Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
Aujourd’hui — 14 décembre 2025Flux principal

New Apple Leak: Studio Display 2 May Match MacBook Pro Screen Tech

12 décembre 2025 à 16:58

A new Apple leak suggests the next Studio Display could add HDR, 120Hz ProMotion, and a faster A19 chip, signaling a major upgrade for pro Mac users.

The post New Apple Leak: Studio Display 2 May Match MacBook Pro Screen Tech appeared first on TechRepublic.

Do Kwon Gets 15 Years for $40B Terra Luna Crypto Fraud

12 décembre 2025 à 14:39

Behind the scenes, he had struck deals with trading firms to artificially prop up prices, creating what experts later called "a glorified pyramid scheme."

The post Do Kwon Gets 15 Years for $40B Terra Luna Crypto Fraud appeared first on TechRepublic.

À partir d’avant-hierFlux principal

Mon test des routeurs TP-Link Deco BE68

Par : Korben
1 décembre 2025 à 15:42
– Article en partenariat avec TP-Link –

Vous vous souvenez de mon test du Deco BE65-5G avec son modem 5G intégré ? Hé bien, TP-Link m’a envoyé un autre joujou à tester, et cette fois c’est le pack de trois Deco BE68 , aussi connu sous le nom BE14000. Et je vais être honnête avec vous, ce truc a résolu un problème que je traînais depuis des mois à savoir une petite zone morte dans ma salle à manger où le Wi-Fi ramait comme un escargot asthmatique.

Pour ceux qui découvrent la gamme Deco, c’est le système mesh de TP-Link qui permet de couvrir toute une baraque avec un seul réseau Wi-Fi. Vous posez plusieurs bornes dans la maison, elles communiquent entre elles, et vous avez du réseau partout sans avoir à jongler entre différents SSID. Le BE68, c’est donc la version Wi-Fi 7 tri-bande qui promet jusqu’à 14 Gbps de débit combiné. C’est complètement délirant sur le papier, et évidemment personne n’atteindra jamais ça dans la vraie vie, mais ça donne une idée de la puissance du bouzin.

Côté specs, on a 8 647 Mbps sur la bande 6 GHz, 4 324 Mbps sur le 5 GHz, et 688 Mbps sur le 2.4 GHz. Chaque borne est équipée d’un port 10 Gbps (oui, 10 Gbps sur chaque noeud, pas juste sur le principal), d’un port 2.5 Gbps, d’un port Gigabit et d’un USB 3.0. 10 Gbps sur chaque satellite, c’est d’ailleurs l’un des gros avantages de ce modèle.

L’installation, comme d’hab avec les Deco, c’est d’une simplicité enfantine. On lance l’app sur le smartphone, on scanne le QR code, on attend que ça se configure, et c’est fini. J’ai posé une borne dans mon local technique (branchée sur ma box fibre), une dans le salon, et une dans la salle à manger, le tout en moins de 15 minutes, sans avoir à toucher une ligne de configuration. Pour les bidouilleurs qui veulent accéder aux réglages via un navigateur web, par contre, c’est toujours mort puisque tout passe par l’app mobile, ce qui peut frustrer les barbus que nous sommes ❤️.

Mais parlons de ce qui m’intéressait vraiment avec ces routeurs, à savoir ma fameuse salle à manger maudite. C’est une pièce avec des murs épais, coincée entre deux autres pièces, et jusqu’ici aucun de mes routeurs n’arrivait à y envoyer un signal correct.

Avec le pack de trois BE68, le problème a disparu puisque j’ai maintenant du 400-500 Mbps stable dans cette pièce, sans déconnexion. La différence, c’est le Wi-Fi 7 et son MLO (Multi-Link Operation) qui permet à chaque appareil de se connecter simultanément sur plusieurs bandes.

D’ailleurs, le backhaul combiné filaire + sans fil, c’est vraiment le game changer de ce modèle puisque grâce à la techno maison de TP-Link, les Deco BE68 peuvent utiliser à la fois le câble Ethernet et le Wi-Fi pour communiquer entre eux simultanément. Du coup, même si vous ne câblez qu’une partie de vos satellites, le système optimise automatiquement les flux.

Le pack de trois couvre dans les 700-750 m² et peut gérer jusqu’à 200 appareils simultanément. Chez moi, avec la cinquantaine de bidules connectés (ampoules, caméras, smartphones, ordis, consoles, aspirateur robot, et j’en passe), ça ne bronche pas et le système AI-Driven Mesh gère intelligemment les transitions quand on se balade dans la maison. Comme ça, j’ai pas les micro-coupures quand je passe d’une pièce à l’autre avec mon ordi portable.

Et côté tarif, on est sur du 800-900 euros pour le pack de 3. C’est pas donné, c’est clair mais quand on compare aux autres systèmes mesh Wi-Fi 7 du marché, c’est plutôt compétitif. Et avec du 10 Gbps sur chaque nœud, vous êtes tranquille pour les dix prochaines années niveau évolutivité réseau.

Les fonctions de sécurité HomeShield sont bien sûr toujours là : antivirus intégré, contrôle parental, QoS pour prioriser le gaming ou le streaming, support VPN client (OpenVPN, WireGuard), et la possibilité de créer un réseau IoT séparé en WPA3. Du classique TP-Link, bien foutu et suffisant pour 90% des usages sans avoir à payer l’abonnement Pro.

Bref, après 2 semaines d’utilisation, je suis conquis puisque ces Deco BE68 font exactement ce qu’on leur demande . C’est à dire couvrir toute la baraque en Wi-Fi 7 sans se prendre la tête. Alors si comme moi, vous avez des zones mortes chez vous ou que votre système mesh actuel commence à montrer ses limites avec tous vos appareils connectés, c’est clairement un excellent choix. Par contre, si vous cherchez un modem 5G intégré comme sur le BE65-5G, c’est pas le bon modèle.

En tout cas, j’ai enfin du Wi-Fi qui marche bien dans ma salle à manger, et ça, ça n’a pas de prix (enfin si, environ 800 balles, mais vous m’avez compris) !

Test du Roborock Saros 10R : j’ai craqué pour l’aspirateur robot de l’espace...

Par : Korben
30 novembre 2025 à 09:09
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Il y a des aspirateurs robots sont là pour facilierun peu le quotidien, et puis il y a le Roborock Saros 10R , qui donne l’impression d’avoir engagé un petit employé silencieux à domicile. Mon aspirateur robot à 300 balles de chez Eufy avait tendance à faire n’importe quoi (alors qu’il était neuf), je l’ai donc renvoyé, et j’ai craqué sur ce monstre à cause d’une promotion Black Friday (850 € au lieu des 1 280 € habituels) , est c’est assez fou tout ce que peut faire un aspirateur robot de nos jours. Précisons que c’est un aspirateur qui nettoie aussi le sol, et qui le fait bien.

Le Saros 10R est déjà très surprenant par son design. Roborock a totalement supprimé la traditionnelle tourelle LIDAR pour intégrer la technologie StarSight 2.0, un système de cartographie et d’évitement basé sur trois LIDAR  répartis sur le corps du robot, avec une caméra RVB frontale. Résultat : un robot extrêmement bas, moins de 8cm. Dans les faits, il passe sous les meubles où la poussière pensait être tranquille pour la décennie à venir. Et surtout, cette nouvelle approche de la navigation lui permet d’anticiper les obstacles, d’éviter les câbles et d’analyser les formes pour contourner sans jamais cogner. Sous les pieds de chaises, il se faufile comme s’il connaissait le plan par cœur.

Et ça fonctionne ! C’est le premier aspirateur robot qui n’a aucun problème à contourner les câbles, même les plus fins, et à ne pas paniquer pour se faufiler entre plein de pieds de chaise.

Côté nettoyage, Roborock mise sur son nouveau duo de brosses censées éliminer les emmêlements. Et en utilisation réelle, c’est très efficace : les poils ne s’enroulent pas autour de la brosse principale, et la brosse latérale extensible récupère ce qui traîne dans les coins. Sur sol dur, le Saros 10R offre une aspiration très puissante, avec un passage souvent suffisant pour retrouver un sol impeccable. Sur tapis, il s’en sort aussi très bien, et il n’hésite pas à faire un deuxième passage si besoin. L’intelligence embarquée permet aussi de lever automatiquement les serpillières dès qu’il détecte un tapis. Pour tout vous dire c’est ce point qui m’a fait craquer, parce que j’ai beaucoup de tapis chez moi, et effectivement, quand il nettoie le sol à l’eau, il arrive à ne pas les mouiller DU TOUT.

Le robot impressionne également par son système qui ajuste indépendamment les trois roues pour franchir les seuils jusqu’à 4 cm. Chez moi, là où mon Eufy restait bloqué sans raison apparente, le Saros 10R continue simplement son chemin. C’est tout bête, mais ça change l’expérience d’usage : un robot qui ne nécessite pas votre aide toutes les 5 minutes est un robot que l’on garde.

La pièce maîtresse de cet appareil c’est sa station 4.0, probablement ce qui se fait de plus avancé aujourd’hui. Une fois le robot retourné à sa base, celle-ci vide complètement le bac à poussière, lave les serpillières avec de l’eau chaude, les sèche à 55°C, remplit automatiquement le réservoir d’eau propre, distribue le détergent (facultatif, vous pouvez rester à l’eau) et procède même à un nettoyage interne. En clair, c’est l’un des rares appareils que l’on peut réellement qualifier de “sans entretien”, avec une intervention humaine presque inexistante d’une semaine à l’autre.

L’intégration à la maison connectée est excellente. On peut lui parler avec la commande “hello rocky”, mais il se pilote aussi via Alexa, Google Assistant, Siri, et même via Matter. L’application Roborock reste l’une des plus claires du marché : cartographie ultra détaillée, zones interdites, programmation précise, tout y est, et sans jamais se perdre dans des menus compliqués. L’autonomie de plus de 3 heures permet de couvrir de grands espaces d’un seul trait.

Au final, le Saros 10R coche toutes les cases du robot ultra premium : intelligent, puissant, silencieux, autonome et capable de se débrouiller seul dans une maison moderne remplie d’obstacles. À son prix d’origine de 1 280 €, c’est clairement un produit de luxe, efficace mais difficile à recommander (sauf si vous êtes franchement blindé). À 850 €, en revanche, ça se considère déjà un peu plus pour réduire votre charge mentale liée au ménage. Dispo ici sur Amazon, et pensez à cocher le coupon !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

La montre Pebble est de retour - Mais ça part en vrille

Par : Korben
29 novembre 2025 à 06:06

Je ne suis pas très montre. Je n’en porte pas, je n’en possède pas… Ce temps qui passe c’est l’angoisse mais je me souviens très bien des montres Pebble qui avec leur écran e-ink tenaient des semaines sur une charge et qui ont carrément démocratisé le concept de smartwatch grand public dès 2012.

Hé bien good news, le fondateur Eric Migicovsky a décidé de les ressusciter sauf que c’est en train de tourner au vinaigre avec les bénévoles qui ont maintenu l’écosystème durant 9 ans.

Pour ceux qui ont raté tout le feuilleton, après la faillite de Pebble en 2016 et le rachat par Fitbit (puis Google), une communauté de passionnés appelée Rebble s’est formée pour sauver les meubles. Ils ont récupéré les données de l’App Store, monté une infrastructure de serveurs, financé des développements… Bref, ils ont maintenu en vie un écosystème que tout le monde avait abandonné.

Puis en janvier 2025, Google a ouvert le code source de PebbleOS et Migicovsky a sauté sur l’occasion et a lancé sa boîte Core Devices en mars pour vendre de nouvelles montres Pebble : La Pebble 2 Duo à 149$ et la Pebble Time 2 à 225$. D’ailleurs, 70% des premières unités ont déjà été livrées. Bref, jusque là, tout va bien.

Sauf que Rebble accuse maintenant Core Devices de piller leur travail sans compensation. Selon ce qu’ils racontent leur blog , Migicovsky aurait “scrapé leurs serveurs” le jour même où il devait les rencontrer pour discuter partenariat. Rebble affirme avoir investi des centaines de milliers de dollars pour maintenir l’App Store et les services backend… et Core voudrait un accès illimité à tout ça pour potentiellement créer un App Store concurrent propriétaire.

La bibliothèque mobile libpebble3 utilisée par l’app Core Devices s’appuie notamment sur du code que Rebble a financé via son programme de subventions. Et c’est pareil pour le portage Bluetooth open source vers PebbleOS puisque c’est Rebble qui a payé les devs. Et bien sûr quand ils demandent un engagement écrit que Core ne créera pas un store concurrent… C’est silence radio.

Migicovsky a ensuite répondu sur son blog perso histoire de se justifier. Il nie tout vol et affirme que 90% du code de libpebble3 a été écrit par Core Devices, et pas par la communauté. Et pour le scraping, il explique qu’il construisait juste une petite webapp pour afficher ses watchfaces préférées et que ça n’a rien téléchargé de substantiel.

Et il contre-attaque en accusant Rebble de vouloir créer un pré-carré bien verrouillé emprisonnant les 13 000 et quelques applications que des développeurs indépendants ont créées. Rebble revendiquerait 100% des données de l’App Store alors qu’ils ne sont que l’hébergeur…

Alors qui croire ? Difficile à dire mais la bonne nouvelle c’est que Core Devices a ouvert les schémas électriques et mécaniques de la Pebble 2 Duo sur GitHub et bientôt, l’installation d’apps se fera via un système de feeds multiples, un peu comme les gestionnaires de paquets open source. Chacun pourra alors choisir son store.

Reste à savoir si les deux camps arriveront à s’entendre puisque Rebble a apparemment fait marche arrière sur certaines revendications, notamment sur la propriété du contenu hébergé. Mais le climat de confiance est sérieusement entamé et pour la communauté qui a bossé durement et gratos pendant 9 ans pour sauver tout écosystème… c’est sûr que ça fait mal de voir le fondateur original débarquer et se servir OKLM.

Après pour ceux d’entre vous qui ont une Pebble ou qui lorgnent sur les nouvelles, surveillez le subreddit r/pebble et le Discord Rebble car c’est là que tout ça se passe.

Source

Telehack - Replongez dans l'Internet de 1985

Par : Korben
28 novembre 2025 à 15:03

Quand je revoie des films comme WarGames ou Hackers, je me rends compte que je suis un poil nostalgique de ces écrans noirs avec du texte vert, des modems qui crapotent, et de la magie des connexions longue distance sur des réseaux qui tenaient avec du scotch et des prières… Hé bien cool pour moi (et pour vous, si vous avez la même pathologie de moi) y’a un taré des Internet qui a recréé tout ça, et c’est jouable directement dans votre navigateur.

Ça s’appelle Telehack , et c’est une simulation complète de l’ARPANET et d’Usenet tels qu’ils existaient entre 1985 et 1990. Le site propose 26 600 hôtes virtuels, des milliers de fichiers d’époque, des jeux d’aventure textuels, un interpréteur BASIC fonctionnel et même des utilisateurs historiques reconstitués à partir de vraies archives. Le créateur, connu uniquement sous le pseudo “Forbin” (une ref au film “Le Cerveau d’acier” de 1970), a vraiment pondu un truc de dingue que vous devez tester absolument !

Le plus beau dans tout ça, c’est que vous pouvez vous y connecter comme à l’époque. En telnet sur les ports 13, 1337 ou 8080, en SSH sur le port 2222, et même… avec un vrai numéro de téléphone américain (+1 213 835-3422) accessible en modem analogique 14,4 kbps. Pour les nostalgiques du grésillement, c’est du bonheur.

Une fois connecté, vous vous retrouvez donc avec une invite de commande minimaliste. Tapez ensuite netstat pour voir la liste des hôtes accessibles, puis telnet pour vous connecter à un système distant, ou dial pour composer des numéros de téléphone virtuels comme un vrai phreaker des années 80. Y’a même des outils de hacking d’époque comme wardial.exe et porthack.exe pour progresser dans le jeu et débloquer de nouveaux systèmes.

Côté contenu, c’est également un vrain musée vivant. Toutes les archives Usenet intégrées proviennent de la collection d’Henry Spencer, un type de l’Université de Toronto qui a sauvegardé plus de 2 millions de messages entre 1981 et 1991 sur 141 bandes magnétiques récupérées de justesse avant d’aller à la poubelle.

Ces messages sont les plus anciens posts Usenet encore existants, et vous pouvez donc les lire directement dans Telehack. C’est pas ouf ça ?

Pour les amateurs de jeux, y’a Zork , Adventure et tout un tas de jeux en Z-code jouables directement. L’interpréteur BASIC inclus permet également d’exécuter des centaines de programmes historiques et si vous aimez Star Wars en ASCII , le film complet en animation texte est disponible.

D’ailleurs, la simulation au sein de Telehack va assez loin dans le réalisme puisque comme je vous le disais, les utilisateurs historiques sont reconstitués à partir de vraies archives UUCP de l’époque. Vous pouvez faire un finger @host sur n’importe quel système pour voir qui est “connecté”. Les mots de passe des systèmes sont volontairement faibles (secret, love, trustno1…) comme c’était le cas à l’époque et le côté hacking vous fera gagner des badges (HACK5, HACK10, HACKER) au fur et à mesure que vous compromettez des systèmes.

Telehack est passé à ce jour d’un petit projet en 2010 à une communauté de plus de 50 000 utilisateurs et vu la qualité du truc, c’est mérité. Pour ceux qui ont connu cette époque ou ceux qui veulent comprendre comment c’était avant le web, c’est une expérience unique, les amis !

Pour y accéder : telehack.com dans votre navigateur, ou telnet telehack.com si vous voulez faire les choses proprement. Enjoy !

L'Esport sur Excel existe et des milliers de gens en sont fans !

Par : Korben
28 novembre 2025 à 10:17

Jusqu’à ce matin, je pensais que l’esport était une activité consacrée à 100% aux jeux vidéos et en fait non !! Je viens de découvrir qu’il y a des mecs qui font des compétitions de tableurs Excel à Las Vegas, devant des centaines de spectateurs en IRL et des 60 000 personnes sur YouTube, avec diffusion sur ESPN et une même une ceinture de champion façon catch à remporter !

Bienvenue dans le monde merveilleux du Microsoft Excel World Championship.

Screenshot

Ce truc existe depuis une douzaine d’années, mais ça a vraiment décollé en 2021 quand le Financial Modeling World Cup s’est associé avec Microsoft pour créer un format plus spectaculaire. Parce que regarder des gens faire de la modélisation financière pendant des heures… Disons que c’est pas le contenu Twitch le plus palpitant. Du coup ils ont totalement gamifié le truc !

Et c’est en décembre 2024 que s’est tenue la finale au HyperX Arena de Las Vegas avec un prize pool de 60 000 dollars avec comme grand gagnant Michael Jarman, un Canadien de Toronto qui bosse comme directeur de modélisation financière chez Operis. Le mec a détrôné Andrew Ngai, surnommé “The Annihilator”, qui avait remporté les trois éditions précédentes.

D’ailleurs, le thème de la finale 2024 c’était World of Warcraft et les participants devaient tracker des stats comme l’XP, l’or et les capacités de leur équipe jusqu’au raid final de Molten Core… Le tout dans Excel évidemment. Et les années précédentes, y’a eu des thèmes détective, du Scrabble, des jeux de cartes type poker, et même du décodage. Ça a l’air trop fun !

Le format de la compétition se veut brutal avec 30 minutes par round, des problèmes logiques de plus en plus complexes, et toutes les 5 minutes le dernier du classement dégage. Y’a aussi des questions bonus risquées pour gratter des points supplémentaires et tout ça avec un public de fans hystériques qui beuglent autour des candidats. Bref, mentalement, c’est épuisant !

Pour se qualifier, les joueurs peuvent participer à une série de 10 battles mensuelles appelée “Road to Las Vegas” qui s’étend de janvier à octobre et si vous accumulez assez de points, vous décrochez votre ticket pour la finale.

La prochaine finale aura lieu du 1er au 3 décembre, donc si ça vous chauffe, toutes les infos sont ici !

Alors oui, y’a pas encore d’esport pour les blogueurs, snif, (quoique, un concours de vitesse de frappe avec des fautes d’orthographe obligatoires, ça pourrait le faire) mais si jamais vous êtes du genre à kiffer les problèmes logiques et les tableurs, le MEWC recrute alors foncez !

Black Friday Spending Hit $11.7B in US, Adobe Says

1 décembre 2025 à 16:44

From the rapid ascent of mobile commerce to the expanding influence of AI on product discovery, the data shows a marketplace undergoing rapid modernization.

The post Black Friday Spending Hit $11.7B in US, Adobe Says appeared first on TechRepublic.

EU Reaches Landmark Deal to Curb Online Payment Fraud

28 novembre 2025 à 12:50

The accord covers two major legislative texts: the Payment Services Regulation (PSR) and the Third Payment Services Directive (PSD3).

The post EU Reaches Landmark Deal to Curb Online Payment Fraud appeared first on TechRepublic.

Itoa - Pour convertir une image en ASCII Art

Par : Korben
19 novembre 2025 à 08:16

Vous avez un iPhone qui prend des photos 48 mégapixels, un écran Retina qui affiche 254 pixels par pouce, et des GPU qui font tourner des jeux en 4K mais ce que vous n’avez pas c’est Itoa , un outil web qui fait exactement l’inverse puisqu’il transforme vos images haute-définition en une grille de caractères ASCII monochrome / couleur de 10 symboles maximum (Par exemple : .:-=+*#%@).

Car l’ASCII art, c’est littéralement la mise à mort volontaire de l’image. Vous prenez quelque chose qui a besoin de millions de pixels pour exister et vous le réduisez à une poignée de caractères typographiques et en 2025, ça continue !

Sur que itoa (ça veut dire “image to ascii art”, au fait) fait ça très bien ! C’est donc, vous l’aurez compris, un convertisseur image-vers-ASCII codé en React et Vite qui tourne directement dans votre navigateur. Vous glissez dessus une image JPG, PNG ou GIF, et hop, l’outil vous la transforme en grille de caractères.

Deux modes sont dispo : monochrome pur et dur, ou couleur où chaque caractère hérite de la teinte du pixel d’origine. Vous pouvez aussi contrôler la taille de sortie (petit, moyen, grand) et exporter le résultat en PNG si vous voulez le partager ou l’imprimer.

Techniquement, itoa utilise l’API Canvas HTML5 pour analyser votre image. Ensuite, l’image est redimensionnée en gardant son ratio, puis chaque pixel est analysé. Pour le mode monochrome, l’algorithme calcule la luminance et ensuite l’outil mappe la valeur sur une échelle de caractères allant du plus clair (.) au plus foncé (@). Et pour le mode couleur, chaque pixel conserve sa couleur RGB d’origine via des balises HTML.

Bien sûr, itoa n’est pas le seul convertisseur ASCII du monde. Y’a pas exemple ManyTools.org qui fait le job depuis des années, Folge.me avec son interface moderne et ses options couleur, ou encore ASCII-Art-Generator.org qui peut exporter en SVG.

Bref, si vous aimez la nostalgie tech ou si vous voulez illustrer des .txt, c’est l’outil qu’il vous faut !

A découvrir ici !

C'était le dernier mystère de Splinter Cell

Par : Korben
18 novembre 2025 à 14:04

L’expert en sécurité Lander, a passé des semaines à cracker le format .lin de Splinter Cell sur la Xbox originale. C’est un format de fichier qui est resté mystérieux pendant deux décennies et c’est pas parce qu’il était ultra-sécurisé ou chiffré de fou.

Non, c’est juste parce qu’il était optimisé pour du matos obsolète !

En effet, les fichiers .lin, c’est le format utilisé par la version Xbox de Splinter Cell pour stocker tous les assets du jeu. Ce sont des archives compressées en zlib contenant des packages Unreal Engine 2, sauf que contrairement aux formats classiques que vous pouvez ouvrir tranquille avec n’importe quel outil d’extraction, ceux-là résistaient à tout depuis +20 ans. Hé oui, durant toutes ces années, la communauté modding essayait de les décoder mais sans succès…

On pensait que le problème venait du chiffrement mais en fait, pas du tout ! Le problème c’est que ce format était juste conçu d’une manière totalement inadaptée aux outils modernes. C’est ce que Lander appelle dans son article un “non-seekable format with lazy loading and interleaved exports”. En gros, vous pouviez pas juste pointer sur un offset et lire le fichier car tout était entrelacé, chargé à la demande, et optimisé pour la RAM limitée de la Xbox originale.

Du coup, impossible d’utiliser les extracteurs classiques d’archives UE2. La seule solution qu’il restait c’était donc de comprendre exactement comment le jeu chargeait ces fichiers en mémoire sur la console d’origine.

Lander a alors sorti l’artillerie lourde. D’abord l’émulateur xemu pour faire tourner la Xbox sur PC et ensuite il a posé des breakpoints mémoire pour capturer le moment exact où le jeu charge un fichier .lin.

Il a ensuite sorti IDA Pro pour analyser le code assemblé du jeu et quand l’analyse statique suffisait plus, il a patché directement le binaire du jeu pour forcer certains comportements…

Et bien sûr, pour notre plus grand plaisir, il documente tout ça dans un article avec des captures d’écran d’IDA Pro et des explications sur les structures de données. Bref, c’est du bon gros reverse engineering pur et dur, à l’ancienne, avec hex editor et la patience d’un moine bouddhiste.

Lander a ainsi réussi à extraire une partie du contenu tels que les textures, certains fichiers système, des données sur les niveaux du jeu, mais surtout, il a documenté la structure complète du format. Et ça, c’est peut-être plus important que l’extraction elle-même, parce que dans 10 ans, quand un autre passionné voudra bosser sur la préservation de Splinter Cell Xbox, il aura la doc. Il comprendra pourquoi ce format était comme ça, comment ça fonctionnait, quelles étaient les contraintes hardware de l’époque et j’en passe…

Voilà, une fois encore la préservation du jeu vidéo, c’est pas juste télécharger des ROMs mais c’est aussi comprendre les architectures, documenter les formats propriétaires, et reverse engineerer le code avant que ce ne soit trop tard !

Bravo Lander !

Movies for Hackers - Quand le cinéma programme la réalité

Par : Korben
18 novembre 2025 à 12:23

En 1983, le président américain de l’époque, Ronald Reagan a vu le film WarGames lors d’un séjour à Camp David et si vous ne l’avez pas vu, sachez que ce film raconte l’histoire d’un ado qui pirate accidentellement les systèmes de défense américains et manque de déclencher la Troisième Guerre mondiale. Et une semaine après la projection, Ronald a convoqué le Comité des chefs d’état-major interarmées pour leur poser cette simple question : “Est-ce que le scénario est techniquement possible ?

Et la réponse a été, sans surprise été : “oui et c’est même bien pire”.

Alors 15 mois plus tard, Reagan signe la NSDD-145 , qui est la toute première directive présidentielle sur la cybersécurité. Dire que tout est parti d’un film de science-fiction… C’est dingue je trouve et cela illustre parfaitement ce qu’on trouve sur ce site baptisé Movies-for-hackers créé par k4m4. Il s’agit d’une archive “vivante” sur la façon dont Hollywood a façonné la culture tech / hacker durant ces 40 dernières années.

On y trouve donc des thrillers comme Hackers et Blackhat, de la SF comme Matrix et Her, des documentaires type Citizenfour, et même des séries comme Mr. Robot ou Black Mirror. Chaque entrée indique le titre, l’année, et la note IMDb.

C’est simple, clair et efficace. Maintenant si vous regardez chacun de ces films, vous verrez comment ils ont, pour pas mal d’entre eux, influencé fortement la réalité tech qu’ils prétendaient représenter.

Prenez par exemple The Social Network sorti en 2010. Avant ce film, le hacker classique c’était le mec en sweat noir à capuche dans un sous-sol. Mais après Fincher, c’est devenu le dev en hoodie gris qui crée des empires depuis son dortoir universitaire. Ce film a vraiment changé l’image du programmeur dans la tête des gens. Autre exemple, Her de Spike Jonze, sorti en 2013 raconte l’histoire d’un type qui tombe amoureux d’une intelligence artificielle dotée de personnalité et d’émotions. Le film remporte l’Oscar du meilleur scénario original et à l’époque, tout ça paraît totalement impossible. C’est de la science-fiction. Sauf que là, on est 10 ans plus tard, ChatGPT a débarqué et les gens développent maintenant des relations émotionnelles avec des chatbots.

Puis y’a Matrix aussi, sorti en 1999, et ça c’est un autre cas d’école. Le film popularise l’idée que notre réalité pourrait être une simulation. On pensait à l’époque que c’était juste du divertissement pseudo-philosophique, mais aujourd’hui, allez demander à Elon Musk, et à tous ceux qui parlent sérieusement de cette théorie où on serait tous dans une simulation…

The Island de Michael Bay sorti en 2005 est aussi l’un de mes films préférés. Le scénario tourne autour du clonage humain et du trafic d’organes. Scarlett Johansson y joue une clone destinée à être récoltée pour ses organes. En 2005, c’est totalement dystopique mais aujourd’hui, avec CRISPR et les débats sur l’édition génétique, toutes les questions éthiques soulevées par le film se retrouve dans l’actualité scientifique du monde réel.

Et je n’oublie pas non plus Mr. Robot lancé en 2015 qui mérite une mention spéciale. Tous les experts en sécurité informatique ont salué la série pour son réalisme technique, avec du vrai pentesting, des vraies vulnérabilités, des vraies techniques…etc. Et c’est aujourd’hui devenu un outil pédagogique pour toute une génération de pentesters.

Voilà, alors plutôt que de voir ce repo Github comme une simple liste de films à voir quand on aime la culture hacker, amusez-vous à raccrocher chacun d’entre eux avec le monde réel… WarGames et la cybersécurité gouvernementale, Hackers et la culture underground, Matrix et cette théorie de la simulation, Her et les relations humain-IA, The Social Network et la mythologie du fondateur tech…et j’en passe. Je pense que tous ces films ont vraiment façonné la manière dont nous pensons la tech. Cette boucle de rétroaction se poursuit car les dev actuel qui ont grandi en regardant ces films, créent aujourd’hui inconsciemment ce futur qu’ils ont vu à l’écran. Et ça c’est fou !

Bref, si vous cherchez de quoi occuper vos soirées et que vous voulez comprendre d’où vient la culture tech actuelle, Movies-for-hackers fait office de curriculum non-officiel où chaque film est une leçon d’histoire !

Merci à Lorenper pour l’info !

Test de l’ESR Geo Wallet Boost : le porte-cartes MagSafe que vous ne perdrez pas

Par : Korben
17 novembre 2025 à 16:49

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Le porte-cartes MagSafe d’ESR fait partie de ces accessoires auquel on ne s’intéresse pas vraiment au début, mais qui finissent par s’intégrer naturellement dans le quotidien. Vendu autour de 32 € lors des promotions Black Friday (ça tombe bien on est en plein dedans), il se positionne comme une alternative sérieuse aux modèles MagSafe classiques, tout en ajoutant une fonctionnalité rare dans ce segment : l’intégration directe à l’app Localiser.

Un porte-cartes connecté qui reste discret

Avec son support complet de Localiser, le wallet se comporte comme un AirTag intégré, sans accessoire supplémentaire à ajouter. Si on le laisse sur une table de café, si on le fait tomber en ville ou si on se demande simplement où il a disparu chez soi, il suffit d’émettre un son ou de consulter sa position, et c’est tellement rassurant. Niveau autonomie, une charge de 1h30 avec le câble fourni suffit pour environ trois mois d’utilisation et permet de ne pas trop y penser. 

Screenshot

Une bonne capacité dans un format compact

Contrairement à beaucoup de porte-cartes MagSafe limités à deux ou trois cartes, celui d’ESR permet d’en transporter jusqu’à cinq, ou quatre accompagnées de quelques billets. Le format reste compact, et l’ensemble ne rend pas le téléphone trop épais. L’accès aux cartes est fluide grâce à une découpe bien placée qui évite de lutter pour sortir une carte de crédit ou un badge. La protection RFID ajoute une couche de sécurité bienvenue, même si ce n’est pas ce qui motivera l’achat en premier lieu.

Une fixation magnétique plus ferme que la moyenne

Le principal défaut des wallets MagSafe basiques est leur tendance à glisser ou se décrocher au moindre mouvement. ESR améliore ce point grâce à vingt aimants N52 qui offre une fixation bien plus fiable que celle de nombreux concurrents. Sur une coque MagSafe classique, l’ensemble tient parfaitement en poche, même lorsqu’on manipule le téléphone. Ce n’est pas un accessoire qui demande de la vigilance pour éviter de le perdre, ce qui renforce l’intérêt du Localiser intégré. Le design reste sobre, bien fini, et suffisamment discret pour convenir à un usage quotidien sans attirer l’attention.

Au final, ESR propose un porte-cartes MagSafe bien pratique : une fixation solide, une capacité de rangement supérieure à la moyenne et une intégration à Localiser qui améliore la tranquillité d’esprit au quotidien. Le produit n’essaie pas d’en faire trop et s’adresse surtout à ceux qui veulent limiter ce qu’ils transportent sans sacrifier la sécurité ou la praticité. Une solution simple qui fonctionne comme prévu, ce qui est finalement ce qu’on attend d’un bon accessoire MagSafe.

Ajoutons qu’ESR propose aussi un modèle avec un petit support bien pratique pour transformer votre iPhone en réveil, toujours compatible avec Localiser.

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

❌
❌