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Ban-Rays - Les lunettes qui détectent les smart glasses

Par : Korben
29 novembre 2025 à 06:42

De nos jours, quand un mec chelou avec des lunettes cheloues nous fixe, on ne sait plus si c’est parce qu’il nous trouve irrésistible ou s’il est en train de balancer notre tronche à une IA pour savoir qui on est. Bon, pour vous, la question se pose peut-être moins, mais vous voyez l’idée ^^.

Heureusement, pour lutter contre ça, y’a maintenant un projet open source pour détecter ces petits curieux équipés de Ray-Ban Meta ou d’autres lunettes-caméras. Ce projet s’appelle Ban-Rays (jeu de mots avec “banned”, roh roh roh) et le but c’est de créer des lunettes capables de repérer les smart glasses équipées de caméras.

Et pour arriver à cela, le dev derrière ce projet utilise deux approches complémentaires.

La première, c’est l’approche optique basée sur un principe physique assez marrant. En effet, mes capteurs CMOS des caméras ont la particularité de renvoyer la lumière infrarouge directement vers sa source. C’est ce qu’on appelle l’effet “cat-eye” ou rétro-réflectivité, du coup, en balançant des impulsions IR vers une paire de lunettes suspecte et en analysant le signal réfléchi, on peut théoriquement détecter la présence d’une caméra. Et les capteurs produisent des pics de signal bien nets et rapides, contrairement aux surfaces réfléchissantes classiques qui génèrent des ondes plus longues.

Pour le moment, les tests avec les Ray-Ban Meta montrent des résultats un peu inconsistants à courte distance (genre 10 cm), mais le principe est là et ça s’améliore. Ah oui et le matos utilisé c’est un Arduino Uno, des LEDs infrarouges (940nm et 850nm), une photodiode et un transistor. Rien de bien méchant donc niveau budget.

Et la deuxième approche, c’est côté réseau avec la détection Bluetooth Low Energy. Les Ray-Ban Meta utilisent un identifiant fabricant spécifique (0x01AB pour Meta) et un Service UUID bien particulier (0xFD5F). Le souci c’est que pour le moment, ça ne détecte les lunettes que pendant l’allumage ou le mode appairage. Pour une détection continue pendant l’utilisation normale, faudrait du matos plus costaud genre modules nRF pour sniffer les paquets CONNECT_REQ. Mais bon, ça viendra puisque c’est dans la roadmap du projet.

Alors oui, vous allez me dire que les Ray-Ban Meta ont une petite LED qui s’allume quand elles filment, donc c’est pas discret. En théorie oui auf que cette LED est tellement minuscule que la Data Privacy Commission irlandaise a carrément remis en question son efficacité comme protection de la vie privée. Et surtout, un bidouilleur propose maintenant de désactiver cette LED pour une soixantaine de dollars. Meta a bien prévu une protection qui empêche les lunettes de fonctionner si on couvre la LED avec du scotch, mais le gars a trouvé comment contourner ça et sa liste de clients s’allonge…

Et l’autre truc que j’ai remarqué avec ces lunettes connectées, c’est qu’elles se déclenchent tout le temps pour tout et n’importe quoi. Comme ça écoute en permanence pour répondre aux commandes vocales, impossible d’avoir une conversation normale sans que le machin réagisse à un mot qui ressemble vaguement à “Hey Meta”. C’est encore pire que Siri ou Alexa qui font déjà des déclenchements intempestifs. Perso, c’est pour ça que je ne veux pas de ce genre de lunettes, même si je reconnais que c’est pratique pour photographier ou filmer des choses (dans le cadre de mon boulot hein…)

Et les inquiétudes sont d’autant plus justifiées qu’une étude de 2024 a montré qu’en combinant des Ray-Ban Meta hackées avec de la reconnaissance faciale en temps réel, on pouvait identifier des inconnus dans la rue. Encore plus récemment, l’Université de San Francisco a dû alerter ses étudiants après qu’une personne mystérieuse ait utilisé ces lunettes pour filmer des femmes sur le campus et partager les vidéos en ligne. Sympa l’ambiance de parano.

Bref, si vous êtes inquiet par ça (ou juste soucieux de votre vie privée), le projet Ban-Rays est sur GitHub avec tout le code en C++, Python et un peu de C. C’est encore expérimental mais les deux approches sont prometteuses et si vous voulez contribuer, y’a plein de trucs à améliorer comme les patterns de balayage IR, la fusion des données multi-longueurs d’onde, l’interrogation active BLE…

Source

EU Reaches Landmark Deal to Curb Online Payment Fraud

28 novembre 2025 à 12:50

The accord covers two major legislative texts: the Payment Services Regulation (PSR) and the Third Payment Services Directive (PSD3).

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Batman Dark Age - Et si Batman oubliait d'être Batman ?

Par : Korben
16 novembre 2025 à 14:45
– Article en partenariat avec Urban Comics –

Urban Comics vient sortir Batman Dark Age (lien affilié), et ça me fait plaisir de vous en parler car vous connaissez mon amour pour Batman ! C’est mon seul vrai héros préféré depuis toujours car il a ce côté sombre, cette souffrance, cette humanité que j’adore et qui le met tellement au dessus des autres, et surtout, il n’a aucun super pouvoir ! (Mais un gros paquet de pognon c’est vrai…).

Et ce qui est cool avec cet album, c’est que les auteurs sont partis de ce constant simple : Et si Batman perdait la mémoire ?

On est donc en 2030 et Bruce Wayne est vieux, grabataire, et enfermé dans une maison de retraite. Du coup, pour ne pas tout oublier, il se raccroche à ses souvenirs. Notamment cette nuit de 1957 où tout a basculé, quand ses parents se sont fait descendre, avec un changement majeur par rapport à l’origine classique, c’est que lui n’était pas là. Le bouquin suit alors ses débuts de justicier, son adolescence en colère, l’armée, le rôle important d’Alfred et de Lucius Fox et toute la construction du mythe Batman mais vue depuis le regard d’un vieux bonhomme.

C’est un angle que je trouve vraiment dingue parce qu’on connaît tous l’origine de Batman par cœur, ais là, Russell la revisite totalement en la faisant passer par le prisme de la vieillesse et de la mémoire qui flanche où Batman oublie d’être Batman.

Le scénario est signé Mark Russell (lien affilié) qui a été nominé pour le prix Eisner du meilleur scénariste en 2023. Il a déjà bossé sur Superman Space Age avec les mêmes dessinateurs, une série nominée aux Eisner également. D’ailleurs Batman Dark Age partage le même univers temporel que Superman Space Age, où les événements historiques réels coexistent avec les super-héros DC. On est dans les années 60, en pleine Guerre Froide, mouvement des droits civiques, conquête spatiale…etc et petit Batman grandit dans ce contexte explosif.

Et visuellement, c’est Mike Allred qui gère les dessins, avec sa femme Laura Allred aux couleurs. Si vous connaissez pas le style Allred, imaginez du pop art années 60 qui rencontre Jack Kirby . Des lignes épurées, du dynamisme, des couleurs pétantes… Mike Allred (lien affilié), c’est surtout le mec derrière Madman, iZombie, X-Statix et son style colle parfaitement à cette époque charnière des années 60 où Batman évolue dans cette histoire.

Et là, le fait de passer par la mémoire d’un Bruce Wayne sénile ajoute une couche de mélancolie et d’urgence car il doit se souvenir avant qu’il ne soit trop tard. Le bouquin fait 264 pages et est vendu 25 euros chez Urban Comics dans la collection DC Black Label, qui regroupe les œuvres DC les plus matures et d’un bloc. Batman Dark Age compile en effet les 6 numéros de la série sortie en 2024 aux États-Unis.

Bref, j’ai passé un super bon moment avec cette lecture. Pour ceux qui aiment Batman autant que moi, c’est vraiment le cadeau de Noël idéal. Vous en aurez pour votre argent vu l’épaisseur du bouquin et la qualité du récit et je trouve que Russell et Allred forment un duo très créatif !

D’ailleurs, ce Batman Dark Age fait partie d’une trilogie que Russell et les Allred sont en train de créer chez DC. Après Superman Space Age sorti en début d’année et ce Batman Dark Age (liens affiliés), ils bossent également sur un Wonder Woman qui complétera le tout. Donc si comme moi, vous aimez voir vos héros revisités avec beaucoup d’intelligence et de style, je pense que vous allez vous régaler.

Découvrez Batman Dark Age chez Urban Comics .

UK Government Commissions Skills Review for AI in Finance

6 novembre 2025 à 14:52

Firms and policymakers must act now to ensure the UK workforce “is equipped to lead the way in digitisation, innovation, and adoption.”

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McKinsey Warns Banks Risk $170B Profit Decline From AI

23 octobre 2025 à 12:59

McKinsey describes AI as a double-edged sword: it offers banks the potential to cut operating costs, yet could also disrupt traditional profit pools as customers use AI tools to manage their finances more efficiently.

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PictureMe - Plus besoin de Photoshop pour vous refaire la gueule

Par : Korben
29 septembre 2025 à 11:31

Si vous aimez les IA génératives, je pense que vous n’êtes pas passé à côté de Nano Banana, le nouveau générateur d’images de Google. Ce truc est incroyable ! On peut vraiment faire des choses très réalistes et qui respectent le sujet initial… Plus besoin de Photoshop avec ce truc. Suffit d’avoir une idée et de lui donner.

Mais si on n’a pas d’idée, qu’est ce qu’on peut faire ? Hé bien un dev a codé une app Google Gemini qui permet de transformer votre photo en ce que vous voulez…

Soit en dessin, soit vous donner un look années 70 / 80 / 90, soit changer votre coupe de cheveux, soit même vous mettre dans situations cheloues voire faire de vous un gros tas de Mac&Cheese bien dégoutant.

Je vous laisse avec mes essais plus ou moins sympas :

Pour vous amuser, suffit donc d’aller ici , d’uploader votre photo ou d’activer votre webcam pour en prendre une bien fraiche et de choisir ce que vous voulez comme résultat.

Et le code est complètement ouvert, donc vous pouvez aussi le récupérer et le modifier pour ajouter par exemple de nouveaux prompts ou modifier les prompts existants.

Et si vous voulez encore d’idées ou tout simplement voir les possibilités de Nano Banana, rendez-vous ici, y’a des dizaines de prompts que vous n’avez plu qu’à copier coller !

Merci à Lorenper pour le partage !

Delphi-2M - L'IA qui prédit les maladies que vous aurez dans quelques années

Par : Korben
20 septembre 2025 à 05:42

Hakuna Matata les amis ! Pas de soucis, pas de stress, pas d’angoisse sur ce qui va arriver, on prend la vie comme elle vient sans inquiétude…

Pas vrai ?

Et bien, Hakuna Matata va se prendre un coup dans la gueule car des chercheurs européens ont créé Delphi-2M, une IA qui peut vous dire exactement quelles maladies vous allez développer dans les 20 prochaines années. C’est donc un modèle GPT modifié (oui, comme ChatGPT, mais en blouse blanche) qui analyse vos données médicales, votre âge, sexe, IMC et habitudes de vie pour prédire l’arrivée ou non de 1258 maladies différentes dans votre life.

Les chercheurs de l’EMBL, du Centre allemand de recherche sur le cancer et de l’Université de Copenhague sont derrière cette petite merveille et ils ont entraîné leur outil sur 400 000 participants de la UK Biobank et validé que ça fonctionnait bien sur 1,9 millions de Danois.

Et vous vous en doutez, Delphi-2M ne fait pas que prédire… Non non, cette IA génère littéralement des “trajectoires de santé synthétiques”. En gros, elle crée des versions virtuelles de vous qui vivent des vies parallèles avec différentes maladies, un peu comme un multivers médical personnel.

L’outil peut ainsi générer des millions de ces vies synthétiques, créant des données médicales qui n’ont jamais existé mais qui sont statistiquement cohérentes.

Le nom Delphi-2M n’est pas non plus anodin. C’est en clin d’oeil à l’oracle de Delphes dans la Grèce antique qui donnait des prophéties ambiguës qui se réalisaient toujours, peu importe l’interprétation. Et là, cette IA fait pareil puisqu’elle ne vous donne pas UN futur, mais une probabilité statistique basée sur des patterns.

Delphi-2M fonctionnerait particulièrement bien pour les maladies qui suivent des schémas prévisibles, comme certains cancers, par contre, elle ne capture que la première occurrence d’une maladie. Donc si vous avez un cancer, puis une rémission, puis une récidive, l’IA ne voit que le premier épisode.

Truc marrant (ou pas), l’IA a également été entrainée sur des données de personnes dont certaines sont mortes depuis le recrutement initial en 2006-2010. Elle ressuscite donc numériquement ces gens pour créer des vies plus longues que les vraies et ainsi, ces morts virtuels qui vivent plus longtemps que quand ils étaient vivants, servent à prédire l’avenir des vivants actuels. Si ça c’est pas de la science-fiction…

Après, à vous de voir si vous voulez savoir ou pas… D’un côté, savoir qu’on a 73% de chances de développer un cancer du poumon dans 15 ans pourrait pousser à arrêter de fumer mais de l’autre, vivre avec cette épée de Damoclès au-dessus de la tête pendant 15 ans, merci mais non merci.

Et comme Delphi-2M est capable de générer de travailler à partir de données synthétiques, les chercheurs l’ont aussi transformé en usine à épidémies virtuelles. Ils peuvent ainsi créer des scénarios de santé publique impossibles à tester dans la réalité du genre, “et si tout le monde fumait 3 paquets par jour pendant 10 ans ?” ou “que se passerait-il si on combinait obésité et alcoolisme sur 20 ans ?”. C’est un labo virtuel infini pour tester des tonnes d’hypothèses médicales sans tuer personne (enfin, sauf virtuellement).

Par contre, petite précision importante, les données UK Biobank surreprésentent les personnes blanches, âgées et en bonne santé. Les enfants et adolescents sont par exemple quasi absents. Du coup, si vous êtes jeune, non-blanc ou pas britannique, les prédictions de Delphi-2M seront beaucoup moins fiables…

Delphi-2M n’est de toute façon pas encore prête pour une utilisation clinique. C’est plus un outil de recherche qu’un Nostradamus médical mais j’imagine que dans quelques années, quand on ira chez le médecin, il lancera Delphi-jesaispascombien, et il vous sort : “Bon, vous allez avoir de l’arthrite en 2043, un AVC en 2051, et mourir d’un cancer du pancréas en 2063. Des questions ?

Ça fait flipper non ?

Non, moi ce qui me fait vraiment flipper c’est quand les assurances santé mettront la main dessus. “Ah, Delphi dit que vous avez 82% de chances de développer du diabète ? Ça fera 500€ de plus par mois, merci” ou pire, votre employeur : “Désolé, on ne peut pas vous embaucher, l’IA dit que vous serez en arrêt maladie dans 3 ans”.

Bref, Delphi-2M c’est impressionnant techniquement, mais également un poil flippant… A-t-on vraiment envie de connaître notre avenir médical ?

Moi oui, mais ce n’est peut-être pas le cas de tout le monde.

Allez, Hakuna Matata les copains !

Top 5 Modular Planter Systems for Space-Saving, Low-Maintenance Urban Gardens

20 septembre 2025 à 15:20

With space at a premium in urban cities, carving out even a small patch of green can feel like a luxury. City living often leaves us craving nature, but tight balconies and limited floor space make traditional gardening feel out of reach. The difficulties of gardening are compounded by the use of bulky pots and complicated setups, which can deter potential gardeners.

Modular planters are a game-changer for urban gardeners as they offer a smart and adaptable way to cultivate a thriving green space. Whether you are starting with a compact herb setup or envisioning a lush vertical garden, let’s understand how modular planters can grow with your needs, while offering convenience and beauty.

1. The Versatility of Vertical Growth

Modular planters are designed with flexibility in mind and offer a simple way to expand the garden upward instead of outward. This is perfect for small balconies, patios, and even sunny windowsills where horizontal space is a luxury. By stacking units, one can create a beautiful green wall that not only maximizes the growing area but also adds an interesting visual element to one’s home.

These systems offer a key advantage through their adaptability. As gardening confidence grows, users can easily expand their existing setup by adding more modules. This flexibility allows them to experiment with a wider variety of plants, from leafy greens to cascading flowers, without the need for a complete redesign of their garden.

Chris Ference’s Elevated Planter is a highly innovative design solution for space-conscious gardeners. Crafted from anodized aluminum, the planters feature a unique toothed base that allows them to be securely stacked, enabling the creation of vertical gardens. This modular system provides a flexible way to expand a plant collection without requiring a large footprint. The design’s versatility is further enhanced by a variety of sizes and colors, offering customization to suit individual plants and aesthetic preferences.

The planter’s design goes beyond simple stacking. The grooved base allows for off-center arrangements, ensuring that plants in lower tiers receive ample light and room to grow. Each planter is equipped with a drainage hole and a rubber plug, making it suitable for indoor and outdoor use.

2. Effortless Assembly and Maintenance

Modular planter systems are designed for easy, tool-free assembly, often utilizing simple stacking mechanisms. A new garden can be set up in minutes, without the need for a single screw or nail. This simplicity allows users to reconfigure their setup whenever they wish, whether moving a planter to a sunnier spot or adding new layers.

These planters are also designed for easy maintenance. Many units feature self-draining systems to prevent root rot and simplify watering. Cleaning is also straightforward, as units can be easily detached and rinsed. This user-friendly approach removes common obstacles, making gardening a more accessible hobby for everyone.

The Prairie Planter, designed by Aditi Kedia, reimagines the conventional plant container as a dynamic landscape element. Its modular, geometric design allows for stacking, creating an abstracted representation of a prairie or savanna. This approach draws inspiration from the organic growth of plants on uneven terrain, transforming a simple planter into a sculptural piece. When populated with succulents or cacti, the planters evoke a natural, earthy aesthetic reminiscent of a wilderness landscape.

Beyond its striking visual design, the Prairie Planter incorporates a highly functional irrigation system. The stacked units facilitate a drip-down watering process, while a base water tray ensures that the lowest planters can absorb moisture as needed. This efficient, self-watering mechanism is a practical feature that complements the planter’s artistic form, offering aesthetic appeal and horticultural utility.

3. Watering Solutions for Busy Lives

Modular planter systems often simplify watering, which is typically the most time-consuming gardening task. Many systems feature built-in reservoirs or interconnected designs that distribute water evenly to all plants. This “set it and forget it” approach allows for several days without watering, which is ideal for busy schedules or short vacations.

The consistent moisture from these systems is excellent for plant health and prevents the stress of over- and under-watering. Some advanced models include self-watering wicks or small drip irrigation lines, which allow the gardener to focus on the enjoyment of watching their plants grow.

In response to the growing need for practical, space-efficient greenery, the Moltke modular vertical garden offers an elegant solution for modern indoor and outdoor spaces. Designed for aesthetic appeal and functional value, Moltke combines self-sustaining plant care with modular flexibility. Its pre-planted seed pods and passive self-watering system require no electricity or prior gardening experience, making it ideal for busy lifestyles. Transparent elements promote root health by allowing natural light, while optional growth lights ensure optimal conditions even in low-light areas.

Moltke further enhances usability with features such as debris-filtering mesh covers and the ability to repurpose wastewater from air conditioning units. With customizable configurations and water tanks available in 3L or 5L capacities, it adapts easily to varied space and plant needs and is ideal for contemporary homes seeking sustainable, low-maintenance greenery.

4. Choosing the Right Plants

Selecting the right plants is crucial for a successful modular garden. Gardeners should begin with plants they enjoy and that are well-suited to their specific light conditions. For a sunny balcony, excellent choices include herbs like basil and mint, as well as leafy greens such as lettuce and spinach. They can also introduce vibrant color with easy-to-grow flowers like petunias or marigolds.

For spaces with limited direct sunlight, it is best to choose shade-loving plants and herbs that thrive in low-light conditions. A major benefit of a modular planter system is its flexibility, which allows for individual modules to be easily repositioned to find the ideal spot for each plant. This adaptability transforms gardening into a fun, low-risk experiment, providing an opportunity for learning and growth.

Inspired by the Japanese word ‘mojura’—meaning modular—the MOJU planter presents a refined plug-and-grow solution tailored for indoor plants. It’s thoughtfully engineered two-part design comprises a stable die-cast aluminum base that functions as a water reservoir, paired with an interchangeable upper component crafted from recycled polycarbonate. This upper section is available in multiple styles and sizes, and it accommodates a variety of plants ranging from compact succulents to larger creepers that offer flexibility and aesthetic harmony.

The dual-structure design enhances form and function. The static base supports a self-watering mechanism, allowing soil in the upper section to draw moisture passively from below, thereby minimizing the need for frequent watering and maintenance. Additionally, the modular upper can be easily swapped to complement different plant species or interior décor preferences.

5. A Sustainable Choice

Beyond the personal benefits, modular planters are an excellent step toward more sustainable living. By growing their food, even in small amounts, people can reduce their reliance on store-bought produce, which often travels long distances and is packaged in plastic. This simple act reduces a person’s carbon footprint and fosters a closer connection to the food they consume.

Many modular systems are also made from recycled or eco-friendly materials, further minimizing their environmental impact. They promote resourcefulness by making the most of limited space and water, and they encourage a mindful approach to consumption. By creating a green space at home, a person is not just beautifying their surroundings but actively participating in a movement toward a sustainable and conscious lifestyle.

Planters often serve a basic function, but the Planter 300 by Benkert reimagines them as essential elements of urban design. This modular planter system merges durability with sophisticated aesthetics, offering a vandal-resistant stainless-steel build and low-maintenance appeal. Recognized for enhancing urban life, it adapts to various spatial needs with four configurable shapes and a built-in irrigation system that ensures plant health while minimizing upkeep.

Beyond greenery, the Planter 300 transforms into multifunctional street furniture with add-ons like benches, bike racks, and litter bins. With over 8,500 color options and removable wall panels, it offers a lot of flexibility for seasonal updates or branding needs. Its modularity and thoughtful design make it a smart choice for urban planners and architects seeking to create vibrant, livable public spaces that balance practicality with visual harmony.

Modular planters offer a refreshing take on urban gardening, turning the challenge of limited space into an opportunity for creativity. They empower you to cultivate a beautiful, functional garden that grows with you and your home, proving that a green thumb is within everyone’s reach.

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Meet TORRAS Flexline 67W: The Retractable Charger That Tames Cable Chaos

Par : JC Torres
16 septembre 2025 à 01:45

The modern tech user’s bag has become a graveyard of tangled cables, forgotten adapters, and bulky chargers that somehow multiply when you’re not looking. You’ve got the laptop charger, the phone charger, the USB-C cable that works with some devices but not others, and maybe a power bank thrown in for good measure. Every business trip or study session involves hunting through this electronic spaghetti to find the right combination of cables and adapters.

TORRAS apparently looked at this universal chaos and decided there had to be a better way to handle our charging needs without turning every bag into a cable management nightmare. Their Flexline 67W retractable charger and MiniMag power bank represent two different approaches to solving the portable power problem, each addressing specific pain points that anyone juggling multiple devices will immediately recognize and appreciate.

Designer: TORRAS

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Flexline 67W Retractable Charger: Engineering Meets Everyday Convenience

The Flexline 67W takes a radically different approach by integrating everything you need into one compact device that’s smaller than most laptop chargers alone. The built-in retractable USB-C cable extends smoothly up to 1 meter with a stepless adjustment mechanism that feels genuinely satisfying to use. Unlike those cheap retractable cables that jam or snap after a few months, this system is engineered for over 10,000 pulls and tested to the point where it can literally suspend a suitcase.

What makes the retractable mechanism particularly clever is the magnetic Type-C head locking system that ensures precise alignment every time you connect or store the cable. The magnetic snap provides tactile feedback that confirms a secure connection, while the anti-jamming design means the cable retracts smoothly without getting stuck or requiring multiple attempts. This attention to mechanical detail transforms a simple charging action into something that feels engineered rather than just functional.

The dual USB-C charging capability addresses the reality that most people carry multiple devices that need power throughout the day. You can charge a laptop at up to 45W while simultaneously powering your phone at 20W through the additional USB-C port, with smart power allocation automatically adjusting output based on what’s connected. The second USB-C port accepts any standard cable, giving you flexibility for different devices or charging scenarios without limiting you to just the built-in retractable cable.

TORRAS has integrated serious thermal management technology that goes beyond what you’d expect from a portable charger. The Tora-Iceon intelligent thermal control system uses GaN III semiconductor technology, NTC dual chips, and AI temperature monitoring that checks thermal conditions 36,000 times per hour. This isn’t just about keeping the charger cool, but actively protecting your phone’s battery health by preventing the heat damage that fast charging can cause over time.

The engineering extends to practical durability features that matter for daily use. The foldable plug prevents scratches in your bag while keeping the overall footprint minimal, and the smooth, glossy exterior resists wear from constant handling. Universal voltage support means it works anywhere in the world, while compatibility with PD3.1, QC3.0, PPS, and Apple 2.4A protocols ensures fast charging for virtually any modern device you might own.

For business travelers and students, the Flexline 67W represents a genuine upgrade in both convenience and reliability. Instead of hunting through your bag for the right cable or adapter, everything you need is integrated into one device that’s actually smaller than most traditional laptop chargers. The retractable cable means you can pull out exactly the length you need for any situation, whether you’re working at a cramped airplane tray table or a spacious conference room.

The build quality reflects TORRAS’s commitment to longevity rather than planned obsolescence. With a two-year warranty and a claimed 10-year lifespan, the Flexline 67W is designed to outlast multiple device upgrade cycles. This approach reduces electronic waste while providing genuine value for users who are tired of replacing cheap chargers every few months when they inevitably break or stop working reliably.

MiniMag Power Bank: Ultra-Slim Wireless Charging Anywhere

The MiniMag power bank takes a different approach to portable power, prioritizing wireless convenience and ultra-slim portability over maximum capacity. At just 0.3 inches thick, it’s genuinely thinner than most smartphones and slides effortlessly into a pocket, wallet, or small bag without adding noticeable bulk to your everyday carry setup.

The aluminum alloy construction serves dual purposes, providing both heat dissipation for safe charging and a premium feel that matches high-end devices. The 5,000mAh capacity might seem modest compared to brick-sized power banks, but it’s perfectly sized for emergency phone charging or extending your device’s battery life during long days away from outlets without weighing you down. There’s also a 10,000mAh variant for those who want to pack an extra punch.

MagSafe compatibility makes the MiniMag particularly appealing for iPhone users who want truly cable-free charging. The magnetic alignment ensures a secure connection with compatible cases, while 7.5W wireless charging provides steady power without the heat buildup that can damage batteries. For faster charging or non-wireless devices, the 18W USB-C port handles wired charging efficiently, and you can charge two devices simultaneously.

The MiniMag’s real strength lies in its convenience for everyday scenarios. Whether you’re commuting, traveling, or just want backup power without the bulk, it provides reliable charging that doesn’t interfere with how you use your phone. Pass-through charging means you can charge both the power bank and your device simultaneously, while LED indicators keep you informed about remaining capacity without guesswork or surprise power outages.

Both products demonstrate how thoughtful engineering can transform mundane accessories into tools that genuinely improve daily life. The Flexline 67W and MiniMag represent a shift toward charging solutions that prioritize user experience, durability, and real-world convenience over just delivering power as cheaply as possible.

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Les États-Unis planquent des trackers GPS dans les puces IA pour coincer les contrebandiers

Par : Korben
13 août 2025 à 14:11

Imaginez un instant que soyez contrebandier de puces électroniques… Vous venez de recevoir un serveur Dell flambant neuf bourré de puces Nvidia H100 que vous comptez évidemment revendre à prix d’or sur le marché chinois.

Alors vous ouvrez le carton, pour inspecter minutieusement chaque recoin du paquet et là, Ô surprise, vous trouvez un petit boîtier de la taille d’un smartphone bien caché dans l’emballage. Félicitations !! Vous venez de vous faire griller par l’Oncle Sam !

Cette histoire n’est pas tirée d’un film d’espionnage de mon cerveau torturé mais bien de la réalité car selon Reuters, les autorités américaines ont placé secrètement des trackers GPS dans certaines livraisons de puces IA qu’elles considèrent à haut risque de détournement vers la Chine.

Et apparemment, ça fonctionne plutôt bien puisque deux ressortissants chinois ont été arrêtés début août pour avoir tenté d’exporter illégalement pour des dizaines de millions de dollars de puces Nvidia vers l’Empire du Milieu.

Et le niveau de sophistication de l’opération est top, car les trackers ne sont pas juste collés sur les cartons. Dans un cas documenté datant de 2024, les autorités ont carrément placé plusieurs types de dispositifs. A la fois des gros trackers visibles sur les boîtes d’expédition pour le suivi basique, et des plus petits, bien planqués dans l’emballage voire directement dans les serveurs eux-mêmes. C’est malin !!

Mais ces contrebandiers ne sont pas dupes non plus. On peut lire par exemple dans les documents judiciaires, que l’un des accusés avait prévenu son complice : “Fais attention de bien chercher s’il y a un tracker dessus, tu dois regarder attentivement”. Ces types passent leur temps à démonter des serveurs Dell et Super Micro pour vérifier qu’il n’y a pas de mouchard caché quelque part… Bref, ce sont devenu des champions au jeu du chat et de la souris avec les autorités.

Bien sûr cette pratique n’est pas nouvelle du tout. Les États-Unis utilisent des trackers pour surveiller les exportations sensibles depuis des décennies. En 1985 déjà, Hughes Aircraft avait vu ses équipements interceptés par les douanes américaines qui y avaient installé un dispositif de localisation. Sauf qu’à l’époque, on parlait de pièces d’avion, pas de puces IA capables de faire tourner des LLM.

Et l’ampleur de ce trafic est vertigineuse. Malgré les restrictions imposées depuis 2022, au moins 1 milliard de dollars de puces Nvidia auraient été introduites illégalement en Chine rien qu’au cours des trois derniers mois. Les contrebandiers passent par la Malaisie, Singapour ou les Émirats arabes unis pour brouiller les pistes. C’est un vrai business qui rapporte gros quand on sait qu’une seule puce H100 peut se négocier plusieurs dizaines de milliers de dollars au marché noir.

Et pendant ce temps, la tension monte entre Pékin et les fabricants de puces. Le 31 juillet dernier, l’administration chinoise du cyberespace a convoqué Nvidia pour lui demander des explications sur les risques de “backdoors” dans ses puces H20. Les Chinois craignaient que les Américains puissent désactiver à distance leurs précieux processeurs ou les utiliser pour les espionner. Nvidia a bien sûr démenti catégoriquement (What else !?), expliquant que mettre des backdoors dans des puces serait un cadeau fait aux hackers et aux acteurs hostiles et que ça mettrait à risque l’infrastructure numérique mondiale.

Au milieu de ce bras de fer géopolitique, les entreprises comme Dell et Super Micro se retrouvent donc coincées. Dell affirme ne pas être au courant de cette initiative gouvernementale de tracking, tandis que Super Micro refuse de commenter ses “pratiques et politiques de sécurité”. Nvidia et AMD, eux, préfèrent ne pas répondre du tout. On les comprend, c’est un sujet sensible…

Cette histoire de trackers dans les puces révèle surtout l’absurdité de la situation actuelle car d’un côté, les États-Unis tentent désespérément d’empêcher la Chine d’accéder aux technologies d’IA les plus avancées. Et de l’autre, la demande chinoise est tellement forte que des réseaux entiers de contrebande se sont organisés pour contourner l’embargo.

Le pire c’est que les autorités américaines envisagent maintenant d’obliger les fabricants à intégrer directement des systèmes de localisation DANS leurs puces. Oui, oui… Vous vous doutez, c’est une proposition qui fait bondir l’industrie, car elle créerait une vulnérabilité permanente dans le hardware. Comme l’a dit David Reber, le responsable sécurité de Nvidia, intégrer un kill switch dans une puce, serait “une invitation ouverte au désastre”, et je suis assez d’accord avec lui.

Bref, bon courage aux chinois ^^

Quand l'amitié est au cœur de l'action et de l'aventure avec The Lonesome Guild

13 août 2025 à 10:05
The Lonesome Guild, un action-RPG en vue du dessus au graphisme coloré et mignon dévoilé lors du French Direct 2025. On y incarne Ghost, un esprit amnésique, qui recrute six compagnons animaux excentriques pour combattre une mystérieuse brume de solitude dans le monde d’Etere.

1 milliard de dollars de puces Nvidia "tombées du camion" se retrouvent en Chine

Par : Korben
25 juillet 2025 à 13:50

Bon, apparemment il suffit que des puces Nvidia soient “tombées du camion” pour qu’un milliard de dollars de GPU ultra puissants se retrouvent sur le marché noir chinois. Le Financial Times a enquêté et ce qu’ils ont découvert est assez dingue.

Alors que les États-Unis font tout pour empêcher la Chine d’accéder aux dernières technologies d’IA, des B200, H100 et H200 de Nvidia circulent tranquillement sur les réseaux sociaux chinois. Leur prix ? 50% au-dessus du tarif normal, mais visiblement ça ne freine personne. Les vendeurs proposent même des racks pré-assemblés avec 8 puces B200, prêts à brancher dans un datacenter. Genre tu commandes sur WeChat et hop, tu reçois ton rack de 150 kilos à 560 000 dollars.

D’après l’enquête du FT, rien qu’entre avril et juin 2025, c’est plus d’un milliard de dollars de matos qui aurait transité. Les puces passent par la Thaïlande, la Malaisie, et d’autres pays d’Asie du Sud-Est où les contrôles sont… disons plus souples. La Malaisie a d’ailleurs vu ses importations de GPU avancés exploser de 3400% début 2025. Coïncidence ? Je ne crois pas…

Le plus ironique dans l’histoire, c’est que ces restrictions viennent juste d’être assouplies pour les puces moins puissantes comme la H20. Mais bon, pourquoi se contenter d’une 2CV quand on peut avoir une Ferrari, même au marché noir ?

Une boîte chinoise basée à Shanghai, “Gate of the Era” (ça ne s’invente pas), créée en février juste avant que les restrictions ne tombent (le timing est parfait), aurait à elle seule écoulé pour 400 millions de dollars de systèmes B200. Ils vendent même des racks complets entre 3,9 et 3,95 millions de yuans pièce.

Un rack de B200

Et Nvidia, de son côté, fait la sourde oreille. Leur réponse officielle ? “Nous ne fournissons support et service qu’aux produits Nvidia autorisés”. Traduction : démerdez-vous avec vos GPU de contrebande. Mais bon, avec une valorisation de 4000 milliards de dollars, ils vont pas trop pleurer sur quelques puces qui s’égarent.

Ce qui est fascinant, c’est comment les Chinois ont industrialisé le contournement. Les vendeurs testent même les puces avant de les vendre pour garantir qu’elles fonctionnent. Service après-vente inclus apparemment. Un opérateur de datacenter chinois l’a dit cash au FT : “Les contrôles à l’export n’empêcheront pas les produits les plus avancés de Nvidia d’entrer en Chine. Ça ajoute juste de l’inefficacité et crée d’énormes profits pour les intermédiaires prêts à prendre des risques.

Pendant ce temps, DeepSeek et d’autres boîtes d’IA chinoises prétendent faire aussi bien que les modèles américains avec beaucoup moins de ressources, mais visiblement, ça ne les empêche pas de quand même vouloir mettre la main sur les derniers joujoux de Nvidia.

Jensen Huang, le CEO de Nvidia né à Taiwan, voit toujours la Chine comme une opportunité énorme. C’est d’ailleurs lui qui aurait négocié avec Trump pour assouplir certaines restrictions. Mais pour les B200 et H100, c’est toujours un niet officiel !

Le gouvernement américain essaie surtout pendant ce temps de boucher les trous. Le Department of Commerce envisage par exemple d’imposer des contrôles plus stricts sur des pays comme la Thaïlande dès septembre. Mais franchement, quand y’a autant d’argent en jeu, croyez-moi, les contrebandiers trouveront toujours un moyen.

Au final, cette histoire montre bien les limites d’une guerre commerciale technologique. C’est un peu comme la drogue… Tu peux interdire, restreindre, sanctionner, mais quand la demande est là et que les profits sont juteux, le marché trouve toujours un chemin où les seuls qui s’enrichissent vraiment, ce sont les intermédiaires qui prennent leur commission de 50% au passage.

Source

Nintendo bannit un joueur Switch 2 pour avoir utilisé des jeux d'occasion - La nouvelle polémique

Par : Korben
11 juillet 2025 à 05:46

Encore une histoire qui m’a fait halluciner… Raz le bol de Nintendo car je viens d’apprendre qu’un utilisateur de la toute nouvelle Switch 2 s’est retrouvé banni du service en ligne de Nintendo après avoir eu le culot… d’acheter des jeux d’occasion sur Facebook Marketplace. Oui, des jeux légitimes, achetés en toute légalité, mais d’occasion. Le crime du siècle, apparemment.

L’affaire nous vient d’un certain dmanthey sur Reddit qui raconte sa mésaventure. Le gars achète tranquillement 4 jeux Switch 1 d’occase sur Facebook, les insère dans sa Switch 2 flambant neuve, lance les mises à jour et va se coucher. Le lendemain matin, surprise ! Son compte est banni des services en ligne. Nintendo a décidé que c’était louche et paf, sanction directe.

Gagnez 5 exemplaires d'Absolute Superman, le Superman de Jason Aaron

Par : Korben
11 juillet 2025 à 05:26

– Article en partenariat avec Urban Comics / Contient des liens affilés –

Aujourd’hui j’ai un concours à vous proposer, qui devrait ravir les fans de comics et tous ceux qui aiment les réinterprétations audacieuses des super-héros. En partenariat avec Urban Comics, je vous fais gagner 5 exemplaires d’Absolute Superman, la nouvelle bombe signée Jason Aaron et Rafa Sandoval qui a débarqué dans nos librairies le 30 mai dernier.

Comment bloquer automatiquement les popups de cookies avec Consent-O-Matic

Par : Korben
16 mai 2025 à 14:06

Le RGPD devait nous donner plus de contrôle sur nos données, mais il a accouché d’un monstre bureaucratique avec notamment des bannières de consentement cookie omniprésentes qui utilisent même parfois des techniques de manipulation qu’on appelle des dark patterns afin de nous pousser à accepter tout et n’importe quoi.

Mais heureusement pour nous, une équipe de chercheurs scandinaves a développé Consent-O-Matic, une extension pour Chrome et Firefox qui identifie, décortique et remplit automatiquement ces formulaires selon VOS préférences de confidentialité.

Le TCF déclaré illégal ? - Ce que ça change vraiment pour les bandeaux cookies et la pub en ligne

Par : Korben
15 mai 2025 à 16:43

Je sais qu’en bons shadocks, on kiffe toutes et tous les bandeaux cookies qui se trouvent sur la plupart des sites web. Je le sais car ça nous permet de faire des clics-clics-clics inutiles toute la journée afin de combler le vide de sens de nos misérables existences. D’ailleurs, au niveau collectif, ça représente quand même 575 millions d’heures de vie perdues par an ! Chapeau les artistes !

Certains rebelles qui ne veulent pas moutonner avec nous, pour éviter ça, installent même des plugins sur leurs navigateurs pour les masquer ou accepter les cookies en toutes circonstances.

Ils transforment un tapis de course en imprimante 3D pour faire des impressions infinies

Par : Korben
16 avril 2025 à 04:11

Je ne suis pas nerd de l’impression 3D même si j’adore ma Bambulab parce qu’elle fonctionne à tous les coups sans me demander 3h de réglages. Et je sais aussi reconnaitre quand une idée est cool et c’est le cas ici avec cette imprimante 3D qui utilise un tapis de course comme plateau, ce qui lui permet d’imprimer de longues pièces.

On appelle ça une imprimante à bande et dans le commerce c’est vendu par exemple par Creality pour un peu plus de mille euros… Mais la faire soi-même avec du matériel de sport, c’est quand même plus cool. Surtout quand on trouve des tapis de course sur Leboncoin à 50 balles, abandonnés par leurs propriétaires après trois sessions de cardio et une prise de conscience que Netflix et les M&M’s c’est quand même bien plus sympa que de transpirer.

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