to you (apart from the prospect of stepping on LEGO bricks of course), head down to the LEGO Ideas website and cast your vote for this build!

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Vaccin COVID - Une turbo bonne nouvelle pour le traitement du cancer

Par : Korben
24 octobre 2025 à 08:04

Vous vous souvenez des débats enflammés sur les vaccins COVID et de ces théories complotistes de “turbo cancer” qui circulaient partout sur les réseaux sociaux ? Bon c’est un peu has been maintenant mais c’était cette fausse idée que les vaccins mRNA provoqueraient des cancers fulgurants…

Et bien accrochez-vous, parce que des chercheurs très sérieux viennent de découvrir EXACTEMENT l’inverse. Vous allez voir, c’est drôle !

Des oncologues de l’Université du Texas et de l’Université de Floride ont analysé les dossiers de plus de 1000 patients atteints de cancers du poumon ou de mélanomes avancés et ils ont remarqué un truc bizarre : les patients qui avaient reçu un vaccin mRNA contre la COVID dans les 100 jours suivant le début de leur immunothérapie vivaient beaucoup plus longtemps que les autres. Genre, 2 fois plus longtemps.

Concrètement, la survie médiane passe de 20 mois sans vaccin à 37 mois avec vaccin et au bout de 3 ans, 56% des patients vaccinés sont toujours en vie, contre seulement 31% chez les non-vaccinés.

Bon alors, comment c’est possible ? Hé bien pour comprendre, faut faire un détour rapide par l’immunothérapie. En effet, depuis une dizaine d’années, on traite certains cancers avec des médicaments qui ne ciblent pas la tumeur directement mais débloquent en réalité le système immunitaire.

Le truc, c’est que les cellules cancéreuses sont malignes (sans mauvais jeu de mots..) puisqu’elles utilisent une protéine appelée PD-L1 pour littéralement désactiver les lymphocytes T, les fameux soldats de notre système immunitaire. Les inhibiteurs de checkpoint comme le pembrolizumab ou le nivolumab empêchent alors cette désactivation et le système immunitaire peut enfin faire son boulot et attaquer la tumeur.

Sauf que ça ne marche pas sur tous les cancers. Il y a ce qu’on appelle les tumeurs “chaudes” et les tumeurs “froides”. Les chaudes ont été repérées par le système immunitaire et ont été infiltrées par des cellules immunitaires. Les froides, par contre, sont invisibles. Aucune cellule immunitaire autour, aucune réaction. Et pour ces tumeurs froides, l’immunothérapie classique ne sert à rien et c’est un cauchemar à combattre.

De leur côté, les vaccins mRNA COVID agissent comme une alarme incendie pour le système immunitaire. Quand vous recevez votre dose de Pfizer ou Moderna, votre corps produit un tsunami d’interféron de type I. C’est une molécule de signal qui met tout le système immunitaire en alerte rouge : Les cellules présentatrices d’antigènes se réveillent, les lymphocytes T se multiplient, et tout le monde passe en mode combat !

Et cette activation généralisée, elle ne se limite pas au virus COVID puisque le système immunitaire en profite pour scanner TOUT ce qui traîne, y compris les cellules cancéreuses qui jusque-là passaient inaperçues. Les tumeurs froides deviennent alors chaudes et se mettent à exprimer du PD-L1 pour tenter de se protéger. Et c’est justement à ce moment-là que les inhibiteurs de checkpoint entrent en jeu et bloquent cette défense.

Les chercheurs ont donc testé ça sur des modèles animaux pour comprendre le mécanisme exact et ont confirmé que le vaccin seul ne suffit pas. Il faut la combinaison vaccin mRNA + immunothérapie pour obtenir l’effet maximal. L’un réveille le système immunitaire, l’autre maintient l’attaque active contre la tumeur.

Le plus fou dans cette histoire, c’est que personne ne cherchait cet effet. Élias Sayour, l’un des chercheurs principaux à l’origine de cette découverte, bossait déjà sur des vaccins mRNA anti-cancer personnalisés depuis 2016 et avait remarqué que les molécules d’ARN messager pouvaient entraîner le système immunitaire même sans cibler des antigènes tumoraux spécifiques. Mais de là à imaginer que les vaccins COVID développés en urgence pour une pandémie auraient ce pouvoir contre le cancer, personne ne l’avait anticipé.

D’ailleurs, il y a eu quelques cas rapportés dans la littérature médicale de patients dont les tumeurs ont spontanément régressé après une vaccination COVID et à l’époque, tout le monde trouvait ça anecdotique… peut-être des coïncidences. Mais avec cette étude portant sur plus de 1000 patients et contrôlant 39 variables différentes (stade du cancer, traitements antérieurs, comorbidités, etc.), c’est difficile de parler de hasard.

Cinq fois plus de chances d’être en vie trois ans après le diagnostic, juste en ajoutant un vaccin qu’on a déjà sous la main et qui a été administré à des milliards de personnes, c’est pas rien.

Maintenant, avant de crier au miracle, quelques précisions importantes quand même. Cette étude est observationnelle, et ce n’est pas un essai clinique randomisé. Ça veut dire que les chercheurs ont analysé des données existantes, et n’ont pas assigné aléatoirement les patients à un groupe ou l’autre. Il pourrait donc y avoir des biais cachés. Par exemple, les patients qui ont choisi de se faire vacciner pendant leur traitement cancer sont peut-être aussi ceux qui suivent mieux leurs protocoles de soin en général ?

Mais les chercheurs ont anticipé cette critique et ont utilisé des techniques statistiques avancées pour éliminer un maximum de facteurs confondants et même avec ça, le signal reste fort. Assez fort en tout cas pour justifier de passer à l’étape d’un vrai essai clinique prospectif.

L’équipe lance donc un essai à grande échelle sur des patients atteints de cancer du poumon, avec 2 groupes : un qui reçoit l’immunothérapie standard, l’autre qui reçoit immunothérapie + vaccin mRNA COVID. Si les résultats confirment ce qu’ils ont observé, on pourrait alors voir les protocoles de traitement évoluer très rapidement.

Et contrairement aux vaccins anti-cancer personnalisés qui nécessitent d’analyser la tumeur de chaque patient pour créer un vaccin sur mesure (c’est cher et complexe…), les vaccins COVID eux sont déjà produits en masse, approuvés, dispo partout, et relativement peu chers.

On savait que non seulement ces vaccins COVID ne causaient pas de cancer mais découvrir qu’en plus ils pourraient bien devenir un outil standard pour TRAITER le cancer, c’est turbo-marrant je trouve… La science nous réserve toujours des surprises, et c’est pour ça qu’elle me passionne !

Si ça vous dit, l’étude a été publiée dans Nature, et vous pouvez la lire en intégralité ici si vous voulez rentrer dans les détails statistiques et biologiques.

Delphi-2M - L'IA qui prédit les maladies que vous aurez dans quelques années

Par : Korben
20 septembre 2025 à 05:42

Hakuna Matata les amis ! Pas de soucis, pas de stress, pas d’angoisse sur ce qui va arriver, on prend la vie comme elle vient sans inquiétude…

Pas vrai ?

Et bien, Hakuna Matata va se prendre un coup dans la gueule car des chercheurs européens ont créé Delphi-2M, une IA qui peut vous dire exactement quelles maladies vous allez développer dans les 20 prochaines années. C’est donc un modèle GPT modifié (oui, comme ChatGPT, mais en blouse blanche) qui analyse vos données médicales, votre âge, sexe, IMC et habitudes de vie pour prédire l’arrivée ou non de 1258 maladies différentes dans votre life.

Les chercheurs de l’EMBL, du Centre allemand de recherche sur le cancer et de l’Université de Copenhague sont derrière cette petite merveille et ils ont entraîné leur outil sur 400 000 participants de la UK Biobank et validé que ça fonctionnait bien sur 1,9 millions de Danois.

Et vous vous en doutez, Delphi-2M ne fait pas que prédire… Non non, cette IA génère littéralement des “trajectoires de santé synthétiques”. En gros, elle crée des versions virtuelles de vous qui vivent des vies parallèles avec différentes maladies, un peu comme un multivers médical personnel.

L’outil peut ainsi générer des millions de ces vies synthétiques, créant des données médicales qui n’ont jamais existé mais qui sont statistiquement cohérentes.

Le nom Delphi-2M n’est pas non plus anodin. C’est en clin d’oeil à l’oracle de Delphes dans la Grèce antique qui donnait des prophéties ambiguës qui se réalisaient toujours, peu importe l’interprétation. Et là, cette IA fait pareil puisqu’elle ne vous donne pas UN futur, mais une probabilité statistique basée sur des patterns.

Delphi-2M fonctionnerait particulièrement bien pour les maladies qui suivent des schémas prévisibles, comme certains cancers, par contre, elle ne capture que la première occurrence d’une maladie. Donc si vous avez un cancer, puis une rémission, puis une récidive, l’IA ne voit que le premier épisode.

Truc marrant (ou pas), l’IA a également été entrainée sur des données de personnes dont certaines sont mortes depuis le recrutement initial en 2006-2010. Elle ressuscite donc numériquement ces gens pour créer des vies plus longues que les vraies et ainsi, ces morts virtuels qui vivent plus longtemps que quand ils étaient vivants, servent à prédire l’avenir des vivants actuels. Si ça c’est pas de la science-fiction…

Après, à vous de voir si vous voulez savoir ou pas… D’un côté, savoir qu’on a 73% de chances de développer un cancer du poumon dans 15 ans pourrait pousser à arrêter de fumer mais de l’autre, vivre avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête pendant 15 ans, merci mais non merci.

Et comme Delphi-2M est capable de générer de travailler à partir de données synthétiques, les chercheurs l’ont aussi transformé en usine à épidémies virtuelles. Ils peuvent ainsi créer des scénarios de santé publique impossibles à tester dans la réalité du genre, “et si tout le monde fumait 3 paquets par jour pendant 10 ans ?” ou “que se passerait-il si on combinait obésité et alcoolisme sur 20 ans ?”. C’est un labo virtuel infini pour tester des tonnes d’hypothèses médicales sans tuer personne (enfin, sauf virtuellement).

Par contre, petite précision importante, les données UK Biobank surreprésentent les personnes blanches, âgées et en bonne santé. Les enfants et adolescents sont par exemple quasi absents. Du coup, si vous êtes jeune, non-blanc ou pas britannique, les prédictions de Delphi-2M seront beaucoup moins fiables…

Delphi-2M n’est de toute façon pas encore prête pour une utilisation clinique. C’est plus un outil de recherche qu’un Nostradamus médical mais j’imagine que dans quelques années, quand on ira chez le médecin, il lancera Delphi-jesaispascombien, et il vous sort : “Bon, vous allez avoir de l’arthrite en 2043, un AVC en 2051, et mourir d’un cancer du pancréas en 2063. Des questions ?

Ça fait flipper non ?

Non, moi ce qui me fait vraiment flipper c’est quand les assurances santé mettront la main dessus. “Ah, Delphi dit que vous avez 82% de chances de développer du diabète ? Ça fera 500€ de plus par mois, merci” ou pire, votre employeur : “Désolé, on ne peut pas vous embaucher, l’IA dit que vous serez en arrêt maladie dans 3 ans”.

Bref, Delphi-2M c’est impressionnant techniquement, mais également un poil flippant… A-t-on vraiment envie de connaître notre avenir médical ?

Moi oui, mais ce n’est peut-être pas le cas de tout le monde.

Allez, Hakuna Matata les copains !

This Soap Fights Skin Cancer: And A 14-Year Old Invented It

Par : Sarang Sheth
19 septembre 2025 à 22:30

Innovation sometimes comes from the most unexpected sources, and nothing proves this better than the groundbreaking work of Heman Bekele. This 14-year-old wunderkind from Virginia has developed something that seasoned scientists and pharmaceutical companies haven’t quite cracked: an affordable soap that could potentially treat and prevent skin cancer. What makes his invention so revolutionary isn’t just the concept but the elegant simplicity behind it, combining basic chemistry with sophisticated drug delivery systems in a way that makes you wonder why nobody thought of it before.

The scientific community has certainly taken notice. Bekele’s Skin Cancer Treating Soap (SCTS) earned him the 3M Young Scientist Challenge award with a $25,000 prize, landed him on TIME magazine’s cover as their 2024 Kid of the Year, and most recently secured him the Gloria Barron Prize for Young Heroes with another $10,000 to support his research. Not bad for someone who still has to balance lab work with high school homework and marching band practice.

Designer: Heman Bekele

Bekele’s innovation journey started with his childhood observations in Ethiopia, where he witnessed countless people working long hours under the scorching sun without protective clothing or sunscreen. After his family moved to the United States, he connected these memories with what he learned about skin cancer risks and treatment disparities. The standard treatment, imiquimod cream, costs a staggering $40,000, putting it far beyond reach for most people globally. His brilliant insight? Create a vehicle that costs pennies but delivers the same active ingredient.

The technical genius of Bekele’s soap lies in its use of lipid nanoparticles that encapsulate imiquimod, an FDA-approved compound that activates immune cells to fight cancer. When users wash with the soap, the lipid nanoparticles adhere to the skin at a molecular level, remaining behind after rinsing to deliver the cancer-fighting drug. This solves the primary challenge of topical medications, keeping the active ingredient in contact with the skin long enough to be effective while bringing the cost down to under $9 per bar.

Currently, Bekele is collaborating with molecular biologist Vito Rebecca at Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health, running tests on mice injected with skin cancer cells. The research is showing promise, though there’s still significant work ahead. The scientific process requires patience; patenting, clinical trials, and FDA approval could take up to a decade.

The potential impact stretches far beyond just another cancer treatment. If successful, this technology could revolutionize drug delivery systems broadly, making treatments more accessible worldwide, particularly in regions with limited healthcare infrastructure. The concept could potentially extend to other skin conditions or even preventative applications.

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Luminate Lily helps reduce chemotherapy-induced hair loss

Par : Ida Torres
16 septembre 2025 à 10:07

Luminate, a healthcare company focused on at‑home solutions for cancer patients, has introduced Lily. It’s a wearable device that uses gentle scalp compression to lessen hair loss caused by chemotherapy. The technology is built into a discreet, helmet‑like structure that can be worn at home or in a clinic, offering patients a sense of control over one of the most emotionally challenging side effects of treatment. Research shows that fear of losing hair can discourage some individuals from starting or completing therapy, making Lily’s approach both medically and psychologically valuable.

The design work was commissioned to BLOND, a studio known for blending functionality with aesthetic appeal. Their task went beyond polishing the device’s appearance; they also created a soft, recyclable PET‑felt carry case and refined the user experience to feel intuitive and dignified. The result is a product that looks more like a lifestyle accessory than a piece of clinical equipment, helping users feel comfortable wearing it in public and even proud to own it.

Designer: BLOND Ltd

Key to Lily’s success is its inclusive design. The helmet is lightweight and softly contoured to accommodate a wide variety of head shapes. Adjustable Velcro straps, which magnetically reattach, make fitting quick and easy, while a removable antimicrobial chin strap ensures hygiene. A subtle capacitive touch interface lets users start or stop treatment without fiddling with buttons, and discreet orientation markers guide correct placement. All of these features were tested through multiple prototypes, each iteration improving comfort, fit, and usability while meeting strict regulatory standards for medical devices.

Beyond the hardware, Lily’s carry case reflects the same thoughtful approach. Made from soft, recycled PET felt, the case protects the device and adds a touch of elegance, reinforcing the idea that medical tools can be both functional and beautiful. This attention to material sensitivity aligns with Luminate’s broader mission to reduce side effects through at‑home solutions that fit seamlessly into daily life. By drawing inspiration from everyday objects, the team ensured Lily feels less clinical and more personal, turning a therapeutic aid into an empowering accessory.

For patients, Lily offers more than a reduction in hair loss; it provides a psychological boost that can improve adherence to chemotherapy regimens. For healthcare providers, the device adds a non‑invasive option that can be prescribed alongside standard treatments, expanding the toolkit for managing side effects. As the healthcare industry continues to prioritize patient‑centered care, innovations like Lily demonstrate how design and technology can work together to make cancer treatment less daunting.

The Luminate Lily device combines cutting‑edge medical engineering with thoughtful, lifestyle‑led design. Its lightweight, discreet form, user‑friendly interface, and elegant carry case create a holistic solution that addresses both the physical and emotional challenges of chemotherapy‑induced hair loss, helping patients feel more in control and confident throughout their treatment journey.

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