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Mon test des routeurs TP-Link Deco BE68

Par : Korben
1 décembre 2025 à 15:42
– Article en partenariat avec TP-Link –

Vous vous souvenez de mon test du Deco BE65-5G avec son modem 5G intégré ? Hé bien, TP-Link m’a envoyé un autre joujou à tester, et cette fois c’est le pack de trois Deco BE68 , aussi connu sous le nom BE14000. Et je vais être honnête avec vous, ce truc a résolu un problème que je traînais depuis des mois à savoir une petite zone morte dans ma salle à manger où le Wi-Fi ramait comme un escargot asthmatique.

Pour ceux qui découvrent la gamme Deco, c’est le système mesh de TP-Link qui permet de couvrir toute une baraque avec un seul réseau Wi-Fi. Vous posez plusieurs bornes dans la maison, elles communiquent entre elles, et vous avez du réseau partout sans avoir à jongler entre différents SSID. Le BE68, c’est donc la version Wi-Fi 7 tri-bande qui promet jusqu’à 14 Gbps de débit combiné. C’est complètement délirant sur le papier, et évidemment personne n’atteindra jamais ça dans la vraie vie, mais ça donne une idée de la puissance du bouzin.

Côté specs, on a 8 647 Mbps sur la bande 6 GHz, 4 324 Mbps sur le 5 GHz, et 688 Mbps sur le 2.4 GHz. Chaque borne est équipée d’un port 10 Gbps (oui, 10 Gbps sur chaque noeud, pas juste sur le principal), d’un port 2.5 Gbps, d’un port Gigabit et d’un USB 3.0. 10 Gbps sur chaque satellite, c’est d’ailleurs l’un des gros avantages de ce modèle.

L’installation, comme d’hab avec les Deco, c’est d’une simplicité enfantine. On lance l’app sur le smartphone, on scanne le QR code, on attend que ça se configure, et c’est fini. J’ai posé une borne dans mon local technique (branchée sur ma box fibre), une dans le salon, et une dans la salle à manger, le tout en moins de 15 minutes, sans avoir à toucher une ligne de configuration. Pour les bidouilleurs qui veulent accéder aux réglages via un navigateur web, par contre, c’est toujours mort puisque tout passe par l’app mobile, ce qui peut frustrer les barbus que nous sommes ❤️.

Mais parlons de ce qui m’intéressait vraiment avec ces routeurs, à savoir ma fameuse salle à manger maudite. C’est une pièce avec des murs épais, coincée entre deux autres pièces, et jusqu’ici aucun de mes routeurs n’arrivait à y envoyer un signal correct.

Avec le pack de trois BE68, le problème a disparu puisque j’ai maintenant du 400-500 Mbps stable dans cette pièce, sans déconnexion. La différence, c’est le Wi-Fi 7 et son MLO (Multi-Link Operation) qui permet à chaque appareil de se connecter simultanément sur plusieurs bandes.

D’ailleurs, le backhaul combiné filaire + sans fil, c’est vraiment le game changer de ce modèle puisque grâce à la techno maison de TP-Link, les Deco BE68 peuvent utiliser à la fois le câble Ethernet et le Wi-Fi pour communiquer entre eux simultanément. Du coup, même si vous ne câblez qu’une partie de vos satellites, le système optimise automatiquement les flux.

Le pack de trois couvre dans les 700-750 m² et peut gérer jusqu’à 200 appareils simultanément. Chez moi, avec la cinquantaine de bidules connectés (ampoules, caméras, smartphones, ordis, consoles, aspirateur robot, et j’en passe), ça ne bronche pas et le système AI-Driven Mesh gère intelligemment les transitions quand on se balade dans la maison. Comme ça, j’ai pas les micro-coupures quand je passe d’une pièce à l’autre avec mon ordi portable.

Et côté tarif, on est sur du 800-900 euros pour le pack de 3. C’est pas donné, c’est clair mais quand on compare aux autres systèmes mesh Wi-Fi 7 du marché, c’est plutôt compétitif. Et avec du 10 Gbps sur chaque nœud, vous êtes tranquille pour les dix prochaines années niveau évolutivité réseau.

Les fonctions de sécurité HomeShield sont bien sûr toujours là : antivirus intégré, contrôle parental, QoS pour prioriser le gaming ou le streaming, support VPN client (OpenVPN, WireGuard), et la possibilité de créer un réseau IoT séparé en WPA3. Du classique TP-Link, bien foutu et suffisant pour 90% des usages sans avoir à payer l’abonnement Pro.

Bref, après 2 semaines d’utilisation, je suis conquis puisque ces Deco BE68 font exactement ce qu’on leur demande . C’est à dire couvrir toute la baraque en Wi-Fi 7 sans se prendre la tête. Alors si comme moi, vous avez des zones mortes chez vous ou que votre système mesh actuel commence à montrer ses limites avec tous vos appareils connectés, c’est clairement un excellent choix. Par contre, si vous cherchez un modem 5G intégré comme sur le BE65-5G, c’est pas le bon modèle.

En tout cas, j’ai enfin du Wi-Fi qui marche bien dans ma salle à manger, et ça, ça n’a pas de prix (enfin si, environ 800 balles, mais vous m’avez compris) !

Test du Roborock Saros 10R : j’ai craqué pour l’aspirateur robot de l’espace...

Par : Korben
30 novembre 2025 à 09:09
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Il y a des aspirateurs robots sont là pour facilierun peu le quotidien, et puis il y a le Roborock Saros 10R , qui donne l’impression d’avoir engagé un petit employé silencieux à domicile. Mon aspirateur robot à 300 balles de chez Eufy avait tendance à faire n’importe quoi (alors qu’il était neuf), je l’ai donc renvoyé, et j’ai craqué sur ce monstre à cause d’une promotion Black Friday (850 € au lieu des 1 280 € habituels) , est c’est assez fou tout ce que peut faire un aspirateur robot de nos jours. Précisons que c’est un aspirateur qui nettoie aussi le sol, et qui le fait bien.

Le Saros 10R est déjà très surprenant par son design. Roborock a totalement supprimé la traditionnelle tourelle LIDAR pour intégrer la technologie StarSight 2.0, un système de cartographie et d’évitement basé sur trois LIDAR  répartis sur le corps du robot, avec une caméra RVB frontale. Résultat : un robot extrêmement bas, moins de 8cm. Dans les faits, il passe sous les meubles où la poussière pensait être tranquille pour la décennie à venir. Et surtout, cette nouvelle approche de la navigation lui permet d’anticiper les obstacles, d’éviter les câbles et d’analyser les formes pour contourner sans jamais cogner. Sous les pieds de chaises, il se faufile comme s’il connaissait le plan par cœur.

Et ça fonctionne ! C’est le premier aspirateur robot qui n’a aucun problème à contourner les câbles, même les plus fins, et à ne pas paniquer pour se faufiler entre plein de pieds de chaise.

Côté nettoyage, Roborock mise sur son nouveau duo de brosses censées éliminer les emmêlements. Et en utilisation réelle, c’est très efficace : les poils ne s’enroulent pas autour de la brosse principale, et la brosse latérale extensible récupère ce qui traîne dans les coins. Sur sol dur, le Saros 10R offre une aspiration très puissante, avec un passage souvent suffisant pour retrouver un sol impeccable. Sur tapis, il s’en sort aussi très bien, et il n’hésite pas à faire un deuxième passage si besoin. L’intelligence embarquée permet aussi de lever automatiquement les serpillières dès qu’il détecte un tapis. Pour tout vous dire c’est ce point qui m’a fait craquer, parce que j’ai beaucoup de tapis chez moi, et effectivement, quand il nettoie le sol à l’eau, il arrive à ne pas les mouiller DU TOUT.

Le robot impressionne également par son système qui ajuste indépendamment les trois roues pour franchir les seuils jusqu’à 4 cm. Chez moi, là où mon Eufy restait bloqué sans raison apparente, le Saros 10R continue simplement son chemin. C’est tout bête, mais ça change l’expérience d’usage : un robot qui ne nécessite pas votre aide toutes les 5 minutes est un robot que l’on garde.

La pièce maîtresse de cet appareil c’est sa station 4.0, probablement ce qui se fait de plus avancé aujourd’hui. Une fois le robot retourné à sa base, celle-ci vide complètement le bac à poussière, lave les serpillières avec de l’eau chaude, les sèche à 55°C, remplit automatiquement le réservoir d’eau propre, distribue le détergent (facultatif, vous pouvez rester à l’eau) et procède même à un nettoyage interne. En clair, c’est l’un des rares appareils que l’on peut réellement qualifier de “sans entretien”, avec une intervention humaine presque inexistante d’une semaine à l’autre.

L’intégration à la maison connectée est excellente. On peut lui parler avec la commande “hello rocky”, mais il se pilote aussi via Alexa, Google Assistant, Siri, et même via Matter. L’application Roborock reste l’une des plus claires du marché : cartographie ultra détaillée, zones interdites, programmation précise, tout y est, et sans jamais se perdre dans des menus compliqués. L’autonomie de plus de 3 heures permet de couvrir de grands espaces d’un seul trait.

Au final, le Saros 10R coche toutes les cases du robot ultra premium : intelligent, puissant, silencieux, autonome et capable de se débrouiller seul dans une maison moderne remplie d’obstacles. À son prix d’origine de 1 280 €, c’est clairement un produit de luxe, efficace mais difficile à recommander (sauf si vous êtes franchement blindé). À 850 €, en revanche, ça se considère déjà un peu plus pour réduire votre charge mentale liée au ménage. Dispo ici sur Amazon, et pensez à cocher le coupon !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

This Square Player Refuses to Stream Music, and That’s the Point

Par : JC Torres
1 décembre 2025 à 15:20

Streaming services turned album covers into tiny squares you scroll past on your way to something else. Phones made music convenient, but also turned it into background noise competing with notifications, emails, and every app demanding attention at once. You used to hold a record sleeve and feel like you owned something specific. Now your entire library is just files in a folder somewhere, and nothing about that experience feels remotely special or worth paying attention to.

Sleevenote is musician Tom Vek’s attempt to give digital albums their own object again. It’s a square music player with a 4-inch screen that matches the shape of album artwork, designed to show covers, back sleeves, and booklet pages without any other interface getting in the way. The device only plays music you actually buy and download from places like Bandcamp, deliberately skipping Spotify and Apple Music to keep ownership separate from the endless scroll.

Designers: Tom Vek, Chris Hipgrave (Sleevenote)

The hardware is a black square that’s mostly screen from the front, with a thick body and rounded edges that make it feel more like a handheld picture frame than a phone. Physical playback buttons sit along one side so you can skip tracks without touching the screen. When you hold it, the weight and thickness are noticeable. This isn’t trying to slip into a pocket; it’s trying to sit on your desk or rest in your hand like a miniature album sleeve.

The screen shows high-resolution artwork, back covers, lyrics, and credits supplied through the Sleevenote platform. You swipe through booklet pages while listening, and the interface stays out of the way so the album art fills the entire square without overlays or buttons. The whole point is that the device becomes the album cover while music plays, which works better in practice than it sounds on paper when you describe it.

Sleevenote won’t let you stream anything. It encourages you to “audition” music on your phone and only put albums you truly love on the player, treating it more like a curated shelf than a jukebox with everything. This sounds good in theory, but means carrying a second device that can’t do anything except play the files you’ve already bought, which feels like a lot of friction for album art, no matter how nice the screen looks.

Sleevenote works as a small act of resistance against music as disposable content. For people who miss having a physical relationship with albums, a square player that only does one thing might feel like a shrine worth keeping. Whether that’s worth the price for a device with a screen barely bigger than your phone is a different question, but the idea that digital music deserves its own object makes more sense than cramming everything into the same distracted rectangle.

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I Stopped Paying for Cloud Storage After Trying This Tiny 256GB iPhone SSD

Par : Sarang Sheth
1 décembre 2025 à 02:45

I remember a time when smartphones had expandable storage. In fact, I remember feeling this internal rage when I saw the iPhone Air and that Apple even decided that a physical SIM slot wasn’t necessary anymore, because apparently a SIM tray blocks so much space that you need to shave down on a phone’s battery capacity. It’s wild that we’ve gotten to this point in our lives, and what’s more wild is that we now have to ‘rent’ storage out by paying for iCloud or Google Drive subscriptions to store our photos and videos. I remember when you could pop in a MicroSD card and those low-storage problems would go away… and ADAM Elements is trying to bring back that convenience with its ultra-tiny SSDs.

The iKlips S isn’t as small as a MicroSD, but it’s sufficiently more advanced than one. Barely the size of a 4-stud LEGO brick, this SSD plugs right into your smartphone, giving it an instant 256GB memory boost. It docks in your phone’s USB-C port, transferring data at incredible speeds, and here’s the best part – the tiny device packs biometric scanning too, which means you can pretty much secure your backups with a fingerprint the way you secure your phone with FaceID. The best part? No pesky subscription fees. You pay once and own the storage forever, and everything’s local and offline… so you never need to worry about remembering passwords, or about having companies and LLMs spy on your personal data to train themselves.

Designer: ADAM Elements

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Think a thumb drive, but insanely tinier. That’s the beauty of SSDs, and ADAM Elements touts that the iKlips S currently holds the record for the world’s smallest SSD. Plug it into your phone, tablet, laptop, or any device and it instantly gets a 258GB bump. Data transfers at speeds of up to 400Mb/s with read speeds of 450Mb/s, that’s fast enough to move RAW files in milliseconds and entire 4K videos in seconds, or even directly preview/edit ProRes content on your phone, tablet, or laptop without having to transfer data to local storage. After all, that’s the dream, right?

The tiny device comes with a machined aluminum body and a lanyard hole so that you can string something through to prevent it from getting lost. Plug it into your phone to back up media, then into your laptop or iPad to edit said media. You can transfer data between multiple devices fairly quickly, across platforms too, thanks to cross-compatibility with iOS, Android, MacOS, Windows, ChromeOS, and even Linux. The tiny design sits practically flush against your phone, tablet, or laptop, occupying about the same amount of space as a USB receiver for a wireless keyboard or wireless mouse. Its most important design detail, however, hides in plain sight.

On the underside of the iKlips S is a fingerprint scanner, allowing you to add authentication to your SSD the way you add a password to your iCloud. The device can hold as many as 20 fingerprints, making it perfect for redundancies (just in case you cut a finger while chopping veggies) or even for a team of multiple people sharing data. Place your finger on the iKlips S and it unlocks the SSD, allowing you to read/write data in no time. You’re never faced with forgetting your iCloud password as your password literally lives on your fingertips.

The price of it all? A mere $62.3, which costs about as much as an annual subscription to these cloud storage services. For that, you get something you truly own, and can use without needing an app or an internet connection. Just plug it in and you’ve suddenly got extra storage. Secure the storage with a fingerprint, and move data around at speeds your internet service provider could only dream of. Neat, huh?

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Test de l’ESR Geo Wallet Boost : le porte-cartes MagSafe que vous ne perdrez pas

Par : Korben
17 novembre 2025 à 16:49

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Le porte-cartes MagSafe d’ESR fait partie de ces accessoires auquel on ne s’intéresse pas vraiment au début, mais qui finissent par s’intégrer naturellement dans le quotidien. Vendu autour de 32 € lors des promotions Black Friday (ça tombe bien on est en plein dedans), il se positionne comme une alternative sérieuse aux modèles MagSafe classiques, tout en ajoutant une fonctionnalité rare dans ce segment : l’intégration directe à l’app Localiser.

Un porte-cartes connecté qui reste discret

Avec son support complet de Localiser, le wallet se comporte comme un AirTag intégré, sans accessoire supplémentaire à ajouter. Si on le laisse sur une table de café, si on le fait tomber en ville ou si on se demande simplement où il a disparu chez soi, il suffit d’émettre un son ou de consulter sa position, et c’est tellement rassurant. Niveau autonomie, une charge de 1h30 avec le câble fourni suffit pour environ trois mois d’utilisation et permet de ne pas trop y penser. 

Screenshot

Une bonne capacité dans un format compact

Contrairement à beaucoup de porte-cartes MagSafe limités à deux ou trois cartes, celui d’ESR permet d’en transporter jusqu’à cinq, ou quatre accompagnées de quelques billets. Le format reste compact, et l’ensemble ne rend pas le téléphone trop épais. L’accès aux cartes est fluide grâce à une découpe bien placée qui évite de lutter pour sortir une carte de crédit ou un badge. La protection RFID ajoute une couche de sécurité bienvenue, même si ce n’est pas ce qui motivera l’achat en premier lieu.

Une fixation magnétique plus ferme que la moyenne

Le principal défaut des wallets MagSafe basiques est leur tendance à glisser ou se décrocher au moindre mouvement. ESR améliore ce point grâce à vingt aimants N52 qui offre une fixation bien plus fiable que celle de nombreux concurrents. Sur une coque MagSafe classique, l’ensemble tient parfaitement en poche, même lorsqu’on manipule le téléphone. Ce n’est pas un accessoire qui demande de la vigilance pour éviter de le perdre, ce qui renforce l’intérêt du Localiser intégré. Le design reste sobre, bien fini, et suffisamment discret pour convenir à un usage quotidien sans attirer l’attention.

Au final, ESR propose un porte-cartes MagSafe bien pratique : une fixation solide, une capacité de rangement supérieure à la moyenne et une intégration à Localiser qui améliore la tranquillité d’esprit au quotidien. Le produit n’essaie pas d’en faire trop et s’adresse surtout à ceux qui veulent limiter ce qu’ils transportent sans sacrifier la sécurité ou la praticité. Une solution simple qui fonctionne comme prévu, ce qui est finalement ce qu’on attend d’un bon accessoire MagSafe.

Ajoutons qu’ESR propose aussi un modèle avec un petit support bien pratique pour transformer votre iPhone en réveil, toujours compatible avec Localiser.

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DIY 3D-Printed Clamshell Turns BOOX Palma Into a Tiny Laptop

Par : JC Torres
19 novembre 2025 à 11:07

Palmtops and UMPCs are experiencing a quiet resurgence among people who want something more focused than a laptop and more tactile than a phone. Compact e-ink devices and tiny Bluetooth keyboards have become affordable building blocks for exactly this kind of project, letting makers combine them into pocketable machines tailored to writing, reading, or just tinkering. The result is a small but growing wave of DIY cyberdecks and writerdecks that feel like modern reinterpretations of classic Psion palmtops.

The Palm(a)top Computer v0 is one of those projects, born on Reddit when user CommonKingfisher decided to pair a BOOX Palma e-ink Android phone with a compact Bluetooth keyboard and a custom 3D-printed clamshell case. The result looks like a cross between a vintage Psion and a modern writerdeck, small enough to slide into a jacket pocket but functional enough to handle real writing and reading sessions on the go.

Designer: CommonKingfisher

The core hardware is straightforward. The BOOX Palma sits in the top half of the shell, while a CACOE Bluetooth mini keyboard occupies the bottom half. The keyboard was originally glued into a PU-leather folio, which the maker carefully peeled off using gentle heat from a hair dryer to expose the bare board. When opened, the two halves form a tiny laptop layout with the e-ink screen above and the keyboard below.

The clamshell itself is 3D-printed in a speckled filament that looks like stone, with two brass hinges along the spine giving it a slightly retro, handcrafted feel. Closed, it resembles a small hardback book with the Palma’s camera cutout visible on the back. Open, the recessed trays hold both the screen and keyboard flush, turning the whole thing into a surprisingly polished handheld computer, considering it’s a first prototype.

The typing experience is functional but not perfect. The maker describes it as “okay to type on once you get used to it,” and thumb typing “kinda works,” though it’s not ideal for either style. You can rest the device on your lap during a train ride and use it vertically like a book, with the Palma displaying an e-book and the keyboard ready for quick notes or annotations.

The build has a few issues that the maker plans to fix in the next version. It’s top-heavy, so it needs to lie flat or gain a kickstand or counterweight under the keyboard, possibly a DIY flat power bank. The hinge currently lacks friction and needs a hard stop around one hundred twenty degrees to keep the screen upright. There are also small cosmetic tweaks, like correcting the display frame width.

Palm(a)top Computer v0 shows how off-the-shelf parts and a 3D printer can turn a niche e-ink phone into a bespoke palmtop tailored to one person’s workflow. Most consumer gadgets arrive as sealed rectangles you can’t modify, but projects like this embrace iteration and imperfection. It’s less about having all the answers and more about building something personal that might inspire the next version.

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This E Ink Clock Prints Fortunes and Jokes on Paper Slips

Par : JC Torres
19 novembre 2025 à 02:45

Time usually passes without much fanfare. Numbers flip on your phone screen, the day blurs from morning coffee to evening TV, and most minutes feel interchangeable. Clocks are background objects, functional but forgettable, doing nothing more than reminding you how late you’re running. There’s no ceremony to checking the time, no surprise waiting when you glance at the display. It’s just numbers counting down to whatever you’re supposed to do next.

Houracle by True Angle approaches this differently. Instead of treating time as something that simply ticks away, it turns each minute into a potential moment of delight. The device is part clock, part oracle, with an eco-friendly thermal printer tucked into the top that spits out fortunes, jokes, riddles, or random facts tied to the exact moment you press the button. It’s the kind of thing that makes you want to check the time just to see what happens.

Designer: True Angle

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The design is deliberately retro. A boxy, powder-coated aluminum body with rounded edges, a large orange or yellow button on the top, and an e-ink display that looks like a pencil sketch on paper. The screen shows the time and date, the weather for your selected location, and a small prompt inviting you to press print. Five icons along the right edge let you select modes, fortune, fact, joke, riddle, or surprise, each represented by simple graphics.

Press the button and the printer whirs to life, a satisfying mechanical sound as the paper slip emerges from the top. At 7:42 in the morning, it might tell you destiny took a coffee break and suggest making your own magic. At 11:15, it could mention your brain runs on about 20 watts, enough to power a dim bulb or a brilliant idea. The messages feel oddly personal because they’re tied to that specific minute.

What makes this genuinely charming is how the slips accumulate. They end up on the fridge, tucked into notebooks, or shared with family members over breakfast. Heck, you might find yourself printing extras just to see what weird fact or ridiculous joke Houracle generates next. The lucky numbers printed at the bottom add an extra layer of whimsy that completes the fortune cookie vibe without taking itself too seriously.

The e-ink screen plays a bigger role than you’d expect. Unlike the glowing blue displays most clocks use, this one reflects ambient light rather than emitting it. That makes it easier on the eyes, especially at night, and gives the whole device a calming presence. The screen updates when you interact with it, but otherwise sits quietly, blending into the background.

Of course, the whole thing runs on wall power, which means no batteries to replace or USB cables to manage. The aluminum body is built to last, assembled with screws rather than glue. Houracle also uses BPA and BPS-free thermal slips, sourced from a company that plants a new tree or restores kelp in the ocean for every box of thermal rolls purchased. True Angle designed Houracle with sustainability in mind, using recyclable materials and avoiding planned obsolescence.

What’s surprising is how much a simple printed slip can shift your mood. A clever riddle before bed, a dumb joke during a work break, or a strange fact that makes you pause for a second. These aren’t profound moments, but they add small pockets of joy to days that might otherwise feel routine. Houracle captures the anticipation you used to feel when cracking open a fortune cookie.

The device sits on your desk or nightstand, looking unassuming until you press that button and hear the printer activate. Then it becomes something else entirely, a little machine that marks time with paper artifacts you’ll probably keep longer than you should. For anyone who’s tired of clocks that just tell time and do nothing else, that small shift makes all the difference.

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Vous cherchez un SSD externe ? J’en ai testé trois et je vous dis lequel choisir

Par : Korben
3 novembre 2025 à 09:26

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

On ne va pas se mentir : trimballer un disque dur externe, aujourd’hui, ça ressemble un peu à sortir un baladeur CD. C’est bruyant, fragile, lent, bref, on passe. Les SSD portables, eux, ont tout changé : finis les plateaux qui tournent et les transferts qui prennent des heures.

Un bon SSD, c’est du silence, de la vitesse (jusqu’à 2 000 Mo/s, contre 120 en moyenne pour un disque dur), et la possibilité d’enregistrer directement ses vidéos 4K ProRes sur un iPhone sans remplir sa mémoire interne.

Lexar, marque bien connue dans la photo et la vidéo, s’est fait une spécialité de ces modèles rapides et compacts, et comme elle m’en a envoyé plusieurs pour les tester (merci bien Lexar), je vous propose ici un petit comparatif rapide de chacun d’entre eux : le SL500, le ES5, et le Professional Go avec Hub. Trois approches et trois usages différents. Les trois fonctionnent très bien sur ordinateur, PC ou Mac, sur smartphone, iPhone ou Android, et même sur tablette genre iPad.

Lexar SL500 : un SSD rapide tout simplement

Le SL500, c’est surtout un SSD rapide. Il exploite l’interface USB 3.2 Gen 2×2, capable d’atteindre jusqu’à 2 000 Mo/s en lecture et 1 800 Mo/s en écriture, du moins sur un ordinateur compatible (les Mac et iPhone non “Pro” se limitent à 10 Gb/s, soit environ 1 000 Mo/s). Dans la pratique, on tourne autour de 1 600 à 2 000 Mo/s, de quoi transférer un film en 4K en quelques secondes.

Il a un design en aluminium, pèse 95 grammes et a en option un étui magnétique MagSafe (le truc au dessus sur la photo) qui lui permet de se fixer directement à un iPhone (ce que vous n’êtes pas du tout obligé de faire hein, c’est aussi un très bon SSD pour ordinateur). Il est certifié IP54, supporte les chutes jusqu’à deux mètres. 

En usage réel, c’est un SSD à l’aise partout : montage vidéo, photo RAW, sauvegarde de projet, il encaisse tout. Là tout de suite on le trouve en dessous des 100 euros en version 1 To, c’est l’un des meilleurs rapports vitesse/prix du moment. Idéal pour les freelances, étudiants ou créateurs polyvalents qui veulent du sérieux sans se ruiner.

Lexar ES5 : le baroudeur pour créateurs mobiles

L’ES5, c’est le SSD qui ne craint pas de sortir du bureau. Même interface rapide que le SL500 (USB 3.2 Gen 2×2), mais un look et une conception différents : coque en silicone, 49 g sur la balance, IP65 et résistance aux chutes jusqu’à 3 mètres. En clair, il encaisse bien la poussière, la pluie, et être jeté à l’arrache dans un sac.

Il est aussi magnétique, avec un aimant puissant et une bague métallique pour l’attacher à n’importe quel smartphone ou laptop. Avec les iPhone « Pro », il permet d’enregistrer en ProRes 4K 60 ou 120 fps. Il dispose d’une application mobile pour sauvegarder automatiquement photos et vidéos sans passer par le cloud, et reste bien sûr compatible PC/Mac.

Côté performance, rien à redire : autour de 1 800 à 2 000 Mo/s, il se est constant, même sur de longs transferts. En France, on le trouve à environ 150 € en 1 To, 220 euros en 2 To. C’est un peu plus cher que le SL500, mais son format plus compact et sa robustesse justifient l’écart. Le public visé ? Les vloggers, journalistes, créateurs de terrain ou voyageurs qui ont besoin d’un SSD à la fois rapide, solide et pratique à accrocher à leur setup.

Lexar Professional Go avec Hub : pour les vidéastes

Le Professional Go est une petite curiosité. Ultra-compact (13 g seulement), il se branche directement en USB-C à l’iPhone, sans câble intermédiaire. Les vitesses sont plus modestes (1 050 Mo/s en lecture, 1 000 Mo/s en écriture) mais largement suffisantes pour enregistrer des vidéos 4K ProRes sans saturer la mémoire du téléphone.

Sa particularité, c’est son hub intégré : quatre ports USB-C permettant de brancher un micro, une lumière, une batterie externe ou un autre accessoire. Une sorte de mini-station de tournage qui transforme l’iPhone en rig complet. Le tout est IP65, protégé contre la poussière et les éclaboussures, et livré avec un bumper en silicone pour encaisser les coups.

L’ensemble est un peu plus cher, environ 190 € en 1 To et 280 € en 2 To, mais c’est un produit assez unique. On peut tout brancher sans adaptateur ni multiprise, et garder un setup léger. Pour les vidéastes iPhone, c’est un outil redoutable : rapide, bien pensé, et surtout très pratique.

Alors on choisit lequel ?

Bah, c’est assez simple en fait. Le Lexar SL500 mise sur la vitesse pure et un bon rapport qualité-prix. Il vise aussi les utilisateurs grand public qui veulent un disque rapide, bien fini et polyvalent.

Le Lexar ES5 s’adresse plus aux créateurs mobiles, qui veulent la même puissance mais dans un format plus solide, prêt pour les tournages en extérieur. C’est le modèle que je préfère, sans aucun doute.

Le Lexar Professional Go avec Hub, lui, cible clairement les vidéastes iPhone : un mini setup complet pour filmer en ProRes tout en branchant micro et lumière.

Ces trois modèles couvrent pratiquement tous les usages, de la sauvegarde quotidienne au tournage pro, avec un vrai souci du détail et des prix cohérents. Quoi qu’il en soit, si vous hésitez encore à passer du disque dur au SSD, croyez-moi : après avoir goûté à 2 000 Mo/s, vous ne reviendrez plus jamais en arrière.

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This Power Station Has Mood Lighting (And 8 Charging Ports)

Par : Ida Torres
7 novembre 2025 à 09:45

Let’s be honest. Most portable power stations look like someone’s idea of what a camping generator should be: utilitarian, bulky, and about as stylish as a cinderblock. They’re the kind of gadgets you’d happily hide in a closet when company comes over. But what if your power station could actually enhance your space instead of cluttering it? Enter the ARKEEP Halo Portable Power Station, and trust me when I say this isn’t your typical backup battery.

Designed by Union Suppo Battery, the ARKEEP Halo is what happens when someone finally asks the question: why can’t emergency power be beautiful? The result is a device that takes its design cues from high-end electronics rather than construction equipment, creating something that looks equally at home on your desk, in your living room, or tucked into your camping gear.

Designer: Union Suppo Battery

What makes this little powerhouse so compelling is how it refuses to be just one thing. It’s an 8-port charging hub that includes dual 140W PD3.1 ports and dual 100W USB-C ports, two 22.5W USB-A ports, and here’s where it gets interesting: dual wireless charging pads at 15W and 5W. This means you can charge your laptop, your phone, your tablet, and your partner’s phone all at the same time without needing to carry around a tangled mess of charging bricks. It’s the kind of thoughtful design that makes you wonder why every power station doesn’t work this way.

But the real genius of the ARKEEP Halo lies in a feature you wouldn’t necessarily expect from a battery pack: integrated lighting. This isn’t just a simple flashlight stuck on the side. The designers created a 270-degree ambient glow system with adjustable color temperature and brightness that can simulate natural light rhythms. During the day, it provides functional illumination. At night, it shifts to warmer tones with lower blue light output, creating an atmosphere that actually helps reduce anxiety and promotes relaxation. It’s like having a mood lamp, a charging station, and an emergency power supply all rolled into one sleek package.

The design philosophy here is refreshingly different. Instead of treating portable power as purely functional, ARKEEP has reimagined it as an everyday essential that seamlessly integrates into modern life. The aesthetic strikes that tricky balance between looking sophisticated enough for your home office while being rugged enough to handle outdoor adventures. It’s the Swiss Army knife approach to power stations, where versatility doesn’t come at the cost of elegance.

This matters more than you might think. We live in an age where our devices are extensions of ourselves. Our phones, laptops, and tablets aren’t just tools anymore but lifelines to work, relationships, and entertainment. The anxiety of running out of battery has become a legitimate modern stressor. Having a power solution that’s not only reliable but actually pleasant to look at and use changes the entire relationship we have with backup power.

What’s particularly smart about the ARKEEP Halo is how it acknowledges that portable power stations have evolved beyond their original purpose. Sure, they’re still great for camping trips and power outages, but increasingly, they’re becoming part of our everyday tech ecosystem. Remote workers need them for flexibility. Content creators use them for on-location shoots. Digital nomads rely on them for constant connectivity. The ARKEEP Halo was designed with all these use cases in mind, not as an afterthought but as core considerations.

The ambient lighting feature deserves special attention because it reveals a deeper understanding of how people actually use these devices. During power outages, harsh white light can feel jarring and cold. The ability to create a softer, warmer glow transforms a stressful situation into something more manageable. It’s a small detail that makes a significant emotional difference, the kind of thoughtful touch that separates good design from great design.

In a market flooded with black boxes covered in neon highlights and aggressive industrial styling, the ARKEEP Halo stands out by simply being more human. It recognizes that technology should adapt to our lives, not the other way around. Whether you’re powering through a blackout, working from a coffee shop, or setting up camp under the stars, this is a device that actually understands what you need. And that’s worth celebrating.

The post This Power Station Has Mood Lighting (And 8 Charging Ports) first appeared on Yanko Design.

Test de la multiprise UGREEN : bien plus sympa que vos multiprises moches

Par : Korben
27 octobre 2025 à 15:38
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

J’ai déménagé récemment, et je me suis très vite rendu compte que je manquais de multiprise, rapport que je suis un Geek avec un bureau franchement très encombré de produits tech divers et variés qui ont besoin d’énergie. L’ami Korben a eu la gentillesse de me dépanner d’une multiprise, mais franchement, elle fait un peu peur, dans son jus bien vintage. Du coup je suis parti à la recherche de multiprises un peu sympa, et comme souvent, je me suis arrêté sur une proposions de la marque UGREEN

Donc UGREEN, j’en parle souvent, vous connaissez sûrement pour leurs câbles et leurs chargeurs GaN de qualité, a sorti une multiprise 10-en-1 . Et franchement, après quelques jours de test, j’en suis bien content.

Le concept n’a rien d’original, un seul bloc qui offre dix sorties. D’abord, vous avez six prises AC (les bonnes vieilles prises 220V). Le point crucial ? Le bloc encaisse une puissance totale de 3680W. En gros, vous pouvez y brancher votre PC gaming avec son alim de 1000W, votre écran 4K, votre imprimante 3D et même la bouilloire pour le café sans foutre le feu à votre baraque.

Mais le vrai plus, ce qui fait la différence avec la rallonge moche que Korben m’a filé (punaise mais je suis d’une ingratitude moi…), c’est la partie chargeur intégrée. On se retrouve avec trois ports USB-A pour les accessoires, et surtout, un port USB-C. Et là, UGREEN n’a pas fait les choses à moitié. Ce port USB-C n’est pas un gadget anémique ; il envoie 20W en Power Delivery. Traduction : il recharge votre iPhone (compatible 17, 16, 15…) ou votre Galaxy (S25, S24…) franchement rapidement, et c’est très bien.

Alors vous allez me dire que des multiprises avec des ports USB et même USB-C ça existe déjà, mais en général ils sont franchement lents. Alors que là, non. Le bloc est équipé d’une puce GaN. Le Nitrure de Gallium, pour les intimes. C’est plus petit, ça chauffe beaucoup moins qu’un chargeur silicium classique, et c’est bien plus efficace énergétiquement. C’est ce qui permet au bloc de ne pas se transformer en radiateur d’appoint tout en délivrant sa puissance. On valide fort.

Au-delà de la puissance, c’est sobre, c’est noir, ça fait “pro” sur un bureau. Les prises sont bien espacées, on peut enfin brancher ces satanés adaptateurs secteur sans jouer à Tetris. UGREEN a même pensé à un interrupteur indépendant (avec un petit clic satisfaisant) pour tout couper d’un coup. Des petits patins en silicone sous le bloc l’empêchent de glisser sur le bureau. C’est bête, mais ça évite de tout arracher en tirant sur un câble.

Niveau sécurité, c’est du solide. Ce n’est pas une simple rallonge, c’est un bloc parafoudre et surtension. Il embarque aussi toutes les protections habituelles (surcharge, court-circuit, etc.). Vos précieux joujoux sont à l’abri. Le câble de 1,3m est bien épais, on sent que c’est fait pour durer.

Franchement, pour un setup propre, que ce soit au bureau, derrière la TV du salon ou sous la table de chevet, c’est parfait. On branche tout, on recharge tout (rapidement !), et on le fait en sécurité, et on limite un peu le “cable management” de l’enfer et la multiplication des blocs chargeurs.

Et le meilleur pour la fin : le prix. D’habitude, ce genre de bestiole bien finie avec du GaN et du Power Delivery 20W tourne autour de 40€, c’est d’ailleurs son prix habituel, mais en ce moment sur Amazon, elle est à moins de 30 euros . Je viens d’en commander deux de plus, et c’est la raison pour laquelle je pense à vous rédiger ce petit test :p

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Boitiers CPL - C'est l'heure de tester le Kit Multiroom Devolo Magic 2 WiFi 6 Next

Par : Korben
22 octobre 2025 à 06:25
– Article en partenariat avec Devolo –

J’avais besoin de WiFi dans un local technique pour brancher des caméras de surveillance parce que mes routeurs sont à l’opposé de la zone à couvrir et finalement la solution la plus fiable et la moins prise de tête que j’ai trouvé, ça a été de passer par mes bons vieux câbles électriques.

Devolo m’a donc envoyé ses Magic 2 WiFi 6 Next en test (Le multiroom kit avec trois adaptateurs), et je les ai vraiment trouvé pas mal. Le kit se compose d’une prise LAN que vous branchez à votre routeur en ethernet, et de deux prises WiFi que vous placez là où vous voulez chez vous. Et le tout communique via votre réseau électrique (technologie CPL ou powerline pour les intimes), et diffuse du WiFi 6 avec mesh intégré.

L’installation prend deux minutes chrono. Vous branchez les trois prises, vpous attendez un peu que toutes les diodes passent au blanc, puis avec l’app devolo Home Network, vous configurez tout ça. Aucune bidouille, aucun paramétrage manuel puisque les trois adaptateurs sont détecté tout seuls et créent alors un réseau mesh transparent.

Attention ne branchez JAMAIS vos adaptateurs CPL sur une multiprise car ça crée des perturbations qui massacrent les perfs. Branchez-les directement sur une vraie prise murale, et ensuite vous pourrez utiliser la prise intégrée aux boitiers pour brancher votre multiprise par-dessus.

Le gros atout du CPL face au mesh WiFi classique, c’est sa stabilité. Un mesh WiFi pur va fluctuer selon les interférences, les murs, les voisins qui balancent du 2.4 GHz à fond. Alors que là, le backhaul (la connexion entre les prises) passe par les câbles électriques à 2400 Mbps max, donc zéro fluctuation. Le WiFi 6 diffusé ensuite monte jusqu’à 3000 Mbps (574 Mbps en 2,4 GHz + 2402 Mbps en 5 GHz), avec du roaming automatique entre les prises.

Par contre, je vais être clair, les performances dépendent énormément de la qualité de votre installation électrique. Si votre maison date de Mathusalem avec un câblage pourri, vous n’atteindrez jamais les débits théoriques. C’est le seul point noir du CPL… ça dépend énormément de votre install électrique.

Ensuite, j’ai mesuré les performances avecc ma configuration. Même étage que le routeur je suis environ 500 Mbps en CPL et au premier étage je suis entre 330 et 415 Mbps selon où je me trouve. Du coup, pour mes caméras de surveillance ou se faire un film en streaming 4K, c’est largement suffisant et surtout ultra-stable.

Si vous regardez bien, sous chaque prise WiFi il y a deux ports Ethernet gigabit, ce qui est parfait si vous avez des appareils filaires à brancher (NAS, switch, caméras PoE avec injecteur…etc) et tout le réseau est extensible puisque vous pouvez ajouter autant de prises Devolo que vous voulez partout chez vous pour couvrir une surface gigantesque.

Le système Devolo embarque également tout ce qu’on attend d’une solution de routeurs / répéteurs modernes : un chiffrement WPA3 pour la sécurité, du WiFi invité pour vos potes histoire de pas leur filer votre mot de passe principal, contrôle parental avec programmation horaire, et Airtime Fairness pour que vos appareils rapides ne soient pas ralentis par le vieux smartphone de belle-maman. Tout se pilote bien sûr via l’app devolo Home Network, disponible sur iOS et Android.

Pour ceux qui ont des connaissances pointues en CPL, sachez que ce système utilise la techno G.hn qui est plus rapide et plus stable que l’ancien HomePlug AV2. Donc si vous avez de vieux adaptateurs CPL qui traînent, autant les offrir à quelqu’un qui n’en a pas parce que la différence de performances est énorme. Le G.hn gère carrément mieux les perturbations et offre des débits très supérieurs.

Voilà, alors si vous êtes comme moi et que vous avec une maison ancienne avec des murs épais, plusieurs étages, ou des zones où le WiFi ne passe juste pas genre loin dans le jardin, suffit d’avoir l’électricité et vous êtes opérationnel. Par contre, si vous vivez dans un appart récent avec des murs en placo, un simple système mesh WiFi fera probablement l’affaire pour moins cher.

Maintenant le truc qui pique un peu mais quand on aime on ne compte pas, c’est le prix. Comptez environ 400-470 euros le kit Multiroom (3 adaptateurs) selon les revendeurs. C’est cher, mais quand l’alternative c’est de tirer des câbles Ethernet à travers toute la baraque ou de galérer avec un mesh WiFi capricieux dans une vieille baraque, ça se défend. Et Devolo offre une garantie de trois ans, donc vous êtes tranquille.

Notez qu’il existe aussi un Starter Kit à deux adaptateurs autour de 240-260 euros si vous avez une surface plus modeste.

Donc voilà, pour mon local technique et mes caméras WiFi, le Devolo Magic 2 WiFi 6 Next fait très bien le job. Après c’est comme tout, c’est une solution miracle mais pour des cas comme le mien où le WiFi classique ne suffit pas et que les distances sont trop grandes, ça change la vie ! Et maintenant j’ai un super wifi pour bosser dans le jardin et faire mes tests de caméras !

Cet appareil photo pour enfants est tellement génial que j’en veux un pour moi

Par : Korben
20 octobre 2025 à 16:28
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Petite tranche de vie pour commencer. Il y a quelques jours, j’étais invité à l’anniversaire d’un enfant de 4 ans. Comme vous le savez peut-être, mon dada à moi, c’est la photo. Du coup, je me suis mis en quête d’un cadeau sympa sur ce thème, un truc pour l’initier.

Je suis tombé sur cet appareil : un Appareil Photo Instantané de la marque CAMCLID , alors ça a l’air d’être un nom de marque de chinoiserie, mais en vrai ils ont vraiment une grosse gamme d’appareils, et c’est vraiment très chouette**.**

Honnêtement, en voyant le prix (on va y revenir), je me suis dit : “Bon, ça va être un gadget en plastique un peu nul, mais ça fera illusion 10 minutes et ça fera le job pour l’anniversaire”.

Et bien, laissez-moi vous dire que je me suis planté. Mais alors, royalement. Ce truc est complètement génial !

Le “Wow Effect” de l’instantané (sans se ruiner)

Je l’ai déballé pour le tester avant de l’offrir (on est pro ou on l’est pas) et j’ai été bluffé. C’est incroyable. L’appareil permet de prendre des photos, mais surtout… de les imprimer. Tout de suite. Ou à la demande, en choisissant depuis la galerie.

C’est là toute la magie du truc. On n’est pas sur une technologie Polaroid ou Instax qui vous coûte un bras et deux reins à chaque recharge. Non, ici, on parle d’impression thermique sans encre. En gros, ça s’imprime en noir et blanc sur des rouleaux de papier qui ne coûtent franchement* rien* ( les 10 rouleaux sont à 8 balles ici ).

La qualité ? Franchement, c’est chouette. C’est du noir et blanc (avec deux modes : matriciel ou niveaux de gris), mais c’est net, contrasté, et en fait ça a un charme fou. Le gamin peut mitrailler, imprimer 100 photos dans l’après-midi, ce n’est pas grave. C’est absolument super.

Et le meilleur, c’est ce que la marque appelle le “DIY Painting”. L’enfant imprime sa photo et… il la colorie ! Ça transforme un simple jouet tech en une activité manuelle et créative. J’adore.

Plus qu’un simple “imprimeur”

Bon c’est un détail, mais l’appareil fait vraiment pas pal de trucs pour le prix. C’est un vrai petit couteau suisse numérique pour les mômes.

  • Vraies Photos et Vidéos HD : Il ne fait pas qu’imprimer. Il enregistre des photos couleur et des vidéos en 1080P.
  • Carte 32GB fournie : Pas de blague. L’appareil est livré avec une carte microSD de 32 Go déjà installée. Pas besoin de courir en acheter une. On déballe, ça marche.
  • Filtres et Stickers : Évidemment, pour le fun, il y a plus de 20 filtres et cadres photo intégrés. Moustaches de chat, cadres d’Halloween, chapeaux de pirate… De quoi customiser ses œuvres avant l’impression.
  • Zoom 10x : C’est du zoom numérique, donc on ne va pas se mentir, la qualité se dégrade vite. Mais pour un enfant qui veut “voir de plus près” comme un espion, ça fait totalement le job et ça l’éclate.
  • Extras : Ils ont même réussi à coller 3 jeux de puzzle, un mode rafale, un time-lapse et un lecteur de musique. Je vous le dis, c’est un couteau suisse le truc.

L’appareil en lui-même ( le modèle M5 , en bleu pour mon test) est robuste, tient bien dans les petites mains, et l’écran couleur de 2 pouces est suffisant pour viser. La batterie rechargeable promet jusqu’à 4 heures d’utilisation, ce qui est largement assez pour griller un après-midi complet. Il se recharge en USB-C.

Et le prix ?

On en vient au point qui fâche… ou plutôt, qui fait plaisir. L’appareil est affiché sur Amazon à 45,99 € . C’est déjà correct pour un appareil photo instantané + numérique avec carte 32 Go et 3 rouleaux de papier inclus.

MAIS ! Il y a tout le temps des coupons et des promotions, vous pouvez sans problème l’avoir à 30 balles , et même moins.

Un tel prix pour un appareil photo HD, qui filme, qui imprime à volonté sans encre, avec la carte mémoire et les rouleaux inclus ? C’est un grand oui.

Verdict

J’y suis allé franchement à reculons, en pensant acheter une connerie en plastique qui finirait à la poubelle. Je me suis retrouvé avec un produit malin, ludique, créatif et surtout économique à l’usage (le nerf de la guerre avec les enfants).

Pour un anniversaire (la boîte dit 3-12 ans, le petit de 4 ans a adoré, il ne le lâche plus), pour Noël qui approche, ou juste pour initier vos gosses à la joie de la photo papier sans vous ruiner, c’est un immense OUI.

Si ça vous tente, le lien vers la bête est par ici .

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

J'ai testé un détecteur de gaz radon et c'est flippant !

Par : Korben
8 octobre 2025 à 15:14
– Article contenant des liens affiliés –

Vous connaissez le radon ? C’est ce gaz radioactif qui s’infiltre insidieusement dans nos maisons depuis le sol. Et si vous habitez en Auvergne comme moi ou en Bretagne ou dans une région où il y a du radon , vous êtes peut-être dans une zone à risque. C’est pour cela que j’ai acheté un détecteur Ecosense EcoBlu EB100 pour voir enfin comment ça se passait vraiment chez moi.

Mais avant de vous parler du produit, laissez-moi quand même vous expliquer ce qu’est le radon… Il s’agit d’un gaz radioactif naturel qui vient de la désintégration de l’uranium présent dans le sol. Il est inodore, incolore, invisible. Vous ne le sentez pas, vous ne le voyez pas, mais il est là. Et le truc, c’est qu’en Auvergne, avec notre sous-sol granitique du Massif Central, on est particulièrement exposé.

Le radon entre donc dans les maisons par les fissures, les passages de canalisations, les caves, les vides sanitaires…etc et remonte du sol pour finir par se concentrer dans les pièces fermées. Et là, c’est pas bon du tout !! Le Centre international de recherche sur le cancer a classé le radon comme cancérigène certain pour le poumon depuis 1987. En France, c’est d’ailleurs la deuxième cause de cancer du poumon après le tabac. Rien que ça ! Le radon c’est donc environ 3 000 décès par an.

Du coup, ça fait un petit moment que je sais que l’Auvergne fait partie des zones les plus touchées en France avec la Bretagne, le Limousin et la Corse, mais je m’en étais pas trop inquiété jusqu’à ce que je lise un article scientifique là dessus. J’ai donc voulu savoir à quoi moi et ma famille on s’exposait parce que bon, c’est vrai qu’en hiver, je suis pas le champion de l’aération ! Puis surtout, on est un peu impuissant face à un truc qu’on ne voit pas. Donc au moins, si on peut le mesurer, on peut agir !

Bref, l’ Ecosense EcoBlu EB100 , c’est un petit boîtier blanc de la taille d’un réveil. Vous le branchez, et en 10 minutes vous avez déjà une première lecture. Après pour un résultat vraiment fiable, il faut attendre une heure. L’écran LED affiche alors le taux de radon en temps réel, la moyenne du jour, de la semaine et du mois. C’est super simple à utiliser !

Initialisation en cours…

Y’a même une alarme qui se déclenche si les niveaux deviennent critiques. Pour info, le seuil de référence en France, c’est 300 Bq/m3 en moyenne annuelle. Au-dessus, il faut agir.

Chez moi, les premiers jours, j’étais à 450 Bq/m3 dans le salon. Carrément au-dessus du seuil donc. Du coup, j’ai fait ce qu’il faut : aérer à fond ! Et assez rapidement finalement, c’est revenu à des taux plus tolérables, autour de 100 Bq/m3, parfois moins. J’ai renforcé la ventilation dans les pièces du sous-sol car c’est par là que ça arrive et surtout j’aére tous les jours. Et ce qui est bien avec cet appareil, c’est que machinalement je pose les yeux dessus et donc j’y pense et j’ouvre les fenêtres.

Sans ça, j’en aurais pas vraiment conscience par contre, et finalement je ne saurais pas si j’aère la maison assez ou pas.

Car ce qui est important à comprendre surtout, c’est que le taux de radon varie tout le temps. Selon la météo, la saison, l’état de vos fondations, le chauffage que vous mettez…etc. En fonction de tout un tas de critères, les taux peuvent monter ou descendre. C’est assez random. Y’a des matin, je me lève et je suis à 30 Bq/m3 et d’autres matins, c’est la fiesta largement au dessus des 300… Bref, l’EcoBlu me permet de surveiller ça en continu.

Après à ce prix, c’est quand même un investissement mais ça vaut le coup si vous êtes en zone à risque et si vous avez une maison ou en rez de chaussée d’apart. Si vous êtes en étage, y’a moins de risque d’être intoxiqué par cette saloperie.

Maintenant ce qu’il faut retenir c’est que le radon, c’est pas une blague. C’est comme si vous fumiez plusieurs clopes tous les jours ! Imaginez ça sur des années, ça craint ! Et si en plus, vous fumez pour de vrai, le risque de cancer du poumon est multiplié par 20.

L’idéal c’est quand même de repasser sous la barre des 100…

Voilà, après en dehors de l’aération, vous pouvez aussi agir sur l’étanchéité de votre maison. Colmater les fissures dans les dalles, les passages de canalisations, mettre une membrane étanche dans la cave si elle est en terre battue, ventiler les vides sanitaires…etc… Bref, limiter les entrées du radon depuis le sol c’est jouable ! L’idéal, c’est évidemment une VMC qui tourne en continu et pas juste une aération ponctuelle car le radon s’accumule quand l’air ne circule pas. Ainsi, plus vous renouvelez l’air intérieur, moins le radon stagne.

Perso, j’ai installé 2 ventilations à la cave comme je vous le disais. C’est mieux que rien, mais ça ne suffit pas.

En tout cas, je ne regrette pas cet achat de détecteur temps réel. Matérialiser un danger invisible, ça change tout et maintenant, que je vois les chiffres, je sais quand il faut aérer, et je sais que je ne me pèle pas les noisettes pour rien en plein hiver. Bref, c’est rassurant surtout !

Voilà, donc si vous êtes en Auvergne, Bretagne, Limousin, Vosges, Alpes, Corse… ou n’importe quelle zone granitique, je vous conseille vivement de mesurer le radon chez vous. Vous serez peut-être surpris… au mieux, vous découvrirez que tout va bien et vous pourrez renvoyer ce détecteur à Amazon et vous faire rembourser et au pire, vous corrigerez ce problème avant qu’il ne devienne grave…

Sources :

Synology capitule et annule le verrouillage des disques durs après 6 mois de boycott acharné

Par : Korben
8 octobre 2025 à 14:44

6 petits mois, c’est le temps qu’il aura fallu à la communauté “NAS” pour faire plier Synology et son délire de verrouillage propriétaire . Comment je le sais ? Hé bien DSM 7.3 vient de sortir, et visiblement, leurs foutues restrictions sur les disques Seagate et Western Digital ont complètement disparu. Woohoo \o/ !

Ça s’est fait sans fanfare, ni excuses, mais juste en mode marche arrière à fond la caisse ! Ouééé, c’est ça qu’on voulait !

Retour rapide quand même sur l’histoire… En avril de cette année, on ne sait pas pourquoi, Synology décide que ses nouveaux NAS DS925+, DS1825+ et DS425+ n’accepteront que leurs propres disques HAT3300 et HAT5300.

Traduction, faudra payer 30 à 40% de plus pour exactement le même matos rebrandé ! Du coup, les Seagate IronWolf et WD Red qui fonctionnaient parfaitement depuis des années, aux chiottes ! Et si vous voulez installer DSM sur un disque non-approuvé, un NAS comme le DS925+ refuse carrément de booter.

Et comme y’a pas de VRAIE raison technique à cela, la réaction a été immédiate et brutale. Les ventes se sont effondrées, les revendeurs ont commencé à recommander activement QNAP, TrueNAS, UGREEN et les clients ont annulé leurs précommandes.

Même les reviewers tech ont qualifié ce move de Synology de “greedy and shortsighted” ce qui pourrait se traduire par cupide et sans vision à long terme…

Et au delà du boycott pur, la communauté s’est aussi bougé le cul. Car pendant que Synology tenait bon sur sa position stuipide, des scripts Python ont fleuri un peu partout sur GitHub pour contourner ces restrictions. Des guides complets ont été publiés sur XDA-Developers expliquant comment se connecter en Telnet et patcher l’installation de DSM pour accepter n’importe quel disque et c’est comme ça que des gens ont commencé à hacker leurs propres NAS qu’ils venaient d’acheter plusieurs centaines d’euros.

C’est ça la vraie passion les gars !! ^^

Puis quand vos propres partenaires commerciaux historiques vous lâchent, vous savez que vous avez merdé…. Breeeef, Synology a fait demi-tour et même si ce n’est pas une révélation éthique (ils ont juste compris que le jeu n’en valait pas la chandelle), c’est tout à leur honneur ! D’autres se seraient entêtés jusqu’à mettre en danger la boite. Je pense par exemple à HP et ses cartouches d’imprimante à puce… Ça s’est soldé par un règlement judiciaire à plusieurs millions et une réputation en charpies.

Voilà… Donc maintenant avec DSM 7.3 qui sort aujourd’hui, les disques Seagate et Western Digital fonctionnent à nouveau comme avant. Le monitoring complet, les alertes, et toutes les fonctionnalités software sont rétablies et ces maudits warnings “unverified” ont disparu. Vous pouvez à nouveau installer ce que vous voulez dans votre NAS comme si de rien n’était !

Ouf ! Encore une victoire de canard gagnée en votant avec le portefeuille !

Source

DJI Just Launched a Secret Camera Brand to Dodge US Tariffs (Here’s Where To Buy It)

Par : Sarang Sheth
11 octobre 2025 à 00:30

There’s a new camera brand in town called Xtra, and it’s selling cameras that look exactly like DJI’s most popular models, except without the tariff markup. I’m talking functionally identical hardware here. The Xtra Muse is the DJI Osmo Pocket 3. The Xtra Edge is the DJI Osmo Action 4. Same specs, same build, same everything, just different branding on the box and a price tag that doesn’t include the Trump tax that’s been crushing DJI’s US pricing for the past year.

Here’s where it gets wild: Xtra has no history, no visible headquarters, no executives with public profiles, and exists seemingly for the sole purpose of selling rebranded DJI cameras in America. The Verge literally tore down the Xtra Muse and found that the internals are identical to the Osmo Pocket 3, down to the circuit boards and processors. This isn’t some knockoff operation reverse-engineering DJI’s tech. This is DJI’s tech, just with a different name slapped on it. The only logical conclusion is that DJI created Xtra as a shell brand to dodge tariffs and customs scrutiny.

Can you tell the difference without looking at the branding?

Trump’s trade war turned DJI’s US pricing into an absolute disaster. Baseline tariffs on Chinese goods started at 10 percent, then got ratcheted up to 25 percent and higher for electronics. DJI drones and cameras got hammered. The Osmo Pocket 3, which should cost around $500, now sells for $799 in the US after multiple tariff-driven price hikes. Add to that the fact that US Customs has been randomly blocking some DJI shipments entirely, citing vague forced labor concerns even though there’s no actual ban in place. The company has been caught in this bureaucratic nightmare where products either vanish from shelves, show up at inflated prices, or appear through sketchy third-party sellers with no clear connection to DJI.

So DJI ‘allegedly’ decided to get creative. Can’t import cameras under the DJI brand without getting slapped with massive tariffs? Fine, just create a new brand and import them that way. Xtra sells exactly three products, all of which correspond perfectly to DJI’s current consumer camera lineup. The Muse is the Pocket 3. The Edge is the Action 4. There’s another action camera variant that also maps directly to a DJI product. Every single item in Xtra’s catalog is a DJI camera wearing a disguise. The company has zero web presence beyond a barebones storefront, and when journalists ask DJI about any connection to Xtra, the company refuses to comment. That silence is basically an admission.

Sean Hollister’s (Verge) investigation reveals that even the UI is almost identical, along with inner components.

The Verge’s teardown really sealed the case. They pulled the Xtra Muse apart and photographed every component. The sensor, the processor, the gimbal mechanism, the circuit board layout, everything matches the Osmo Pocket 3 exactly. You can’t fake that level of identity through copying. These cameras are coming off the same production line, built to the same specifications, probably in the same Chinese factory. The only differences are cosmetic: different logo, slightly tweaked packaging, maybe some altered serial number formatting. That’s it. You’re buying a DJI camera, you’re just not buying it from DJI, at least not officially.

Xtra products don’t sell through DJI’s official US store, which has been a ghost town for months due to the tariff chaos. Instead, they show up on Amazon through sellers like AeroTech Hubs, which has no existence outside of its Amazon storefront and sells almost nothing but DJI-adjacent gear. AeroTech also sells one random hairdryer for some reason, presumably to look less suspicious. The whole operation feels like a front, and that’s because it probably is. By routing products through Xtra and using different product codes, DJI can potentially avoid the tariff classifications that hit Chinese-branded electronics and slip past customs agents who are specifically looking for DJI shipments. It’s logistical sleight of hand.

Customs enforcement has been wildly inconsistent, which creates the exact conditions for this kind of workaround. Some DJI shipments get blocked. Others go through fine. There’s no clear pattern, no transparent ruleset, just arbitrary decisions made by officials applying vague guidelines. DJI has clearly decided it’s not going to sit around waiting for clarity or hoping tariffs will ease. The company needs to sell cameras in America, so it’s going to sell cameras in America, even if that means inventing a fake brand to do it. The audacity is almost impressive.

Tariffs only work if customs can identify and tax the goods being imported. DJI’s Xtra scheme exposes how fragile that enforcement actually is in the age of global supply chains and e-commerce. Change some branding, tweak the packaging, route things through intermediaries, and suddenly your 25 percent tariff disappears into bureaucratic confusion. The US government can tax DJI cameras all it wants, but if those cameras show up under a different name at the original price, what exactly has the tariff accomplished? It’s performative policy that sounds tough but collapses the moment a company with resources decides to challenge it.

DJI is making a statement here, both to regulators and to customers. To regulators: your tariffs are ineffective and we’ll prove it by continuing to sell our products anyway. To customers: you can still get our cameras, they’ll just arrive in a box that says Xtra instead of DJI, and honestly, does that really matter? The hardware is identical, the performance is identical, and the price is better because you’re not paying the Trump tax. Most buyers won’t care about the brand name as long as the gimbal works and the footage looks good. DJI knows this, which is why the strategy makes perfect sense.

The fact that this is happening so openly is the most brazen part. Xtra isn’t hiding in the shadows or operating through obscure gray market channels. The cameras are right there on Amazon, available for anyone to buy, with product pages that make only minimal effort to pretend they’re not DJI products. The specs match, the design matches, the accessories are compatible, everything about the presentation screams “this is a DJI camera” except for the brand name. It’s DJI basically winking at US customs officials and daring them to do something about it. And so far, customs hasn’t figured out how to respond.

This whole situation reveals the limits of using tariffs to target specific companies in a globalized market. DJI is too big, too sophisticated, and too embedded in worldwide manufacturing and distribution networks to be easily contained by trade policy. The company can pivot, rebrand, reroute, and adapt faster than regulators can write new rules. Xtra proves that. You can slap a 25 percent tariff on DJI products, but if DJI can simply create a shell brand and import the same products under a different name, your tariff is pointless. You’ve created paperwork, not protection.

American consumers are the real winners here, assuming they’re comfortable with the absurdity of buying a DJI camera that pretends not to be a DJI camera. You get the Osmo Pocket 3’s incredible stabilization and 1-inch sensor without paying an extra $300 for the privilege of geopolitical posturing. You get the Action 4’s rugged build and high frame rates without the tariff markup. The cameras work exactly the same because they are exactly the same. DJI’s gamble is that most people will take that deal, and they’re probably right. Brand loyalty matters less than price and performance, especially when the brand in question is basically an open secret.

What happens next is anyone’s guess. US Customs could crack down on Xtra imports once they figure out what’s going on, but that requires resources and enforcement mechanisms that may not exist. DJI could expand the Xtra lineup to include drones and other products if the strategy works. Other Chinese companies facing similar tariff problems could copy the playbook. Or the whole thing could collapse in legal challenges and regulatory scrutiny. For now, though, Xtra exists, DJI cameras are flowing into the US at pre-tariff prices, and the tariff regime looks ineffective and easily gamed. That’s the story.

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Test de la nouvelle Logitech MX Master 4 : la souris ultime

Par : Korben
6 octobre 2025 à 09:21

– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

La Logitech MX Master 4 apporte quelques ajustements bien sentis à une formule déjà très aboutie. Haptique, gestes, ergonomie : tout est là pour une expérience fluide et efficace, que ce soit sur Mac ou PC. Je l’ai testé ici sur Mac, avec un constat simple : difficile de trouver mieux.

Une évolution, pas une révolution

Avec la MX Master 4 , Logitech ne bouleverse pas sa recette. Et tant mieux. Le design reste globalement le même que celui de la 3S : une souris sculptée pour les droitiers, pensée pour épouser la main sans effort. Les matériaux ont été revus : fini les revêtements soft-touch qui s’abîment vite et étaient vite sales, place à des plastiques plus bruts mais plus durables. Les clics sont encore plus silencieux, les boutons mieux positionnés, et la glisse gagne en souplesse grâce à des patins PTFE beaucoup plus larges. C’est une mise à jour maîtrisée, centrée sur l’usage et l’optimisation.

Screenshot

L’Action Ring change la donne

La vraie nouveauté, c’est l’Action Ring. Un menu circulaire qui s’affiche autour du curseur quand on presse le nouveau bouton sous le pouce, baptisé Haptic Sense Panel. On y place jusqu’à huit raccourcis personnalisés : apps, dossiers, fonctions système… Le retour haptique, ultra satisfaisant, vient valider les actions avec une petite vibration, discrète mais efficace. Le tout s’intègre parfaitement à macOS et Windows via Logi Options+, qui permet de créer des profils différents selon les applications. À l’usage, on gagne du temps. Beaucoup.

Une personnalisation très poussée

Comme les modèles précédents, la MX Master 4 mise sur la personnalisation : sept boutons configurables, deux molettes (verticale motorisée, horizontale crantée), capteur 8 000 DPI, compatibilité multi-appareils, et désormais une couche haptique ajustable.

On peut choisir l’intensité des vibrations, désactiver certaines fonctions, ou encore créer des macros avec les Smart Actions. Pour aller plus loin, un marketplace propose des plugins selon les apps : Adobe, Zoom, Excel, Figma, etc. Peu nombreux pour l’instant, mais en développement.

Screenshot

Mac vs PC : rien de majeur

La version Mac, testée ici, se distingue surtout par ses coloris exclusifs (Space Black, White Silver). Elle est livrée sans dongle USB-C (présent sur la version PC). Mais à l’usage, aucune différence en termes de performance ou de fonctions, contrairement à la MX Master 3S qui était moins performantes en Bluetooth (perso j’avais acheté le dongle à part). Dans tous les cas, la souris est pleinement compatible avec macOS ET Windows.

Une autonomie solide et une vraie réparabilité

Côté autonomie, Logitech annonce 70 jours sur une charge complète. Et bonne nouvelle : on peut recharger tout en continuant d’utiliser la souris (contrairement à la Magic Mouse…). Autre point à noter : la facilité de démontage. Pas besoin d’arracher les patins pour accéder aux vis, et des pièces comme la batterie seront disponibles en remplacement. Une rareté sur ce segment.

On en dit quoi ?

La MX Master 4 n’est pas une révolution, mais c’est clairement une des meilleures souris du marché pour un usage pro ou créatif. Confort, silence, fluidité, personnalisation : tout y est. L’Action Ring est au final un vrai plus une fois adopté, et l’intégration au système macOS est bien pensée. Même si vous avez une 3S, ça peut valoir le coup d’investir, croyez-moi ! Reste juste à espérer qu’un jour Logitech pense aux gauchers. Elle est dispo sur Amazon en cliquant ici !

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

SUSA is a visionary AI-powered companion device concept for ASUS

Par : Ida Torres
6 octobre 2025 à 17:00

SUSA is a bold new concept in AI-powered companion devices, designed by Future Facility as a visionary project for ASUS. In a world where artificial intelligence is becoming an integral part of our daily routines, SUSA emerges as a thoughtful reimagining of what it means to live with technology that truly understands and supports its users.

Unlike typical smart speakers or digital assistants, SUSA is designed to serve as an intelligent and emotionally responsive companion. Developed as a conceptual project for ASUS, the device leverages advanced AI to learn routines, preferences, and contexts, adapting its responses to suit the individual. With SUSA, the focus isn’t just on automating tasks or providing answers but on creating a meaningful and intuitive relationship between user and device.

Designer Name: Future Facility

One of SUSA’s most innovative features is its emphasis on emotional intelligence. The device is engineered to recognize subtle cues in voice and behavior, allowing it to respond empathetically. Whether it’s offering calming support during stressful moments or celebrating your achievements, SUSA’s goal is to provide a sense of understanding and companionship that goes beyond typical digital interactions.

The physical design of SUSA reflects the same commitment to user experience. Future Facility has crafted a device that blends seamlessly into any living space, with a minimalist and inviting aesthetic. The interface relies on voice, soft lighting cues, and gentle movements, making interactions feel natural and unobtrusive. This approach ensures that SUSA is not only easy to use but also enhances the atmosphere of the home rather than detracting from it.

SUSA’s conceptual platform is also designed for openness and adaptability. It can connect with a wide range of services, manage schedules, control smart home devices, and deliver reminders, all while learning and evolving to fit a user’s unique lifestyle. Accessibility is at the forefront, with features that ensure people with different needs can benefit from SUSA’s capabilities, making technology more inclusive for everyone.

Privacy and security are fundamental to SUSA’s design. The device incorporates strong data protection measures and gives users control over their information. With capabilities for local processing, sensitive conversations and interactions can remain private, building trust between the user and their AI companion. SUSA represents a new direction for ASUS and Future Facility, showing how AI can move beyond functionality to foster genuine emotional connections. It highlights a future where technology doesn’t just work for us. It works with us, enriching our well-being and supporting us both practically and emotionally.

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How the Kirigami Parachute Concept Could Change Drone Deliveries

Par : Ida Torres
6 octobre 2025 à 16:20

Drone delivery technology is advancing quickly, and one of the most intriguing new concepts comes from the Mechanical Engineering department at Polytechnique Montreal. Their design, known as the kirigami parachute, offers a fresh take on how packages might be safely delivered from the sky in the future. Inspired by the Japanese art of kirigami, which involves folding and cutting paper to create patterns and structures, this innovative idea could help solve some familiar challenges in aerial deliveries.

Traditional parachutes have been a staple for many airborne tasks, but they can struggle to control descent in windy or unpredictable conditions. The kirigami parachute concept introduces a clever network of holes and slits, arranged in specific patterns, to regulate airflow and keep the parachute stable. These patterns are designed to help prevent packages from swinging or spinning as they descend, even when the wind picks up.

Designer Name: Mechanical Engineering department at Polytechnique Montreal

What makes the kirigami parachute concept stand out is its potential for highly accurate deliveries. In drone logistics, getting a package to land exactly where it’s supposed to is crucial. A missed drop can lead to damaged goods or safety issues. Early tests and simulations suggest that the kirigami design could help packages land closer to their intended targets compared to traditional round parachutes, thanks to its improved stability.

Another appealing aspect of this concept is how compact it can be. Kirigami parachutes are designed to fold flat, making them easy to store within the limited cargo space on drones. This could make them especially useful for commercial drone delivery systems, where every bit of space and weight matters. Plus, the design is flexible enough to be adapted for different sizes of packages, from small medical shipments to bigger consumer deliveries.

Environmental impact is a growing concern for all delivery systems, and the kirigami parachute concept addresses this as well. By using less material without sacrificing strength or functionality, it has the potential to be more eco-friendly than traditional parachutes. This could help make widespread drone delivery services more sustainable in the long run.

It’s important to note that the kirigami parachute is still a concept, not yet a commercial product. The team at Polytechnique Montreal is continuing to refine their design, and it has caught the eye of both researchers and industry leaders looking for improved solutions for drone deliveries. As interest in fast and contactless delivery services continues to grow, innovative ideas like this could play an important role in shaping the future of package transportation.

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Test de la Xerox C235, l'imprimante multifonction qui assure

Par : Korben
30 septembre 2025 à 16:47
– Article en partenariat avec Xerox –

Xerox m’a gentiment envoyé leur imprimante multifonction C235 à tester et franchement, je dois avouer que je ne m’attendais pas à ce qu’une imprimante me fasse encore de l’effet en 2025. Mais bon, vu que j’imprime encore pas mal de trucs et que mon ancienne commençait à rendre l’âme, autant vous faire un retour complet.

La C235, c’est donc une laser multifonction couleur qui fait tout : impression, scanner, photocopieuse et même fax si vous êtes du genre nostalgique. C’est compact, ça tient dans 41 x 39 x 34 cm pour environ 20 kg , donc vous pouvez la caser dans un bureau sans qu’elle squatte toute la place. Elle crache du 24 pages par minute en noir comme en couleur, ce qui reste très correct pour un usage domestique ou une petite structure.

Ce que j’ai kiffé d’entrée, c’est l’installation. Vous branchez le câble USB, Ethernet ou vous la connectez en Wi-Fi, et en quelques minutes c’est plié. Xerox a également bien bossé l’interface, avec un écran tactile couleur de 2,4 pouces qui rend la navigation plutôt intuitive. Pas besoin de sortir le manuel de 200 pages pour comprendre comment lancer une impression recto-verso ou scanner un document. D’ailleurs, le recto-verso automatique, ça change la vie quand vous imprimez des dossiers de plusieurs pages. Puis ça économise du papier et du temps.

Le scanner intégré possède un chargeur automatique de 50 feuilles, ce qui est bien pratique pour numériser des piles de documents. Par contre, petite déception : le chargeur automatique ne gère pas le recto-verso. Du coup, si vous voulez scanner les deux faces d’une pile de feuilles, il faudra retourner le tas à la main et relancer le scan. C’est un peu dommage sur une machine de ce standing, mais bon, on fait avec…

Côté qualité d’impression, rien à redire. Le rendu laser est net, précis, les couleurs sont fidèles sans être ultra-saturées. Je n’ai jamais eu d’imprimantes lasers et je peux vous dire que ça n’a rien à voir avec les jets d’encre ! Pour des documents pros, des présentations ou même des photos imprimées sur du papier correct, ça fait le job sans broncher.

La première page sort même en moins de 11 secondes, ce qui évite d’attendre comme un idiot devant l’imprimante en se demandant si elle a bien reçu le fichier. Et surtout, la compatibilité est au rendez-vous : AirPrint pour les fans d’Apple, Mopria pour les Android, Chromebook aussi, et bien sûr le bon vieux Wi-Fi Direct si vous voulez imprimer directement depuis votre smartphone sans passer par le réseau. Xerox a pensé à tout le monde, et ça, c’est appréciable.

Bon, maintenant parlons du point qui fâche : les consommables. Xerox fournit des toners “starter” qui tiennent environ 500 pages donc autant dire que si vous imprimez régulièrement, vous allez vite devoir racheter des cartouches. Et là, selon les retours utilisateurs sur Amazon et autres sites, le prix des toners peut vite piquer. C’est le classique piège des imprimantes : la machine coûte environ 300 euros, mais il faut bien calculer le coût à la page sur le long terme. Si vous imprimez beaucoup, ça peut vite chiffrer.

Autre petit détail qui aurait pu être mieux : la capacité du bac papier. Avec un magasin de 250 feuilles et un chargeur manuel d’une feuille, c’est correct pour un usage modéré, mais si vous êtes une petite boîte qui imprime des centaines de pages par semaine, vous allez recharger souvent. Rien de rédhibitoire cela dit, mais c’est bon à savoir.

Au final, la Xerox C235 se révèle être une excellente machine pour qui cherche une imprimante multifonction fiable et compacte. Elle fait le boulot proprement, l’installation est rapide, la qualité d’impression au rendez-vous et les fonctionnalités sont complètes. J’ai été également super surpris par le peu de bruit qu’elle fait. C’est assez agréable… Sans oublier le recto-verso automatique et la connectivité sans fil sont des vrais plus, je trouve.

Bref, pour un bureau à domicile ou une petite équipe qui a besoin d’une imprimante qui tient la route sans se prendre la tête, c’est un excellent choix !

Page officielle Xerox C235

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