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La sonde Voyager 1 de la NASA transmet à nouveau des données \o/

Par : Korben
23 avril 2024 à 06:18

Ça y est, la vénérable sonde spatiale Voyager 1 de la NASA refait parler d’elle ! Après des mois de silence radio qui ont fait transpirer les ingénieurs, notre exploratrice de l’espace lointain a enfin daigné donner de ses nouvelles puisque pour la première fois depuis le 14 novembre 2023, elle renvoie des données utilisables sur l’état de santé de ses systèmes embarqués. Ils respirent mieux à la NASA.

Il faut dire que la mission nous a offert quelques sueurs froides ces derniers temps car depuis cette date, elle continuait bien à recevoir et exécuter les commandes envoyées depuis la Terre, mais impossible d’obtenir en retour des infos cohérentes sur son fonctionnement. Alors les enquêteurs du Jet Propulsion Laboratory de la NASA ont mené l’enquête et ont fini par identifier le coupable : un des trois ordinateurs de bord, le fameux « flight data subsystem » (FDS) responsable de la transmission des données, était en cause. Un seul circuit défectueux qui stocke une partie de la mémoire du FDS avec une portion cruciale du logiciel… et bim, panne générale avec perte des trames de données !

Pas évident de réparer ça à des milliards de kilomètres de distance et comme souvent, quand on ne peut pas changer le hardware, il faut ruser avec le software. L’équipe a alors élaboré un plan génial : découper le code incriminé et le stocker à des endroits différents de la mémoire du FDS. Un vrai casse-tête type jeu de « Mémory » pour recoller les morceaux correctement sans faire sauter la banque mémoire !

Puis banco ! Premier essai le 18 avril, ils transfèrent le nouveau code maison spécial « télémétrie de l’état des systèmes » dans la mémoire du FDS et environ 45 heures plus tard, en comptant les 22h30 de trajet aller-retour du signal radio, les ingénieurs reçoivent les précieuses données tant attendues.

Yes !!! Voyager 1 est de retour aux affaires et recommence à parler de sa santé !

Regardez comme ils sont contents à la NASA :

Outre le soulagement de voir la communication rétablie, c’est une belle prouesse technique et un formidable pied-de-nez à l’obsolescence programmée. Pas mal pour une sonde lancée en 1977 et qui fête ses 46 ans ! Quand on vous dit que le matériel était bien meilleur à l’époque. 😉😜

Maintenant l’équipe du JPL va pouvoir se consacrer aux prochaines étapes à savoir relocaliser petit à petit les autres bouts de code du FDS pour retrouver une configuration nominale, puis renouer avec la transmission des données scientifiques et le but premier de la mission, à savoir explorer les confins de l’espace interstellaire !

Pendant ce temps, sa petite sœur Voyager 2, lancée 16 jours plus tard en 1977, poursuit tranquillement sa route aux frontières du système solaire sans faire de vagues. Une fiabilité à toute épreuve pour ces deux merveilles technologiques qui auront marqué l’histoire de l’exploration spatiale qui avant même de s’aventurer dans le « grand vide » interstellaire, nous ont offert des clichés époustouflants de Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune.

Et qui sait, peut-être qu’un jour, elle captera peut-être un signal extraterrestre ou tombera nez-à-nez avec une civilisation alien super évoluée technologiquement…

Vers l’infini et au delà, les amigos !

Source

Smartsheet vs Airtable: Which Tool Tops Productivity in 2024?

22 avril 2024 à 13:00
Discover the best productivity tool for your team in 2024 with our expert comparison of Smartsheet vs Airtable. Find out which enhances efficiency and collaboration, and make your decision today.

La base de données des incidents d’IA – Bugs, dérapages et leçons à tirer

Par : Korben
22 avril 2024 à 07:00

Pendant qu’une utopie où les véhicules autonomes, les assistants virtuels et les systèmes de recommandation se profile à l’horizon, force est de constater que l’intelligence artificielle n’en est encore qu’à ses balbutiements. La promesse d’un monde meilleur se heurte à la dure réalité des incidents causés par ces systèmes dits « intelligents », déployés trop rapidement dans notre environnement.

C’est là qu’intervient la base de données des incidents d’IA (AIID), véritable mémoire collective répertoriant les bugs, plantages et autres dérapages de l’IA lorsqu’elle est lâchée dans la nature. Tel un Guinness Book des foirages technologiques, elle recense déjà plus de 1000 cas, des plus anodins aux plus tragiques :

  • – un taxi sans chauffeur Waymo qui emboutit un cycliste en plein San Francisco
  • – un deepfake audio d’Imran Khan appelant au boycott des élections au Pakistan pour tromper les électeurs
  • – de fausses images de Donald Trump entouré d’électeurs noirs générées par IA pour influencer le vote des afro-américains
  • – et le pire de tous (ou pas) : des collégiens de Beverly Hills qui créent de fausses photos dénudées de leurs camarades grâce à l’IA !

Bref, c’est la foire aux casseroles dans le merveilleux monde de l’IA et il était temps que quelqu’un dresse l’inventaire de ces dérapages en tout genre. Mais au-delà du simple folklore, la mission de l’AIID est d’apprendre de ces échecs pour bâtir des IA plus sûres, à l’image de ce qui se fait dans l’aéronautique ou la cybersécurité.

La base s’enrichit chaque jour grâce aux signalements de la communauté. Chacun peut ainsi apporter sa pierre à l’édifice en soumettant de nouveaux incidents, triés et classés pour en dégager des tendances. L’idée est d’arriver à une définition partagée de ce qu’est un « incident d’IA » et d’en tirer des leçons pour l’avenir.

Car n’en déplaise à Elon Musk ou à Mark Zuckerberg, le futur de l’IA ne se fera pas sans règles ni garde-fous. Pour que la révolution intelligente profite au plus grand nombre, elle doit impérativement s’accompagner d’une démarche éthique et responsable. C’est précisément la mission du Responsible AI Collaborative, l’organisation derrière l’AIID, qui rassemble chercheurs, entrepreneurs et experts du monde entier.

D’ailleurs, vous aussi, vous pouvez contribuer ! Et ils ont de grandes ambitions puisque la prochaine étape sera d’intégrer les incidents dans des outils de test pour reproduire les scénarios à risque et s’entraîner à y faire face. Une sorte de « crash test » géant pour IA en quelque sorte !

À terme, l’objectif est de faire de l’AIID un outil incontournable pour tous les acteurs de l’écosystème : Chercheurs, régulateurs, industriels… Car ne nous y trompons pas, la course à l’IA ne fait que commencer et les incidents risquent de se multiplier si nous n’y prenons pas garde.

D’ici là, votre mission si vous l’acceptez sera de garder un oeil sur ce grand capharnaüm de l’IA et de signaler sans relâche les anomalies que vous constaterez ! Car après tout, la sécurité de ces systèmes est l’affaire de tous et rien ne vaut la vigilance humaine pour déjouer les bugs les plus retors.

Geometric chair concept almost looks like an Escherian optical illusion

Par : JC Torres
18 avril 2024 à 15:20

Chairs can come in all shapes and sizes. Some can take on complicated and organic forms, while others can be extremely minimalist or even brutally raw. They can range from designs that take inspiration from nature to those that adhere to simpler geometric shapes. The Euclid concept is one of the latter, aptly named after the ancient Greek mathematician. But while it draws its shape from a simple cube, its execution sparks a bit of wonder and curiosity as it resembles more the skeleton or wireframe of the shape, represented by almost unbroken lines that are reminiscent of Escher’s famed optical illusion, the impossible cube.

Designer: Sonakshi Gupta

Admittedly, it’s a bit difficult to see the Euclid chair as a cube, since most of us have this idea of a cube as having 12 lines that are all connected at eight corners to form six faces. Then again, that popular Escher object already shows an impossible depiction of that shape, and those familiar with that print might see some of that characteristic in this chair when viewed from certain angles. Overall, it creates a dynamic form that has your eyes following the lines and moving all over the place, sometimes confused about where the front and back sides are.

Its unique form isn’t the only notable thing about this concept, however. Its use of reclaimed wood gives it more than a sustainable character. That material, in a way, carries some history from what it was before becoming a part of this chair. Even if that past is unknown to the new owner, simply knowing it has one could give each Euclid chair its own unique charm.

And then there’s the method used to bring all the pieces together. Instead of requiring screws or even glue, a mortise and tenon joinery is used to provide stability without introducing complicated mechanisms. In theory, this could make it easy to later take the chair apart if some pieces need to be replaced, though that could also start to weaken the connection over time if done too frequently.

The Euclid concept chair offers a design that is minimalist, sustainable, and visually interesting. Whereas a cube is pretty much the epitome of symmetry, the missing edges and disconnected faces give the chair a bit more volatility. That said, it doesn’t seem like the most comfortable chair to sit on. Even if you put a cushion on the seat, the hard edges of the armrest and especially the backrest could give your body some grief after a long period of time.

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Breath Smarter, Not Harder: Introducing the World’s first Ai-Driven Smart Mask

Par : Aki Ukita
18 avril 2024 à 01:45

The COVID-19 pandemic may be over, but the challenge of maintaining clean air persists. If there’s anything we’ve learned over the past year, it’s that conventional solutions are no longer sufficient when it comes to breathing fresh air. Common disposable and cloth masks do block some harmful elements, but they also block proper airflow. Some fan-enabled masks improve that situation slightly, but they still put an obstacle to some of the ordinary tasks that we do each day, especially when our voices are involved. Enter the age of AI-enabled technology. The innovative AI Air Mask not only filters out harmful elements with superior efficiency but also enhances airflow, ensuring that breathability and communication remain clear and unhindered. This is the next step in wearable health tech, promising not just cleaner air but also proactive health monitoring, all in a sleek, comfortable, and inclusive design.

Designer: Leandro Rolon

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We now live in a world where even the air inside our homes can be suspect, so one can only imagine how much worse the situation is outdoors. Just in time for the health scare that gripped the world, ATMOBLUE launched its first smart wearable purifier to address the need for clean, breathable air anywhere you go. It went beyond the minimum requirement of simply blocking harmful microorganisms to deliver a solution that was effective, customizable, and most importantly, comfortable.

Smart Adaptive Filtration: Employs intelligent sensors for adaptive, real-time purification, setting a new bar for air quality protection.

The first ATMOBLUE smart mask was practically a mini air purifier you could wear on your mouth. It utilized replaceable H13 HEPA filters to do the heavy lifting of blocking as much as 99.97% of harmful particles such as bacteria and PM2.5. But while some masks stopped there, ATMOBLUE went above and beyond to include a dual fan airflow system that removed that suffocating feeling whenever you wear a face mask. The result wasn’t just clean air but breathable air as well, increasing the comfort and confidence of wearers who made the investment in backing the project.

Premium Silicone Design: Engineered with superior silicone for unparalleled comfort, designed for all-day wear and redefining the protective gear experience.

As successful as that smart mask was, it isn’t yet the pinnacle of healthy breathing. Stepping into the limelight again, the creators of the ATMOBLUE Mask are presenting an even more advanced solution that leverages the hard-earned lessons of the past and applies the benefits of artificial intelligence to provide a more holistic view of the wearer’s health. This AI-driven Air Mask, an evolution of the original ATMOBLUE Mask, features a refined semi-transparent silicone body for premium comfort. It is equipped with a dynamic adaptive filtration system that intelligently senses environmental changes and auto-adjusts in real time for optimal protection.

AI-Enabled Bluetooth Microphone: Features a built-in mic for clear conversations and seamless AI assistant interaction, improving communication without compromising wearability.

But wait, there’s more! Wearing a mask always has the effect of muffling one’s voice, which can be an even bigger problem when trying to communicate. Addressing this issue head-on, the AI Air Mask is ingeniously equipped with an integrated microphone and Bluetooth connectivity, allowing you to convey your voice clearly and confidently. Elevating the experience further, this mask incorporates advanced voice recognition and AI capabilities, creating a symbiotic relationship with your AI smart assistant that transcends traditional communication barriers. Beyond enhancing dialogue, the AI Air Mask serves as a guardian of your well-being, continuously analyzing key health metrics such as temperature, respiratory patterns, and cough frequency, not only to provide better insight into your health but also to warn you of potential infection.

With the AI Air Mask, the creators of ATMOBLUE aren’t just offering an upgraded wearable but also an investment in a healthier future. That’s exactly the kind of investment you’re making with this sweet pre-sale deal that lets you not only reserve a spot but also get a 50% discount when the world’s first AI-driven smart mask launches next year.

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Here Are The Oldest Apple Products Still Available Today

Par : Sarang Sheth
17 avril 2024 à 23:30

If you asked anyone on the streets, they’d probably agree that Apple stands at the cutting edge of innovation. The company leads the smartphone market, wearable market, and tablet market, is one of the leaders in the desktop and laptop markets too, and is touted to be quite the disruptor in the AR/VR market too. Apple makes its own silicon, has a remarkable supply chain, runs its entire headquarters on renewable energy, and is set to go entirely carbon neutral by 2030. The company improves each product line at most every year, or at least every 2-3 years, but there are products in Apple’s production line that still haven’t seen updates in 3-4 or more years (some haven’t been updated in almost 9 years at this point). We’ve made a list of some of the ‘oldest’ products still available on Apple’s website dating back as early as 2015 and as recent as 2021. Now sure, all these devices are pretty great even by today’s standards… but there’s definitely room for improvement… and we’ve taken the liberty to leave out accessories like connectors and cables. Here are some of the ‘oldest’ Apple products you can still buy today.

Magic Mouse Gen 2 (2015)

It’s been nearly a decade since the infamous Magic Mouse Gen 2 got an update. Okay, maybe that isn’t entirely true because the wireless mouse did get a refresh in 2019 and 2021, but the only thing that materially changed was the introduction of new color variants. Even today, however, the mouse runs on the same internals, houses the same Lightning port, and still charges in a way that continues to baffle users around the globe. It’s speculated that Apple will be giving the mouse a refresh in 2024, although most rumors say that the company only plans on upgrading the charging port to USB-C. If you ask me, there’s a lot more they can do to improve the Magic Mouse’s design…

Magic Trackpad 3 (2015)

The Magic Trackpad 3 too shares this distinction with the Magic Mouse Gen 2. Debuted in 2015, the trackpad has only received color refreshes in upcoming years. However, the distinct difference between the trackpad and the mouse is that there really seems to be no room for improvement as far as this product is concerned. It looks sleek, performs well, and is wireless. It also charges via Lightning, which is something Apple should change moving forward, but at least you don’t need to turn the trackpad upside down while charging it…

Pro Display XDR (2019)

2019 really got overshadowed by the cheesegrater Mac Pro and its incredibly expensive wheels, but alongside them was also announced the Pro Display XDR. Designed to be the most high-end display available for Mac users, the display boasted a 32-inch 6K Retina screen with an ‘astonishing’ 1,000,000:1 contrast ratio and an eye-watering $4999 starting price – that’s about as much as one Vision Pro headset and one iPhone 15 Pro Max with some change to spare. Surely the Pro Display XDR isn’t for everyone (Apple has a slightly more affordable Studio Display for most users), which is probably why Apple never gave it an update post-2019. After all, do you really need to upgrade a 32-inch 6K Retina display?! Fun Fact: The cheesegrater Mac Pro actually got an update in June 2023 with the M2 Ultra chip, leaving the Pro Display XDR behind.

AirPods Max (2020)

It became almost certain when Apple acquired Beats by Dre that they had plans of their own to enter the wearable audio market in a big way. The Beats acquisition happened in 2014, and just 2 years later, Apple dropped the first wireless AirPods in 2016. However, it took the company 4 full years to release their first wireless over-ear headsets. The AirPods Max debuted in December of 2020, immediately becoming Apple’s flagship wearable audio device. It had everything – an aluminum design, a woven head strap, a fancy charging case, a rotating crown, and Spatial Audio (one of the first devices to support the feature). In all honesty, Apple doesn’t really NEED to refresh the AirPods Max because feature-for-feature, they’re just as good today as they were 4 years ago. However, there’s always room for improvement – for example, the AirPods Max doesn’t have an Ultra-Wideband chip that makes them easy to track using Apple’s Find My app, the charging case is one of the most absurd designs ever, and hey, we’re still stuck on Lightning when the AirPods Pro have upgraded to USB-C.

AirTag (2021)

Ah, the AirTags, every clutterbrain and stalker’s best friend. Announced in 2021, the AirTag leverages Apple’s Find My network and their Ultra-Wideband chip to really help you track and detect objects with precise accuracy. They run on CR2032 batteries which last around a year and are easy to replace – a big improvement over some tracking devices that have built-in batteries that can’t be removed. However, the AirTags haven’t seen any update since their announcement in 2021. Now here’s the question again – do they need updating? Well, on the feature front, no… they’re pretty good, have anti-stalking features, and are fairly helpful when it comes to tracking everything from bags, to pets, to even vehicles. However, the one major upgrade they need is on the design front. They’re circular and bulky, which makes them difficult to store in wallets, passport covers, and other slim belongings. Heck, I’d like a slim AirTag just so I could strap it to my Apple TV remote which keeps getting lost every third day.

iPad Mini 6th Gen (2021)

The AirTags weren’t the only product to get left behind in 2021 – Apple hasn’t refreshed the iPad Mini in 3 years either, still leaving it with the A15 Bionic chip while the other iPads get their M-series chips. Now it’s entirely possible that Apple’s held the iPad Mini back all these years deliberately – the people who buy the tiny iPad aren’t Apple’s core tablet users. They don’t need power features, they don’t edit movies on their tablet, and they clearly don’t need their tablet to work as a makeshift laptop with a dedicated keyboard folio case. However, the iPad Mini 6th Gen does support the 2nd Gen Apple Pencil and does have a USB-C port that also works for connecting external displays. The iPad Mini, as small as it is, was built to be a mighty little tablet. However, that A15 Bionic chip doesn’t really compare to the M3 chip that Apple’s due to give its latest iPads this year. Could we also see a better camera system on the iPad Mini if it gets refreshed soon? I surely hope so… but up until then, we’re stuck with the model from 2021.

Bonus – Apple Card (2019)

The Apple Card makes it to this list for purely technical reasons, but truth be told, there’s never any need to update a payments card the way you’d update smartphones and tablets every year. Apple announced the card in 2019 in partnership with Goldman Sachs, but as of 2023 November, Goldman Sachs will stop providing banking support for the card, leaving Apple to look for another partner. As far as the card’s design goes, there’s not much you can upgrade – the Apple Card comes machined from solid titanium, making it highly durable, but it’s still susceptible to scratches or discoloration. Maybe color variants??

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Justine Tunney booste encore une fois les performances de llama.cpp

Par : Korben
1 avril 2024 à 07:20

La révolution de l’IA est en marche depuis un bon moment maintenant mais faire tourner les derniers modèles de langage comme llama.cpp sur votre bécane, demande de la puissance. C’est là qu’intervient Justine Tunney, hackeuse et ex-programmeuse de chez Google, qui vient de pondre de nouveaux kernels d’algèbre linéaire pour booster les perfs de llama.cpp.

Concrètement, elle a réécrit les routines qui font les multiplications de matrices, c’est à dire les opérations au cœur des réseaux de neurones et en utilisant les dernières instructions vectorielles AVX-512 et ARM dotprod, elle a réussi à multiplier par 5 la vitesse d’exécution sur les processeurs récents d’Intel, AMD et ARM.

Mais ce n’est pas tout, elle a aussi bossé sur l’optimisation mémoire. Fini le temps où les calculs étaient ralentis par les accès à la RAM. Grâce à une utilisation intelligente du cache L2 et du prefetching, elle arrive maintenant à diviser par 2 le temps de chargement des données.

Résultat, llama.cpp et les autres modèles compatibles tournent comme des horloges, même sur des configs modestes. Fini les CUDA cores hors de prix, un bon vieux processeur avec un peu de RAM suffit. De quoi démocratiser l’accès à l’IA sans se ruiner surtout que son code est dispo sur son GitHub. Il est écrit en C++ avec zéro dépendance externe et peut être compilé sur Linux, macOS, Windows, FreeBSD et même SerenityOS.

Mais Justine ne compte pas s’arrêter là. Elle planche déjà sur le support de nouveaux formats de données comme le FP16 et le BF16 pour réduire encore l’empreinte mémoire. À terme, elle espère faire tourner les IA les plus gourmandes sur un Raspberry Pi ! Chouette non ?

D’un côté on a donc les géants comme Nvidia qui misent tout sur leurs accélérateurs graphiques propriétaires et de l’autre les hackers et les libristes qui veulent garder le contrôle de leur machine avec du code ouvert et optimisé.

En attendant, je vous invite à tester ses kernels par vous-même et à voir la différence. C’est peut-être ça le véritable sens du progrès technologique : permettre au plus grand nombre d’accéder à des outils auparavant réservés à une élite.

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L’histoire méconnue de la boîte « Format » de Windows

Par : Korben
25 mars 2024 à 14:05

Vous connaissez sûrement la fameuse boîte de dialogue « Format » présente dans toutes les versions de Windows, des plus anciennes aux plus récentes. Mais si, cette grande fenêtre verticale pas sexy pour un clou avec toutes les options pour formater votre clé USB ou votre disque dur.

Je parle de ça :

Et bien, vous êtes-vous déjà demandé pourquoi son apparence semble un peu beaucoup vintage aujourd’hui ? Et bien bizarrement, il s’agissait en réalité d’une solution temporaire qui dure maintenant depuis près de 30 ans !

L’histoire nous est offerte par Dave Plummer, vétéran de Microsoft qui a œuvré sur des fonctionnalités légendaires comme le Gestionnaire des tâches, le célébrissime jeu Pinball ou encore le support natif des fichiers ZIP. En 1994, Dave et ses collègues s’attelaient au portage des pelletées de lignes de code de Windows 95 vers NT, dont une refonte de l’interface de la boîte de dialogue Format.

Ni une ni deux, notre cher Dave attrape une feuille, y gribouille la liste des fonctions indispensables, puis se rue sur le Resource Editor de Visual C++ 2.0 pour concevoir rapidement un prototype tout en hauteur. L’idée était de pouvoir cocher toutes les cases dans le bon ordre pour formater vite fait bien fait. Loin d’être un canon de beauté, cette maquette devait juste faire l’affaire en attendant l’arrivée de la vraie interface promise probablement par un designer qui une fois encore, n’a pas su se lever à temps.

Sauf que voilà, presque 30 ans plus tard, les utilisateurs de Windows attendent toujours ladite UI ! La solution temporaire s’est donc enracinée au fil des décennies. Même les builds preview de Windows 11 continuent de l’arborer fièrement, comme vous arborez fièrement à +50 balai votre t-shirt Metallica.

Comme le souligne Dave avec humour : « Faites gaffe quand vous committez des solutions ‘temporaires’ !« . De plus, son choix arbitraire de la taille maximale des clusters ce fameux jeudi matin a également figé pour l’éternité la taille limite d’un volume FAT à 32 Go. Un effet de bord tenace qui nous colle encore aujourd’hui aux basques.

Alors comment se fait-il que cette relique des années 90 ait pu traverser les âges au sein du système d’exploitation le plus utilisé au monde ? Après tout, Windows a connu des évolutions majeures de son interface comme Aero ou encore Fluent.

La réponse se cache peut-être dans l’adage « On ne change pas une équipe qui gagne« . Malgré son look suranné, la boîte de dialogue Format remplit son office à merveille. Son côté brut de décoffrage lui confère un certain charme utilitaire, que j’adore, qui en fait une icône indémodable de l’univers Windows, au même titre que le mythique écran BSOD (qu’on regrette… ou pas.) ou encore le fidèle Solitaire sur lequel peuvent compter tous les fonctionnaires de la planète.

Bref, ce truc est une vraie pièce de musée numérique et j’espère que la prochaine fois que vous formaterez quelque chose, vous la regarderez d’un autre œil, avec peut-être une petite larme d’émotion.

Allez, à plus les amis, et n’oubliez pas, comme avec votre partenaire, parfois, le provisoire… ça dure.

Source (merci à Bisti et Lorenper)

La faille Bluetooth qui permet d’écouter à distance les gens et de leur jouer votre meilleure playlist

Par : Korben
22 mars 2024 à 10:22

Ça n’arrête plus ! Une faille de sécurité critique dans le protocole Bluetooth permettrait à un utilisateur tiers malveillant d’enregistrer l’audio capté par le microphone d’une enceinte Bluetooth se trouvant à proximité, même si celle-ci est déjà appairée et connectée à un autre appareil. Cette vulnérabilité peut malheureusement conduire à de l’espionnage de conversations privées que ce soit via une enceinte ou un casque. Tant que c’est bluetooth et qu’il y a un micro, ça fonctionne !

Et s’il n’y a pas de micro, cette faille permettrait également jouer ses propres fichiers audio sur vos enceintes sans votre consentement !

Ce problème de sécurité a été découvert et présenté la semaine dernière par Tarlogic lors de la conférence RootedCon 2024 avec en cadeau bonux un PoC (proof of concept) baptisé BlueSpy permettant d’exploiter la faille.

Ce script n’utilise pas de vulnérabilité non corrigée, non, non. Il exploite tout simplement la méthode d’appairage Bluetooth non sécurisée baptisée « Just Work« . C’est d’autant plus effrayant quand on considère le nombre d’enceintes ou de casques vulnérables qui traînent dans les zones résidentielles, les espaces de travail, les salles de réunion, les lieux publics, etc.

Pour sa démonstration, Tarlogic a utilisé un Raspberry Pi 4 sous Kali Linux, contrôlé par un smartphone. Notez que pour étendre la zone de couverture, il est également possible d’utiliser un adaptateur Bluetooth externe avec une antenne externe.

Mais alors, comment se protéger ? La clé de votre tranquilité et de votre sécurité réside dans la visibilité de votre appareil Bluetooth. Si votre enceinte ou casque est visible par d’autres appareils alors qu’il est déjà connecté à votre smartphone, il est vulnérable. Par contre, s’il n’est plus visible une fois appairé, vous êtes à l’abri.

Pour vérifier facilement si vos appareils audio Bluetooth sont vulnérables, vous pouvez utiliser l’application gratuite nRF Connect for Mobile sur un smartphone Android non rooté. Lancez un scan et si l’application détecte et permet de se connecter à votre appareil audio Bluetooth LE, c’est qu’il est probablement vulnérable. À l’inverse, si votre appareil n’apparaît pas dans les résultats du scan alors qu’il est allumé et connecté, vous pouvez souffler.

Malheureusement, si votre appareil autorise une telle connexion, il n’y a pas grand-chose à faire. Certains appareils émettent cependant une notification visuelle ou sonore lorsqu’un autre appareil se connecte, comme un bip, une vibration ou un changement de couleur des LED donc ouvrez l’œil et l’oreille ! Et surtout, éteignez vos appareils Bluetooth quand vous ne les utilisez pas.

Source

CHEFREE M500 – Le robot pâtissier multifonction pour les geeks gourmands

Par : Korben
21 mars 2024 à 08:33

— Article en partenariat avec Chefree —

Comme tous les geeks, j’adore les gadgets high-tech qui me simplifient la vie. Et quand il s’agit de cuisine, quoi de mieux qu’un robot pâtissier multifonction ultra-performant pour laisser libre cours à sa créativité culinaire sans y passer des heures ?

C’est exactement ce que propose le CHEFREE M500, un concentré de technologie au service de nos papilles ^^.

Avec son imposant bol en inox de 7 litres, ce robot permet de préparer de généreuses quantités, que ce soit pour régaler toute la famille ou préparer le buffet d’une soirée entre amis. Il est entièrement en métal, ce qui lui confère une robustesse à toute épreuve. Vous pouvez enchaîner les préparations sans crainte, il ne bougera pas d’un iota grâce à ses pieds ventouses (Moi aussi j’aimerai avoir des pieds ventouses, je suis jaloux un peu).

Mais la vraie force du M500, c’est son moteur surpuissant de 1800W couplé à un ingénieux système de mélange planétaire. Rigolez pas, c’est comme ça qu’on dit. C’est pas pour mélanger des planètes mais plutôt pour faire des mélanges homogènes. Il vient à bout des pâtes les plus denses en un rien de temps et le résultat est au top ! Ses 10 vitesses s’adaptent à tous les besoins, de simples mélanges aux pétrissages intensifs et grâce au mode pétrissage intelligent, il gère seul le niveau et la durée pour obtenir une pâte nickel, prête à être travaillée.

Livré avec trois accessoires indispensables (batteur, fouet et crochet pétrisseur) en acier inoxydable, il se transforme tour à tour en robot pâtissier, en batteur-mixeur et en pétrisseur surpuissant. De quoi réaliser une multitude de recettes et donner vie à toutes vos envies sucrées ou salées : brioches ultra-moelleuses, mousses au chocolat tellement aériennes que je les ai inscrites au Salon du Bourget de l’année prochaine, pâte à pizza encore plus croustillantes que celles de Mister V… Les possibilités sont infinies !

L’autre jour, j’ai réalisé une délicieuse tarte flambée alsacienne pour ma petite famille (la recette est ici). Un jeu d’enfant avec le M500 ! Pendant qu’il s’occupait de pétrir la pâte en mode intelligent, j’ai eu tout le temps de préparer la garniture en pleurant (oui il s’agit principalement d’oignons). En 15 minutes, tout était prêt à être enfourné. Les mioches ont adoré !

Mon prochain défi, ce sera de faire des croissants avec. Ça a l’air bien long à faire quand même mais je vous mettrais ça sur mes réseaux sociaux, vous vous en doutez. Et visiblement y’a possibilité d’ajouter des accessoires dessus pour fabriquer ses propres pasta ou hacher sa viande…etc Mais rien d’annoncer officiellement donc ne vous enflammez pas trop la dessus.

L’écran tactile est aussi un vrai plus. Tout se contrôle du bout des doigts et le grand plus pour les geeks de la flemme que nous sommes tous, c’est qu’il se nettoie super facilement puisque tous les accessoires passent au lave-vaisselle, un vrai bonheur !

En résumé, le robot pâtissier CHEFREE M500 c’est la nouvelle Ferrari qui trône dans ma cuisine. Rapide, puissante, rouge (!!) et beaucoup plus utile. Le prix pour ce petit bijou est normalement de 300 euros, mais il y a -14% en ce moment sur Amazon, donc ça fait tomber le prix à un peu plus de 257 euros. Si vous faites beaucoup de patisserie, de pizzas maison (ou genre 7 litres de mayonnaises, bloups !), ça vaut le coup ;-).

This Chair Allows Plants to Grow On it And Puts Nature Before Human Needs

Par : Tanvi Joshi
21 mars 2024 à 10:07

Notice that cool abstract design on the chair? It’s not just some fabric, it’s real plants! 3 design students from the University of Gothenburg in Sweden changed the narrative of chairs for humans. Why do chairs always have to be used for us to come sit on them? We’re all taught that plants are living beings right? What if these living things could practically bring furniture to life? This chair is a unique piece of furniture that prioritizes plant life over human occupants by allowing them to grow on it.

Designers: Alice Hultqvist, Emelie Sjöberg and Linnea Nilsson

The Chia-Chair is different from regular chairs. Instead of cushions or upholstery, the chair has a seat and backrest that are composed of a knitted, knotted tube that doubles as a planting bed for chia seeds. The idea is to let the plants be the main users of the chair, and humans are just visitors. The designers emphasize that humans should approach it with respect, recognizing that it’s a living thing.

Hultqvist, Sjöberg, and Nilsson, all students in the MA Design program at HDK-Valand, the University of Gothenburg’s art and design academy, showcased their creations at the Making Transparency exhibition. This event, hosted in the student-focused Greenhouse section of the Stockholm Furniture Fair, explored posthumanist design principles.

The inspiration behind the Chia-Chair arose from the designers’ contemplation of humanity’s negative impact on the planet. They acknowledged that throughout the last century, humans have prioritized their needs at the expense of nature and wildlife, leading to severe consequences. The Chia-Chair, therefore, serves as a symbolic gesture, aiming to redress the balance by placing the plant at the forefront and demanding reciprocity from its human users.

yanko design images to size – Chia_chair_furntiure_05

Constructed with an ash wood frame and a wool sock filled with polyester stuffing as the cushion, the Chia-Chair offers a distinctive aesthetic. The chia seeds, mixed with water, were planted in the knitted structure, and the designers diligently watered them twice daily. To maintain optimal growing conditions, a plastic cover was placed over the chair overnight to retain moisture.

While the Chia-Chair may be more of a statement piece than a functional item, the designers foresee a future where greenery becomes integral to our living spaces. In an era of increasing urbanization that disconnects people from nature, incorporating natural elements into furniture and homes is seen as a natural progression.

The Chia-Chair serves as a thought-provoking exploration of the relationship between humans and nature. By prioritizing plant life over human comfort, the designers challenge us to reconsider our impact on the environment and encourage a more harmonious coexistence with the natural world.

The post This Chair Allows Plants to Grow On it And Puts Nature Before Human Needs first appeared on Yanko Design.

WebGPU – Des failles qui permettent de siphonner les données des internautes avec un simple JS

Par : Korben
20 mars 2024 à 07:29

Vous pensiez que votre GPU était à l’abri des regards indiscrets ? Que nenni damoiseaux zé demoiselles !!!

Une équipe de chercheurs vient de mettre en lumière des failles béantes dans la sécurité de l’API WebGPU, cette technologie qui booste les performances graphiques de nos navigateurs.

D’après cette étude, ces vulnérabilités permettraient à des scripts malveillants d’exploiter les canaux auxiliaires du GPU pour siphonner des données sensibles, comme vos mots de passe ou vos clés de chiffrement. Rien que ça ! 😱 Concrètement, les chercheurs ont réussi à monter ces attaques par canaux auxiliaires en fonction du temps et de l’état du cache du GPU, le tout depuis un simple navigateur web.

En analysant finement l’impact de différentes charges de travail sur les performances du processeur graphique, ils sont parvenus à en déduire des informations sur les autres processus utilisant cette ressource qui est, vous vous en doutez, partagée. Et c’est là qu’est le problème.

Le plus inquiétant, c’est que leur proof of concept se résume à du code JavaScript tout ce qu’il y a de plus basique. Pas besoin d’avoir accès au PC, un site web malveillant peut très bien faire l’affaire. De quoi donner des sueurs froides aux éditeurs de navigateurs… Rassurez-vous, je ne compte pas l’intégrer sur Korben.info, la bouffe n’est pas assez bonne en prison ^^.

Pour l’instant, à part Mozilla qui a publié un bulletin d’avertissement, les principaux acteurs comme Google ou Microsoft n’ont pas réagi. Bouuuuh ! Ils estiment sans doute que le jeu n’en vaut pas la chandelle et préfèrent miser sur les gains de performances de WebGPU plutôt que de s’embarrasser avec des demandes d’autorisations qui gâcheraient l’expérience utilisateur.

Pourtant, les chercheurs sont formels, les sociétés qui conçoivent des navigateurs doivent traiter l’accès au GPU avec la même rigueur que les autres ressources sensibles comme la caméra ou le micro. Sinon, gare aux dérives ! On peut imaginer des utilisateurs qui se font piller leurs cryptomonnaies pendant qu’ils surfent innocemment, ou pire, des fuites de données à grande échelle orchestrées depuis des sites en apparence légitimes.

Avec ça, le bandeau RGPD peut aller se rhabiller ^^/

Rassurez-vous, pour le moment, WebGPU est activé par défaut uniquement dans Chrome et ses dérivés. Pour Firefox, c’est encore seulement dans les versions Nightly (mais ça arrive bientôt). Je vous laisse tester votre navigateur avec le proof of concept dont je vous parlais un peu plus haut.

Bref, cette étude a le mérite de lancer le débat sur les implications sécuritaires des API web de plus en plus intrusives. À l’heure où le GPU s’impose comme une ressource de calcul incontournable, y compris pour des tâches sensibles, la question de son isolation et de la maîtrise des accès devient cruciale.

Bref, on réfléchira à deux fois avant d’autoriser l’accès au GPU sur un site louche… 😉

Source

Top 10 Sustainable Chair Designs For An Eco-Friendly Home

20 mars 2024 à 11:40

2020 was a life-altering and drastic year, and for the past 4 years, we have been redeeming our careless mistakes of the past and living more consciously and sustainably. We cannot ignore the needs of our planet anymore, we need to consider the environment, and what better way to start doing that than from our own homes? Sustainable chairs are taking the design industry by storm, they’re a step towards making our homes and our daily lives more eco-friendly and sustainable. They’re an attempt to cast aside toxic materials, and instead, add furniture designs to our home that won’t rot away on Earth for years once we’re done with them. We’ve curated a collection of furniture products created from cork, 3D printing, and even coffee-based waste! The options are endless, and the end result is the same – a greener, healthier, and happier Mother Earth!

1. 3D-Printed Chair

Created by Johannes Steinbauer Office For Design, these innovative 3D-printed chairs were designed using additive manufacturing, and without utilizing fabrics, springs, and foam. The chair doesn’t include any springs or foam, but it is still super functional and comfortable to sit in.

Why is it noteworthy?

The design of the chair is quite simple with four legs, a round seat, and a single bar at the back. You can add other components like racks and textiles through 3D printing. The various parts can be assembled and disassembled, and once its lifespan ends, you can dispose of the different parts separately, and recycle them.

What we like

  • The chair is easy to assemble and disassemble
  • Sustainable design that employs 3D printing

What we dislike

  • No instruction on how to have a space-saving variant

2. Hemp & Eelgrass Chair

Foersom & Hiort-Lorenzen collaborated with furniture brand Norman Copenhagen to build a collection of plant-based chairs, which were unveiled at the Stockholm Design Week. The collection includes two unique chairs, one made from hemp, and one made from a combination of hemp and eelgrass.

Why is it noteworthy?

Hemp is a type of cannabis plant, while eelgrass is like seaweed. The biomaterials were used to replace injection-molded plastic, which created a shell chair supported by powder-coated steel legs.

What we like

  • The material used is recyclable and is an innovative mix of two plants

What we dislike

  • Aesthetically the chair isn’t very pleasing and could be an eyesore in homes if not paired properly with the decor

3. VALE Collection

Called the VALE collection, LAYER designed this eco-friendly chair and stool collection for the US furniture brand KFI Studios. It is made from recycled PET bottles and was designed as a protest against the plastic waste that is drowning and polluting the planet’s oceans and landfills.

Why is it noteworthy?

The collection is LAYER and KFI Studio’s eco-friendly solution to the rising issue of plastic waste, It is a refreshing change, and a fine specimen of sustainable furniture, in a day and age where 9 million tons of furniture are found in landfills.

What we like

  • Made using an eco-friendly and durable material produced from recycled PET bottles

What we dislike

  • The looks of the chairs and stool are a bit boring, more aesthetic details could have been added

4. OTO Chair

Called the OTO Chair, and designed by Alessandro Stabile and Martinelli Venezia, this chair is designed to be a “manifesto for circular design”. The chair is a recycled plastic chair that aims to achieve a goal of full sustainability, in materials choices and supply chain – as a complete whole.

Why is it noteworthy?

It has a clean, minimal, and simple form, and comes in a bunch of fun colors to pick from – onyx, fog, mustard, coral, forest, and eucalyptus. You can choose the color that best suits your personality and interior decor style.

What we like

  • The production of each OTO chair removes almost 500 grams of plastic from the sea

What we dislike

  • Its hard, flat surfaces look a little too rigid for comfort

5. Gago Rocking Chair

Portuguese design brand Dam just released a cork-clad rocking chair to celebrate 10 years of the brand’s existence. The innovative-looking chair is inspired by seaplanes.

Why is it noteworthy?

When you look at the Gago rocking chair, it brings to mind the image of the rounded shape of an aviator’s helmet, which is an ode to the first successful crossing of the South Atlantic Ocean by a Portuguese pilot in 1922. The label of every chair says “1922, *8383km”. The number represents the milestone journey between Lisbon and Rio de Janeiro.

What you like

  • The chair is made from cork, making it sustainable and durable

What we dislike

  • Being a rocking chair, it is a niche furniture design and doesn’t hold utility for everyone

6. Bend Chair

Created by the Thai design brand Waste is More, the Bend Chair is made using coffee-based waste, wood, and recycled plastic. The minimalist-looking and simple chair is made from More’s signature PlasCoff materials, which is an eco-friendly and durable alternative to other materials.

Why is it noteworthy?

The unique material merges recycled plastic with waste from coffee bean processing, creating a design that is pretty sustainable for your home. What makes the furniture design even more interesting is that the deeper the shade, the higher is the content of coffee waste.

What we like

  • Constructed using a locally sourced rubber tree timber and coffee-based waste
  • It is the ultimate mix of ergonomics, sustainability, functionality and good looks

What we dislike

  • Aesthetics are a bit unassuming and simple

7. Tellus Bench

Called the Tellus Bench, this innovative seating design was created by the street furniture brand Vestre and designer Emma Olbers. It is made using fossil-free steel, and no carbon sessions are created during its manufacturing process.

Why is it noteworthy?

The steel used to build the Tellus Bench was manufactured by Swedish steelmaker SSAB in its converted blast furnace, which uses green hydrogen instead of coal for heat, and emits no carbon dioxide.

What we like

  • The bench features wide armrests and offers comfort to the user, while also providing sufficient space to place a coffee or tea cup

What we dislike

  • Aesthetics are a bit dull and unassuming

8. Liberty Ocean Chair

The Liberty Ocean Chair is designed by the office furniture brand Humanscale and was made using one kilogram of abandoned fishing nets found in the ocean. It is said to be the first task chair made from recycled fishing nets and is a commendable effort on Humanscale’s behalf to tackle the issue of ocean plastic.

Why is it noteworthy?

The Liberty Ocean Chair is a successor of the original Liberty chair, which is quite ergonomic and minimal as well. But the Liberty Ocean Chair takes it one step further with an eco-friendly and sustainable ethos which is highly valuable in today’s times.

What we like

  • Features a form-sensing mesh back

What we dislike

  • There seems to be no option for customization

9. Stack Chair

The innovative Stack chair features a compass-like four-legged base, where you can stack the chair almost to infinity. But of course, you’ll be limited by how much vertical space there is, and how high you can safely reach.

Why is it noteworthy?

The design has two parts, the base and the shell, and the parts can be connected by simply snapping the base underneath the shell’s designed rim. The two become a single and stable piece of furniture, which completely simplifies the manufacturing process, as well as assembly and shipping.

What we like

  • You can mix and match different base and shell colors or even materials

What we dislike

  • The chair doesn’t look too comfy to sit on for long durations of time

10. Fuld

Called Fuld, this nesting chair by Herman Miller is a unique and one-of-a-kind innovation with a sustainable twist. It’s an efficient and effective solution that will reconfigure your workspace without compromising on sleekness, minimalism, and style.

Why is it noteworthy?

It is a revolutionary one-piece construction equipped with an inverted Y shape, which makes the production process reduce the water creation. The back is equipped with elasticity, to provide the utmost comfort as you shift and move around.

What we like

  • Made from 50 percent post-consumer recycled content

What we dislike

  • There isn’t much head support if you’re quite tall

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Vos chats privés avec les IA lisibles malgré le chiffrement

Par : Korben
14 mars 2024 à 14:15

Oh la vache les amis, j’ai une nouvelle de dingue à vous raconter ! Vous savez, on kiffe tous nos IA assistants, genre ChatGPT et compagnie. On leur confie nos pensées les plus intimes, nos secrets les mieux gardés. Que ce soit pour des questions de santé, de couple, de taf… On se dit « pas de soucis, c’est crypté, personne ne pourra lire nos conversations privées » (oui, moi je dis « chiffré », mais vous vous dites « crypté »). Eh ben figurez-vous qu’une bande de joyeux lurons (des chercheurs en cybersécu quoi…) a trouvé une faille de ouf qui permet de déchiffrer les réponses des IA avec une précision hallucinante ! 😱

En gros, ils exploitent un truc qui s’appelle un « canal auxiliaire » (ou « side channel » pour les bilingues). C’est présent dans quasiment toutes les IA, sauf Google Gemini apparemment. Grâce à ça et à des modèles de langage spécialement entraînés, un hacker qui espionne le trafic entre vous et l’IA peut deviner le sujet de 55% des réponses interceptées, souvent au mot près. Et dans 29% des cas, c’est même du 100% correct, mot pour mot. Flippant non ?

Concrètement, imaginez que vous discutiez d’un éventuel divorce avec ChatGPT. Vous recevez une réponse du style : « Oui, il y a plusieurs aspects juridiques importants dont les couples devraient être conscients quand ils envisagent un divorce…bla bla bla » Eh ben le hacker pourra intercepter un truc comme : « Oui, il existe plusieurs considérations légales dont une personne devrait avoir connaissance lorsqu’elle envisage un divorce…« 

C’est pas exactement pareil mais le sens est là ! Pareil sur d’autres sujets sensibles. Microsoft, OpenAI et les autres se font vraiment avoir sur ce coup-là… 🙈

En fait cette faille elle vient des « tokens » utilisés par les IA pour générer leurs réponses. Pour vous la faire simple, c’est un peu comme des mots codés que seules les IA comprennent. Le souci c’est que les IA vous envoient souvent ces tokens au fur et à mesure qu’elles créent leur réponse, pour que ce soit plus fluide. Sauf que du coup, même si c’est crypté, ça crée un canal auxiliaire qui fuite des infos sur la longueur et la séquence des tokens… C’est ce que les chercheurs appellent la « séquence de longueurs de tokens ». Celle-là, on l’avait pas vu venir ! 😅

Bon vous allez me dire : c’est quoi un canal auxiliaire exactement ?

Alors c’est un moyen détourné d’obtenir des infos secrètes à partir de trucs anodins qui « fuient » du système. Ça peut être la conso électrique, le temps de traitement, le son, la lumière, les ondes… Bref, tout un tas de signaux physiques auxquels on prête pas attention. Sauf qu’en les analysant bien, des hackers malins arrivent à reconstituer des données sensibles, comme vos mots de passe, le contenu de mémoire chiffrée, des clés de chiffrement… C’est ouf ce qu’on peut faire avec ces techniques !

Après attention hein, faut quand même avoir accès au trafic réseau des victimes. Mais ça peut se faire facilement sur un Wi-Fi public, au taf ou n’importe où en fait. Et hop, on peut espionner vos conversations privées avec les IA sans que vous vous doutiez de rien…

Donc voilà, le message que j’ai envie de faire passer avec cet article c’est : Ne faites pas une confiance aveugle au chiffrement de vos conversations avec les IA ! Ça a l’air sûr comme ça, mais y a toujours des ptits malins qui trouvent des failles auxquelles personne n’avait pensé… La preuve avec ce coup de la « séquence de longueurs de tokens » ! Donc faites gaffe à ce que vous confiez aux ChatGPT et autres Claude, on sait jamais qui pourrait mettre son nez dans vos petits secrets… 😉

Allez, je vous laisse méditer là-dessus ! Si vous voulez creuser le sujet, je vous mets le lien vers l’article d’Ars Technica qui détaille bien le truc.

Prenez soin de vous et de vos données surtout ! ✌️ Peace !

ytDownloader – Télécharger des vidéos à partir d’une simple URL

Par : Korben
13 mars 2024 à 08:00

Hé les amis, aujourd’hui laissez-moi vous présenter un outil génial qui vous facilitera la vie en vous permettant de télécharger des vidéos et d’extraire des pistes audios de différents formats à partir de centaines de sites, dont, YouTube, Facebook, Tiktok, Twitch, Twitter, Instagram et bien d’autres…

Cet outil s’appelle ytDownloader et vous l’aurez compris, c’est YoutubeDL derrière sauf que là, y’a une interface minimaliste facile à prendre en main. L’outil est bien sûr entièrement gratuit et Open Source.

Disponible sous Linux, Windows et macOS, cet utilitaire dispose de nombreuses fonctionnalités comme un mode clair/sombre, la possibilité de choisir un thème pour pas flinguer vos petits yeux, ainsi que la possibilité de télécharger une plage spécifique d’une vidéo si vous le souhaitez, ce qui est pratique pour extraire un morceau précis. Vous pouvez évidemment, après avoir entré l’URL de votre vidéo, choisir le format et la qualité de la vidéo et de l’audio que vous voulez récupérer, ce qui est super pratique pour faire par exemple des MP3 à partir de clips vidéos.

Cet outil prend également en charge le téléchargement des sous-titres et est disponible en plusieurs langues. Vous pouvez bien sûr configurer l’emplacement où enregistrer vos fichiers récupérés et il n’y a ni pubs ni traqueur dans l’application.

Pour résumer, ytDownloader est un outil super utile pour tous ceux qui ont besoin de récupérer des vidéos et/ou extraire des audios de différents formats à partir de différents sites. Je vous le conseille !

Rendez-vous sur leur site pour télécharger ytDownloader.

Merci à Lorenper pour le partage.

Testez +400 distros Linux directement en ligne avec Distrosea

Par : Korben
14 janvier 2024 à 08:00

Chaque année, certaines distribs Linux sortent du lot, attirant les curieux en quête d’innovation. Mais il y a un hic, c’est qu’il en existe tellement qu’il est difficile de toutes les essayer pour trouver celle qui vous convient le mieux.

Heureusement, j’ai une excellente nouvelle pour vous : DistroSea est là pour résoudre ce problème !

Pensez à toutes ces situations, où vous avez voulu essayer une distribution Linux différente, mais la flemme de télécharger l’ISO (d’ailleurs, quelle version prendre ?), et la flemme de préparer une machine ou une VM pour la faire tourner, même en version bootable.

C’est fini ça, grâce à DistroSea qui simplifie grandement ce processus en proposant plus de 400 versions de distributions Linux à essayer directement en ligne, sans rien installer sur votre machine !

Parmi les distributions populaires présentes sur la plateforme, on retrouve des classiques tels que Arch Linux, CentOS Stream, Debian, Fedora, Linux Mint, openSUSE, Ubuntu et Zorin OS. Et croyez-moi, il y en a pour tous les goûts et les besoins. Que vous soyez développeur, administrateur système, étudiant, passionné de rétro-gaming ou simplement à la recherche d’un système d’exploitation alternatif, vous trouverez forcément une distribution à votre image.

L’un des grands avantages de DistroSea, c’est qu’Internet est actif sur les distribs. Cela signifie que vous pourrez parcourir le web, tester des applications en ligne et même installer des logiciels directement depuis le navigateur. De quoi vous offrir une expérience utilisateur très proche de celle que vous auriez sur une machine physique.

Pour accéder à ce formidable outil, il vous suffit de vous rendre sur DistroSea.com et de vous inscrire gratuitement. Une fois connecté, vous pourrez sélectionner la distribution Linux de votre choix et la lancer directement dans votre navigateur. Aucune installation ni configuration n’est nécessaire, vous pouvez commencer à explorer et à tester les fonctionnalités de la distribution choisie en quelques secondes.

Eclatez-vous bien les Linuxiens et n’oubliez pas de prendre une douche après tout ça 😉

Knockr – Facilement mettre en place une séquence de port knocking sur votre serveur

Par : Korben
29 décembre 2023 à 08:00

Connaissez-vous la pratique du port knocking ?

Il s’agit d’une bonne pratique de sécurité informatique qui permet de contrôler l’accès à un serveur en utilisant une séquence de tentatives de connexion à des ports fermés. Cette technique est souvent utilisée pour masquer aux yeux des scanners de ports, des services comme SSH. les services tels que SSH (Secure Shell) des scanners de port automatiques et des attaquants potentiels.

Cette méthode ajoute une couche de sécurité supplémentaire, car les ports nécessaires pour accéder à votre serveur, ne sont pas constamment ouverts et donc visibles.

Si vous voulez mettre ça en place, il y a différentes méthodes, mais l’une des plus faciles, c’est d’utiliser Knockr, un script écrit en Go qui s’installe comme ceci :

go install github.com/solutionroute/knockr@v0.2.0

Ou comme ceci :

git clone https://github.com/solutionroute/knockr.git
cd knockr
go install

Et qui va vous permettre de spécifier les ports à surveiller ainsi que la durée d’attente entre chaque frappe, le protocole réseau utilisé ou le temps d’attente avant l’émission d’une nouvelle séquence.

Frapper sur trois ports différents

Le comportement par défaut de l’outil knockr est de frapper sur les ports spécifiés en utilisant le protocole TCP avec un délai de 100 millisecondes entre les frappes et un délai d’expiration de 1,5 seconde pour chaque frappe. Pour frapper sur trois ports, 1234, 8923 et 1233, vous utiliseriez la commande suivante, en remplaçant hostname par le nom réseau de votre machine :

knockr hostname 1234,8923,1233

Cette commande enverra un paquet TCP SYN à chacun des ports spécifiés, en attendant une réponse avant d’envoyer le paquet suivant. Si une réponse n’est pas reçue dans les 1,5 secondes, la frappe est considérée comme infructueuse.

Frapper sur une chaîne de ports avec un protocole et un délai spécifiés

Pour spécifier un protocole et un délai différents entre les frappes, vous pouvez utiliser les options -n et -d, respectivement. Par exemple, pour frapper sur le port 22 (SSH) en utilisant le protocole UDP avec un délai de 200 millisecondes entre les frappes, vous utiliseriez la commande suivante :

knockr hostname 22 -n udp -d 200ms

Frapper sur une chaîne de ports avec un protocole, un délai et un mode silencieux spécifiés

Pour supprimer tout sauf la sortie d’erreur, vous pouvez utiliser l’option -s. Par exemple, pour frapper sur le port 22 (SSH) en utilisant le protocole TCP avec un délai de 200 millisecondes et supprimer toute sortie sauf la sortie d’erreur, vous utiliseriez la commande suivante :

knockr hostname 22 -n tcp -d 200ms -s

Il est recommandé d’inclure le ou les ports que vous vous attendez à être déverrouillés en premier et en dernier dans la chaîne pour observer leur statut avant et après le processus de frappe. Par exemple, si vous avez l’intention de déverrouiller le port 22 (SSH) sur un hôte spécifique, vous pouvez utiliser la commande suivante :

knockr hostname 22,1234,18923,1233,22

Cette commande frappera sur le port 22, attendra la réponse attendue, frappera ensuite sur les ports restants, puis vérifiera à nouveau le statut du port 22. Cela permet de garantir que les ports spécifiés sont bien déverrouillés après le processus de frappe.

Vous l’aurez compris grâce aux exemples :

  • L’option -d spécifie le délai en millisecondes entre les frappes. La valeur par défaut est de 100 millisecondes.
  • L’option -n spécifie le protocole à utiliser pour les frappes. Les valeurs possibles sont tcp et udp. La valeur par défaut est tcp.
  • L’option -s met l’outil en mode silencieux. Cela signifie que seules les sorties d’erreur seront affichées.

À découvrir ici et bonne chance dans vos aventures de port-knocking !

Portable special seat helps kids with physical issues seat comfortably

Par : Ida Torres
24 décembre 2023 à 23:30

While there are child seats in a lot of restaurants, not all of them are suited for kids that may have some developmental or physical issues. Parents may have to bring special seating for their child but not all of them are practical or portable so it can be a pain. Fortunately, there are countries like Japan that actually subsidize custom-made supportive chairs for children who need extra support to sit comfortably. So we see product developers in the country come up with better solutions for parents and their children.

Designer: Ikou

The Ikou Portable Chair is an improvement on the supportive chairs that have been around in Japan since the 80s. Previously, these chairs were meant for home use but this one is something that parents can carry around for use in places that may not have adequate seating for their children. It is created for toddlers and young children to help them have a more stable sitting position and it can also be attached to an adult chair so they can do activities like watch sports, camping, picnicking, and even just simply sitting with family and friends.

It is also pretty practical as you can carry it around like a regular bag when it’s folded into its case. When you need to use, you just open and unpack and secure the seat and backrest using the two belts that are attached to it. It also has an adjustable height and backrest and has a tilt mechanism that can be adjusted up to 20 degrees. The seat is designed to raise and stabilize the pelvis so as to help with their posture as well. The backrest meanwhile supports the shoulder blade to help control their upper limbs.

The Ikou Portable Chair is compatible for children as young as 7 months old and up to 3 years old. The great thing is that the backrest and headrest can be adjusted as the child grows so there’s no need to buy a new one as they grow older. This is available exclusively in Japan though so you’ll have to ask someone to buy it for you there if you’re not from the country.

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