Vue normale

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.
À partir d’avant-hierFlux principal

EB corbos Linux – Le premier OS open source certifié pour l’automobile

Par : Korben
24 avril 2024 à 17:13

Figurez-vous qu’Elektrobit, le géant allemand de l’électronique automobile, vient de nous pondre un truc qui va faire plaisir aux fans de libre : EB corbos Linux, le premier système d’exploitation open source qui respecte les normes de sécurité les plus pointues du monde de la bagnole.

En gros, les constructeurs en ont marre de se trimballer des kilomètres de câbles et des centaines de boîtiers noirs dans leurs caisses-. L’idée, c’est de tout centraliser sur quelques « super ordinateurs » qu’ils appellent des « plateformes de calcul haute performance ». Et chacun gère son domaine : la conduite, l’info-divertissement, les aides à la conduite… Bref, ça simplifie le bordel et ça permet de faire évoluer les fonctionnalités sans toucher au hardware.

Le hic, c’est que tout ce bazar logiciel doit être hyper sécurisé. Parce que si votre autoradio plante, c’est pas bien grave, mais si c’est votre direction assistée qui décide de partir en vacances, bonjour les dégâts ! C’est là qu’EB corbos Linux entre en scène.

Grâce à son architecture unique, ce système d’exploitation prend Linux et le rend compatible avec les exigences les plus draconiennes en matière de sécurité automobile, genre les normes ISO 26262 et IEC 61508 en utilisant un hyperviseur et un système de monitoring externe qui valide les actions du noyau. En gros, Linux peut continuer à évoluer tranquillou sans compromettre la sécurité.

Comme cette distrib est basé sur du bon vieux Linux, il profite de toute la puissance de l’open source. Genre les milliers de développeurs qui bossent dessus, les mises à jour de sécurité en pagaille, la flexibilité, la rapidité d’innovation… Tout ça dans une distrib’ véhicule-compatible, c’est quand même cool. En plus, Elektrobit a développé ce petit miracle main dans la main avec l’équipe d’ingénieurs d’Ubuntu Core chez Canonical. Autant dire que c’est du lourd !

Elektrobit a pensé à tout puisqu’ils proposent même une version spéciale pour les applications critiques, genre les trucs qui peuvent tuer des gens s’ils plantent. Ça s’appelle EB corbos Linux for Safety Applications, et c’est le premier OS Linux à décrocher la certification de sécurité automobile auprès du TÜV Nord.

Mais le plus cool, c’est qu’avec cet OS, vous pouvez laisser libre cours à votre créativité de développeur automobile. Vous voulez intégrer les dernières technos de conduite autonome, d’intelligence artificielle, de reconnaissance vocale… Pas de problème, Linux a tout ce qu’il faut sous le capot.

Imaginez que vous bossiez sur un système de reconnaissance de panneaux pour aider à la conduite. Avec ça, vous pouvez piocher dans les bibliothèques open source de traitement d’image, de machine learning, etc. Vous adaptez tout ça à votre sauce, en respectant les contraintes de sécurité, et voilà ! En quelques sprints, vous avez un truc qui déchire, testé et approuvé pour la route. Et si un autre constructeur veut l’utiliser, il peut, c’est ça la beauté de l’open source !

Autre exemple, vous voulez développer un système de monitoring de l’état de santé du conducteur, pour éviter les accidents dus à la fatigue ou aux malaises. Là encore, EB corbos Linux est votre allié. Vous pouvez utiliser des capteurs biométriques, de l’analyse vidéo, des algorithmes de détection… Tout en étant sûr que votre code ne mettra pas en danger la vie des utilisateurs.

Bref, vous l’aurez compris, c’est le meilleur des deux mondes avec d’un côté, la puissance et la flexibilité de Linux, de l’open source, de la collaboration à grande échelle et de l’autre, la rigueur et la sécurité indispensables au monde automobile, où la moindre erreur peut coûter des vies.

Source

Drive Pilot – La conduite autonome de Mercedes arrive aux États-Unis

Par : Korben
22 avril 2024 à 21:28

Mercedes secoue le monde automobile avec le lancement de Drive Pilot aux États-Unis, le premier système de conduite autonome de niveau 3 commercialisé directement auprès des consommateurs. Ça y est les amis, le futur nous rattrape ! Bientôt, on pourra enfin lâcher le volant et vaquer à d’autres occupations pendant les longs trajets…

Concrètement, dans certaines conditions bien spécifiques, Drive Pilot permet au conducteur de détourner son attention de la route pour se concentrer sur des activités non liées à la conduite, comme consulter ses mails, surfer sur internet ou regarder un film. Mais attention, il faudra toujours rester prêt à reprendre le contrôle du véhicule à tout moment si nécessaire. J’imagine qu’en cas de problème, la voiture saura vous tirer de votre session de TikTok avec des bip bip.

Pour cela, Drive Pilot s’appuie sur une multitude de capteurs ultra-perfectionnés : caméras, radars, LiDAR, capteurs à ultrasons… Un véritable concentré de technologies de pointe pour analyser l’environnement en temps réel. Un puissant ordinateur de bord exploite ensuite toutes ces données pour prendre les meilleures décisions de conduite de manière autonome.

Il y a cependant quelques conditions à respecter pour pouvoir activer Drive Pilot : Le système ne peut être utilisé que sur certaines portions d’autoroutes spécifiques, avec un marquage au sol suffisamment clair et visible, une densité de trafic modérée à élevée et une vitesse limitée à 60 km/h. Ça fait beaucoup de conditions à la con quand même.

Le conducteur doit aussi rester visible par la caméra située au-dessus de l’écran conducteur. On est donc encore loin d’une conduite 100% autonome en toutes circonstances, mais c’est un premier pas très prometteur ! Pour l’instant, seuls les propriétaires des dernières Mercedes Classe S et EQS pourront profiter de Drive Pilot, moyennant un abonnement annuel à 2500$ (lol). Bref, c’est une technologie encore réservée à une élite friquée, mais on peut espérer que Mercedes la démocratisera rapidement sur des modèles plus abordables.

Malgré ses limitations actuelles, Drive Pilot représente une avancée majeure vers une conduite plus sûre, plus confortable et plus… productive. Fini le stress des embouteillages, ce temps pourra être mis à profit pour avancer sur son travail, discuter avec ses proches ou se détendre devant un bon film. Tout ça pendant que l’IA gère la conduite de manière sereine et vigilante.

Bien sûr, de nombreux défis restent encore à relever avant de voir des voitures 100% autonomes partout sur nos routes. Les questions de responsabilité juridique en cas d’accident, de sécurité face au piratage ou encore d’éthique et de contrôle humain sont complexes. Et il faudra aussi s’assurer de la fiabilité totale du système pour éviter tout bug ou panne aux conséquences potentiellement dramatiques.

Mais une chose est sûre, la conduite autonome sera l’un des enjeux majeurs de la mobilité du futur. Avec des acteurs de poids comme Comma, Mercedes, Tesla ou Waymo qui investissent massivement sur le sujet, on peut s’attendre à des progrès rapides et à une démocratisation progressive de cette technologie dans les années à venir.

Source

Atlas – Le robot humanoïde de Boston Dynamics passe en version sans fil

Par : Korben
17 avril 2024 à 15:35

Boston Dynamics, le célèbre fabricant américain de robots, va vous épater une fois de plus avec sa dernière prouesse technologique : Atlas, le robot humanoïde qui passe en mode « sans fil » si je puis dire ! Eh oui, ce grand gaillard mécanique qui nous avait déjà bluffé par ses prouesses physiques fait peau neuve et troque ses câbles encombrants contre une batterie bien pratique. Fini le régime « branché sur secteur », Atlas peut maintenant se la jouer nomade et partir à l’aventure sans sa laisse, en abandonnant son système hydraulique pour un système 100% électrique.

Vous l’aurez compris parce que vous êtes super malins, limite HPI je pense, l’idée c’est de le rendre plus autonome et plus mobile afin qu’il puisse se faufiler dans des endroits inaccessibles, intervenir sur des terrains accidentés, et même prêter main forte lors de missions de sauvetage.

Grâce à ses capteurs et ses algorithmes de pointe, il peut analyser son environnement en temps réel, esquiver les obstacles tel un ninja, et même se relever tout seul comme un grand s’il se prend une gamelle. Un vrai pro de la gymnastique quoiqu’un peu flippant ! Équipé de capteurs comme des caméras, du lidar, du sonar et de l’imagerie thermique, il est ainsi capable de collecter des données dans différents environnements industriels.

Mais le plus fort, c’est qu’Atlas apprend à une vitesse affolante. Ses créateurs lui font suivre un entraînement intensif digne des meilleurs athlètes : courses, sauts, pirouettes… leur robot est soumis à un vrai parcours du combattant et le résultat est là puisqu’à chaque nouvelle vidéo, on reste scotché devant les prouesses de ce prodige mécanique. Grâce à des techniques de vision par ordinateur et d’apprentissage automatique, il peut détecter des objets, reconnaître des formes et suivre des mouvements.

Boston Dynamics a aussi lancé son propre système d’exploitation pour robots, baptisé Orbit. C’est la tour de contrôle qui permet de gérer toute une flotte de robots, de créer des jumeaux numériques des sites, pour orchestrer une robotisation complète d’un entrepôt ou d’une usine par exemple. Pour l’instant, seul Spot y a droit, mais Atlas et Stretch devraient bientôt être de la partie.

Pour le plaisir, je vous remets aussi la vidéo très impressionnante de l’ancienne version d’Atlas qui lui est hydraulique :

Évidemment, tout ça soulève pas mal de questions sur l’avenir de nos amis les robots. Est-ce qu’un jour Atlas et ses copains remplaceront les humains sur les chantiers ou dans les usines ? Est-ce qu’ils viendront nous sauver des décombres tel Superman quand un bâtiment s’effondrera ? Une chose est sûre, Boston Dynamics ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. L’objectif c’est de l’intégrer avec les autres systèmes de l’entreprise comme des ERP pour améliorer encore un peu plus ses fonctionnalités et lui fournir des tas de données en temps réel.

Actuellement, la société américaine planche sur une version encore plus perfectionnée d’Atlas, avec une intelligence artificielle dernier cri et une autonomie rallongée et à terme, ce robot pourrait bien devenir le nouveau chouchou des industriels et des services de secours du monde entier même s’il faut garder à l’esprit qu’il ne peut pas encore tout faire car certaines zones confinées ou difficiles d’accès peuvent nécessiter d’autres méthodes d’inspection en complément.

Dommage, je l’aurais bien amené dans la forêt avec moi pour couper du bois. M’enfin, rassurez-vous, même avec toutes ces améliorations, Atlas n’est pas près de piquer le boulot de Terminator. Enfin, espérons-le ! En attendant, on ne peut que saluer le génie des ingénieurs de Boston Dynamics, qui repoussent sans cesse les limites de la robotique.

Et si vous voulez en savoir plus sur les dernières avancées d’Atlas, je vous invite à consulter le blog officiel de Boston Dynamics qui détaille les dessous de cette nouvelle version sur batterie.

Source

Digital nomads can live and work in self-sufficient mobile home

Par : Ida Torres
18 avril 2024 à 13:20

One of the advantages of people who can work remotely (digital marketers, writers, virtual assistants, etc) is that they can work from literally anywhere. As long as there’s internet and a power source for when their devices run out of juice eventually, these digital nomads have the freedom to set up shop wherever they are and to live in things like mobile homes. We’re seeing a lot of products and concepts targeting this segment and I for one am very interested to see these come to life.

Designer: Institute for Advanced Architecture of Catalonia (IAAC)

The Mobile Catalyst, nicknamed MOCA, was developed by masteral students from IAAC. Not only is it a perfect space for those that want to work while staying anywhere with a view but it is also an experiment into sustainable and self-sufficient habitat with a digital twist. It is basically a 5.4 meter long, 2.4 meter wide, and 3.6 meter high minimalist space that gives you the basic necessities of living. Its interior is made from dowel-laminated timber produced at the IAAC itself but sustainably harvested of course.

The front part of this mobile home has the basic amenities you would need to live in it like a kitchen, toilet and shower, and electric and water systems. In the middle and the back part is the space that can be turned into an office, a meeting area, a library, a recreation room, or even a space for small events. If you need privacy or partitions and also protection from different weather conditions, there are glass doors and a water-resistant cotton fabric that slides or folds with a pulley. There are also two beds on its “mezzanine” floor and you can reach it through a movable ladder.

And of course since MOCA is designed to be sustainable, you have three light-flexible mono-crystalline solar panels on the roof and LED strips as an interior lining. The house can run on its own for around 24 hours before it needs recharging. Water is also self-sufficient as the system stores, filters, and returns the shower water into reusable water. The entire mobile home is built with digital nomads in mind so they can live, work, and play anywhere they want, as long as the trailer can move and fit in that area.

The post Digital nomads can live and work in self-sufficient mobile home first appeared on Yanko Design.

Concept laptop and tablet adapts to your mobile working needs

Par : Ida Torres
2 avril 2024 à 13:20

As we continue to be more mobile in terms of where we work and study, gadgets and devices are adjusting to users’ needs and wants. More often than not, laptops and tablets are the devices of choice as it allows us to work wherever we want, oftentimes at cafes and shared or co-working spaces or sometimes even while commuting. There are already a lot of options out there but we continue to look at concepts that can bring even more improvements to our nomad working lifestyle.

Designer: Lee Seung-Hee

This concept laptop called LT-1 aims to solve the pain point of having a disorganized work environment when you’re working outside or having several gadgets with you even as you have limited space and are continuously mobile. What we need is to have a device that is efficient, practical, can adjust to our needs, and can multi-task just like what we’re probably doing. What they came up with is a minimalist looking laptop that has several functionalities built into it.

What’s unique about this concept is that you have a sub-display in the keyboard area which can show things that don’t need much of your attention but may be important to know. This includes your music playlist, preview of messages, and even a scheduler if you need to take a quick look at those things. Taking up 1/3 of your keyboard is the multi tablet section which basically serves as your trackpad and a multi-touch surface where you can use your pencil or stylus. It also has something called Mode Change LED although it’s not fully explained what it does. The keyboard itself has shortcut keys and there’s a function bar at the top where you have power key, switch to tablet mode, sound control, and something called “behavioral recording”.

They assume that you’ll use the LT-1 a lot so there’s a chance of overheating. There’s a back vent and a side vent to help with that as one of the ideas for this laptop and tablet in one is that it will remain cool. As a concept, this is pretty interesting but the actual execution may be challenging, and maybe even expensive. Let’s see how far the LT-1 Concept Laptop can get and if we’ll eventually see it in the market.

The post Concept laptop and tablet adapts to your mobile working needs first appeared on Yanko Design.

Smartphone Xiaomi – Dites adieu à cette option que vous adorez

Par : Korben
1 avril 2024 à 05:00

— Poisson d’avril ! —

Dans une annonce surprenante, le géant chinois Xiaomi a décidé de supprimer la fonctionnalité « Appel » de ses smartphones, affirmant que cette option n’est plus utilisée par la majorité de ses clients. Cette décision radicale a suscité de nombreuses réactions parmi les utilisateurs de la marque.

Xiaomi affirme que les appels passent désormais par les messageries instantanées

Selon un communiqué officiel de Xiaomi, la fonctionnalité « Appel » sera progressivement retirée de tous les modèles de smartphones de la marque à partir de la prochaine mise à jour. L’entreprise justifie cette décision en expliquant que la plupart des utilisateurs préfèrent désormais passer leurs appels via des applications de messagerie instantanée telles que WhatsApp, Facebook Messenger ou encore WeChat.

« Nos études montrent que moins de 5% de nos clients utilisent encore la fonction d’appel classique via le réseau de l’opérateur« , indique le porte-parole de Xiaomi. « Il nous a donc semblé logique de supprimer cette option devenue obsolète afin d’optimiser les performances de nos appareils. »

Des avantages et des inconvénients pour les utilisateurs

Si cette décision peut sembler radicale, Xiaomi met en avant plusieurs avantages pour ses clients. Tout d’abord, la suppression de la fonctionnalité « Appel » permettra de libérer de l’espace de stockage sur les smartphones, offrant ainsi plus de place pour les photos, vidéos et applications. De plus, l’entreprise promet une amélioration significative de l’autonomie de la batterie, les appels via les messageries consommant moins d’énergie que les appels traditionnels.

Cependant, certains utilisateurs s’inquiètent des conséquences de cette décision. En effet, les appels via les messageries nécessitent une connexion internet stable, ce qui n’est pas toujours le cas dans certaines zones géographiques. De plus, les personnes âgées ou moins à l’aise avec la technologie pourraient se retrouver dans l’incapacité de passer des appels depuis leur smartphone Xiaomi.

Vers une suppression de l’application SMS ?

Suite à cette annonce, des rumeurs circulent quant à une possible suppression de l’application SMS dans un futur proche. En effet, Xiaomi aurait également constaté une baisse significative de l’utilisation des SMS au profit des messageries instantanées.

Si cette information venait à se confirmer, cela marquerait un tournant majeur dans l’histoire de la téléphonie mobile. Les smartphones deviendraient alors de véritables « appareils de messagerie », délaissant progressivement les fonctions de communication traditionnelles.

Quoi qu’il en soit, cette annonce a eu l’effet d’une bombe dans le monde de la tech, suscitant de nombreux débats sur l’avenir de la téléphonie mobile et une fool en colère. Reste à voir si d’autres fabricants emboîteront le pas à Xiaomi dans cette « pêche » aux fonctionnalités obsolètes.

Contrôlez OBS à distance avec OBS-web depuis votre canapé

Par : Korben
1 novembre 2023 à 08:00

Oui, je stream ! Alors non, pas dans mon jacuzzi, ni devant un jeu vidéo, mais en gros, je bosse en live. C’est à dire, j’écris des articles sur mon site, et je dis de la merde sur X (Twitter).

Tranquille quoi !

Seulement, il m’arrive parfois de devoir m’éloigner un peu de mon ordinateur ! Donc il faut bien trouver un moyen de piloter le stream à distance quand je suis sous la douche. Ou mieux, si à un moment, j’en ai marre que mon live rame, je vais peut-être finir par investir dans une seconde machine dédiée à la diffusion du flux vidéo. Mais faire tout ça, il faut un outil pour contrôler OBS à distance.

Et cet outil c’est bien sûr OBS-web !

Alors, qu’est-ce que OBS-web? Eh bien, c’est une interface qui vous permet de contrôler OBS à distance via un navigateur, que ce soit sur un ordinateur ou un mobile.

Vous pourrez ainsi changer de scènes, démarrer ou arrêter le streaming et l’enregistrement, démarrer la caméra virtuelle, et même visualiser l’aperçu (Studio mode) et la sortie en direct.

OBS-web est compatible avec OBS v28 et versions supérieures, et nécessite l’installation du plugin OBS-websocket (qui est déjà inclus dans les versions >= 28).

Pour commencer à l’utiliser, il vous suffit de suivre les étapes décrites ci-dessous. Vous verrez, c’est un jeu d’enfant !

Pour construire et exécuter le projet, il vous suffit de suivre les instructions du fichier README sur le dépôt GitHub :

git clone https://github.com/Niek/obs-web.git

cd obs-web

npm install

npm run build

Ensuite, vous pouvez lancer le serveur avec la commande suivante :

npm run start

Après avoir lancé le serveur, lancez OBS et configurez les websockets comme ceci :

Puis ouvrez votre navigateur et accédez à l’adresse http://localhost:4000/. Vous devriez alors voir l’interface d’OBS-web. Vous pouvez maintenant jouer avec les différentes fonctionnalités, comme changer de scènes ou démarrer et arrêter le streaming.

Et pour ceux qui préfèrent utiliser Docker, voici comment faire :

docker build -t obs-web .

docker run -p 4000:4000 obs-web

Une fois que vous avez tout configuré, vous pourrez contrôler OBS en utilisant votre navigateur sur n’importe quel appareil connecté à votre réseau local (ça utilise des tunnels WSS).

Notez qu’il est possible aussi d’utiliser cette version en ligne, et donc de ne rien installer : http://obs-web.niek.tv/

OBS-web est donc un excellent outil pour les streamers qui souhaitent se faciliter la vie ou déléguer la gestion de leurs streams. Que vous soyez un débutant ou un utilisateur avancé, cette interface à distance vous permettra de contrôler OBS de manière simple.

Les 3 types de logiciels malveillants Android les plus dangereux

4 mai 2022 à 16:00

Découvrez les pires logiciels malveillants mobiles - de ceux qui prennent en otage les téléphones aux RAT permettant de contrôler les appareils à distance.

L'article Les 3 types de logiciels malveillants Android les plus dangereux a d'abord été publié sur WeLiveSecurity

❌
❌