Australian watchdog sues Microsoft for misleading 2.7 million M365 users — deliberately hiding a cheaper Classic subscription plan without Copilot
Microsoft Copilot


Microsoft Copilot

Vous vous souvenez quand jouer sous Linux, c’était une grosse blague ? Vous installiez votre distribution préférée, vous lanciez Steam , et vous vous rendiez compte que la moitié de votre bibliothèque était inaccessible… Alors vous deviez soit garder un dual boot Windows, soit accepter de ne jouer qu’à une poignée de titres pas ouf.
Et bien ça, mes amis, c’est du passé !
En effet, selon les dernières données de ProtonDB compilées par Boiling Steam , près de 90% des jeux Windows se lancent maintenant sur Linux. Pas 90% qui plantent au bout de 5 minutes hein mais vraiment 90% qui démarrent, qui tournent, et qui se jouent jusqu’au bout. C’est une progression de dingue si on compare avec encore il y a 5 ans, où on était plutôt autour de 50% de compatibilité.
Pour rappel, ProtonDB , c’est la base de données communautaire qui recense les rapports de compatibilité des joueurs Linux qui testent leurs jeux, notent ce qui fonctionne ou pas, et partagent leurs résultats. Le système de notation est d’ailleurs assez simple. “Platinum”, c’est le jeu qui tourne parfaitement sans rien toucher. “Gold”, ça marche presque out of the box mais il faut un peu bricoler. “Silver”, c’est jouable mais imparfait. “Bronze” se situe entre Silver et Borked. Et “Borked”, c’est mort de chez mort, le jeu refuse même de se lancer.
Et les derniers chiffres montrent que la catégorie Borked, c’est-à-dire les jeux complètement cassés, est tombée à environ 10%. Il y a 3 ans, on était encore à 20%. La catégorie “Platinum” a elle-même grimpé à 42% des nouvelles sorties en octobre dernier, contre 29% l’année précédente. Cela veut dire que presque la moitié des nouveaux jeux sortent avec une compatibilité parfaite sur Linux dès le premier jour ! Qui aurait pu prédire comme dirait l’autre ?
 
Quoiqu’il en soit, cette évolution, on la doit en grande partie à Proton, la couche de compatibilité développée par Valve, c’est-à-dire l’outil qui traduit les appels DirectX de Windows en Vulkan pour Linux. Proton s’appuie sur Wine, le projet historique qui permet de faire tourner des applications Windows sur Linux depuis des décennies, mais Valve a mis le super paquet pour optimiser tout ça spécifiquement pour ses jeux, surtout depuis le lancement de son Steam Deck en 2022.
Le Steam Deck, c’est la console portable de Valve qui tourne sous SteamOS qui est une distribution Linux. Du coup, Valve avait besoin que les jeux Windows fonctionnent parfaitement sur leur machine. La pari était risqué mais ils l’ont relevé avec succès en investissant massivement dans Proton. Ainsi, 80% des 100 jeux les plus populaires sur Steam tournent maintenant de façon quasi-parfaite sur Linux et croyez le ou non, certains jeux tournent même plus vite sur Linux que sur Windows, grâce à une gestion plus efficace des ressources système. Y’a le même phénomène sur ROG Xbox Ally d’ailleurs…
Et surtout Proton 10, la dernière version sortie cette année, apporte encore des améliorations folles et des correctifs spécifiques pour des jeux comme The Finals, Deadlock, Dune Awakening, ainsi que des optimisations pour VRChat (un monde virtuel assez populaire sur lequel je n’ai encore jamais mis les pieds… va falloir remédier à ça je pense).
Valve sort également des versions expérimentales et des hotfixes assez régulièrement pour résoudre les problèmes au fur et à mesure qu’ils sont signalés. C’est un travail acharné et continu de leur part et ça paye enfin !!
Concernant les jeux qui ne fonctionnent pas, le plus gros problème reste les anti-cheats, c’est-à-dire les logiciels de détection de triche utilisés dans les jeux en ligne. Easy Anti-Cheat et BattlEye, les deux plus populaires, supportent officiellement Linux depuis quelques années mais les développeurs doivent activer manuellement ce support pour chaque titre. C’est une case à cocher et malheureusement, beaucoup ne le font pas, soit par flemme, soit parce qu’ils ne considèrent pas Linux comme une priorité.
Je pense par exemple à March of Giants qui détecte Wine et Proton et refuse de démarrer ou encore Blade and Soul NEO qui nécessite des configurations spécifiques. Il y a aussi Sickly Days et Summer Traces qui demandent des overrides de DLL. Tout ceci, ce sont des blocages “intentionnels” et pas des incompatibilités techniques. Les dev pourraient activer le support Linux en 5 minutes, mais ils ne le font pas. Bouuuuh !
Les DRM, c’est-à-dire les systèmes de protection anti-copie, posent aussi des problèmes. En général, Denuvo fonctionne bien, mais certaines implémentations plantent sous Linux et certains éditeurs refusent de corriger ces problèmes parce qu’ils considèrent que le marché Linux est trop petit. C’est donc un cercle vicieux. Mais comme vous pouvez le voir, la situation évolue et le fait que Windows 10 arrive en fin de support pourrait aussi pousser pas mal de joueurs vers Linux.
Sans parler de Windows 11 qui impose des restrictions matérielles que beaucoup de PC ne remplissent pas, et comme tout le monde n’a pas envie de racheter une machine récente juste pour continuer à jouer, SteamOS est une planche de salut ! Bref, si vous de votre côté, vous vous sentez enfin chaud pour Linux, vous pouvez installer SteamOS sur un PC classique ou utiliser n’importe quelle distribution Linux avec Steam et Proton activé : Ubuntu, Fedora, Arch, peu importe. Steam détectera automatiquement que vous êtes sur Linux et proposera Proton pour les jeux Windows.
Vous cliquez sur Jouer, et ça marche. Ou pas, mais dans 9 cas sur 10, ça marche.
Et n’oubliez pas avant d’acheter un titre, d’aller sur protondb.com . Vous cherchez le jeu, et vous voyez si d’autres joueurs Linux l’ont fait tourner. S’il est Platinum ou Gold, pas de souci. S’il est Silver ou Bronze, lisez bien les commentaires pour voir quelles manips sont nécessaires. Et s’il est Borked, passez votre chemin ou attendez que quelqu’un trouve une solution…
Quoiqu’il en soit, je trouve que c’est une bonne nouvelle pour les gamers et pour les linuxiens. La progression est lente mais constante et comme Valve continue d’améliorer Proton, que les développeurs de Wine ajoutent du support pour les nouvelles APIs Windows, et que certains éditeurs commencent à activer le support anti-cheat pour Linux, on arrivera bientôt à du 100% et vous verrez, à un moment, la tendance s’inversera et certains jeux, demain, ne tourneront même plus sous Windows mais uniquement sous Linux…

L’histoire du jour est signée Luke M, un hacker qui a découvert comment rooter une caméra avec… du son !
L’appareil en question est une caméra chinoise de la marque Yi qui utilise une fonctionnalité appelée “Sonic Pairing” pour faciliter la configuration WiFi. Comme ça, au lieu de galérer à taper votre mot de passe WiFi sur une interface minuscule avec vos gros doigts boudinés, vous jouez simplement un petit son depuis votre téléphone et c’est ce son qui contient votre clé WiFi encodés en modulation de fréquence. La caméra écoute, décode, et se connecte.
Magique, non ?
Sauf que cette fonctionnalité marquée en “beta” dans l’app Yi IoT contient deux bugs magnifiques : une stack overflow local et un global overflow. En gros, en fabriquant un fichier audio malveillant avec les bons patterns, Luke a pu injecter du code arbitraire dans la caméra, ce qui lui permet d’obtenir un shell root qui se lance via la commande telnetd avec les identifiants par défaut. Tout ça, sans accès physique… juste la lecture d’un wav ou d’un MP3.
Pour arriver à ses fins, Luke a utilisé Frida , un framework de hooking que j’adore, capable d’intercepter les fonctions natives de l’app. Cela lui a permis de remplacer les données légitimes attendues par l’app par son propre payload.
Le premier bug (stack overflow) n’étant pas suffisant seul, Luke a dû utiliser un autre bug (
un out-of-bounds read via DOOM
) pour leaker un pointeur et contourner l’
ASLR
. Mais le second bug (global overflow) est bien plus intéressant puisqu’il lui permet directement de faire une injection de commande via system() lors du pairing, sans avoir besoin d’autre chose.
 
Voici la waveform utilisée par le second exploit
Et comme la chaîne que vous pouvez envoyer via le son peut faire jusqu’à 128 bytes c’est largement suffisant pour un telnetd ou n’importe quelle commande shell. Notez que pour que l’exploit marche, le bind_key doit commencer par ‘CN’, ce qui force un path exploitable et, en bonus fait causer la caméra en chinois ^^.
Après faut savoir que ce hack amusant ne fonctionne que si la caméra n’est pas encore connectée au cloud. Donc c’est pas très utile pour attaquer des caméras déjà déployées mais ça illustre bien le problème de tout cet IoT pas cher avec des tas de features “pratiques” comme ce “Sonic Pairing” qui finissent par être catastrophique dans la pratique.
Voilà… si vous voulez les détails techniques complets avec les waveforms et le code d’exploit, foncez lire ça sur Paged Out! #7 .

Vous vous souvenez des débats enflammés sur les vaccins COVID et de ces théories complotistes de “turbo cancer” qui circulaient partout sur les réseaux sociaux ? Bon c’est un peu has been maintenant mais c’était cette fausse idée que les vaccins mRNA provoqueraient des cancers fulgurants…
Et bien accrochez-vous, parce que des chercheurs très sérieux viennent de découvrir EXACTEMENT l’inverse. Vous allez voir, c’est drôle !
Des oncologues de l’Université du Texas et de l’Université de Floride ont analysé les dossiers de plus de 1000 patients atteints de cancers du poumon ou de mélanomes avancés et ils ont remarqué un truc bizarre : les patients qui avaient reçu un vaccin mRNA contre la COVID dans les 100 jours suivant le début de leur immunothérapie vivaient beaucoup plus longtemps que les autres. Genre, 2 fois plus longtemps.
Concrètement, la survie médiane passe de 20 mois sans vaccin à 37 mois avec vaccin et au bout de 3 ans, 56% des patients vaccinés sont toujours en vie, contre seulement 31% chez les non-vaccinés.
Bon alors, comment c’est possible ? Hé bien pour comprendre, faut faire un détour rapide par l’immunothérapie. En effet, depuis une dizaine d’années, on traite certains cancers avec des médicaments qui ne ciblent pas la tumeur directement mais débloquent en réalité le système immunitaire.
Le truc, c’est que les cellules cancéreuses sont malignes (sans mauvais jeu de mots..) puisqu’elles utilisent une protéine appelée PD-L1 pour littéralement désactiver les lymphocytes T, les fameux soldats de notre système immunitaire. Les inhibiteurs de checkpoint comme le pembrolizumab ou le nivolumab empêchent alors cette désactivation et le système immunitaire peut enfin faire son boulot et attaquer la tumeur.
Sauf que ça ne marche pas sur tous les cancers. Il y a ce qu’on appelle les tumeurs “chaudes” et les tumeurs “froides”. Les chaudes ont été repérées par le système immunitaire et ont été infiltrées par des cellules immunitaires. Les froides, par contre, sont invisibles. Aucune cellule immunitaire autour, aucune réaction. Et pour ces tumeurs froides, l’immunothérapie classique ne sert à rien et c’est un cauchemar à combattre.
De leur côté, les vaccins mRNA COVID agissent comme une alarme incendie pour le système immunitaire. Quand vous recevez votre dose de Pfizer ou Moderna, votre corps produit un tsunami d’interféron de type I. C’est une molécule de signal qui met tout le système immunitaire en alerte rouge : Les cellules présentatrices d’antigènes se réveillent, les lymphocytes T se multiplient, et tout le monde passe en mode combat !
Et cette activation généralisée, elle ne se limite pas au virus COVID puisque le système immunitaire en profite pour scanner TOUT ce qui traîne, y compris les cellules cancéreuses qui jusque-là passaient inaperçues. Les tumeurs froides deviennent alors chaudes et se mettent à exprimer du PD-L1 pour tenter de se protéger. Et c’est justement à ce moment-là que les inhibiteurs de checkpoint entrent en jeu et bloquent cette défense.
Les chercheurs ont donc testé ça sur des modèles animaux pour comprendre le mécanisme exact et ont confirmé que le vaccin seul ne suffit pas. Il faut la combinaison vaccin mRNA + immunothérapie pour obtenir l’effet maximal. L’un réveille le système immunitaire, l’autre maintient l’attaque active contre la tumeur.
Le plus fou dans cette histoire, c’est que personne ne cherchait cet effet. Élias Sayour, l’un des chercheurs principaux à l’origine de cette découverte, bossait déjà sur des vaccins mRNA anti-cancer personnalisés depuis 2016 et avait remarqué que les molécules d’ARN messager pouvaient entraîner le système immunitaire même sans cibler des antigènes tumoraux spécifiques. Mais de là à imaginer que les vaccins COVID développés en urgence pour une pandémie auraient ce pouvoir contre le cancer, personne ne l’avait anticipé.
D’ailleurs, il y a eu quelques cas rapportés dans la littérature médicale de patients dont les tumeurs ont spontanément régressé après une vaccination COVID et à l’époque, tout le monde trouvait ça anecdotique… peut-être des coïncidences. Mais avec cette étude portant sur plus de 1000 patients et contrôlant 39 variables différentes (stade du cancer, traitements antérieurs, comorbidités, etc.), c’est difficile de parler de hasard.
Cinq fois plus de chances d’être en vie trois ans après le diagnostic, juste en ajoutant un vaccin qu’on a déjà sous la main et qui a été administré à des milliards de personnes, c’est pas rien.
Maintenant, avant de crier au miracle, quelques précisions importantes quand même. Cette étude est observationnelle, et ce n’est pas un essai clinique randomisé. Ça veut dire que les chercheurs ont analysé des données existantes, et n’ont pas assigné aléatoirement les patients à un groupe ou l’autre. Il pourrait donc y avoir des biais cachés. Par exemple, les patients qui ont choisi de se faire vacciner pendant leur traitement cancer sont peut-être aussi ceux qui suivent mieux leurs protocoles de soin en général ?
Mais les chercheurs ont anticipé cette critique et ont utilisé des techniques statistiques avancées pour éliminer un maximum de facteurs confondants et même avec ça, le signal reste fort. Assez fort en tout cas pour justifier de passer à l’étape d’un vrai essai clinique prospectif.
L’équipe lance donc un essai à grande échelle sur des patients atteints de cancer du poumon, avec 2 groupes : un qui reçoit l’immunothérapie standard, l’autre qui reçoit immunothérapie + vaccin mRNA COVID. Si les résultats confirment ce qu’ils ont observé, on pourrait alors voir les protocoles de traitement évoluer très rapidement.
Et contrairement aux vaccins anti-cancer personnalisés qui nécessitent d’analyser la tumeur de chaque patient pour créer un vaccin sur mesure (c’est cher et complexe…), les vaccins COVID eux sont déjà produits en masse, approuvés, dispo partout, et relativement peu chers.
On savait que non seulement ces vaccins COVID ne causaient pas de cancer mais découvrir qu’en plus ils pourraient bien devenir un outil standard pour TRAITER le cancer, c’est turbo-marrant je trouve… La science nous réserve toujours des surprises, et c’est pour ça qu’elle me passionne !
Si ça vous dit, l’étude a été publiée dans Nature, et vous pouvez la lire en intégralité ici si vous voulez rentrer dans les détails statistiques et biologiques.

Severe bugs in Dell Storage Manager let hackers bypass authentication and gain remote access. Patch now to secure enterprise storage systems.
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You don’t necessarily need a van or a pickup truck to have a camping rig capable of going off-grid for weeks on end. Wheelhome believes Tesla’s popular Model 3 is an ideal candidate to transform into a camping legend with a roof camper that fits seamlessly against its curving roofline.
The British manufacturer has been building compact camper cars and tiny caravans for more than three decades, but this latest conversion (or installation, rather) gives EV campers something entirely new to think about. With no modifications required to the car per se, Wheelhome has been able to turn the Tesla Model 3 into an electric rooftop camper complete with a sofa cum bed, an equipped kitchen, a sink, and a portable toilet, all within the camper’s full standing room and naturally lighted interior.
Designer: Wheelhome


The entire setup is made possible by mounting the Wheelhome Dashaway eRC (electric roof camper) onto the roof of the Model 3. Designed to sit on an additionally purchased Tesla roof rack and towbar, the Dashaway pop-up camping rig starts at about £23,400. It is a rooftop camper with a fast set-up time and an elevating roof, which adds roughly 150 kg of dead weight and turns the Tesla into a campervan-like facility for up to two people to share.


Dashaway eRC is a practical solution for the top of a Model 3 because, unlike the hard-sided rooftop tents, it has a nice standing height inside. The pod with a window and a mesh door offers ample natural light inside, while its fiberglass pop-up top keeps the construction lightweight and durable. The spacious interior cabin is good to sleep a couple and also cater to their daytime requirements with a two-seat rear-facing bench (that converts into a bed), plenty of storage just ahead.


The series of cabinetry is topped with a sink and a hideaway porta-potty (portable toilet). The folding counter and cabinets make space for a full-fledged kitchen, which can be packed with an induction cooktop, oven, microwave, and air fryer. Interestingly, the camper’s Water supply, compressor fridge, and the power bank reside behind the driver’s seat (converting the back into a two-seater bench). Behind the folding seats is Model 3’s boot, which is provided with storage containers (two of them a meter long each) for storing and transporting supplies.


You don’t need to be hooked up to a campsite for power; the camper’s battery can be powered by the car’s own low-voltage system, and the campsite electric grid can be used to charge the car battery, when required. The Wheelhome Dashaway eRC on the roof of the Model 3 is completely dismountable. According to the makers, it’s effortless, even a one-person can easily set up and remove the rooftop camper. Of course, you could wonder about the drag and range limitation with the Dashaway on the roof. Early tests suggest there are very few performance issues; yes, the speed takes a dip, but the camping solution doesn’t add more than 10 percent loss of the car’s range.










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The definition of a machine is to make life easier. Whether it’s a simple machine like a lever or a pulley, or something as complex as an electric vehicle, or even the AI you often find yourself using every time you have an obscure question. Machines make life easier by reducing effort – that’s just how they’re defined, but some machines do a better job than others. A wheelbarrow or a wagon does a better job than lifting things and transporting them on foot. So what does a better job than a wagon? An electric-powered one with 500W motors, regenerative braking, remote as well as handle-powered control, and a 12km range that makes transporting heavy items as easy as just applying a gentle push, or pressing a button.
The LITEFAR H1 doesn’t just add a motor to a wagon and call it a day. It’s designed for people who’ve ever struggled with a loaded cart on a hill, or tried to maneuver through a crowded festival while dragging gear, or just wanted to spare their back the strain of hauling groceries from the car. The specs tell part of the story: 200 lbs load capacity, 140L volume, a frame made of anodized aluminum alloy, and solid rubber tires that won’t go flat. But what really sets it apart is how it integrates those features into a cohesive experience. The MoveTrack Algorithm 2.0 adjusts power delivery based on terrain, so it feels smooth whether you’re on pavement, grass, or gravel. The thumbwheel speed dial lets you set your pace precisely, from a slow stroll to a brisk walk, and the cruise switch means you don’t have to constantly fiddle with controls. Even the folding mechanism is thoughtful, collapsing the wagon down to a third of its size for easy storage. This is the kind of design that doesn’t just solve a problem; it anticipates it.
Designer: XIVO
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Let’s talk about the dual control system – you’ve got two options: a handlebar with an integrated thumbwheel for precise control, or a remote joystick for hands-free operation. The handlebar is great when you want to walk alongside the wagon, guiding it like a traditional cart but with none of the effort. The remote, though, is where things get fun. You can send the H1 rolling ahead of you while you carry something else, or let it follow behind like a loyal robot mule. It’s not just a gimmick, either. The remote has a 50-meter range, and the wagon’s sensors automatically adjust speed and braking based on the terrain. That means it won’t go careening down a hill if you let go, and it won’t struggle unnecessarily on an incline. The regenerative braking system even recovers a bit of energy when you slow down or descend, which is a nice touch for extending battery life. It’s the kind of feature you’d expect in an electric car, not a wagon.
A 24,000mAh removable battery pack gives you up to 12km of range, which is more than enough for a day at the park, a camping trip, or even a long market run. The battery is also swappable, so you can carry a spare if you’re planning an extended outing. And because it’s USB-C compatible, you can use it to charge your phone or other devices on the go. That’s a level of practicality that’s rare in most gear, let alone a wagon. The H1’s battery isn’t just powering the motors; it’s an integral part of the system, designed to be as useful as possible. Even the charging time is reasonable, with a full recharge taking around 1.5 hours. For most people, that means you can top it up overnight and be ready to go the next day.
The frame is made from durable anodized aluminum alloy, which is lightweight but strong enough to handle the 200 lbs load capacity. The fabric is Teslin mesh, a material known for being breathable, water-resistant, UV-resistant, and easy to clean. That’s the kind of fabric you’d find in high-end outdoor gear, not something you’d expect in a wagon. The wheels are solid rubber, so no worries about punctures, and they’re wide enough to handle rough terrain without getting stuck. The handle is fixed, yet ergonomically designed to accommodate users of different heights. The attention to detail here is what separates the H1 from cheaper, flimsier alternatives. It’s clear that this wasn’t just designed to work; it was designed to last.
One of the most underrated features is the lighting system. The H1 comes with a telescopic lantern that can rotate 270 degrees, making it perfect for camping trips or late-night events. The light isn’t just a gimmick, either. It’s bright enough to illuminate your path, and the telescopic design means you can adjust the height and angle to suit your needs. There’s also a flashlight integrated into the remote control, making low-light or night-time usage easy. It’s the kind of feature that seems minor until you’re fumbling around in the dark, trying to set up a tent or find something in your gear. The lighting system is powered by the same battery as the motors, so you don’t have to worry about carrying extra batteries or chargers. It’s another example of how the H1 integrates multiple functions into a single, cohesive package.
The H1 features a folding mechanism that when collapsed, shrinks it down to just 30cm x 25cm x 80cm, which is small enough to fit in the trunk of most cars. That’s a 40% reduction in space, making it incredibly easy to transport and store. The folding process is straightforward, too, with no complicated steps or finicky latches. That’s important, because if a product is a pain to set up or put away, people won’t use it. The H1’s design ensures that it’s as convenient to store as it is to use. And because it’s lightweight at just 18 kg, it’s easy to lift and maneuver even when it’s not powered on. That’s a big deal for anyone who’s ever struggled with a bulky, heavy wagon.
The handle and remote are interchangeable, and the battery is swappable, meaning you can upgrade or replace components as needed. That’s a big deal for longevity, because it means the wagon can evolve with your needs. The modular design means future accessories can slot into the existing ecosystem, so LITEFAR can theoretically release weatherproof compartments, cup holders, or specialized cargo frames down the road.
The H1 comes in a color called Shadow Green, which is a muted olive tone that fits the outdoor aesthetic without being too loud or too tactical. Early bird pricing starts at $349, and the campaign includes optional add-ons like the Remote upgrade (available for $69, which is 22% off the $89 retail price), extra batteries, foldable tabletop, tow bar, and more. LITEFAR is offering global shipping, making it affordable as well as accessible for a whole host of users around the globe. Urban parents hauling kids’ gear to the park. Festival-goers moving coolers and tents across muddy fields. Photographers transporting camera cases and lighting rigs. Vanlifers and overlanders who need a versatile hauler that folds small and handles rough terrain. Older adults or people with mobility challenges who need help with heavy lifting. After all, a machine should make life easier for everyone, no?
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When Ferrari marks its milestones, it doesn’t merely look back; the Italian marque sketches the future. In honor of its 76-year legacy since the 1949 win at 24 Hours of Le Mans with the 166 MM Barchetta, the company has introduced the Ferrari F76: a purely digital hypercar existing solely as an NFT, ushering in a new era of automotive design and ownership.
Ferrari describes the F76 as the first-ever “digital hypercar,” built not for asphalt but for the blockchain. The project was conceived by Ferrari’s Styling Center under Flavio Manzoni as a legitimate design exercise, rather than a mere digital novelty. The choice of the number 76 commemorates Ferrari’s endurance racing heritage while signaling a bold digital pivot.
Designer: Ferrari


The F76 breaks conventional design constraints by embracing the possibilities of digital space. Its double-fuselage layout separates driver and passenger into two distinct cells, flanking a central channel that transforms the entire body into a giant wing, something entirely unfeasible under road-car regulations. The front features retractable headlights tucked beneath a floating band, vertical side cuts echoing the forthcoming F80 hypercar, and a rear section where four characteristic Ferrari taillights are integrated into a wing-bridge structure.

Ferrari employed generative algorithms and parametric design to optimize the F76’s bodywork for aerodynamics, cooling and ground-effect performance, an approach that Chevrolet might call “physics by code”. Inside the two cockpits, drive-by-wire technology synchronizes steering and pedals so driver and passenger receive feedback in unison, even though in the digital realm “feedback” is to the senses rather than the seat of the pants.

Availability is strictly limited to invitation-only membership in Ferrari’s “Hyperclub.” Each owner selects livery, wheels and interior trim during a three-year drop schedule, then receives a locked-down digital file: a unique NFT that can be held, sold, or displayed in a virtual garage. Pricing remains undisclosed and no real-world counterpart is being built. This is creation at the speed of light, not rubber on tarmac.

With the F76, Ferrari isn’t just tapping into the NFT trend; it’s staking its claim on digital metamorphosis. The project serves as a concept vehicle for design ideas that could eventually filter into road-going models, even though today the F76 is confined to the virtual realm. For enthusiasts of car culture and digital innovation alike, it raises the question: if a hypercar only exists in code, how real is the experience, and how far will that novelty travel into the physical world?

If you’re intrigued by the intersection of hypercar design, blockchain and digital exclusivity, keep an eye on how the F76 evolves—and whether its design DNA migrates into tangible Ferrari models. Consider this your invitation to explore what the future of automotive expression might look like. We also cannot count out the appearance of this beautiful hypercar in game franchises like Forza Horizon or Gran Turismo.





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A practical guide for tech buyers: what total commerce is, how it differs from omnichannel and unified commerce, the software you actually need, and a 90-day plan to pilot and measure results.
The post Total Commerce in 2025: Buyer’s Guide to Total Experience appeared first on TechRepublic.
Pendant 30 ans, les experts en informatique quantique vous demandaient de les croire sur parole du genre “Mon ordi quantique est 13 000 fois plus rapides que ton PC Windows XP…”. Mais bon, ils sont rigolo car c’était impossible à vérifier ce genre de conneries… M’enfin ça c’était jusqu’à présent car Google vient d’annoncer Quantum Echoes , et on va enfin savoir grâce à ce truc, ce que l’informatique quantique a vraiment dans le ventre.
Depuis 2019 et la fameuse “suprématie quantique” de Google , on était en fait coincé dans un paradoxe de confiance assez drôle. Google nous disait “regardez, on a résolu un problème qui prendrait 10 milliards de milliards d’années à un supercalculateur”. Bon ok, j’veux bien les croire mais comment on vérifie ? Bah justement, on pouvait pas ! C’est un peu comme les promesses des gouvernements, ça n’engage que les gros teubés qui y croient ^^.
Heureusement grâce à Quantum Echoes, c’est la fin de cette ère du “Faites-nous confiance” car pour la première fois dans l’histoire de l’informatique quantique, un algorithme peut être vérifié de manière reproductible . Vous lancez le calcul sur la puce Willow de Google, vous obtenez un résultat. Vous relancez, vous obtenez le même. Votre pote avec un ordi quantique similaire lance le même truc, et il obtient le même résultat. Ça semble basique, mais pour le quantique, c’est incroyable !!
 
Willow, la puce quantique de Google
L’algorithme en question s’appelle OTOC (Out-Of-Time-Order Correlator), et il fonctionne comme un écho ultra-sophistiqué. Vous envoyez un signal dans le système quantique, vous perturbez un qubit, puis vous inversez précisément l’évolution du signal pour écouter l’écho qui revient. Cet écho quantique se fait également amplifier par interférence constructive, un phénomène où les ondes quantiques s’additionnent et deviennent plus fortes. Du coup, ça permet d’obtenir une mesure d’une précision hallucinante.
En partenariat avec l’Université de Californie à Berkeley, Google a testé ça sur deux molécules, une de 15 atomes et une autre de 28 atomes et les résultats obtenus sur leur ordinateur quantique correspondaient exactement à ceux de la RMN (Résonance Magnétique Nucléaire) traditionnelle. Sauf que Quantum Echoes va 13 000 fois plus vite qu’un supercalculateur classique pour ce type de calcul.
En gros, ce qui aurait pris 3 ans sur une machine classique prend 2 heures sur un Willow.
Cette vitesse, c’est impressionnant mais ce qui change la donne dans cette annonce, c’est cette notion de vérifiabilité ! Bref, c’est fini le bullshit, maintenant la structure de systèmes quantiques (des molécules aux aimants en passant par les trous noirs) sera vérifiable et comparable.
Et les applications concrètes sont déjà plutôt bien identifiées : Découverte de médicaments, pour comprendre comment les molécules se lient à leurs cibles, la science des matériaux, pour caractériser la structure moléculaire de nouveaux polymères ou les composants de batteries, la fusion nucléaire…etc tout ce qui nécessite de modéliser des phénomènes quantiques avec une précision extrême !
Google compare ça à un “quantum-scope”, capable de mesurer des phénomènes naturels auparavant inobservables un peu comme l’ont été le télescope et le microscope qui nous ont donné accès à de nouveaux mondes invisibles. Le Quantum Echoes nous donne un accès ce monde quantique sauf que cette fois, on pourra vérifier que la réalité est identique à celle annoncée par les scientifiques.

J’avais besoin de WiFi dans un local technique pour brancher des caméras de surveillance parce que mes routeurs sont à l’opposé de la zone à couvrir et finalement la solution la plus fiable et la moins prise de tête que j’ai trouvé, ça a été de passer par mes bons vieux câbles électriques.
Devolo m’a donc envoyé ses Magic 2 WiFi 6 Next en test (Le multiroom kit avec trois adaptateurs), et je les ai vraiment trouvé pas mal. Le kit se compose d’une prise LAN que vous branchez à votre routeur en ethernet, et de deux prises WiFi que vous placez là où vous voulez chez vous. Et le tout communique via votre réseau électrique (technologie CPL ou powerline pour les intimes), et diffuse du WiFi 6 avec mesh intégré.
 
L’installation prend deux minutes chrono. Vous branchez les trois prises, vpous attendez un peu que toutes les diodes passent au blanc, puis avec l’app devolo Home Network, vous configurez tout ça. Aucune bidouille, aucun paramétrage manuel puisque les trois adaptateurs sont détecté tout seuls et créent alors un réseau mesh transparent.
 
Attention ne branchez JAMAIS vos adaptateurs CPL sur une multiprise car ça crée des perturbations qui massacrent les perfs. Branchez-les directement sur une vraie prise murale, et ensuite vous pourrez utiliser la prise intégrée aux boitiers pour brancher votre multiprise par-dessus.
Le gros atout du CPL face au mesh WiFi classique, c’est sa stabilité. Un mesh WiFi pur va fluctuer selon les interférences, les murs, les voisins qui balancent du 2.4 GHz à fond. Alors que là, le backhaul (la connexion entre les prises) passe par les câbles électriques à 2400 Mbps max, donc zéro fluctuation. Le WiFi 6 diffusé ensuite monte jusqu’à 3000 Mbps (574 Mbps en 2,4 GHz + 2402 Mbps en 5 GHz), avec du roaming automatique entre les prises.
Par contre, je vais être clair, les performances dépendent énormément de la qualité de votre installation électrique. Si votre maison date de Mathusalem avec un câblage pourri, vous n’atteindrez jamais les débits théoriques. C’est le seul point noir du CPL… ça dépend énormément de votre install électrique.
Ensuite, j’ai mesuré les performances avecc ma configuration. Même étage que le routeur je suis environ 500 Mbps en CPL et au premier étage je suis entre 330 et 415 Mbps selon où je me trouve. Du coup, pour mes caméras de surveillance ou se faire un film en streaming 4K, c’est largement suffisant et surtout ultra-stable.
 
Si vous regardez bien, sous chaque prise WiFi il y a deux ports Ethernet gigabit, ce qui est parfait si vous avez des appareils filaires à brancher (NAS, switch, caméras PoE avec injecteur…etc) et tout le réseau est extensible puisque vous pouvez ajouter autant de prises Devolo que vous voulez partout chez vous pour couvrir une surface gigantesque.
Le système Devolo embarque également tout ce qu’on attend d’une solution de routeurs / répéteurs modernes : un chiffrement WPA3 pour la sécurité, du WiFi invité pour vos potes histoire de pas leur filer votre mot de passe principal, contrôle parental avec programmation horaire, et Airtime Fairness pour que vos appareils rapides ne soient pas ralentis par le vieux smartphone de belle-maman. Tout se pilote bien sûr via l’app devolo Home Network, disponible sur iOS et Android.
Pour ceux qui ont des connaissances pointues en CPL, sachez que ce système utilise la techno G.hn qui est plus rapide et plus stable que l’ancien HomePlug AV2. Donc si vous avez de vieux adaptateurs CPL qui traînent, autant les offrir à quelqu’un qui n’en a pas parce que la différence de performances est énorme. Le G.hn gère carrément mieux les perturbations et offre des débits très supérieurs.
 
Voilà, alors si vous êtes comme moi et que vous avec une maison ancienne avec des murs épais, plusieurs étages, ou des zones où le WiFi ne passe juste pas genre loin dans le jardin, suffit d’avoir l’électricité et vous êtes opérationnel. Par contre, si vous vivez dans un appart récent avec des murs en placo, un simple système mesh WiFi fera probablement l’affaire pour moins cher.
Maintenant le truc qui pique un peu mais quand on aime on ne compte pas, c’est le prix. Comptez environ 400-470 euros le kit Multiroom (3 adaptateurs) selon les revendeurs. C’est cher, mais quand l’alternative c’est de tirer des câbles Ethernet à travers toute la baraque ou de galérer avec un mesh WiFi capricieux dans une vieille baraque, ça se défend. Et Devolo offre une garantie de trois ans, donc vous êtes tranquille.
 
Notez qu’il existe aussi un Starter Kit à deux adaptateurs autour de 240-260 euros si vous avez une surface plus modeste.
Donc voilà, pour mon local technique et mes caméras WiFi, le Devolo Magic 2 WiFi 6 Next fait très bien le job. Après c’est comme tout, c’est une solution miracle mais pour des cas comme le mien où le WiFi classique ne suffit pas et que les distances sont trop grandes, ça change la vie ! Et maintenant j’ai un super wifi pour bosser dans le jardin et faire mes tests de caméras !

Pendant qu’Apple peaufine son IA maison pour Xcode (sans date de sortie, évidemment), Microsoft vient tranquillou installer ses petites affaires dans l’écosystème le plus verrouillé du marché en sortant son extension officielle Github Copilot pour Xcode , pile-poil au moment où les rumeurs nous soufflent qu’Apple travaille aussi sur sa propre solution locale.
Cette extension de Github pour Xcode propose trois fonctionnalités principales. Tout d’abord de la complétion de code en temps réel. Ensuite, pendant que vous tapez, un tchat vous permet de poser des questions sur votre code, et il y a également un mode Agent qui peut modifier directement vos fichiers et lancer des commandes terminal. C’est gratuit jusqu’à 2000 complétions et 50 messages tchat par mois, donc largement de quoi rendre accro la majorité des devs iOS avant qu’Apple ne sorte son propre truc !
Maintenant pour utiliser un outil Microsoft dans un IDE Apple, vous devez accorder trois permissions macOS sacrées : Background, Accessibilité, et Xcode Source Editor Extension. Hé oui, Apple force littéralement ses développeurs à ouvrir toutes ces portes et niveau permissions, c’est l’Accessibilité qui pose régulièrement problème, car faut souvent la désactiver puis la réactiver pour que ça fonctionne correctement.
Ensuite l’installation est assez classique. Soit via Homebrew ou en téléchargeant le DMG directement depuis le dépôt GitHub.
brew install --cask github-copilot-for-xcode
Vous glissez ensuite l’app dans Applications, vous accordez les trois permissions système, vous activez l’extension dans les préférences Xcode, et hop, vous signez ça avec votre compte GitHub Copilot.
Un autre projet communautaire existait déjà intitni/CopilotForXcode , non officiel mais fonctionnel, qui supportait GitHub Copilot, Codeium et ChatGPT mais comme Microsoft sort maintenant sa version officielle pour contrôler le territoire comme un dealer dans son quartier, j’imagine que cette dernière ne va plus faire long feu.
Les tests comparatifs montrent que Copilot reste plus rapide et plus précis que le système de prédiction local d’Apple intégré dans Xcode car Apple mise uniquement sur du traitement local avec un modèle embarqué (pas de cloud donc, tout est sur votre Mac), surtout que Microsoft a déjà des années d’avance sur l’entraînement de ses IA et la rapidité de ses serveurs.
 
Donc voilà, les développeurs iOS se retrouvent maintenant à choisir entre attendre un hypothétique Copilot d’Apple sans date de sortie, ou donner les clés de leur Xcode à Microsoft dès maintenant. Ou alors continuer à coder sans IA comme les hommes de Cro-Magnon à l’époque !
En tout cas, avec 2000 complétions gratuites par mois comme dose pour devenir accro, combien vont résister si Apple tarde encore 6 mois de plus ??

Petite tranche de vie pour commencer. Il y a quelques jours, j’étais invité à l’anniversaire d’un enfant de 4 ans. Comme vous le savez peut-être, mon dada à moi, c’est la photo. Du coup, je me suis mis en quête d’un cadeau sympa sur ce thème, un truc pour l’initier.
 
Je suis tombé sur cet appareil : un Appareil Photo Instantané de la marque CAMCLID , alors ça a l’air d’être un nom de marque de chinoiserie, mais en vrai ils ont vraiment une grosse gamme d’appareils, et c’est vraiment très chouette**.**
Honnêtement, en voyant le prix (on va y revenir), je me suis dit : “Bon, ça va être un gadget en plastique un peu nul, mais ça fera illusion 10 minutes et ça fera le job pour l’anniversaire”.
Et bien, laissez-moi vous dire que je me suis planté. Mais alors, royalement. Ce truc est complètement génial !
 
Le “Wow Effect” de l’instantané (sans se ruiner)
Je l’ai déballé pour le tester avant de l’offrir (on est pro ou on l’est pas) et j’ai été bluffé. C’est incroyable. L’appareil permet de prendre des photos, mais surtout… de les imprimer. Tout de suite. Ou à la demande, en choisissant depuis la galerie.
C’est là toute la magie du truc. On n’est pas sur une technologie Polaroid ou Instax qui vous coûte un bras et deux reins à chaque recharge. Non, ici, on parle d’impression thermique sans encre. En gros, ça s’imprime en noir et blanc sur des rouleaux de papier qui ne coûtent franchement* rien* ( les 10 rouleaux sont à 8 balles ici ).
 
La qualité ? Franchement, c’est chouette. C’est du noir et blanc (avec deux modes : matriciel ou niveaux de gris), mais c’est net, contrasté, et en fait ça a un charme fou. Le gamin peut mitrailler, imprimer 100 photos dans l’après-midi, ce n’est pas grave. C’est absolument super.
Et le meilleur, c’est ce que la marque appelle le “DIY Painting”. L’enfant imprime sa photo et… il la colorie ! Ça transforme un simple jouet tech en une activité manuelle et créative. J’adore.
 
Plus qu’un simple “imprimeur”
Bon c’est un détail, mais l’appareil fait vraiment pas pal de trucs pour le prix. C’est un vrai petit couteau suisse numérique pour les mômes.
L’appareil en lui-même ( le modèle M5 , en bleu pour mon test) est robuste, tient bien dans les petites mains, et l’écran couleur de 2 pouces est suffisant pour viser. La batterie rechargeable promet jusqu’à 4 heures d’utilisation, ce qui est largement assez pour griller un après-midi complet. Il se recharge en USB-C.
 
Et le prix ?
On en vient au point qui fâche… ou plutôt, qui fait plaisir. L’appareil est affiché sur Amazon à 45,99 € . C’est déjà correct pour un appareil photo instantané + numérique avec carte 32 Go et 3 rouleaux de papier inclus.
MAIS ! Il y a tout le temps des coupons et des promotions, vous pouvez sans problème l’avoir à 30 balles , et même moins.
Un tel prix pour un appareil photo HD, qui filme, qui imprime à volonté sans encre, avec la carte mémoire et les rouleaux inclus ? C’est un grand oui.
 
Verdict
J’y suis allé franchement à reculons, en pensant acheter une connerie en plastique qui finirait à la poubelle. Je me suis retrouvé avec un produit malin, ludique, créatif et surtout économique à l’usage (le nerf de la guerre avec les enfants).
Pour un anniversaire (la boîte dit 3-12 ans, le petit de 4 ans a adoré, il ne le lâche plus), pour Noël qui approche, ou juste pour initier vos gosses à la joie de la photo papier sans vous ruiner, c’est un immense OUI.
Si ça vous tente, le lien vers la bête est par ici .
Article invité publié par Vincent Lautier . Vous pouvez aussi faire un saut sur mon blog , ma page de recommandations Amazon , ou lire tous les tests que je publie dans la catégorie “Gadgets Tech” , comme cette liseuse Android de dingue ou ces AirTags pour Android !

Vous avez une caméra de surveillance connectée chez vous ? Du genre petite caméra Yi à 15 balles achetée sur AliExpress pour surveiller le salon ou le chat quand vous n’êtes pas là ? Alors tenez-vous bien parce qu’un chercheur a réussi à faire tourner DOOM dessus. Et sans toucher au firmware s’il vous plait ! Il a juste exploité le stream vidéo et quelques bugs bien sentis de l’appareil.
 
Luke M a publié son projet Yihaw sur GitHub et ça fait un peu peur car si quelqu’un peut hijacker le stream de votre caméra pour y balancer un FPS des années 90, il peut aussi faire pas mal d’autres trucs beaucoup moins rigolos.
Le hack est assez cool d’ailleurs car ces caméras Yi tournent sur un petit processeur ARM sous Linux. Elles ont donc une app mobile qui vous permet de voir le stream en temps réel et Luke M a trouvé plusieurs vulnérabilités dans la stack réseau de la caméra. Je vous passe les détails mais avec ces bugs, il peut injecter du code arbitraire sans modifier le firmware.
Il peut alors créer trois threads qui tournent en parallèle. Le premier récupère les frames YUV420p directement depuis le capteur de la caméra. Le deuxième convertit ça en h264. Le troisième, au lieu d’envoyer le flux vidéo normal, envoie DOOM. Du coup, vous ouvrez l’app Yi IoT sur votre smartphone et vous voyez le Doomguy buter des demons au lieu de voir votre salon. C’est rigolo, hein ?
 
Ces caméras Yi, il y en a des millions installées partout dans le monde. Bureaux, maisons, magasins…etc car elles sont pas chères, elles marchent plutôt bien, elles ont une app correcte, mais leur sécurité c’est une vraie passoire. C’est bourré de bugs qu’on trouve en une après-midi avec un fuzzer basique.
Luke M liste plusieurs exploits dans son repo GitHub et c’est un vrai buffet à volonté pour quelqu’un qui veut prendre le contrôle de ces caméras. Bien sûr ce serait illégal alors personne ne le fait, surtout parce que ça demande quand même un peu de boulot pour chaque modèle de caméra. Mais les outils existent, les vulnérabilités sont connues, et si un chercheur solo peut le faire pour s’amuser avec DOOM, imaginez ce qu’un botnet bien pensé pourrait faire.
Tous ces trucs qu’on a chez nous, qui tournent sur du Linux embarqué avec des stacks réseau écrites à l’arrache par des équipes chinoises sous-payées qui doivent sortir un produit tous les trois mois.
C’est beau non ?


Precision. Portability. Swiss-grade craftsmanship. These have been Horizon’s calling cards since we first dubbed their Helvetica® ruler the “Swiss Army Knife of sketching tools.” Their 2025 Kickstarter stays true to that ethos while pushing in a new direction: adding vibrant new finishes to their compact multi-tools and introducing a numbered, hand-machined mechanical pencil for the design purists in their community.
The lineup sounds straightforward enough. Byzantine Purple, Irish Green, and Classic Blue colorways for both the Horizon Helvetica® and Helvetica® Max rulers, plus the collector-worthy Horizon Titanium S mechanical pencil, and the Horizon Hypatia A5 Notebook to go with it. But there’s an interesting tension here between what made Horizon successful and where they’re trying to go. The rulers that fit in your wallet are getting prettier. The new pencil costs significantly more and demands pocket space. One’s an iteration, the other’s a bet.
Designer: Ufuk Koc of Horizon Ruler
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We covered the Helvetica® Max back in 2024, and the fundamentals haven’t changed because they don’t need to. Credit card-sized, measures up to 6 inches and 15 cm, packs a protractor with 180-degree markings, includes both imperial and metric compasses, offers quick circle guides from 3mm to 10mm, features isometric grids for 3D sketching, Swiss-made Bystronic laser cutter for precision, bold Helvetica® Neue typeface for readability, and TSA-approved with no sharp edges.. The original Helvetica® follows the same philosophy at a slightly smaller scale, topping out at 3 inches and 7 cm. Both are machined from 304 stainless steel, and honestly, they’ve earned their spot in designer EDC kits because they solve an actual problem: needing drafting precision without lugging around a drafting kit. Team Horizon also has improved the silk screen coating and UV-protected layering on all models 2025 onwards.
Byzantine Purple is having a moment, apparently. Irish Green and Classic Blue round out the new color options, joining the six finishes that already exist. Which, fine, this makes sense beyond pure aesthetics. When you’re pulling a ruler out of your wallet seventeen times a day across different projects, instant recognition matters. Purple for branding work, green for environmental projects, blue for UI mockups. Color coding is practical, not decorative. Horizon seems to understand this, or at least they’re banking on the more than 10,000 backers from their seven successful Kickstarter campaigns to recognize it.
While the titanium pencil jumps categories and the color rulers iterate on existing wins, the Horizon Hypatia A5⁺ Notebook slots directly into the workflow Horizon has been building toward: precision tools need somewhere to actually make marks. It’s sized at 150 × 220 mm, which makes it slightly larger than standard A5, giving you genuinely useful space without tipping into the unwieldy territory of A4. The paper is 140gsm ivory stock across 92 pages, thick enough to handle fountain pens and markers without bleed-through, which matters when you’re sketching with the same tools you’re using for technical notes. Machine-sewn spine with manual casing-in and hand-applied endbands, all finished by hand. The whole thing opens completely flat thanks to exposed spine stitching and hand-applied water-based PVA. Limited to 1,125 pieces, each with a hand-applied cotton label reading “A blank page holds infinite potential; don’t let your thoughts go unwritten,” which toes the line between inspirational and overwrought but probably lands correctly for the audience buying hand-bound notebooks. This is the product that actually complements the Helvetica rulers instead of competing with them for identity. You pull the ruler from your wallet, open the Hypatia flat on your desk, and the entire system makes sense.
Now about that titanium pencil. Grade 5 Ti-6Al-4V, which is aerospace-grade material with a 6:4 aluminum-to-vanadium ratio. German-made LAMY 0.5mm lead mechanism. Hand-machined by Maurizio in Hoofddorp, Netherlands, limited to 300 numbered pieces with gift-ready packaging. Every single detail screams premium, and that’s exactly where things get weird. Horizon built their entire reputation on $26 to $39 tools that fit in wallet-sized spaces. A full-length mechanical pencil cannot and will not fit in your wallet. It lives in a different part of your bag, serves a different function, competes against Rotring 800s and Tactile Turn Side Clicks and every other machined metal pencil that attracts design nerds with disposable income.
Grade 5 titanium is overkill for a pencil, which is precisely why it works as a statement piece. LAMY mechanisms are reliable, 0.5mm is the technical drawing sweet spot, and the hand-machining story provides artisanal credibility for whatever price point they land on. But does their audience actually want this? Because the people who loved Horizon loved them for making precision portable. Titanium S brings Horizon’s precision into a full-sized tool, where craftsmanship and balance redefine the sketching experience. It’s a different value proposition entirely, aimed at a designer who wants their tools to announce taste rather than disappear into workflow.
Honestly, the color expansion feels overdue. Designers have been stuck choosing between silver, black, and maybe gold finishes for pro-level technical tools since forever, as if precision work requires visual boredom. Byzantine Purple breaks that assumption hard. It’s a specific, confident color choice that suggests someone at Horizon actually looked at contemporary design trends instead of just defaulting to “professional” metallics. Irish Green and Classic Blue follow suit, giving creatives permission to match their tools to their aesthetic without sacrificing functionality. Your sketching kit doesn’t have to look like an engineer’s toolkit from 1987. It can look like it belongs to someone who cares about visual culture, who understands that the tools you carry say something about how you see the world.
The titanium pencil plays into the same idea but from a different angle. It’s a statement piece, numbered and limited, hand-machined instead of mass-produced. Grade 5 titanium is genuinely excessive for pushing 0.5mm lead across paper, but that excess is the entire point. It sits on your desk and announces that craftsmanship matters, that the weight and balance of a pencil affects how you think. Whether that resonates depends entirely on whether you see tools as utilities or extensions of creative identity.
The Kickstarter campaign just dropped, featuring early-bird rewards with significant discounts across the lineup. Exact pricing and availability are live on the campaign page, but based on Horizon’s past launches, the Horizon Helvetica® starts around $32, with the Helvetica® Max beginning at $39. Bundled tiers like the Duo, Core Trio, and creative sets offer even stronger value for backers looking to expand their toolkit. The Titanium S, limited to 300 pieces, commands a premium that reflects its hand-machined titanium construction and collectible nature, while the newly introduced Horizon Hypatia A5⁺ notebook completes the ecosystem, offering more space for ideas, notes, and sketches.
Helvetica® is a trademark of Monotype Imaging Inc. registered in the U.S. Patent and Trademark Office and may be registered in certain jurisdictions.
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The post The Swiss Army Knife of Sketching Tools Returns With Bold New Colors (And A Titanium Pencil) first appeared on Yanko Design.


You can be forgiven for not knowing who Axiom RV is. They’re relatively new to the towable RV industry, but their presence is already being felt. Especially with the introduction of the Vendetta, a model designed to set a new standard in fifth wheels and toy haulers through its distinctive design and conceptualization.
The toy hauler market is typically dominated by rugged rigs built for adventurous couples seeking off-the-beaten-path experiences. The Vendetta, however, targets the other end of the spectrum. It’s designed to accommodate larger groups in comfort and style. If you’re a football team planning a camping trip together, this is exactly the kind of experience Axiom RV—founded by three industry veterans—had in mind with their latest offering.
Designer: Axiom RV

What sets the Vendetta apart is not essentially its insignificant clearance from the ground to make it a toy hauler for the days on the unpaved roads, but ideally its mammoth 47-foot real estate that can accommodate up to 12 people without feeling cramped. Based on a triple-axel trailer, the fifth wheeler has a dead weight of roughly 22,000 pounds and is easily the most extravagant camping trailer you can get your eyes on.

This distinction, of course, for most other rigs would start at the exterior or the luxurious interior. For the Vendetta, if I may, it starts at the roof, which has been essentially cleared out of any vents or holes; it’s a clean, new style of roof canvas for the user to explore. The body is made from marine-grade fiberglass with gelcoat, which Axiom proudly highlights, making no use of the unattractive wood or metal. The smooth and interesting finish is also durable. If you have been reading about the trailers and RVs we feature here on the website, you wouldn’t be surprised; most of the new adventure rigs are now employing fiberglass and composite materials in their construction, as Axiom RV boasts.

Once you enter the Vendetta, things really blow up in front of your eyes. The interior is nicely spaced and laid out to feel spacious and capable. And interestingly, the space inside is highlighted by the tall ceiling, which, according to the company, measures 9’10” high. The living area (in the middle) is outfitted with a U-shaped couch with 12 recliners, while the primary bedroom sits in the front of the trailer, and the garage goes into the rear side. The trailer has four slides to create additional space, along with the convertible living space to sleep up to 12 individuals.

While the solitary bathroom may be a letdown for such a large occupancy, the open spaces, courtesy of a patio and the additional open garage door ramp, provide ample breathing room. Most fascinating still is the Vendetta’s huge rear kitchen. It is packed with extensive storage and large countertop space for homelike cooking on the road. The heating and cooling are catered to by the Mini Split HVAC system and rear-mount generator system, which allows for true pass-through storage. Available in two models: base model V4250 and a higher model V4250SP, priced roughly around $200,000, are provided with an entertainment system with a 65-inch TV, a 170-gallon fresh water tank, a 110-gallon gray water tank, and 200 watts of solar power. There is a range of add-ons that you can look for on the official Axiom website.




The post Axiom RV Vendetta is 47-foot fifth-wheeler that sleeps 12 people in a homely environment first appeared on Yanko Design.

Rivian didn’t simply add another e-bike to the market. Through their new ALSO spinoff, they applied automotive-grade engineering to reimagine what two-wheeled transportation could become when stripped of mechanical constraints. The TM-B e-bike represents a fundamental shift in how we think about pedal-powered vehicles, replacing century-old drivetrain conventions with a software-defined riding experience.
Designer: Rivian
What emerges is a platform for modular micromobility that prioritizes adaptability over specialization. The design philosophy centers on one radical premise: remove the mechanical connection between pedaling and propulsion, then rebuild the entire vehicle around what becomes possible.
Traditional bicycle design bows to the demands of mechanical drivetrains. Chains dictate frame geometry. Derailleurs determine clearances. Gear ratios constrain wheel sizing. The TM-B dismisses these limitations entirely.

The pedal-by-wire system, which Rivian calls DreamRide, severs the physical link between your legs and the wheels. When you pedal, you’re powering a generator. That energy charges the battery, which then drives a motor at the rear wheel. The implications for design freedom are profound.
Frame tubes can be sized for structural efficiency rather than mechanical routing. Standover height becomes a pure ergonomic decision. Wheel placement optimizes handling instead of accommodating chain length. The entire architecture flows from rider needs rather than mechanical requirements.
Full suspension with 120mm travel front and rear creates spatial generosity in how the bike absorbs terrain. Those gold-anodized stanchions aren’t just premium visual cues, they signal a riding experience tuned for urban chaos and trail exploration equally.
The top frame isn’t fixed structure but rather a design canvas that transforms the vehicle’s purpose in seconds. This modularity enables three distinct configurations without tools or complex adjustment procedures.

Swap in a solo seat configuration, and the TM-B becomes a personal urban runner with dual water bottle mounts. The proportions read athletic, lean, focused. Slide in the bench seat instead, and suddenly spatial relationships shift. The bike lengthens visually. Room for a passenger or substantial cargo alters how you perceive the vehicle’s stance and capability.
Mount the utility cargo rack, and form follows function most overtly. That 77-pound capacity reshapes what this platform enables: grocery runs, equipment transport, daily errands that traditionally demanded four wheels. The transformations require no tools. Seconds to swap. The design intelligence lies in creating attachment points that disappear when not in use while providing industrial-grade strength when loaded.
Each configuration tells a different spatial story while maintaining design coherence. The frame proportions accommodate all three personalities without compromise.
Eliminating the mechanical drivetrain removes visual and tactile complexity from the entire right side of the bike. This creates unprecedented surface cleanliness that most e-bikes can’t achieve because they still rely on traditional bicycle components.

No derailleur hanging vulnerably from the dropout. No cassette stack creating width at the rear wheel. No chain requiring guards, maintenance, or lubricant. The Gates carbon belt drive (on the pedal input side) delivers power silently and permanently to the generator, not to the wheel directly. It’s designed to outlast the bike itself with zero maintenance intervals.
This material reduction extends to the cockpit. Traditional bikes clutter the handlebars with shifter pods, brake levers, and sometimes throttle controls. The TM-B consolidates everything through a central touchscreen that floats between the grips. Gear selection happens through software, not mechanical clicking. Ten levels of pedal assist adjust seamlessly. Sport, Trail, All Purpose, and Conserve modes reshape the riding character without adding physical controls.
The visual result is clean surfaces throughout. The bike reads as intentionally minimal rather than stripped down, because the design removed complexity rather than hiding it.
Most e-bikes conceal batteries within frame tubes, prioritizing invisibility over accessibility. The TM-B makes power storage a designed interaction.
Two removable battery options (538Wh and 808Wh) twist free without tools. The larger capacity delivers 100-mile range, extraordinary for a vehicle this size. But range becomes secondary to the design thinking behind making batteries user-facing rather than integrated.

USB-C charging at up to 240W means these packs double as portable power banks. The batteries become part of your broader electronic ecosystem rather than single-purpose components. Pull a battery, charge your laptop at a coffee shop, return it to the bike. The design acknowledges that modern urban life revolves around managing multiple devices, not just transportation.

An e-ink display on each battery provides status without requiring phone connectivity, giving you physical feedback and immediate information. This creates designed confidence where you know exactly how much range remains before needing to swap or charge.
Integrated lighting typically means front and rear LEDs that meet minimum legal requirements. The TM-B’s lighting philosophy comes from automotive safety research.
Biomotion lighting highlights the rider’s body movement (head, arms, legs) rather than just illuminating the bike’s extremities. Studies show that drivers recognize moving human forms faster than static vehicle shapes, especially in peripheral vision. The lighting system transforms the rider into a more recognizable threat that drivers process earlier.

This isn’t decorative accent lighting but rather lighting as designed protective intervention. It borrows from decades of automotive human factors research and applies it to two-wheeled vulnerability.
Physical locks represent designed failure. Cable locks cut easily. U-locks require carrying bulk. Frame locks add weight. The TM-B makes theft functionally pointless through software architecture.
When you walk away, the bike automatically locks the battery, wheels, and frame. Not physically, but electronically. Attempt to ride a locked TM-B and nothing responds. The motor won’t engage. The battery won’t discharge. The entire vehicle becomes an expensive sculpture.
Remote bricking takes this further. Report a bike stolen, and ALSO can disable it remotely. The bike becomes worthless to a thief: not resellable, not rideable, not even useful for parts. Security becomes invisible, permanent, and comprehensive without adding physical bulk or weight.
Hydraulic disc brakes handle primary stopping. But regenerative braking captures energy during deceleration and feeds it back to the battery.
The design outcome: up to 25% range extension from energy that typically dissipates as heat. It’s not dramatic enough to feel like engine braking in an EV car. It’s subtle, seamless, almost unnoticeable, which represents successful design integration rather than engineered compromise.

The system demonstrates how automotive EV thinking translates to micromobility. Every descent, every slow-down, every controlled deceleration becomes an opportunity to extend range without conscious rider input.
Three trim levels don’t just offer different equipment but represent distinct design philosophies about what this platform should express.
The Launch Edition ($4,500, spring 2026) introduces the concept with unique blue, purple, and other launch finishes that communicate newness and differentiation. It’s ALSO announcing they’ve arrived with something visually distinct.
The Performance trim (same price, summer 2026) adds air suspension and higher output motor specs. Design shifts from introduction to capability. This version targets riders who prioritize dynamic range over value positioning.

The Base model (under $4,000, late 2026) strips back to essentials with 60-mile battery and simplified spec. The design message becomes accessibility: getting this platform’s core benefits to wider audiences without the premium finish work.
Each trim tells a clear story about who this bike serves and why. The pricing strategy keeps Performance and Launch identical, making the choice about timing and aesthetics rather than value hierarchy.
ALSO’s roadmap extends beyond two wheels to pedal-assisted quads designed for cargo delivery.
The TM-Q vehicles represent the same core philosophy applied to different constraints. Remove mechanical drivetrain limitations. Build software-defined platforms. Enable modular transformation. Optimize for bike lane operation rather than automotive infrastructure.

The design thread connecting the TM-B and TM-Q products is platform thinking: creating foundational architecture that supports multiple form factors rather than designing discrete vehicles. It’s how automotive manufacturers approach product development, now applied to micromobility at urban scale.
The TM-B doesn’t source components from Shimano, Bosch, or other e-bike suppliers. Rivian developed the battery, motor, electronics, and software in-house. This vertical integration enables design decisions impossible with off-the-shelf components. Where most e-bikes still rely on partial automotive supplier components, Rivian’s approach is pure ground-up integration applying full automotive engineering rigor to two-wheeled transport.
The pedal-by-wire system exists because Rivian controlled the entire drivetrain stack. The security architecture works because they own the software. The battery packaging succeeds because they designed the cells and the enclosures simultaneously.
What you see in the TM-B’s form is the physical manifestation of engineering control. Proportion and surface decisions made possible only when every component answers to a single design vision rather than marketplace constraints.

Over-the-air updates will refine this bike’s behavior throughout its life. The riding characteristics you experience at delivery represent a starting point, not a fixed state. Software-defined vehicles evolve. The TM-B’s design accommodates continuous improvement rather than planned obsolescence. Service and repairs happen at Rivian’s automotive service centers, not traditional bike shops, treating the TM-B as an extension of their vehicle ecosystem.
The ALSO TM-B demonstrates what becomes possible when automotive engineering rigor meets micromobility scale. It’s not about making bikes more expensive or complex but about removing century-old mechanical constraints and rebuilding around what riders actually need.
Modular transformation without tools. Batteries as portable power rather than hidden components. Security through software instead of physical locks. Drivetrain without mechanical compromise. Lighting that makes riders more visible through human factors research rather than brighter bulbs.
Rivian took their EV platform thinking (vertical integration, software-defined experiences, continuous improvement through updates) and scaled it to two wheels. The result challenges what we accept as inevitable in bicycle design.
The TM-B isn’t trying to be a better traditional bike. It’s showing what happens when you throw out the script entirely and rebuild from first principles. That’s what makes it worth studying, regardless of whether you ever plan to buy one.
The post Design Philosophy: When Automotive Thinking Meets Micromobility first appeared on Yanko Design.

Snapshot of the Copilot app's new features for Windows 11 (August 2025).

Y’a plein de problème avec les IA, mais y’en a un encore un peu trop sous-estimé par les vibe codeurs que vous êtes… Ce problème, c’est qu’on leur fait confiance comme à un collègue, on leur montre notre code, nos repos privés, nos petits secrets bien planqués dans les variables d’environnement…
Par exemple, quand vous passez en revue une pull request sur GitHub, vous faites quoi ? Vous lisez le code ligne par ligne, vous cherchez les bugs, les failles de sécu, les optimisations possibles. Mais les commentaires vous les lisez ? Au mieux on les survole, c’est vrai, car c’est de la comm’ entre devs, et pas du code exécutable.
Sauf pour bien sûr pour Copilot Chat pour qui un commentaire c’est un texte comme un autre. Et selon Omer Mayraz , chercheur en sécurité chez Legit Security, c’est exactement ce qui en fait une zone de confiance aveugle parfaite pour une attaque.
 
Ce qu’a découvert Omer Mayraz c’est donc une vulnérabilité critique dans GitHub Copilot Chat avec un score CVSS de 9.6 sur 10. Cela consiste à planquer des instructions malveillantes dans des commentaires markdown invisibles comme ça, ces commentaires ne s’affichent pas dans l’interface web de GitHub, mais Copilot Chat les voit parfaitement et les traite comme des prompts légitimes.
Du coup, l’attaquant peut forcer Copilot à chercher des secrets dans vos repos privés, à extraire du code source confidentiel, voire à dénicher des descriptions de vulnérabilités zero-day non publiées. Tout ça sans que vous ne voyiez rien venir évidemment !
Voici une démo complète de l’attaque en vidéo :
La première étape c’est donc l’injection de prompt via un commentaire caché. Rien de révolutionnaire, mais efficace. Ensuite, deuxième étape : le bypass de la Content Security Policy de GitHub. Normalement, Copilot Chat ne peut charger que des ressources depuis des domaines appartenant à GitHub. Il est donc impossible d’envoyer des données vers un serveur externe.
Mais c’était sans compter sur le fait que GitHub dispose d’un proxy appelé Camo, conçu à l’origine pour sécuriser l’affichage d’images externes en les servant via HTTPS et en évitant le tracking. C’est donc ce proxy de sécurité qui devient l’outil d’exfiltration. Avec ce proxy, toutes les URLs d’images externes sont automatiquement transformées en URLs Camo du type https://camo.githubusercontent.com/[hash unique] et Mayraz a simplement utilisé l’API GitHub pour pré-générer un dictionnaire complet de ces URLs Camo, chacune pointant vers un emplacement unique sur son serveur.
Troisième étape, l’exfiltration des données. Au lieu de faire passer les secrets directement dans les URLs (trop visible), Mayraz a eu l’idée d’utiliser l’ordre des requêtes. Chaque lettre de l’alphabet correspond à une URL Camo unique. En faisant charger ces URLs dans un ordre précis, on peut ainsi transmettre des données texte comme avec un alphabet ASCII artisanal. C’est plutôt créatif comme approche, je trouve.
C’est exactement le même principe que les attaques ultrasoniques contre Alexa ou Siri. Si vous ne vous en souvenez pas, des chercheurs avaient démontré qu’on pouvait envoyer des commandes vocales à des fréquences inaudibles pour l’oreille humaine, mais parfaitement comprises par les assistants vocaux.
Bah ici, c’est pareil… On a des prompts invisibles pour les humains mais que l’IA voit et exécute sans broncher. Comme pour les enceintes, on parle à la machine sans que l’humain ne s’en aperçoive et la différence, c’est qu’au lieu de jouer sur les fréquences sonores, on joue sur le markdown et les commentaires cachés.
Du coup, chaque pull request externe est un potentiel cheval de Troie. Un contributeur externe soumet par exemple une PR apparemment légitime, avec un commentaire invisible qui ordonne à Copilot de chercher “AWS_KEY” dans vos repos privés. Vous de votre côté, vous ouvrez la PR dans votre éditeur, Copilot Chat s’active bien sûr automatiquement, et hop, vos clés API partent chez l’attaquant.
Quand on sait que GitHub a créé Camo justement pour améliorer la sécurité, ça fout un peu les boules. Bref, grâce à son proof-of-concept, Mayraz a réussi à exfiltrer des clés AWS, des tokens de sécurité, et même la description complète d’une vulnérabilité zero-day stockée dans une issue privée d’une organisation et tout ça sans aucune interaction suspecte visible par la victime.
Heureusement, notre joyeux chercheur a prévenu GitHub qui a réagi assez vite. Le 14 août l’entreprise a complètement désactivé le rendu d’images dans Copilot Chat, comme ça plus d’images, plus de problème. C’est radical, c’est sûr mais c’est efficace !
Quoiqu’il en soit, ces histoires de prompt injection c’est un problème fondamental propre aux LLM qui sont encore actuellement incapable de distinguer de manière fiable les instructions légitimes des instructions malveillantes. Ça reste donc un problème de confiance…
Dans ce cas prévis, on fait confiance à GitHub pour héberger notre code du coup, on fait confiance à Copilot pour nous aider à développer, tout comme on fait confiance aux contributeurs externes pour soumettre des PR de bonne foi. Et nous voilà avec une jolie chaîne de confiance prête à être exploitée…
Bref, CamoLeak c’est que le début de cette nouvelle vague de vuln liées aux assistants IA qui se retrouvent intégrés dans nos outils de développement… Donc ouvrez l’oeil car on ne sait jamais ce qui sa cache vraiment dans une pull request.
