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L'histoire de celui qui a prédit la mort de DOOM

Par : Korben
17 septembre 2025 à 09:14

Et si je vous disais qu’un mec a réussi à prédire l’avenir avec la précision d’un oracle ? Et pas une vague prédiction à la Nostradamus où on peut interpréter n’importe quoi… Non, non, une vraie prédiction scientifique du style : “Ce truc devrait crasher vers septembre 2025”. Et devinez quoi ? Ça a effectivement crashé.

L’histoire commence en 2023, quand un certain Minki décide de tester une théorie complètement barrée. Le mec lit un article technique sur le moteur de DOOM et remarque un truc bizarre : une variable qui compte les démos du jeu qui s’incrémente en permanence, y compris quand une nouvelle démo commence. Cette variable se compare constamment avec sa valeur précédente, mais elle continue de grimper, encore et encore, jusqu’à… jusqu’à quoi exactement ?

Bah justement, c’est là que ça devient intéressant car Minki sort sa calculatrice et commence à faire ses petits calculs. Il sait que selon la documentation technique de DOOM , le moteur utilise des integers 16 bits pour optimiser les performances. Traduction pour les non-geeks : les nombres ont une limite, et quand on la dépasse, c’est le drame ! Un peu comme quand vous essayez de rentrer votre gros cul dans un ascenseur bondé. Sauf qu’ici, au lieu d’un ascenseur bloqué, on a un jeu qui explose.

Donc notre ami fait ses calculs et arrive à cette conclusion : DOOM devrait crasher après environ 2 ans et demi de fonctionnement continu. Et franchement, qui penserait à vérifier un truc pareil ? La plupart d’entre nous, on lance DOOM pour se défouler 30 minutes et on passe à autre chose. Mais minki, lui, il voit plus loin.

Alors il fait quoi ? Il prend un vieux PDA (si si, ces trucs qu’on utilisait avant les smartphones), il bricole une alimentation avec des batteries 18650 et un chargeur USB branché sur son routeur, et il lance DOOM. Puis il attend. Deux ans et demi. Pour de vrai.

Pendant ce temps, vous et moi, on a changé trois fois de téléphone, bingé 47 séries Netflix, survécu à François Bayrou, vu l’IA devenir mainstream… Et Minki ? Bah lui, il avait DOOM qui tournait dans un coin de son appart…

Et le plus dingue, c’est que ça a marché exactement comme prévu. Selon le post original sur LenOwO , le jeu a crashé “seulement quelques heures après avoir passé les deux ans et demi”. Boom. Prédiction confirmée. Le mec a calculé la mort de DOOM avec une précision chirurgicale.

Ici, pas besoin d’exploits sophistiqués ou d’outils de pentest dernier cri. Juste de la curiosité, des maths, et une patience de moine tibétain. Et c’est comme ça que Minki a transformé un bug théorique en prédiction concrète, puis en réalité observable.

En fait, les bugs d’overflow de DOOM sont légion . Si vous avez plus de 64 lignes défilantes, ça crash. Si une balle traverse plus de 128 objets, ça bug. Si vous construisez une zone de plus de 2500 unités de hauteur, le moteur panique. C’est un peu comme si le jeu était construit sur un château de cartes, où chaque limite non vérifiée est une catastrophe qui attend son heure.

Bref, vous l’aurez compris, cette expérience c’est bien plus qu’un simple “j’ai fait tourner DOOM pendant longtemps lol”. C’est une démonstration de la prédictibilité des systèmes informatiques. Ça montre que quand on comprend vraiment comment un programme fonctionne, on peut littéralement voir dans l’avenir…

Bien joué Minki !

Memflix – Transformez vos données en vidéos MP4 consultables instantanément

Par : Korben
27 juin 2025 à 15:08

Ça va, pas trop chaud ? Alors tant mieux, parce que je vais vous faire avoir une petite suée tellement ce truc est cool ! Ça s’appelle Memflix et c’est une bibliothèque JavaScript qui transforme vos documents texte en… fichiers vidéo MP4 ! Oui, vous avez bien lu. Et le plus fou, c’est que vous pouvez ensuite faire des recherches sémantiques ultra-rapides dans ces vidéos.

L’idée est tellement simple qu’elle en devient géniale car au lieu de stocker vos données dans une base de données traditionnelle, Memflix encode tout dans des QR codes qui sont ensuite intégrés frame par frame dans une vidéo. Résultat ? Un stockage 10 fois plus efficace qu’une base de données classique et des recherches qui prennent moins d’une seconde, même sur des millions de chunks de texte.

Scientists create living building material that traps carbon dioxide

Par : Ida Torres
24 juin 2025 à 17:00

Buildings are responsible for a huge share of global carbon emissions, especially during the production of materials like cement. Traditional concrete manufacturing is one of the biggest sources of CO2 worldwide. If we can switch to materials that don’t just stop this but even use CO2 to our advantage, then we can make a big difference in fighting climate change. Imagine a future where our homes and offices not only look beautiful but also help clean the air by capturing carbon dioxide (CO2).

Thanks to a team of scientists at ETH Zurich, that future might be closer than we think. They have developed a remarkable new building material that doesn’t just sit there. It’s actually alive and actively helping the planet. This groundbreaking material is a type of concrete, but with a twist: it contains living bacteria. These aren’t just any bacteria as they are specially chosen because they can turn carbon dioxide from the air into solid minerals. That means while regular concrete actually releases CO2 during its production, this living material absorbs it, helping to reduce greenhouse gases in our atmosphere.

Designer: ETH Zurich

Inside the material, millions of bacteria are hard at work. These bacteria are fed a mixture of nutrients, including calcium. When they “eat,” they react with CO2 in the air, producing solid calcium carbonate. This process is similar to how seashells form in nature. Over time, the bacteria help the material grow stronger while trapping more carbon dioxide. The scientists designed their material to be porous, which means it has lots of tiny holes. These holes give bacteria plenty of room to live and work, while also allowing air to pass through so the bacteria can capture CO2 efficiently.

The new living material could be used in walls, floors, or even outdoor structures. Imagine a city full of buildings that quietly soak up CO2 day after day, making the air cleaner for everyone. But the benefits don’t stop there. The production of this living material uses less energy than regular concrete. Plus, the process is designed to be sustainable from start to finish. The bacteria don’t need fancy care—they just need a bit of food and the right conditions to thrive. If a piece of the material breaks, it can even “heal” itself. The bacteria inside can repair small cracks by producing more calcium carbonate, just like how your skin heals a cut. This could help buildings last longer and require less maintenance.

The research team is still working on perfecting their creation. They want to make sure the material is strong enough for real-world use and figure out the best ways to produce it on a large scale. There are also questions about how the bacteria will behave over many years and in different climates. Still, the early results are very promising. This living building material could offer a win-win solution: helping to build the cities of tomorrow while also cleaning up the air today.

The post Scientists create living building material that traps carbon dioxide first appeared on Yanko Design.

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