Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierFlux principal

iMessage Exporter - Pour faire un backup de vos conversations iMessage

Par : Korben
19 novembre 2025 à 07:29

Vous avez combien de messages iMessage sur votre Mac ?

10 000 ? 50 000 ? Plus ????

Vous en avez des amis, dites moi ! Et maintenant, petite question piège : Combien de ces messages pouvez-vous réellement exploiter en dehors de l’app Messages d’Apple ?

Hé bien la réponse va vous surprendre (non) : zéro !

Hé oui, car vos conversations sont stockées dans une base SQLite quelque part sur votre disque dur , mais Apple a fait en sorte que vous ne puissiez rien en faire. Les pièces jointes sont planqués dans des dossiers obscurs avec des noms aléatoires, les métadonnées sont éclatées sur une quinzaine de tables, et les timestamps sont au format Apple (pas Unix). Vous pouvez donc ouvrir la base avec DB Browser si vous voulez, mais vous allez juste pleurer du sang devant votre écran et perdre votre joie de vivre.

Et le plus beau dans tout ça c’est qu’Apple ne propose AUCUN moyen d’exporter vos messages. Y’a rien. Y’a des boutons d’export pour vos photos, pour vos mails, pour vos contacts, mais pour vos SMS et iMessages, c’est podzob !

Donc si vous voulez quitter l’écosystème Apple et migrer vers Android (mais qui fait ça ??? lol), bonne chance pour récupérer ces 10 ans de conversations torrides avec Monique de la compta. Et si vous avez besoin d’archiver des échanges professionnels pour raisons légales, à part faire des centaines de captures écran ou de copier coller, j’vois pas.

Heureusement, un dev nommé ReagentX en a eu marre de cette situation et a créé imessage-exporter, un outil open source en Rust qui fait exactement ce qu’Apple refuse de faire à savoir vous donner accès à VOS propres données dans un format lisible et portable.

L’outil tourne sur macOS évidemment, mais aussi sur Linux et Windows. Comme ça, même si vous avez viré votre Mac depuis 3 ans, vous pouvez quand même récupérer votre ancienne base iMessage et l’exporter tranquillement depuis votre machine Ubuntu ou Windows.

Et au niveau des formats d’export, vous avez le choix entre du txt et du html. Le format html est particulièrement bien foutu parce qu’il recrée l’interface visuelle d’iMessage avec vos bulles bleues et grises, les heures d’envoi, et surtout il préserve tous les médias : photos, vidéos, audios, tout y passe. Vous vous retrouvez avec un site html statique que vous pouvez ouvrir dans n’importe quel navigateur et parcourir comme si vous étiez dans l’app Messages, sauf que là c’est rien qu’à vous et personne peut vous le reprendre (sauf le karma ^^).

Pour l’install, si vous êtes à l’aise avec Rust, hop, un simple cargo install imessage-exporter fera l’affaire. Sinon y’a un package Homebrew (brew install imessage-exporter) ou des binaires précompilés sur la page du projet pour Mac Intel et Apple Silicon.

Notez qu’il vous faudra aussi installer ImageMagick et ffmpeg pour la conversion des pièces jointes, mais rien de sorcier. Ensuite, côté utilisation, c’est de la ligne de commande pure et dure. Par exemple, pour exporter toutes vos conversations en html avec les médias dans votre dossier personnel, vous tapez :

imessage-exporter -f html -c clone

Si vous voulez exporter uniquement les conversations avec un contact spécifique, vous pouvez filtrer par numéro de téléphone :

imessage-exporter -f html -c clone -t "0612345678"

Et si votre base iMessage est corrompue ou que vous soupçonnez des problèmes, l’outil intègre aussi une fonction diagnostic qui va scanner la base et vous remonter les anomalies.

Et l’outil gère iMessage, RCS, SMS, MMS, les conversations de groupe, les messages formatés, les threads de réponse, les messages édités, les traductions, les sondages, les votes, et même les arrière-plans de chat custom. C’est ouf ! Et ça c’est parce que ReagentX maintient ce projet depuis des années et suit les updates Apple en temps réel, ce qui n’est franchement pas une mince affaire vu qu’Apple change régulièrement le schéma de leur base.

Normal que ce projet cartonne !

Voilà si vous tenez un minimum à vos données, allez faire un tour sur le repo GitHub d’imessage-exporter … çaa prend 10 minutes à installer, et vous dormirez mieux en sachant que vos échanges et autres souvenir seront conservés bien au chaud sur votre prochain backup.

Et un grand merci à Lorenper de m’avoir signalé ce projet.

iPhone ‘Lock Screen Mirror’ feature lets you quickly check your hair/teeth without opening the camera

Par : Sarang Sheth
18 novembre 2025 à 21:30

Never have I seen something so audaciously brilliant I actually summon a CEO to help make it a reality but Tim Cook… if you’re reading this, this lock-screen mirror definitely needs to ship on the next iOS build. Put together by Jakub Zegzulka, an ex-Apple, Meta, and OpenAI fellow, this tiny little feature is perhaps more important than FaceID itself!

How many times have you stepped out for a meeting with friends or for an interview, having no idea what you look like… or whether you’ve got food stuck in your teeth? You unlock your phone, open the camera app, and flip to the front-facing camera to do a quick vibe-check. It’s a 3-step process that absolutely doesn’t need to be a 3-step process. Instead, Zegzulka’s solution involves just long-pressing on the camera icon on the bottom right of your lock screen. That brings up a tiny window emerging off the dynamic island, giving you a quick preview of yourself. You can check your hair, fix your make-up, adjust your specs, run your tongue across your teeth, or just quickly check out that annoying zit that appeared at the wrong place and wrong time.

Designer: Jakub Zegzulka

Zegzulka didn’t outline much, except a quick video demo of this feature on Threads. Although that was enough to gather nearly 2K likes in just over a day. The Lock Screen Mirror isn’t an app. It’s just a quick interaction that lets you open the camera’s viewfinder right on your lock screen for checking your appearance. The tiny circular window is almost exactly the size of a make-up mirror, and the feature is legitimately handy, even for me as a guy who has fairly curly hair that needs to just be ruffled before I step out.

Heck, imagine going an entire hour on a date with spinach stuck in your teeth and them being polite enough to not point out. Instead, you just do a quick check, get that pesky piece of green stuck on your pearly whites, and you’re good to go. It’s such a tiny-yet-life-enhancing feature that Apple could totally ship with their next build. You’re NOT opening your camera app with this lock screen mirror function, just a preview. You could drag your finger up and have the app open like it traditionally does, but a feature like this would probably eliminate the need to, if all you need to do is see if you look good right before you meet your friends, your future boss, or the potential love of your life.

The post iPhone ‘Lock Screen Mirror’ feature lets you quickly check your hair/teeth without opening the camera first appeared on Yanko Design.

Apple Eyes $1B Deal with Google to Revamp Siri with Gemini AI

6 novembre 2025 à 18:02

The partnership could accelerate Siri’s evolution and redefine Apple’s approach to innovation, privacy, and control.

The post Apple Eyes $1B Deal with Google to Revamp Siri with Gemini AI appeared first on TechRepublic.

Votre iPhone pollue le Wi-Fi de tout le monde et ça c'est moche

Par : Korben
24 octobre 2025 à 07:14

Vous streamez une vidéo sur votre iPad, tout va bien, et puis ça lag. Pas beaucoup hein, juste une petite micro-saccade bien en rythme toutes les deux secondes. Ce n’est pas la faute de votre routeur et pourtant vous avez beau pinger votre réseau local, ça saute de 3 ms à 90 ms… Bienvenue dans le monde merveilleux d’AWDL, la technologie Apple qui transforme plus d’un milliard d’appareils en mini-pollueurs du spectre WiFi.

Christoff Visser, ingénieur au labo de recherche d’Internet Initiative Japan, a eu ce problème et en a parlé lors de sa dernière présentation à la conférence RIPE 91 . Il était en train de streamer un jeu avec Moonlight quand ça s’est mis à sauter à intervalles réguliers. Ça l’intrigue, alors il fait ce que ferait n’importe quel ingénieur réseau qui se respecte… Il sort Wireshark et commence à tout sniffer.

Et là, surprise… Son iPad saute entre les canaux WiFi.

Mais pas aléatoirement, hein… précieusement toutes les deux secondes. C’est alors qu’il comprend que le coupable est le protocole AWDL (Apple Wireless Direct Link). Vous voyez AirDrop, cette app magique qui vous permet d’envoyer des fichiers entre iPhone et Mac sans rien configurer ? Handoff, qui vous laisse continuer votre mail de l’iPhone sur le Mac ? Sidecar, pour utiliser votre iPad comme second écran ? Hé bien toute cette magie Apple repose sur ce protocole propriétaire non-documenté qui tourne en permanence sur vos appareils.

Voici comment ça marche… Pour que deux appareils Apple puissent se parler n’importe où dans le monde, ils doivent d’abord se trouver. Apple a donc défini ce qu’on pourrait appeler des canaux sociaux : le canal 6 pour le 2,4 GHz, les canaux 44 et 149 pour le 5 GHz. Ce sont si vous voulez, des points de rendez-vous. Vos appareils sautent alors régulièrement sur ces canaux pour vérifier si quelqu’un veut leur parler, puis reviennent sur le canal de votre réseau WiFi.

Sauf que si vous êtes un admin réseau malin, vous n’utilisez PAS ces canaux parce que tout le monde les utilise. Vous scannez le spectre, vous trouvez un canal vide, et vous configurez votre réseau là-dessus pour éviter les interférences. Logique, non ?

Bah non. Pas avec Apple.

Parce que vos appareils Apple, eux, ils s’en foutent. Ils vont QUAND MÊME sauter sur les canaux 6, 44 ou 149 pour checker si quelqu’un veut leur parler, puis revenir. Hop. Toutes les deux secondes. Que vous utilisiez AirDrop ou pas. Que vous ayez d’autres appareils Apple à proximité ou pas. En permanence !

C’est dingue non ? Du coup, on se retrouve avec ces micro-coupures et une latence qui explose. Visser a découvert que ce problème est remonté sur les forums utilisateurs depuis 2019 . Les gens se plaignent, mais personne ne comprend vraiment ce qui se passe parce qu’Apple ne documente pas AWDL et que ces paquets sont invisibles sur votre propre machine. Du coup, diagnostiquer ça est presque impossible.

Visser a donc contacté Apple via leur Feedback Assistant et il n’a obtenu aucune réponse. Même après sa conf à RIPE91, Apple a gardé le silence…

Bref, le “ça marche tout seul” d’Apple a un coût sauf que ce n’est pas Apple qui le paie. C’est nous, les admins réseaux et tous les autres appareils sur le réseau. Apple a optimisé l’expérience de SES utilisateurs en externalisant le problème sur l’infrastructure WiFi des autres.

Alors y’a t-il des solutions ?

Bah justement. Vous avez trois options mais je vous préviens, elles sont toutes pourries.

  • Option 1 : Désactiver AWDL avec sudo ifconfig awdl0 down. Cool, ça marche sauf que vous perdez AirDrop, Handoff, Sidecar, et toutes les fonctionnalités cools qui font qu’un iPhone est un iPhone. Autant acheter un Android à ce tarif…
  • Option 2 : Configurer votre réseau WiFi sur les canaux 6, 44 ou 149. Utiliser les mêmes canaux que tout le monde pour éviter que vos appareils Apple ne sautent est donc une bonne option, même si ces canaux sont souvent saturés. Et au Japon, le 149 est carrément interdit !
  • Option 3 : Vivre avec en totale acception de votre sort. Vous devez accepter que vos appareils Apple sont des gros dégueulasses qui vont polluer le WiFi, accepter ces micro-latences et accepter que votre admin réseau va vous poursuivre avec un couteau dans les couloirs de la boite quand il aura lu mon article.

Et comme ce n’est pas un problème de matériel, acheter un nouveau routeur WiFi 7 ne changera rien puisque le problème, c’est la communication directe entre VOS appareils. Apple pousse même le RFC 9330 (L4S) pour réduire les délais réseau, mais ça ne résoudra rien non plus parce qu’AWDL, c’est du peer-to-peer et ça bypass votre routeur.

Quelqu’un n’a même pas besoin d’être connecté à votre réseau pour foutre le bordel. Il peut juste passer à côté de vous dans un café, déverrouiller son iPhone, et boom, votre réseau va glitcher quelques secondes pendant que vos appareils négocieront avec le sien.

Visser a donc présenté tout ça en espérant que les admins réseau et les FAI soient enfin informés du souci et puisse répondre enfin aux utilisateurs qui rencontrent ce problème invisible. Donc, voilà, la prochaine fois que votre connexion WiFi merdera sans raison, regardez autour de vous et comptez les iPhones et autres appareil Apple car chacun d’eux est en train de jouer à saute-moutons entre les canaux de votre réseau.

Plus d’un milliard d’appareils qui font ça en permanence, partout dans le monde, c’est pas rien quand même…

Bref…

Source

UK Regulator Confirms Apple and Google Hold ‘Strategic Market Status’

23 octobre 2025 à 11:57

Competition and Markets Authority’s classification grants it expanded authority to tackle potential competition issues across the nation’s app and mobile markets.

The post UK Regulator Confirms Apple and Google Hold ‘Strategic Market Status’ appeared first on TechRepublic.

Github Copilot pour Xcode est sorti - Et c'est Microsoft qui l'a fait !

Par : Korben
21 octobre 2025 à 09:20

Pendant qu’Apple peaufine son IA maison pour Xcode (sans date de sortie, évidemment), Microsoft vient tranquillou installer ses petites affaires dans l’écosystème le plus verrouillé du marché en sortant son extension officielle Github Copilot pour Xcode , pile-poil au moment où les rumeurs nous soufflent qu’Apple travaille aussi sur sa propre solution locale.

Cette extension de Github pour Xcode propose trois fonctionnalités principales. Tout d’abord de la complétion de code en temps réel. Ensuite, pendant que vous tapez, un tchat vous permet de poser des questions sur votre code, et il y a également un mode Agent qui peut modifier directement vos fichiers et lancer des commandes terminal. C’est gratuit jusqu’à 2000 complétions et 50 messages tchat par mois, donc largement de quoi rendre accro la majorité des devs iOS avant qu’Apple ne sorte son propre truc !

Maintenant pour utiliser un outil Microsoft dans un IDE Apple, vous devez accorder trois permissions macOS sacrées : Background, Accessibilité, et Xcode Source Editor Extension. Hé oui, Apple force littéralement ses développeurs à ouvrir toutes ces portes et niveau permissions, c’est l’Accessibilité qui pose régulièrement problème, car faut souvent la désactiver puis la réactiver pour que ça fonctionne correctement.

Ensuite l’installation est assez classique. Soit via Homebrew ou en téléchargeant le DMG directement depuis le dépôt GitHub.

brew install --cask github-copilot-for-xcode

Vous glissez ensuite l’app dans Applications, vous accordez les trois permissions système, vous activez l’extension dans les préférences Xcode, et hop, vous signez ça avec votre compte GitHub Copilot.

Un autre projet communautaire existait déjà intitni/CopilotForXcode , non officiel mais fonctionnel, qui supportait GitHub Copilot, Codeium et ChatGPT mais comme Microsoft sort maintenant sa version officielle pour contrôler le territoire comme un dealer dans son quartier, j’imagine que cette dernière ne va plus faire long feu.

Les tests comparatifs montrent que Copilot reste plus rapide et plus précis que le système de prédiction local d’Apple intégré dans Xcode car Apple mise uniquement sur du traitement local avec un modèle embarqué (pas de cloud donc, tout est sur votre Mac), surtout que Microsoft a déjà des années d’avance sur l’entraînement de ses IA et la rapidité de ses serveurs.

Donc voilà, les développeurs iOS se retrouvent maintenant à choisir entre attendre un hypothétique Copilot d’Apple sans date de sortie, ou donner les clés de leur Xcode à Microsoft dès maintenant. Ou alors continuer à coder sans IA comme les hommes de Cro-Magnon à l’époque !

En tout cas, avec 2000 complétions gratuites par mois comme dose pour devenir accro, combien vont résister si Apple tarde encore 6 mois de plus ??

Source

Apple Refused to Make Curved Monitors For Decades. Here’s Why…

Par : Sarang Sheth
23 octobre 2025 à 19:15

Apple will gladly sell you a $3,500 headset that wraps curved virtual displays around your entire field of view, but the company has never once shipped a physical curved display. Not on the iMac. Not on the Studio Display. Not even a subtle waterfall edge on the iPhone. This isn’t an oversight or technical limitation, it’s ideology made manifest in aluminum and glass.

While competitors like Samsung have built entire marketing campaigns around dramatic curved edges and Dell has carved out profitable niches with wraparound gaming monitors, Apple has spent decades systematically avoiding curves with the dedication of a geometry teacher. The result reveals something fascinating about how the world’s most valuable technology company thinks about design, professional workflows, and the fundamental nature of what a display should be.

Image Credits: Sarang Sheth

The Philosophy Behind the Flat

Jony Ive’s design philosophy wasn’t just about minimalism, it was about what he called “truth to materials.” Every curve had to justify its existence through function rather than form. In his worldview, inherited from design mentor Dieter Rams, displays served a singular purpose: presenting information with maximum clarity and minimum distraction. Curves introduced visual complexity that violated this core principle.

This wasn’t mere aesthetic preference but philosophical conviction. When Ive described transforming the iPad Pro from curved to flat edges, he emphasized how engineering advances allowed them to achieve “a very simple straightforward edge detail.” The language reveals everything: simplicity and straightforwardness were virtues, while curves represented unnecessary complexity. For Ive, flat displays weren’t just better designed, they were more honest about their purpose.

When Curves Meant Compromise

Physical curved displays present real-world problems that Apple’s engineering obsessives couldn’t stomach. Curved monitors suffer from geometric distortion near the edges, making straight lines appear bent, a nightmare for professionals working on architectural drawings or precise graphic design. Color accuracy varies across the curved surface as viewing angles change, violating Apple’s commitment to professional-grade color reproduction.

Manufacturing curved panels also means lower yields and higher costs, factors that conflict with Apple’s desire for predictable production economics. More importantly, curved displays complicate internal component layout, thermal management, and the kind of seamless integration that Apple prizes above flashy visual effects. Every curved panel represents engineering compromises that Apple’s teams historically refused to accept.

The Professional Workflow Justification

Apple positioned their displays squarely in professional creative markets where accuracy trumped immersion. Video editors, photographers, and graphic designers need displays that present images exactly as they’ll appear in final output. Even subtle curvature can introduce distortion that makes precision work difficult, particularly when multiple team members need to view the same screen from different angles.

This professional focus also explained Apple’s resistance to gaming-oriented features like high refresh rates until recently. Curved displays were marketed primarily for gaming and entertainment, markets where immersion mattered more than geometric precision. Apple’s customer base of creative professionals had different priorities, and the company built its display strategy around serving those specific needs rather than chasing broader consumer trends.

Virtual Reality Changes Everything

The Vision Pro’s enthusiastic embrace of curved virtual displays exposes the fundamental contradiction in Apple’s anti-curve stance. The latest visionOS update explicitly promotes wraparound displays that “curve around your periphery,” creating immersive experiences that physical displays simply cannot match. Apple actively markets these curved virtual screens as superior to traditional flat displays.

Virtual curvature solves every problem Apple cited with physical curved displays. Software can eliminate geometric distortion through pixel-perfect rendering. Color accuracy remains consistent because the underlying pixels are physically flat. Manufacturing yields become irrelevant because curves exist only in code. Most importantly, users can switch between curved and flat presentations depending on their task, providing the flexibility that rigid physical displays cannot offer.

Ive’s Geometric Obsession

Understanding Apple’s curved display aversion requires understanding Ive’s broader design philosophy, which extended far beyond hardware into software. His push for flat design in iOS 7 represented the same geometric principles applied to digital interfaces. He described the aesthetic as “profound and enduring beauty in simplicity,” explicitly rejecting decorative elements that didn’t serve essential functions.

This geometric obsession influenced every Apple product during Ive’s tenure. The iPhone’s evolution toward increasingly flat surfaces, the MacBook’s elimination of curves wherever possible, and even architectural elements in Apple Stores all reflected this commitment to geometric purity. Curves were acceptable only when they served clear functional purposes, never as decorative flourishes or visual drama.

The Industry’s Curved Rebellion

While Apple maintained its flat display orthodoxy, competitors found success with curved screens across multiple product categories. Samsung’s Galaxy Edge phones created differentiation through dramatic curved edges. Gaming monitor manufacturers like ASUS and MSI built enthusiastic followings with ultrawide curved displays. Even premium TV makers embraced subtle curves to enhance viewing experiences.

The curved display market grew substantially without Apple’s participation, suggesting that consumer demand existed for these products. Professional users began adopting curved ultrawide monitors for tasks like video editing and financial trading, undermining Apple’s argument that curves were incompatible with serious work. The company watched potential revenue streams flow to competitors while maintaining its geometric principles.

What Apple’s Missing (and Why They Don’t Care)

Apple’s curved display absence has cost the company market opportunities in gaming, entertainment, and even some professional segments where immersive displays provide clear benefits. Curved ultrawide monitors have become popular among content creators for timeline-based work, offering advantages that Apple’s flat Studio Display simply cannot match. The company has effectively ceded these markets to maintain design consistency.

Yet Apple seems remarkably unconcerned about these missed opportunities, and their Vision Pro strategy suggests why. The company appears to view curved physical displays as a transitional technology, something to skip entirely in favor of the ultimate curved display: virtual reality. Why compromise with curved glass when you can eventually sell customers infinitely configurable virtual curves instead? It’s a typically Apple approach, waiting to leapfrog an entire product category rather than participate in its incremental evolution.

The contradiction between Apple’s curved virtual displays and flat physical ones isn’t really a contradiction at all. It’s the logical endpoint of a design philosophy that values function over form, professional utility over consumer spectacle, and long-term vision over short-term market participation. Apple didn’t avoid curved displays because they couldn’t make them work. They avoided them because curved glass was never the destination, just a waypoint on the road to curved light.

The post Apple Refused to Make Curved Monitors For Decades. Here’s Why… first appeared on Yanko Design.

Test des AirPods Pro 3 : Apple a-t-il (encore) créé les écouteurs parfaits ?

Par : Korben
29 septembre 2025 à 13:54
– Article invité, rédigé par Vincent Lautier, contient des liens affiliés Amazon –

Les nouveaux AirPods Pro 3 sont arrivés, et avec eux, la promesse d’une expérience audio encore améliorée. Après quelques jours d’utilisatio intensive, le constat est clair : Apple a su peaufiner une formule déjà très efficace pour livrer des écouteurs sans fil qui excellent clairement sur les points essentiels. Ce sont toujours les meilleurs écouteurs qui soient, que vous soyez sur iPhone ou Android.

Qualité sonore : la précision avant tout

À la première écoute, on ne note pas de révolution, mais une évolution qui s’entend quand même. Le profil sonore a été retravaillé pour offrir plus de présence dans les basses. Celles-ci sont plus profondes, plus rondes, ce qui donne une assise sonore solide à l’ensemble. On peut y voir un rapprochement avec la signature de certains casques Bose, connus pour leur chaleur. Pour autant, les médiums et les aigus sont aussi clairs et détaillés, et proposent une bonne polyvalence sur tous les styles musicaux, des podcasts aux morceaux les plus complexes.

La véritable avancée de ses petites beautés se situe au niveau de la réduction de bruit active (l’ANC). Sans être une rupture totale avec la génération précédente, son efficacité a été encore améliorée augmentée. Les bruits de fond constants, comme ceux que l’on subit dans les transports en commun, sont filtrés avec une efficacité redoutable. Les nouveaux embouts aident probablement, on y reviendra. Le mode “Transparence Adaptatif” est également de plus en plus convaincant : il atténue les bruits soudains et agressifs (travaux, sirènes) sans vous couper complètement de votre environnement. C’est un vrai plus au quotidien.

De plus en plus confortables

Le confort a été l’un des axes d’amélioration. Apple fournit désormais une nouvelle taille d’embouts en silicone, permettant à une plus grande majorité d’utilisateurs de trouver un ajustement stable et confortable. Pour ma part, cela a réglé les soucis de tenue que je pouvais rencontrer quand j’allais courir avec mes AirPods par exemple.

J’ai également pu tester la fonction de test auditif. C’est rigolo, et potentiellement interessant si vous avez le sentiment d’avoir des problèmes d’audition. Ca dure 5 minutes, et ça fini par vous dire votre niveau d’audition. Ca semble assez sérieux.

Une compatibilité Android efficace

C’est souvent le point qui fâche, mais Apple a assuré sur ce point. Une fois appairés en Bluetooth standard à un smartphone Android, les AirPods Pro 3 délivrent leurs qualités premières : l’excellente restitution sonore et une réduction de bruit active très performante, que l’on active par une pression longue sur la tige.

Bien entendu, l’intégration n’est pas aussi poussée qu’avec un iPhone. On fait l’impasse sur l’appairage rapide, la bascule automatique entre les appareils ou l’Audio Spatial avec suivi des mouvements de la tête. (que je n’utilise de toutes manières pas sur iOS). Cependant, pour une utilisation centrée sur l’écoute de musique et la gestion des appels avec ANC, l’expérience est tout à fait qualitative. Ces manques ne sont pas bloquants pour qui cherche avant tout la performance audio.

La puce qui équipe ces écouteurs leur ouvre des perspectives intéressantes. On pense en particulier à la fonctionnalité de traduction en temps réel, qui a été annoncée mais qui n’est pas encore disponible en Europe. Son arrivée, probablement via une mise à jour logicielle, viendra encore enrichir l’écosystème.

Bref, perso je sur-valide. Ces AirPods Pro 3 ne réinventent pas le concept, mais ils l’optimisent sur tous les plans. Avec une qualité sonore améliorée, une réduction de bruit de premier ordre et un confort clairement amélioré, ils se positionnent comme un choix solide et une référence difficilement détrônable sur le marché. Leur compatibilité assurée avec Android pour les fonctions clés les rend d’autant plus recommandables ! Ils sont dispos en livraison rapide sur Amazon en cliquant par ici.

Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Google Adds AI-Powered Ransomware Protection and Recovery to Drive for Desktop

Par : Megan Crouse
1 octobre 2025 à 17:32

This new ransomware detection is available in beta in Google Drive for desktop on Windows or macOS, with a general release expected by the end of the year.

The post Google Adds AI-Powered Ransomware Protection and Recovery to Drive for Desktop appeared first on TechRepublic.

Une faille Spotlight vieille de 10 ans permet toujours de voler vos données sur Mac

Par : Korben
18 septembre 2025 à 15:08

Si vous êtes sous Mac, je pense que comme moi, vous passez votre temps à chercher des fichiers ou lancer des applications avec Spotlight… Si vous ne connaissez pas cet outil, c’est un truc super pratique d’Apple qui indexe tout votre disque dur pour vous faire gagner du temps. Command+Espace, trois lettres tapées, et hop, votre document apparaît. Pratique, non ?

Sauf que voilà, depuis presque 10 ans maintenant, ce même Spotlight peut servir de cheval de Troie pour siphonner vos données les plus privées. Et le pire, c’est qu’Apple le sait et n’arrive toujours pas à vraiment colmater la brèche.

Patrick Wardle, le chercheur en sécurité derrière plusieurs outils populaires comme LuLu , vient d’expliquer sur son blog Objective-See une technique ahurissante qui permet à un plugin Spotlight malveillant de contourner toutes les protections TCC de macOS. Pour info, TCC (Transparency, Consent and Control), c’est le système qui vous demande si telle application peut accéder à vos photos, vos contacts, votre micro… Bref, c’est censé être le garde du corps de votre vie privée sous Mac.

Alors comment ça marche ?

Hé bien au lieu d’essayer de forcer les portes blindées du système, le plugin malveillant utilise les notifications Darwin comme une sorte de morse numérique. Chaque byte du fichier à voler est encodé dans le nom d’une notification (de 0 à 255), et un processus externe n’a qu’à écouter ces notifications pour reconstruire le fichier original, octet par octet. C’est du génie dans sa simplicité !

Ce qui rend cette histoire encore plus dingue, c'est que cette vulnérabilité a été présentée pour la première fois par Wardle lui-même lors de sa conférence #OBTS v1.0 en 2018. Il avait déjà montré comment les notifications pouvaient permettre aux applications sandboxées d'espionner le système.

Plus récemment, Microsoft a “redécouvert” une variante de cette technique cette année et l’a baptisée “ Sploitlight ”. Ils ont même obtenu un joli CVE tout neuf (CVE-2025-31199) pour leur méthode qui consistait à logger les données dans les journaux système. Apple a corrigé cette variante dans macOS Sequoia 15.4… mais la méthode originale de Wardle fonctionne toujours, même sur macOS 26 (Tahoe) !

Et sinon, savez-vous ce que ces plugins peuvent voler exactement ?

Il y a notamment un fichier bien particulier sur votre Mac, caché dans les profondeurs du système, qui s’appelle knowledgeC.db. Cette base de données SQLite est littéralement le journal intime de votre Mac. Elle contient tout :

  • Quelles applications vous utilisez et pendant combien de temps
  • Vos habitudes de navigation web avec Safari (historique détaillé, fréquence des visites, interactions)
  • Quand vous branchez votre téléphone
  • Quand vous verrouillez votre écran
  • Vos trajets en voiture avec CarPlay
  • Vos routines quotidiennes et patterns comportementaux

C’est le genre de données qui raconte votre vie mieux que vous ne pourriez le faire vous-même. Et avec les nouvelles fonctionnalités d’Apple Intelligence dans macOS Tahoe, cette base de données alimente directement l’IA d’Apple pour personnaliser votre expérience.

Avec ce fichier, quelqu’un pourrait non seulement voir ce que vous faites maintenant sur votre Mac, mais aussi reconstituer vos habitudes des 30 derniers jours. À quelle heure vous commencez votre journée, quelles apps vous lancez en premier, combien de temps vous passez sur tel ou tel site… C’est le rêve de n’importe quel espion ou publicitaire, et c’est accessible via une simple vulnérabilité Spotlight.

Apple a bien sûr essayé de corriger le tir. Dans macOS 15.4, ils ont ajouté de nouveaux événements TCC au framework Endpoint Security pour mieux surveiller qui accède à quoi. Ils ont aussi corrigé la variante découverte par Microsoft (CVE-2025-31199).

Mais… la vulnérabilité de base présentée par Wardle fonctionne toujours sur macOS 26 (Tahoe), même en version Release Candidate avec SIP activé ! C’est comme ajouter une serrure supplémentaire sur la porte alors que tout le monde passe par la fenêtre depuis 10 ans.

Wardle a une idée toute simple pour régler définitivement le problème : Apple pourrait exiger une notarisation pour les plugins Spotlight, ou au minimum demander l’authentification et l’approbation explicite de l’utilisateur avant leur installation. Actuellement, n’importe quel plugin peut s’installer tranquillement dans ~/Library/Spotlight/ et commencer à espionner vos données, sans même nécessiter de privilèges administrateur.

Alors bien sûr, avant que vous ne couriez partout comme une poule sans tête, il faut relativiser :

  1. Cette attaque nécessite un accès local à votre système - on ne parle pas d’une vulnérabilité exploitable à distance
  2. Il faut qu’un malware ou un attaquant installe d’abord le plugin malveillant sur votre Mac
  3. La “bande passante” est limitée - transmettre octet par octet n’est pas très efficace pour de gros fichiers
  4. macOS affiche une notification quand un nouveau plugin Spotlight est installé (même si cette alerte peut être contournée)

Ça fait quand même quelques conditions… mais le fait que cette faille existe depuis près de 10 ans et fonctionne toujours sur la dernière version de macOS reste préoccupant.

Cette histoire nous rappelle que les outils les plus dangereux sont souvent ceux auxquels on fait le plus confiance… Wardle fournit même un proof-of-concept complet sur son site pour que la communauté puisse tester et comprendre le problème. Espérons qu’Apple prendra enfin cette vulnérabilité au sérieux et implémentera les mesures de sécurité suggérées.

En attendant, restez vigilants sur les applications que vous installez et gardez un œil sur les notifications système concernant l’installation de nouveaux plugins Spotlight !

❌
❌